Collection Histoire Courte. Stupeur (1/1)

• Christophe, c’est maman, surtout écoute-moi sans raccrocher, je voulais te demander de faire abstraction des malentendus qui ont divisé notre famille, j’aimerais que nous nous retrouvions pour les fiançailles de ton petit frère.

Malentendus, vous pensez, si maman savait par quoi je suis passé pour obtenir mon diplôme de dentiste, elle éviterait de prononcer un tel mot.
À 18 ans, j’ai eu mon bac, j’aimais faire la fête, mon père m’a surpris avec sa sœur qui venait de me dépuceler.
Jane était sa cadette de 5 ans, c’était une jolie femme, c’est elle qui a tout fait, à cette époque, j’étais puceau, elle avait vécu en Australie et venait de revenir à la mort de son mari plus vieux qu’elle de plus de 20 ans.
Depuis ma naissance, il semblerait que je l’aie vu deux ou trois fois au moment où mon cerveau n’imprimait pas encore de tel moment de ma vie.

• Petit dépravé, avec ma sœur et toi salope, tu as toujours eu le feu au cul, tirez-vous tous les deux, allez faire vos saloperies ailleurs.

C’est comme ça que je me suis retrouvé à Paris pour faire ma fac, Jane m’a accueilli dans son appartement où nous avons continué à avoir des rapports, j’adorais ses seins, nos rapports ont été interrompus quand elle m’a dit.

• Christophe, j’ai rencontré un homme, mon patron qui veut m’épouser, je pense que tu es assez grand pour t’assumer, j’aimerais que tu prennes tes affaires et me laisse libre de le recevoir.

C’est ainsi qu’une deuxième fois, mon avenir s’est trouvé incertain, un sac de sport en main, cours dans la journée et pont de Paris le soir avec les clodos.
Une seule fois et pour huit nuits, j’ai baisé une Américaine pendant que son mari la regardait se faire sauter.
Le premier soir, j’ai eu peur qu’il vienne me sodomiser, mais il était de ses hommes qui se branlent en regardant sa moitié se faire troncher.
Ils me nourrissaient et j’étais l’étalon de madame, ce que j’oublie de dire, c’est qu’elle avait été nourrie au hamburger d’une célèbre marque et qu’elle avait des bourrelets qui débordaient de partout.


Tante Jane avait son âge, mais était svelte, je suis sûr que pour se peser, soit-elle possède une balance allant jusqu’à 200 kilos ou deux bascules ou elle posait chacun de ses pieds.
Quand ils sont partis, ils m’ont laissé tous les euros qu’ils leur restaient, me permettant de trouver une chambre dans un hôtel près de Pigalle.
À la fac que je continuais à fréquenter, c’est pendant ces jours avant de retrouver les ponts que j’ai rencontré Sophie, elle faisait les mêmes études que moi, espérant devenir médecin au départ, puis dentiste quand nous avons loupé la première année.
Nous avions des circonstances atténuantes, cours dans la journée et au début artistes sexuels dans un théâtre sur le boulevard de Pigalle à deux pas de notre hôtel.
Nous faisions l’amour avec ma compagne depuis trois jours quand elle m’a proposé ce travail.
La salle était au 1er étage d’un immeuble, il y avait une vingtaine de banquettes ou des hommes, quelquefois accompagné de femmes s’asseyant pour voir le spectacle.
Sophie entrait la première, la première fois, je me suis revu chez mes parents avec Jane, car elle jouait le rôle d’une soubrette qui époussetait le guéridon qui nous servait de décor, alors que plusieurs fois, c’est dans la même position les mains posées dessus, les jambes écartées que je la prenais la pilonnant jusqu’à ce qu’elle jouisse.
J’entrais en scène à poil une serviette sur les épaules comme si je sortais de la salle de bain, je soulevais la jupette de mon amie et je la pénétrais.
Nous avions un grand dialogue que nous avions répété dans notre chambre.

• Au monsieur Toni, que me faîtes vous, je suis une femme mariée, je vous demande d’arrêter.
• Laisse-toi faire salope, sinon je dis à papa de te virer.

Texte digne des plus grands auteurs, surtout qu’après que je l’ai limé avec de grands coups de queue, elle se retournait, s’agenouillait et me faisait une fellation, ce qui était dur, outre le fait de bander à la demande, c’était de décharger sur le visage ou sur le cul de ma compagne afin que les spectateurs voient mon sperme l’éclabousser.

De vingt heures à une heure du matin, nous donnions quatre séances, nous étions deux couples à nous succéder et un autre de lesbiennes qui se broutaient les chattes sur cette scène.
Il y avait une barre comme s’en servent les strip-teaseuses dans les boîtes qui pullulent sur ce boulevard, Maria, brune et pulpeuse, avec des seins aussi gros que ceux de Jane, travaillait à la barre quand les projecteurs s’allumaient.
Elle savait se placer pour que son vagin soit entièrement ouvert quand elle passait devant les spectateurs, Olga la Russe, entrait par la même porte où je rentrais, elle s’approchait et posait sa bouche sur la chatte offerte, Maria continuait à descendre entraînant Olga qui suivait tournant autour de la barre.
Elles finissaient au sol dans un 69 endiablé, elles concluaient en se plaçant chatte contre chatte, se masturbant les clitoris.
Dans la loge toute petite, il fallait que nous nous préparions à entrer en scène, maquillage à rectifier, car nous le faisions en début de soirée, il fallait que je bande pour entrer en scène, c’était la première fille disponible qui me suçait.
J’aimais bien que Stéphanie, la femme de Benoît, me suce, il le savait, mais acceptait, ils habitaient un appartement non loin du théâtre et souvent, ils nous invitaient à manger, nous finitions par partouzer en partie carrée.
En voyant Sophie se faire prendre par Benoît, j’étais souvent dans un fauteuil Stéphanie me faisant une fellation, je voyais la queue de mon copain entrer dans sa chatte, je comprenais ce que ressentait mon américain, la fellation en moins.
Un soir Benoît était en panne et Olga m’a sucé pour que je le remplace, baiser ma copine chez elle et là devant le public m’a apporté plus de jouissance, le seul problème, c’est la fellation d’Olga, Marie étant à la limite de m’arracher les yeux, c’était une gougnotte jalouse.

