Collection Candaulisme. Les Chippendales (1/1)

• Joyeux anniversaire Claire, tu es en beauté ce soir, j’adore la robe que tu as mise ce soir, elle te met en valeur.
• Merci chérie, j’adore que tu aies préparé ce repas aux chandelles, l’éternel resto c’était d’un banal.

Claire à 29 ans, j'en ai 30, ça fait cinq ans que nous sommes mariés et je peux dire que la routine s’est installée entre nous, il faut dire que Claire n’a aucune tendance à faire des exploits dans notre lit.
À 25 ans, j’étais puceau quand je l’ai rencontré, je me suis fait déflorer le jour de mes noces par cette jolie femme ce qui a suffi à mon bonheur, quand allongée sur notre lit, elle a écarté ses cuisses et que j’ai enfoncé ma bite en elle, j’étais aux anges.
Ce soir, j’ai décidé de prendre l’initiative et pour lui échauffer les sens, j’ai concocté un repas dit aphrodisiaque en m’aidant grâce au net, j’ai commandé du bois bandé que j’ai mélangé avec tous les plats.
Enfin, j’ai engagé pour après le dessert un groupe de chippendales imitant les Villages People, ce sont des pompiers de Paris qui ont monté ce groupe et qui se produisent à la demande pour améliorer leur ordinaire.
J’entends, la voiture klaxonner à l’heure devant notre grille, Claire est surprise que je me lève.

• Claire, c’est ton cadeau d’anniversaire qui arrive, ne bouge pas, je vais ouvrir, je t’en supplie joue le jeu, la surprise n’en sera que plus grande.

Je vais leur ouvrir, je l’ai fait entrer par la cuisine dans la chambre d’amis où ils peuvent se préparer avant leur spectacle sans qu’elle ne les voie, le chef garçon avec des pectoraux à me faire pâlir, moi qui ressemble à une ablette, me donne le C.D. que je dois mettre dans le lecteur et démarrer quand j’entendrais son top.

• Xavier, quelle idée loufoque as-tu eux, je vois que ce soir, tu as décidé de me surprendre, j’ai entendu que tu n’étais pas seul dans notre cuisine, tu as fait venir un magicien, tu sais que je les adore, je n’y vois que du feu, vient que je t’embrasse.



Le baiser qu’elle me donne est trois fois plus profond que tous ceux qu’elle m’a donnés depuis que je la connais, l’aphrodisiaque fait-il son effet, pour moi c’est oui, je me sens à l’étroit dans mon pantalon.
Je vais chercher le gâteau sans bougie, elle a horreur de voir qu’elle vieillit, dessus, j’ai fait marquer « LOVE ».

• Claire, peux-tu aller t’asseoir sur notre canapé, je vais faire venir ton cadeau.

Elle se lève et s’assoit, je prends le C.D. dans ma poche que je place dans notre chaîne.

• J’entends du bruit dans la chambre d’amis, Xavier, il y a des voleurs !

Je m’installe dans mon fauteuil où je suis tous les soirs pour regarder la télé.

• Top.

J’ai pris la télécommande, j’appuie sur « PLAY » et la musique démarre, comme s’ils sortaient de leur boîte, les cinq garçons costumés entrent dans la salle chantant la chanson des Villages people.
L’Indien semble le chef et après qu’ils se soient alignés, il vient danser mettant son bassin en avant vers le visage de Claire, elle applaudit.
Il laisse la place au motard tous de cuire vêtue, ses bras sont découverts et de magnifiques tatouages couvrent ses bras, le cow-boy, le flic et l’ouvrier avec ses lunettes et son casque clôture leur premier passage, leurs bas-ventres s’approchant de plus en plus de Claire.
Ils fondent un deuxième passage rapide, chacun arrachant son pantalon se montrant en string doré, je ne suis pas homo, mais le paquet que chaque garçon nous présente est à me faire pâlir avec mes 15 centimètres développés au maximum, ce qui doit être le cas en ce moment.
L’Indien vient devant ma femme et frotte ses fesses sur son visage, avant de se retourner et de frotter sa bite sur sa bouche.
C’est à ce moment que les choses m’échappent, Claire d’un mouvement rapide baisse le string de l’Indien et att sa queue qu’elle place dans sa bouche avant qu’il ait le temps de réagir.
Elle ne m’a jamais sucé, mais pompe ce garçon sans vergogne.

