The Coach

Le réveil sonna à 7h pile le lendemain. Je l'arrêtai vivement et me frottai les yeux : le sperme séché formait comme une espèce de masque sur mon visage et une douche s'imposait.
Je me précipitai à la salle de bain et restai une dizaine de minutes sous l'eau chaude, nettoyant chaque partie de mon corps avec application. Je revêtis ensuite mon uniforme et, alors que je m'observai dans le miroir, j'aperçus à moitié caché sous le drap le plug, gisant sur le lit. Je ne m'étais même pas rendue compte qu'il était sorti durant la nuit.
Il me restait cinq minutes pour le remettre en place avant de devoir descendre préparer le déjeuner d'Alain. Je me mis à quatre pattes sur le lit, dans la même position que la veille, et tentai d'insérer le jouet dans mon trou. J'étais cependant trop stressée et ne connaissais pas la technique à adopter, mon anus resta donc bloqué et je ne parvins pas à remettre le plug en place.


Je descendis à la cuisine, espérant naïvement qu'Alain ne chercherait pas à vérifier mes fesses avant que je puisse le réinstaller.
Selon les instructions, je devais préparer une omelette, un café au lait et deux toasts beurrés. Je lançai la préparation en buvant mon propre café et en grignotant une banane. J'avais un noeud dans le ventre à l'idée de décevoir Alain.
Une fois le petit-déjeuner prêt, je lavai ma tasse et cherchai des yeux l'endroit où je devais m'asseoir. Un panier de chien me sauta aux yeux. C'était visiblement ma place et je m'y installai, à genoux, tête baissée.

Alain arriva bientôt et s'installa à table, sans un mot. Il mangea, j'en conclus donc que ma cuisine lui convenait. Il repartit une demi-heure plus tard, sans m'adresser un regard ou un mot. Soulagée qu'il n'ait pas chercher à m'examiner de suite, je me dépêchai de nettoyer la pièce. Je songeai à réessayer d'insérer le plug avant ma séance de sport mais je me décourageai rapidement : le jouet sortirai sûrement au premier squat.



Hésitant à m'aventurer dans la maison le cul vide, je décidai de rester dans la cuisine. J'entendais la voix d'Alain au téléphone de loin. Il parlait de budget, d'un évènement à organiser, de cartons de champagne. J'étais incapable de savoir s'il organisait une soirée privée ou si sa discussion était d'ordre professionnel. Il raccrocha bientôt et le silence se fit dans la maison. Soudain, la sonnette retentit, suivie de quatre coups à la porte. Je devais aller ouvrir dans mon uniforme.
Je me dirigeai rapidement vers la porte d'entrée et l'ouvrit, légèrement stressée à l'idée d'ouvrir la porte ainsi vêtue. Un homme d'une trentaine d'année, extrêmement séduisant, se tenait face à moi. A la vue de son corps bronzé et surtout très musclé, je compris qu'il s'agissait de mon nouveau coach sportif.

Il prit son temps pour me reluquer de la tête aux pieds, s'attardant sur mes seins dont les tétons se dressaient de plus en plus au fur et à mesure que son regard était fixé sur ma poitrine.

- Tu dois être Iris. Je suis Sam, ton coach. Alain est là ? Je vais vérifier avec lui ce qu'il veut qu'on travaille.

J'hochai la tête sans un mot, ayant bien retenu que Sam avait la même autorité sur moi qu'Alain, je devais donc rester muette et tête baissée sauf ordre contraire. Je le guidai jusqu'au bureau d'Alain et attendit sur le pas de la porte une dizaine de minutes.


– On va aller dans le jardin, m'annonça Sam en ressortant. Tu as l'habitude de faire du sport ? Réponds-moi.
– Oui monsieur. J'en fais plusieurs fois par semaine.
– Parfait. Bien ! Avant toute chose, l'échauffement, commença-t-il lorsque nous arrivâmes sur la terrasse.