Nous avons joué trois ans ce spectacle avec une soirée de repos, nous avons emménagé dans un deux pièces et nous nous aidions pour nos études.

L’argent manquait souvent, nous mangions un jour sur deux jusqu’au jour ou dans le métro Sophie m’annonça une nouvelle.

• Ce soir, pendant notre repos, je vais remplacer une amie qui m’a téléphoné, elle est alitée et avait rendez-vous dans un hôtel avec un client.

C’est comme cela, ce premier soir que je l’ai accompagné et attendu dans un café de la gare de Lyon pendant qu’elle faisait la pute dans un hôtel voisin, nous avons pris l’habitude à ces passes après nos cours et avant le théâtre.
Elle était escorte girl et moi plusieurs fois, j’ai baisé des vieilles devenant escorte boy.
Un jour que je l’attendais pour notre spectacle, elle a disparu sans me donner la moindre explication, nous venions de terminer nos examens, nous avions été reçus et devenions chirurgiens-dentistes.
On m’a proposé de partir en Afrique pour soigner les populations dans un dispensaire, j’y suis allé cinq ans sans jamais revenir.
J’ai eu une liaison avec une infirmière qui portait une coiffe, elle était bonne sœur et aimait ma colonne qu’elle honorait dès qu’elle le pouvait.
Pendant tout ce temps, j’ai gagné de l’argent sans rien dépensé, de retour, je viens d’ouvrir moyennant un gros crédit un cabinet dans le 12ème.
Un jour, j’ai eu un client qui m’a reconnu et qui l’a dit à ma mère lors des vacances scolaire suivante, c’est comme ça que maman vient de m’inviter à recoller mes morceaux avec ma famille pour les fiançailles de mon frère.

• Merci Christophe d’être venue, quand Julien m’a dit que tu l’avais soigné à Paris dans ton cabinet dentaire, j’ai été fière de ta réussite malgré ce que ton père t’avais fait subir.
Je t’ai caché une chose importante au téléphone, il nous a quitté, il y a un an, crise cardiaque foudroyante.
Ton frère est revenu des États-Unis avant de repartir finir ses études de droit, c’est après qu’un jour au téléphone, il m’a dit avoir rencontré une jeune française terminant elle aussi ses études de droit.

Tu connais ton frère, il me dit tous de sa vie, ils sont revenus, ils y a trois semaines et ont souhaité se fiancer, Sophie sa fiancée a vécu à Paris avant de partir sur un coup de tête pour les Stats.
Il m’a confié qu’il était content d’avoir rencontré cette jeune femme qui est vierge, ils ont décidé de se donner l’un à l’autre le soir de leurs noces, c’est pour cela qu’il se fiance souhaitant se marier dès que les bans seront publiés.

Sophie, le monde est drôle, j’ai quitté la France pour l’Afrique suite à une histoire avec une Sophie que j’ai toujours dans la peau et c’est mon frère qui va se marier avec une jeune femme s’appelant par ce nom.

• J’entends leur voiture qui arrive, ils étaient à l’église pour cadrer la cérémonie religieuse, je vais vous présenter et repartir avec la fiancée faire le dernier essayage de sa robe blanche signe de sa pureté.

La porte de la salle s’ouvre, une jeune blonde entre, virevoltante, stupeur.

• Christophe !
• Sophie !

Maman et mon frère nous regardent avec des regards incrédules.
Elle est venue dans mes bras et nous nous sommes embrassés, un regard avait suffi pour tous faire ressurgir en nous.
Plus tard après que nous avons fui dans ma voiture, dans l’hôtel où je me suis arrêté, elle m’a expliqué pourquoi elle m’avait brusquement quittée.

• Quand j’ai su que j’avais mon examen, le nombre de clients que j’avais eu ou de spectateur ayant vu mon corps se faire prendre sur cette scène de théâtre, obligerait à rencontrer l’un d’eux et notre vie en serait bouleversée.
J’ai récupéré quelques affaires et mes papiers, je suis parti par le premier avion en partance sans avoir besoin de visa.
La Martinique était parfaite, mais rapidement sans aucun intérêt, j’ai demandé un visa pour étudier à New York, c’est là que j’ai rencontré ton frère, je devais faire des études pour rester et j’ai choisi le droit.
Il avait oublié de me dire qu’il avait un frère et que c’étais-toi, le destin étant étrange.

Nous avons baisé comme nous aimions le faire avant notre séparation, ma verge a retrouvé sa chatte que j’ai pourfendue pendant des heures, depuis nous vivons et travaillons ensemble, Sophie à sa salle de soins et moi la mienne à ses côtés, le temps que nous avons passé, elle, aux États-Unis, moi en Afrique a aplani les risques de rencontres intempestives.
Je m’excuse, je vous quitte, c’est la pause du midi, comme tous les jours ma femme m’attend nue sur son siège de soin dentaire, je vais enfiler ma verge à cette vierge qu’elle se disait être auprès de mon frère malgré toutes nos turpitudes.

Nous nous sommes juré fidélité, je suis sûr que notre parcours restera dans notre esprit jusqu’à ce que le poids des années nous ratt, il va de soi que les ponts sont de nouveau coupés avec ma famille.

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