Collection Candaulisme. Candaulisme En Famille (1/1)

- Merci les s de nous accueillir dans votre villa de plain-pied, papa aurait été dans l’impossibilité de rester dans notre maison avec des étages après son accident cérébral.

Mon beau-père a fait un A.V.C., il est un vrai légume, perte d’usage de la parole, perte de sa motricité.
Seules ses fonctions lui permettant de vivre en mangeant, aidé par belle-maman, ses tuyaux le raccordant à des machines ôtées.

Ça fait deux mois qu’ils sont là, ma belle-mère est une femme discrète, bien fichue mais discrète.
À 45 ans, mariée depuis 25 ans avec Louis son mari, la maladie les a rattrapés.
Au plus loin que je me souvienne, cette femme, forte appétissante avec ses seins assez gros, m’a toujours impressionné.
Sans jamais les voir intégralement, les décolletés qu’elle nous montre les mettent en valeur.
En poire, ils doivent être en forme de poire, de temps en temps quand nous étions chez eux, sur la terrasse elle m’en montrait assez pour que je sois sûr d’avoir raison.

Au fil des deux mois, avec Alice leur fille, nous avons repris nos jeux amoureux dans notre chambre.
Sexuellement j’ignore comment mes beaux-parents baisaient.
Quand nous couchions chez eux, ils dormaient un étage plus haut que nous dans une très grande chambre alors que nous étions au rez-de-chaussée dans la chambre de jeune fille d’Alice transformée en chambre d’amis après notre mariage.

Je suis professeur des écoles, à cette époque, nous travaillions les mercredis matin, Alice est secrétaire de direction et travaille toute la journée.
Les mercredis quand je rentre, Arlette a fait manger Louis, l’a installé dans un des deux fauteuils, a préparé le repas, il nous tourne le dos et nous mangeons ses petits plats délicieux qu’elle sait préparer.

Ce mercredi, je la trouve très en beauté, il semble qu’elle souhaite redevenir séduisante ce qu’elle sait très bien faire grâce à un maquillage discret.



- Nicolas va dans le salon je t’apporte ton armagnac.

C’est un rituel, j’adore l’armagnac et bu avec modération ça fait du bien à mon système veineux.
Elle finit de débarrasser, elle semble stressée.
Dans mon fauteuil, voisin de celui de Louis, un gros paquet qu’elle semble avoir reçu m’empêche de m’asseoir.
Ignorant ce qu’il contient, sur le dessus une étiquette « fragile », pour une fois je m’installe sur le canapé face à Louis qui reste stoïque.
Arlette vient s’asseoir près de moi, une nouvelle fois ses seins me sautent aux yeux.

- Nicolas, j’ai besoin de toi.

Me disant cela, elle pose sa main sur ma cuisse à deux doigts de ma verge.

- Tu sais, nous vous entendons quand vous faites l’amour avec Alice, c’est bien et c’est beau un couple qui s’aime.
Mais ça a réveillé en moi la femme que je suis encore à mon âge.
- Et vous voudriez que je garde Louis pendant que vous sortez, je comprends que vous ayez envie de recommencer une vie privée.
- Non, surtout pas, si j’allais faire l’amour derrière son dos, j’aurais l’impression de le tromper.
- Alors vous voudriez, amener un homme ici quand votre fille est absente !

Sa main me caresse la cuisse, ma verge se développe, je suis un homme et ma belle-mère est bandante.

- Non, le seul homme qui pourrait me rendre ce service, c’est toi, je sais tu es le mari de notre fille, mais si tu me baises, surtout devant lui, je suis certaine que notre situation sera parfaite.

En disant ses mots, elle me prend la verge à travers mon jean, je suis à deux doigts d’éjaculer.
Dans le même temps elle me prend la bouche que je lui accorde sans bien résister.
J’aime Alice, mais si je peux rendre service pourquoi pas, tant qu’elle l’ignore.

Elle a du mal à me dégrafer, je me lève, rapidement je suis à l’air libre et ayant cassé notre baiser sa bouche me prend directement.

Merde, une gorge profonde, sa fille me suce, mais ça jamais, je suis aux anges.
De son côté, Louis est impassible, un instant j’ai l’impression que son cerveau emmagasine les images que nous lui offrons.
Subitement j’ai une envie de voir si ses seins sont comme je les présents, en poire.
J’arrache littéralement son chemisier et son soutien-gorge pigeonnant.
Je prends le droit dans ma bouche, j’avais raison, ils ont bien la forme que je présentais, ce sont les seins que je préfère surtout que la fraise qui le termine roule et bande sous ma langue.

À partir de là, j’oublie son mari, j’oublie que c’est ma belle-mère, j’oublie Alice, le principal c’est la chatte entièrement lisse de celle qui devient Arlette.
Elle se renverse sur le canapé et écarte ses cuisses bien musclées au maximum de son compas.
Ma langue trouve un terrain favorable, elle coule littéralement dans ma bouche.
Elle me pose ses mains sur la tête pour mieux me propulser en elle, je me refuse à comparer la mère et la fille, ce que je peux dire, c’est que l’une bat l’autre.