Le jardin était d'une taille moyenne, entouré de toutes parts d'arbres touffus qui ne laissaient rien passer et meublé comme dans un magazine : salon de jardin en teck, salle à manger d'extérieure avec barbecue et mini bar et, dans le fond du jardin, un jacuzzi surélevé.

Je n'eus cependant pas le temps d'observer plus de détails et me tournai vers Sam, prête à courir en petites foulées autour du jardin ou faire un peu de corde à sauter pour débuter la séance. Au lieu de ça, je le vis baisser son short pour dévoiler un membre d'une taille impressionnante, cependant encore mou.

– Tu es bien trop bandante dans ton uniforme de salope, je ne vais pas pouvoir me concentrer immédiatement. Viens me sucer, ça sera un bon échauffement.

Je m'agenouillai devant lui, enfournant sa bite goulûment. J'étais devenue une vraie soumise en quelques jours, et je savais déjà que je ne pourrais plus vivre autrement. Je léchai son membre avec douceur, le sentant grossir dans ma bouche et commençait à jouer avec ses bourses. Il attrapa ma tête et s'enfonça au fond de ma gorge, lâchant un soupir. Il resta ainsi quelques instants, savourant mes lèvres qui collaient à son bas-ventre puis commença à me baiser la bouche. Il me lâcha quand la bave me sortait de la bouche et je repris mon va-et-vient tout en titillant ses boules.
Il cracha bientôt tout son jus dans ma gorge et je déglutis plusieurs fois pour tout avaler.

– C'est un bon début ! Passons aux choses sérieuses maintenant. Je vais t'expliquer le circuit.

Je passai l'heure suivante à enchaîner les squats, les fentes, les exercices d'abdos et de fessiers. Cela me fit du bien après ces dernières heures mouvementées.
A la fin de la séance, Sam me demanda de lui ramener un verre d'eau. Lorsque je ressortis sur la terrasse, je le vis allongé sur un des transats, nu, en train de se masturber doucement. Il but le verre d'eau d'un trait puis m'ordonna de m'asseoir sur sa bite, dos à lui.
Je m'exécutai sans trop de difficultés, j'avais l'impression d'être constamment excitée depuis que j'avais passé le pas de la porte d'entrée. Je commençai à le baiser alors qu'il empoignait mes fesses pour accompagner mes mouvements. Son sexe était plus gros que celui d'Alain et cela prit quelques minutes avant qu'il soit complètement enfoncé en moi.
Je lâchai un petit soupir d'aise et Sam me rappela vite à l'ordre :

– Je te rappelle que tu as l'interdiction de jouir si elle ne vient pas de ton Maître. Ton unique préoccupation doit être mon plaisir alors au boulot.

Je repris mes va-et-vient avec application, essayant tant bien que mal de ne pas prêter attention au feu dans mon bas-ventre qui ne demandait qu'à exploser. Soudain, Sam se releva, me gardant empalée sur lui et me fit mettre à genoux. Il commença alors à me pilonner la chatte en levrette, et je ne pus retenir mes cris. Son membre s'enfonçait violemment en moi, je sentais ses boules claquer contre mon pubis et il me claquait les fesses en rythme. Après quelques minutes, il s'arrêta. Je ne savais pas comment j'avais fait pour retenir ma jouissance, je n'avais jamais été baisée aussi férocement et cela m'excitait au plus haut point. Mon plaisir coulait de mon entrejambe et il m'aurait suffit d'une caresse sur mon clitoris pour exploser.
Il se branla quelques secondes sur mon cul et fit couler son jus sur mon anus afin qu'il se mêle à ma mouille. Il me donna une dernière fessée puis se rhabilla.

– Bonne petite chienne. Alain n'a pas beaucoup de travail à faire pour te dresser. A demain ! me lança-t-il en disparaissant à l'intérieur de la maison.

J'attendis quelques instants puis regagnai ma chambre afin de prendre une douche. Alain m'attendait dans son bureau et cette pensée fit redescendre toute mon excitation : le plug. Sam allait-il lui dire que je ne l'avais pas durant la séance ?
Je profitai d'avoir l'entrejambe bien lubrifiée pour essayer de replacer le jouet. Après quelques minutes de douleur, je sentis l'objet remplir à nouveau mon cul et cela fit renaître l'excitation. Je me dépêchai de prendre ma douche, retouchai mon maquillage et descendit rejoindre Alain.

