Collection Zone Rouge. Ma Déchéance (2/2)

Ayant hérité de mes parents et du frère de mon père inconnu, ils étaient fâchés, par peur des hommes cherchant à capter mon héritage, je tombe dans l’alcool et la débauche.

Alors que je suis prête à continuer à boire, je sens que l’on m’att et que je plonge dans un trou noir.
Quand j’émerge, je suis ligotée sur un lit par des menottes, je suis nue sur ce lit attaché aux barreaux.
Je me souviens avoir crié, j’ai soif, après plus rien, depuis combien de temps suis-je là, quel pervers m’a enlevé, ais-je été livrée à des sadiques, je m’entendais bien avec mes hommes, ceux-là en voulaient à mon cul oubliant mon argent juste pour acheter notre picole.
J’ai mal au cul des sodomies reçu la nuit dernière, mais je sens bon, ils ont dû me faire prendre un bain, ils veulent que je sois plus propre, malgré ça, ma soif est toujours aussi forte, me donnant envie de crier.
Veulent-ils me proposer une nouvelle expérience, peut-être vont-ils me fouetter, je sais que ces choses se pratiquent, mais je vous en supplie à boire.
La nuit passe, j’ai envie de faire pipi, je me retiens, nouvelle sensation, mon corps est actif ce matin quand la porte s’ouvre.

• J’ai entendu tes cris, tu vas réveiller tout l’immeuble, tiens voilà un bassin, impossible de te libérer tant que tu seras dépendante de l’alcool, j’ai pratiqué la même formule avec ma mère qui s’était mise à boire et qui se détruisait.
Fumes-tu, c’est vrai, mon père m’a dit que non, mais tu t’es peut-être , j’ai regardé partout sur ton corps en te lavant tellement tu puais, aucune piqûre, mais les camés ont souvent des trucs pour cacher ou ils se piquent ?

Je me soulage, c’est la première fois que je pisse devant une femme, pendant que mon urine coule, je la regarde, elle doit avoir la trentaine, elle est grande, 10 centimètres de plus que moi certainement.
Tailleur strict avec des cheveux blonds encadrant un visage qui me dit quelque chose, mais impossible de me rappeler où je l’ai vu.


C’est à ce moment que la sonnette d’une porte d’entrée se fait entendre.

• Je reviens, ce doit être Françoise.

Quand elle quitte la pièce, pour la première fois, je me surprends à regarder les fesses de cette fille, elles ont l’air très fermes, se fait-elle enculer et par qui, mais moi, vous savez les filles, j’ai prouvé que j’ai d’autres sources de plaisir, ce que je ressens, c’est l’envie de boire.

• C’était bien Françoise, elle est infirmière, elle a été obligée d’arrêter des études de médecine, elle va te faire une prise de sang et t’examiner.
• Bonjour comment vous sentez-vous après ce que vous avez subi.
• Madame, dite à cette femme de me libérer, je vais aller à la police pour séquestration.
• Tu as raison Laure, c’est comme pour ta mère, elles veulent toutes se faire passer pour des martyres, voyons que je l’ausculte, tu m’as dit que lorsque tes deux copains l’ont récupéré au fond de sa rue, les mecs la sodomisaient !
• Oui, l’un d’eux l’a dit quand nous arrivions, il faisait noir, elle nous était cachée, l’un a dit, « la salope, on est déjà six à l’avoir enculé, c’est un vrai garage à bite ».

C’est vrai, je me souviens vaguement ces mots dans mon delirium, grave, autant de bites dans mon anus, vite une glace que je me vois, je dois être défoncée.

• Relève-lui les jambes, je vais regarder s’ils l’ont blessé !

Celle qui s’appelle Laure me saisit les jambes, les relève pour me les placer au-dessus de ma tête, ma tête grâce à l’oreiller me montre mon anus très dilaté, mais refermé.

• Tu vois hier après le bain, j’ai passé un doigt, son cul était béant, ils l’avaient tellement défoncé, ça s’améliore.

Elle ouvre sa sacoche, en sort un tube.

• Quand tu m’as appelé, tu m’as dit qu’ils étaient presque une dizaine autour d’elle, je t’ai apporté un tube de crème cicatrisante et adoucissante, tu lui en appliques trois fois par jour, regarde comment je fais, il faut bien masser l’intérieur pour que sa rosette redevienne celle d’une jeune fille.

• C’est mon cul, j’en fais ce que je veux, ce sont les queues des hommes, non celle des femmes, elles sont nées sans, qui vont m’enfiler l’anus, fussent avec leurs doigts, j’ai soif, vous êtes deux putes, vous verrez quand je serais libérée !
• C’est pour cela que je t’attache, ton cul, je m’en fiche, dis-toi, que je connais très bien ton problème, j’ai été dans l'obligation de pratiquer des choses similaires avec les parties sexuelles de ma mère.
• Qui est ta mère, ce doit être une vieille salope à ce que tu en dis, elle se droguait, je bois un peu, mais moins que tu le dis salope.
• Parole d’alcoolique, tu sauras assez tôt qui elle est.

Françoise ouvre le tube en prend un peu sur le bout de son doigt, elle le fait entrer dans mon anus, c’est drôle, je craignais que cette femme m'applique ce traitement, je ferme ma bouche quand les hommes m’enculaient, là je trouve ça agréable.
Pas au point de jouir, mais je sens que mon vagin s’humidifie.

