Collection Candaulisme. Le Carrefour Saint-Antoine (1/2)

Nous rentrons de chez nos amis où nous avons passé la soirée, Luidgi est un copain de travail, nous avons fait un stage de formation pour chômeur ensemble.
Sa femme Vanessa belle blonde est très belle, elle a la particularité d’avoir un beau diamant à l’oreille gauche et trois anneaux à la droite.
Repas sympa, qui se finit vers vingt-trois heures, nous reprenons notre voiture, la bise et en route.

Nous roulons quelques kilomètres quand Jennifer me fait une demande insolite.

• Antoine, le carrefour Saint-Antoine, est-ce dans le coin ?
• Oui mon cœur, si nous tournons à droite au prochain rond-point, c’est le carrefour suivant au bord de la forêt.
Pourquoi me parles-tu de ce carrefour ?
• Quand vous étiez sur la terrasse à fumer vos cigarettes, Vanessa m’en a parlé, elle voulait savoir si je savais ce qui si passait, une amie lui en a touché deux mots.
• J’ignore où il se trouve, je sais que des femmes viennent là avec leur mari pour s’exhiber devant des hommes, elle accepte même de se laisser baiser.
• J’avais plus ou moins compris, tu me confirmes, ce que j’ai pensé sans oser le croire.
• C’est là à droite, c’est un cul-de-sac.
• Vas-y, je veux voir.

Il y a 12 ans que nous sommes mariées, j’ai épousé Jennifer que j’aime plus que tout au monde, après trois ans de mariage, elle m’avait parlé de femme se donnant à leurs amants devant leur mari.
La venue de Quentin puis de Laure nos deux s avaient coupé définitivement ce genre de discourt
Les s sont en vacances chez mes parents dans la Nièvre d’où je suis originaire.

Je tourne et j’arrive dans la nuit noire, mes phares allumés au carrefour Saint-Antoine, trois voitures sont arrêtées sur un parking qui sert comme point de départ à un chemin de randonnée à travers la forêt faisant une boucle de vingt-cinq kilomètres.

• Arrête-toi, on est en sécurité, les portes de la voiture fermées de l'intérieur, nous protèges, laisse les phares allumés.



Je m’exécute, je sais qu'elle refuse d'être contrariée, elle va plus loin, elle allume le plafonnier.

• Chérie regarde, je vois une ombre qui s’approche, merde, il a sa queue en main, regarde, il la frotte sur la vitre de ton côté.
• C’est moi qui l’intéresse, c’est un voyeur, il vient se rincer l’œil.

Me disant cela, elle ouvre le haut de sa robe et ôte son protégé sein pigeonnant.

• Mon amour, merci, c’est si bon de se sentir observé sans n’avoir rien à craindre, je vais enlever ma culotte, il faut qu’il prenne du plaisir eut aussi, toi, tu m’as chaque fois que tu veux.

Disant cela, elle se soulève et ôte sa petite culotte, elle me regarde, passe sa main sur mon pantalon, je bande, la situation me plaît.

• Que fais-tu, tu es folle !

Elle vient d’appuyer sur le bouton ouvrant sa fenêtre, elle l’ouvre de quelques centimètres et y glisse sa culotte.

• Madame, ouvrez, on va vous donner du plaisir.
• Non, contentez-vous de vous masturber, pendant que je vais sucer mon homme.

Effectivement, elle ouvre mon pantalon et sort ma queue, elle se penche, me cachant son sexe, mais j’ai le temps de voir qu’elle s’introduit trois doigts dans le vagin.
Elle me pompe comme une morte de faim, la situation semble la stimuler, je suis au sommet de la tension de ma queue, elle me lâche, se retourne regardant la vitre toujours entrouverte.

• Ça vous plaît les gars, moi, j’adore ça, regardez mes doigts, ils sont trempés, branlez-vous bien, je retourne finir la fellation à mon mari, vous savoir là me stimule.

Elle retourne sur ma tige, je vais jouir, elle de son côté gigote de plus en plus, jusqu’au moment où j’éjacule lui remplissant sa cavité buccale, et que je vois qu’elle jouit elle aussi.
C’est à ce moment que les trois queues crachent elles aussi sur les vitres, l’un de ces jets passant par la fente de la fenêtre entre dans l’habitacle venant atterrir sur sa cuisse.


• À plus les gars, j’espère que cela vous a plu, j’ai adoré.

Elle prend le sperme sur son doigt, alors qu’elle finit juste de déglutir mon sperme, elle lèche celui d’un des hommes derrière la fenêtre.