Il travaillait sur son ordinateur et leva la tête à mon entrée.

– Sam m'a dit que tu avais bien travaillé.
J'espérais pouvoir te punir mais j'imagine que je devrais attendre ce soir.
– J'adorerais recevoir votre punition, Maître.
– Je m'en doute. J'ai directement senti que tu étais une soumise au fond de toi, depuis que je t'ai baisée au SPA et que tu t'es laissée faire, mais il ne faut pas r des bonnes choses. Tu as bien travaillé selon ton coach, tu ne mérites donc pas encore de punition. J'ai du travail pour toi plutôt. J'organise un dîner ce soir, auquel tu devras assister : un couple d'amis va venir manger. Lola est déjà en train de préparer le dîner mais j'ai besoin que tu mettes la table et que tu décores le salon, ainsi que la salle à manger. Tout est là-bas. Ce soir, tu t'occuperas du service avec Lola et vous serez aux petits soins pour nos invités. Vous ne pourrez rien leur refuser. Tu as jusqu'à l'heure du déjeuner pour préparer tout ça et si tu n'as pas fini, tu prendras sur ton temps de repos. C'est compris ?
– Oui, Maître.
– Avant que tu ne t'y mettes, je vais vérifier ton cul. Penche-toi.

Je m'exécutai, le coeur battant. Alain écarta mes fesses et glissa deux doigts dans ma fente, trempée. Il promena ses doigts jusqu'à mon anus et joua légèrement avec le plug, ce qui me fit gémir d'excitation.

– Tu peux y aller, dit-il simplement en se redressant et en essuyant ses doigts sur mon tablier.
– Merci, Maître.

Je me dirigeai vers le salon, soulagée que mon examen se soit bien passé. Je ne me faisais cependant pas d'idées, j'allais devoir avouer que j'avais passé la matinée sans le plug dans quelques heures, lors de ma confession.
La pièce était meublée de façon très moderne, toute en noir, blanc, gris et quelques touches de couleurs qui provenaient des coussins et de tableaux aux murs. Deux boites en carton étaient posées à même le sol et la vaisselle posée sur la table de la salle à manger. Les cartons contenaient de fausses fleurs et des vases ainsi que des décorations de table.

Je décorai rapidement la pièce, installant les fleurs dans la pièce et dressai la table de la salle à manger. Alain faisait régulièrement des allers-retours, m'ordonnait de changer un détail de place, d'aller laver les verres sales à son goût et gratifiait chaque ordre d'une claque sur les fesses, qui me rappelait la présence du plug dans mon cul.
Je croisai plusieurs fois Lola durant ma tâche : elle était jeune et très belle. Rousse, les cheveux bouclés qui lui tombaient jusqu'aux hanches, elle portait le même uniforme que moi. Sa poitrine était d'une taille raisonnable et ses fesses bien rebondies. Alain avait visiblement un style de femme. La soumettait-elle, elle aussi ?
Ainsi qu'il me l'avait ordonné, je ne parlais pas à Lola, et celle-ci osait à peine me regarder.

Lorsqu'Alain m'appela pour déjeuner, j'avais fini de préparer la maison pour la soirée. J'allais m'asseoir à genoux dans mon panier, docile, et à nouveau Alain ne m'adressa pas la parole. Il quitta la pièce une fois son repas terminé et je pus à mon tour me restaurer, avant de faire la vaisselle.
J'avais désormais quartier libre et remontai dans ma chambre, contente de pouvoir me reposer. Nous n'étions que dimanche et j'avais l'impression d'avoir déjà passé plusieurs jours chez Alain.

Revenir à ma vie banale d'avant cette rencontre allait être difficile, voire impossible. Je n'en avais en tout cas aucune envie et comptais bien rester aussi longtemps qu'Alain me le permettrait.

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