• Regarde, elle a le feu au cul, son vagin est tout humide.
• Dommage, je dois partir.
• Tu vois comment il faut faire, je te rappelle trois fois par jour.
• Je reviendrais à midi, je vais partir au travail avec toi, mais comme je te l’ai demandée, fait lui une prise de sang, elle se faisait baiser sans capote dans l’état où elle était, fais vérifier les maladies transmissibles, j’espère qu’elle a échappé à la positivité.
Si c’est le cas, j’appellerai mon père pour lui dire que je me désintéresse de son cas, il faudra faire attention à nous.
• C’est pour ça que j’ai des gants en latex, je t’en ai amené une boîte, je vais la piquer, j’aurais les résultats dans 48 heures.

Je me débats, Laure monte sur le lit, elle s’assoit sur mon bras, rapidement, je sens la piqûre et elle saute à terre.
J’ai envie de continuer à me débattre, mais à quoi bon, elles semblent me vouloir du bien, à part ma bouche qui boirait bien un whisky, je me sens en pleine forme.


• On te quitte, je reviendrais à midi, es-tu droitière ?
• Oui.
• Je te détache cette main, je vais vider le bassin, c’est vrai que tu avais une grosse envie, je le pose à côté de toi avec du papier si tu as besoin de faire ta grosse commission.
• Si tu as dans l’idée que je te libère, tu peux courir, c’est un moyen radical de te faire oublier l’alcool et les dérives sexuelles que cela te faisait faire.
C’est moi qui ferais ta toilette, à oui, je te mets une boîte de tampons des fois que tu aies tes règles, tu pourras te les placer, repose-toi bien.

Les deux femmes partent, je suis seule, je m’emmerde, mais depuis que j’ai eu cette saloperie de pognon, je m’emmerdais aussi.
Une interrogation, elle a parlé de sa mère qui a eu une période de sa vie presque similaire à la mienne, mais aussi qui est ce père qui lui a demandé à s’occuper de moi, j’espère en apprendre plus.
Elle revient à midi, elle relève mes jambes et après avoir mis le gant, j’ai l’impression qu’elle veut me sodomiser avec son doigt, ma chatte me chauffe de plus en plus.

• Je vois que je te fais mouiller, je brouterais bien ton abricot, mais j’attends les résultats des analyses, je me garderais bien d’y mettre ma langue.
• Vicieuse, je vais t’arracher les yeux.

J’essaye de l’attr, mais avec une seule main, c’est difficile.

• Chaque fois que tu essayeras de faire ce que tu viens de faire, ce sera 24 heures de plus avant que je décide de te rendre ta liberté, nous faisons tout ce que nous pouvons pour te libérer des chaînes que tu t’es imposées par l’alcool.
L’argent corrompt tout, je suis bien placé pour le savoir, avec maman.
• Je te le dirais ce soir, je dois retourner à mon bureau, j’ai une grosse commande à valider.

La pommade qu’elle m’a passée enflamme ma chatte, il y a longtemps que la boisson a pris le pas sur ma logique, je me surprends à me masturber, rapidement, je me tords de plaisir sur ma couche.

Le soir, je lui repose la question sur ses parents qui semblent jouer un jeu dans ma vie.

• J’avais promis de te le dire, je vais attendre les résultats des analyses, si je suis obligée de te renvoyer à la rue et à ta picole, inutile que tu saches qui ils sont.

Le soir rien de spécial, si, il a fallu que je me tortille surtout pour m’essuyer, mais quand elle revient, il faut qu’elle me nettoie avec un gant de toilette.
J’ai l’impression d’être un bébé, sauf le talc, un drôle de sentiment me submerge, je sens que Laure agît pour mon bien.

• Sarah, tu es libre, heureusement, tu as échappé au VIH, tu recommences à manger avec appétit, veux-tu un verre d’alcool ?

Ma moue lui montre que j’ai compris la leçon.

• Suis-moi.

Nous quittons la pièce ou j’étais enfermée, surprise, je suis dans un appartement ressemblant à celui dont j’ai hérité, elle me conduit dans une salle de bains où je peux prendre un bain m’apportant presque autant de jouissance que lorsque je me faisais baiser.
Sur une chaise, je vois mon jean préféré et repassé, ainsi que mon débardeur et de jolies mules roses.
Elle me dirige vers une pièce.

• Vous voilà Sarah, nous avons le plaisir de vous recevoir à notre table, nous sommes fiers de vous, grâce à notre fille, vous voilà redevenue celle que vous étiez quand vous êtes arrivée à Paris.

Firmin, le majordome de mon oncle et sa femme Rose sont là, je comprends que Laure parlait d’elle quand elle parlait de cette femme e qu’elle avait sortie de sa déchéance.
Ils en ont eu assez de me voir me détruire, on connaît la suite.
La suite dans la pièce de cet appartement, non le début de ma nouvelle vie.

J’ai vendu Paris, que je quitte pour retrouver la boutique de mes parents à Dijon, j’achète la petite maison en Corrèze pour les parents de Laure, ils en rêvaient, je la mets à leur nom, ils étaient persuadés d’être obligés de rester à Paris jusqu’à la fin de leur vie.

L’alcool, il faut en parler, plus une goutte depuis deux ans, j’ai même mis en place des réunions à Dijon pour les alcooliques que je sors de leur dépendance avec Laure et Françoise qui gère tous et qui m’ont suivi dans la ville de ma naissance.
Le magasin voisin de celui de mes parents venant de se libérer, nous l’achetons, en faisant le plus grand de Dijon, il y a aussi un logement au même étage que le nôtre, en faisant une ouverture, nous vivons toutes les trois ensembles.
Laure m’avait dit qu’elle me mettrait sa langue si j’étais saine, nous venons de fermer boutique, Françoise nous a rejoint, fini les sexes mâles qui m’ont poussé vers mes déviances.
Deux bouches s’approchent de mon abricot, nous sommes un trio de lesbiennes qui nous éclatons, mais cela est une autre histoire qu’un jour Chris71 vous narrera peut-être !

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