Il se libère vite remplacé par l’ouvrier, c’est elle qui là encore, lui arrache son string doré dévoilant sa verge qu’elle avale jusqu’aux couilles qu’elle malaxe.
Les trois autres subissent le même traitement alors que de mon côté, je suis fière de découvrir que Claire est une salope, elle att toutes les bites qu’elle peut et leur fait à tour de rôle une fellation.
Il lui en faut plus, l’Indien s’allonge sur le tapis persan, le motard arrache littéralement la robe de Claire, me coûtant au passage 500 € et elle vient s’enfoncer le vagin sur cette tige faisant au moins 30 à 35 centimètres.
Le cow-boy vient derrière elle et lui enfonce directement le cul, je m’attends à ce qu’elle hurle de douleur, mais c’est un veulement de plaisir qui sort de sa gorge vite assourdie par la verge du motard qu’elle avale dès qu’il lui présente, prise en double et par la bouche, je vois le flic lui prendre la main, réussissant à ce qu’elle le masturbe.
Je ne donnerais pas ma place pour un empire, je prends conscience que j’aime la voir se comporter comme une chienne, mais je ne me vois pas être au milieu de ce groupe de verges et de vagins.
C’est à ce moment que l’ouvrier s’approche de moi, sa verge bandée en main, il la présente à ma bouche, qui s’ouvre pour la laisser passer, il se masturbe littéralement dans ma cavité buccale, je le prends en main, je le pompe tout en le masturbant, il finit par éjaculer, j’avale son sperme sans aucun dégoût.
Sur le tapis, la situation évolue, Claire a été libérée et se met à quatre pattes, les garçons se relayent dans son cul et sa chatte sans décharger, c’est moi qui récupère leur sperme au fond de ma bouche chaque fois que l’un d’eux est en état de le faire.
J’ai conscience que je suce des queues sortant du cul de ma femme, mais l’excitation est si forte que je ne vois pas me rebeller.

Leurs couilles vides, ils se rhabillent, ils sont prêts à partir, je les paye, ils s’excusent pour le dérapage, je les rassure et je rejoins Claire qui est dans notre baignoire.


• Je t’aime Xavier, tu m’as offert le plus beau des anniversaires, viens me faire l’amour.

Elle n'en a pas eu assez la salope, mais j’ai tellement ma queue bandée étant le seul à avoir gardé mon pantalon que venir la prendre dans l’eau alors qu’elle se met en levrette est phénoménale.
Je gicle, je gicle et je gicle encore au fond de son vagin pendant qu’elle jouit aussi.

• Bébé, la semaine prochaine, c’est ton anniversaire, c’est moi qui vais te faire une surprise.

Toute la semaine, j’extrapole, nos moyens nous permettant la plupart des folies possibles, le temps me paraît interminable, je pense qu’elle va faire venir des escortes et que je vais baiser à couilles rabattues.
Quand, j’arrive, la table est mise avec de nouvelles chandelles, mais trois grands noirs aussi baraqués que mes pompiers chippendales sont là.

Le repas se déroule dans la bonne humeur, Claire les a recrutés sur Internet, un instant, j’ai l’impression qu’elle se fait son propre anniversaire plutôt que le mien.

• Chéri met nous un slow et va te mettre dans ton fauteuil.

Elle danse au milieu des trois garçons, ils lui prennent la bouche chacun leur tour, malgré l’absence de bois bandé, je trique comme un malade, Claire a lu en moi, la voir se faire prendre par ces trois Africains montés comme mon avant-bras me donne plus de plaisir qu’aurait pu me donner la chatte d’une pute même de luxe.
Quand deux des bites comme la semaine dernière viennent la prendre en double et que les garçons qui l’enculent décident de changer, je vois très nettement son anus dilaté, va-t-il se refermer, je m’en fiche carrément, car dans mon for intérieur, je sais qu’elle me l’offrira peut-être un jour.
Moi, tout à l’heure, j’aurais le droit de la prendre.
Comme la semaine dernière avec les pompiers, je vois Claire donner des ordres et un à un pendant qu’elle se fait défoncer, Amadou, Bakar et Noa viennent se faire pomper et me remplir la bouche, j’aime de plus en plus le goût de leur sperme et je n’échangerais pas ma place pour un empire.