• Il a un goût différent que toi mon amour, mais j’adore, merci pour cette soirée, roule.

Elle reste comme ça poitrine à l’air et chatte à ma portée, j’y mets les doigts.

• Attends d’être à la maison, tu vas voir la salope que tu vas avoir dans ton lit.

Cette nuit-là, je reste éveillé, elle est déchaînée, il est plus de midi quand j’ouvre un œil, elle est ravissante dans son déshabillé vu pour la première fois, dommage qu’elle m’ait vidé les couilles, cette nuit, mais quand elle a posé le plateau sur la chaise près du lit, je la renverse.
Si ma queue est hors d'usage, ma bouche est encore active, je lui suce le clitoris, jusqu’à ce qu’un orgasme la dévaste, j’aurais dû naître femme, dès qu’elles sont correctement stimulées, elles jouissent, cela plusieurs fois.

Le dimanche matin, je passe deux heures à nettoyer ma voiture, les vitres, mais surtout l’habitacle, le sperme passé par les deux centimètres de la vitre ouverte, a giclé jusqu’au plafond avant de retomber sur les cuisses de celle qui m’a fait passer une soirée hors du commun.

Quelques jours, notre vie continue son chemin sans que nous reparlions de cette soirée mémorable, je rentre du travail, Luidgi, m’a simplement parlé de notre soirée chez eux bien sûr, j’avais envie de lui parler du carrefour Saint-Antoine.
J’aurais voulu savoir si c’est bien Vanessa qui lui en a parlé.
Est-elle adepte des soirées masturbation, mieux, sort-elle de sa voiture, je me voyais mal lui demandé s’il était un adepte de voir sa femme se faire baiser dans les phares de leur voiture.

• Chéri, demain soir, tu sais que c’est ton anniversaire, j’ai commandé une baby-sitter, demain, je t’offre le restaurant, 35 ans ça se fête.


Quand je me prépare ce samedi soir, je la vois s’habiller, j’aurais pu me douter qu’elle ait un plan, mais nous prenons la voiture, comme nous le faisons régulièrement quand j’ai donné mes ordres à la jeune fille que nous engageons.

Repas fin, bonne ambiance entre nous, quand nous sortons, je suis à des lustres de ce qu’elle me demande.

• Direction le carrefour Saint-Antoine, je vais t’offrir ton cadeau d’anniversaire.

Incroyable, a-t-elle parlé au téléphone avec Vanessa, lui a-t-elle dit qu’elle s’offrirait à moi, je suis une fois de plus hors du sujet, quand nous arrivons, il y a une voiture qui repart, cinq autres sont arrêtées.
Je remonte les voitures, je tourne à l’endroit facilitant les manœuvres, en passant, j’ai le temps de voir quatre voitures avec un homme et une où ils sont deux, aucune trace de la voiture de Luidgi et Vanessa.
Je m’arrête en bout de la ranger, mes phares balayent le secteur, six portes s’ouvrent et six hommes en descendent se dirigeant vers nous, incroyable, ils ont tous sorties leur queue plus ou moins grosse.

• Regarde chéri, ton cadeau d’anniversaire !

Elle enlève prestement sa robe, j’étais dans la salle de bain quand elle l’a passé, elle est nue dessous.
Ma stupeur en est à son commencement, après l’avoir jetée sur le siège arrière, elle appuie sur le bouton de sa fenêtre qui glisse sans aucun bruit, c’est un des points de son entretien que j’aime particulièrement soigner.
Une vitre qui bruisse, une porte qu’il faut claquer pour la fermer, c’est mon obsession, on a beau avoir une moyenne berline, on peut aimer ces petits détails dignes de grandes cylindrées.
Elle se place à quatre pattes sur son siège, me montrant son cul magnifique, et sort sa tête et son buste.

• Monsieur, mon mari qui aime regarder vous offre aujourd’hui ma bouche et mes seins, pendant ce temps, il va me bouffer le cul, il est candaulisme et aime me voir vous sucer vos queues.

Aujourd’hui, c’est son anniversaire, soyer à la hauteur de l’évènement, trente-cinq ans ça se fête, pas vrai mon chéri !

J’aurai dû redémarrer la voiture, mais la tournure que Jennifer fait prendre à notre couple, me rappelle la conversation entamée avant la naissance des s concernant les maris donnant leurs femmes à des amants.
Quand la première queue entre dans sa bouche, j’ai nettement l’impression que Vanessa a réveillée les envies de ma femme, j’ai de la chance, elle m’offre la possibilité de lécher son cul, j’avance ma bouche vers sa raie fessière et je plonge…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!