- Viens, je te remercie mon chéri.

C’est ainsi que ma verge se trouve au fond du vagin d’où est sortie ma femme sans que pour autant j’en fasse un fromage.
C’est la première fois que je la trompe, mais comme c’est pour le bien de la famille, je me dédouane.
Nous avons un orgasme simultané, nous récupérons avant qu’elle se dégage, se place en levrette, me suce nettoyant tous nos premiers débordements et se laissant reprendre pour une deuxième jouissance aussi puissante que la première.

Quand Alice rentre, Arlette m’a avoué avoir tout prémédité, jusqu’au paquet qui est vide et qu’elle éclate en rigolant, elle voulait que je vienne face à Louis sur le canapé.

Louis a mangé sans un mot plus haut que l’autre, je suis dans mon fauteuil à corriger des copies.
Arlette prépare le repas et la table pour nous trois et le soir au lit, elle veut baiser, j’ai un peu de mal, mais j’arrive et à la faire jouir et à décharger.

Je suis sûr que derrière la cloison, Arlette doit se masturber en nous entendant.

Deux mois que nous forniquons ma belle-mère et moi sans aucun soupçon pour ma femme.
Le rituel est le même si les positions sont différentes, nous avons pris nos habitudes.
Comme toutes les semaines, je la prends sur le canapé, aujourd’hui à la cuillère, sa jambe relevée montre sa souplesse, Louis doit avoir une vue imprenable sur la chatte de sa femme.
J’entends hurler

- Maman, que faite-vous Nicolas et toi, vous baisez !
Nicolas tu lui rentres dans l’anus !
- Alice laisse nous finir, assieds-toi dans le fauteuil libre à côté de ton père, après on va t’expliquer.

Situation incroyable, je finis de faire reluire la mère pendant que le mari et la fille nous regardent.
Pour faire court, la mère explique à la fille, le problème qu’elle a eu et que je lui ai rendu service.
Ce soir, les rôles sont inversés, Alice se fait prendre en levrette pendant que ses parents regardent.
Elle accepte enfin que je l’encule.
J’ai posé mes conditions, je refuse l’e dans notre famille, quand j’en baise une, l’autre reste passif à côté du père.

C’est beau l’esprit de famille, à un détail près, ce sont deux gourmandes, je me réveille dans une chambre nouvelle pour moi.

- Nicolas, c’est Alice.
- Nicolas, c’est Arlette.
Tu étais avec Alice quand tu t’es écroulé, tu as fait un A.V.C. fulgurant, que rien ne te tracasse, tu vas vivre, comme Louis vit.
- Maman et moi, nous allons te ramener à la maison.
J’ignore si tu comprends, mais sache que je t’aime et que je prendrai soin de toi comme maman prend soin de mon père, mon amour.


Ces mots, dits sur un ton qui est loin de me plaire.
J’ai ma réponse à ma question, ces mantes religieuses ont eu la peau de Louis comme elles viennent d’avoir la mienne.
Louis, qui comme moi comprend certainement ce qu’il se passe mais est dans l’impossibilité de se révolter.

Je rentre chez moi dans une ambulance, on m’installe à côté de Louis qui est égal à lui-même, impassible.

- Ma chérie, pour votre anniversaire de mariage avec Nicolas, je t’ai préparé un petit repas dont tu me diras des nouvelles.
- Maman, pourquoi quatre couverts ?
- Attends ma surprise pour vous, va arriver, en attendant buvons une coupe de champagne en l’honneur de nos maris.
- Merci maman, de penser à eux, dans quels états nous les avons mis.
Nous sommes toutes les deux trop folles du cul.
- Ça sonne, voilà nos invités.
- Maman je pense savoir ce que tu m’offres !
Sont-ils au courant que je refuse de tromper Nicolas dans son dos comme toi tu l’as fait avec mon mari pour papa ?
- Oui, Internet, c’est bien pour ça, ça a été ma première demande, ils ont accepté.
C’est bien, alors tu peux leur ouvrir.
- Mon chéri, j’ai besoin de sexe à mon âge, tu vas voir, je vais me donner à fond, comme maman l’a fait, mais c’est uniquement pour toi.
Maman, des blacks, j’espère que tu en as choisi des bien membrés !
- Soit sans crainte ma chérie, ils sont venus hier, s’ils pouvaient parler, nos hommes te le diraient.
Ils m’ont déchiré, ils m’ont pris en double pénétration, ils souhaitent le faire avec toi ce soir pour cet anniversaire.

Et dire que nous entendons tous avec Louis, comme nous avons tous vu et entendu hier.
Mon dieu quand je parlais de mantes religieuses, j’étais bien en retrait de ce qu’elles sont.
Et dire qu’il y ait des chances que nous regardions cela jusqu’à la fin de nos jours.


Corrigé par Anne, merci.

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