Je les raccompagne, ceux-là ne me coûtent rien et dans les semaines suivantes le même rituel se répètent sauf quand Claire à ses règles, à part le matin où j’ai droit à la baiser dans notre position habituelle le désagrément que certains refusent ne me gênant pas.

Nous revoyons régulièrement les chippendales quand ils n’ont pas de contrat ou qu’ils ne sont pas de service, j’aime qu’ils aiment prendre Claire comme la chienne qu’ils ont déclenchées en elle le jour de son anniversaire.
Jusqu’au jour de son anniversaire suivant, comment l’étonner le jour de ses 30 ans après ce que nous faisons régulièrement avec des queues de garçons, elle en se faisant sauter, moi en faisant des fellations aux mêmes gars afin d’avaler leur sperme.
L’amour entre femmes, Claire, aimerait-elle les amours lesbiens, qu’elle pratiquerait devant moi sans que je ne participe même si j’en sors certainement frustrer ma part de plaisir quand je sens le sperme giclé sur ma glotte m’étant refusé.
C’est un couple mangeant à la table derrière celle où je suis assis pour mon repas du midi qui m’apporte la solution.
Ils parlent bas, mais pas suffisamment pour que certaines bribes de phrases ne m’échappent.
Il parle d’un club échangiste dans une rue non loin de là, la femme est sa maîtresse et c’est dans ce club qu’ils se sont rencontrés, elle marié et lui aussi, elle ayant suivi une copine et lui espérant trouver l’âme sœur.
Je connais la rue une impasse ou je sais qu’un club privé est au fond.

Le jour de son anniversaire, j’emmène Claire au restaurant, elle veut savoir qu’elle va être son cadeau.
J’arrête la voiture sur le parking invisible de la grande route, les voitures sont nombreuses, je lui mets un sur les yeux le foulard en soie, que j’ai achetée et qu’elle pourra garder.
Elle accepte que je la guide jusqu’à la porte qui s’ouvre quand je sonne.

• Bonsoir, passez une agréable soirée, je vois que madame vient découvrir notre paradis.
• Xavier où m’emmènes-tu, quelle idée as-tu eue ?

La musique feutrée la rassure, je l’emmène vers le bar où j’ai repéré le couple du restaurant, j’enlève son bandeau, Claire après avoir rétabli sa vision voit dans quel genre d’endroit, je l’ai amené.

• Bonsoir, c’est grâce à vous que j’ai trouvé le cadeau d’anniversaire pour ma femme, j’étais au restaurant où vous avez parlé de ce club, ça m'a donné une idée, nous vous offrons le champagne.

Ce fut le premier contact avec cette boîte, Murielle a emmené Claire sur la scène dans la salle en prolongement du bar, Roland est venu avec moi sur un canapé.
J’avais peur que Claire ne refuse les femmes, en ce moment après qu’elles nous eussent fait un strip, elles se sucent en 69, Claire au-dessus, un homme vient derrière elle et enfile mon épouse qui se met à jouir.
Roland sort sa queue et se masturbe, je me penche, il enlève sa main et je peux le pomper pour finir par avaler son sperme, je vois clair tourner la tête et parler à l’homme qui la défonce, la musique m’empêche d’entendre ce qu’il lui demande.
L’homme se lève vient vers moi et me met sa queue en bouche, Claire me montre l’amour que l’on a l’un pour l’autre, il se vide pendant qu’un autre homme est monté sur scène pour pourfendre ma salope.
Lui aussi vient se déverser dans ma bouche après que je l’aie masturbé.

Il y a plusieurs semaines que tous les samedis soir nous venons dans notre club, Claire trouve sans problème des verges ou des femmes qui la font jouir, lui apportant même de beaux orgasmes, je suis devenu la vide couille de tous les hommes qui la baise.
Le nombre de fois par soirée où elle se fait prendre, n’a d'égale que le nombre de verges qui se déverse en moi alors que je suis toujours à la même place sur mon canapé.
La vie est magnifique depuis son trentième anniversaire surtout que demain quand je vais la baiser en missionnaire, nous allons faire notre .

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!