Collection Zone Rouge. Le Pion (2/2)

Cette deuxième partie d’histoire m’a été commandée par un lecteur, je pense qu’elle va dans le sens de ses souhaits, deux trois indices de départ, mon esprit vagabond fait le reste, j’espère que vous aurez autant de plaisir à la lire que moi à l’écrire…

Je rappelle que l’année scolaire dernière, j’étais un pion dans un collège du centre-ville, ce collège recevait les s des familles les plus aisées de notre ville.
À part une aventure avec une femme de grande classe à la suite d’une punition infligée à son rejeton dans la cour de l’établissement, suite à une altercation avec un autre élève, notre relation même si elle a été intense, elle a été éphémère, car la famille a déménagé.
Pensant refaire une seconde année dans ce même collège, j’ai le regret de recevoir ma mutation dans un des quartiers chauds de notre ville.
Le jour de la rentrée, après consultation d’un vieux collège, je vois l’étendue des dégâts en la personne de Noa, jeune femme, je dis bien jeune femme, car de redoublement en redoublement, elle est majeure, quand je fais l’appel dans cette classe de 3e.
D’entrée, elle prend le pas sur moi, un regard appuyé suffit, je sais que j’ai perdu quand sur une altercation verbale entre nous, je baisse les yeux.
Je surveille cette classe en l’absence d’un professeur de math, non désigné à ce jour, le rectorat ayant des difficultés pour ce poste.

• Noa, restes assise, ce n’est pas parce que nous sommes en étude que tu dois te croire permis de te promener dans la classe, va te rasseoir.
• Une seconde, mec, je parle à Sarah, ça fait trois ans que nous redoublons les mêmes classes, des jeunes bleus comme toi, c’est courant.

Discrètement je consulte mes fiches, Sarah, elle aussi plus de 18 ans, comparée à Noa, elle semble une petite fille timide.
Noa est agenouillée sur la chaise devant celle ou cette jeune fille est assise, les avants bras posés sur le pupitre, sa croupe tendue dans ma direction, est un appel à la luxure.


Ayant certainement fini sa conversation, elle retourne vers sa place roulant des hanches comme une pute attendant le client pourrait le faire.
Il faut que je me sorte de ce traquenard, mais elle me semble avoir une sacrée emprise sur la classe, quand je compare mes classes de l’an passé où il me suffisait de claquer des doigts pour que tous mettent leurs doigts le long de la couture de leur pantalon où de leur jupe, là, c’est une autre paire de manches qui m’attend.
Dans ce collège et à l’âge des élèves de cette classe, quand je vois les shorts où les jupettes des filles, ras leur moule, je suis mal barré.
Je dis ras leur moule, car Noa vient se rasseoir, elle est en mini, sans vergogne, elle écarte légèrement les cuisses, la petite salope, elle n’a pas de culotte, je suis à trois mètres de sa chatte épilée.
C’est son regard une nouvelle fois qui m’interpelle, elle me toise, mais je trouve un subterfuge pour garder la mainmise sur elle.

• Noa, ici c’est moi qui dirige cette classe, prends tes affaires et va prendre la place vers le fond devant Sarah.

Elle aurait des lances pierres à la place de ses jolis yeux, les pierres que je recevrais m’aveugleraient, mais elle s’exécute, je marque un point.
Plus que rapidement, elle recommence ses provocations, régulièrement elle se retourne et bavard avec sa copine gênant le reste de la classe.
L’autre professeur de math présent dans le collège à la demande du proviseur, conscient de l’absence de son collègue, m’a préparé des exercices qu’ils doivent faire et que je surveille.

• Noa, tais-toi.

Je gagne cinq minutes, mais pas plus.

• Les filles, j’en ai assez, Sarah prend tes affaires et viens t’asseoir devant à l’ancienne place de Noa.

Une nouvelle fois, elle semble ne pas accepter, je la vois prendre le bras de sa copine et lui parler à l’oreille.
Elle lui serre le bras finissant par la lâcher, la petite vient se placer là où je lui ai demandé.


• Monsieur, je peux aller aux toilettes !

Celle-là, je ne l’avais pas vu venir, c’est Sarah qui veut s’absenter, bien sûr, j’accepte, quelques minutes après, elle revient, elle a le même type de jupe courte que Noa, elle s’assoit, contrairement à elle, sa chatte s’orne d’une toison impeccablement taillée.
Toute la journée, j’essaye de détourner les yeux, mais invariablement je reviens sur ce vagin qui semble m’être offert.
Quand la classe se termine, chacun et chacune me laisse leur feuille de math, Noa s’arrange pour être la dernière.

• Je t’ai baisé !

La garce, elle a certainement obligé Sarah à venir s’exposer, je comprends le message, en me montrant la chatte de sa copine, elle tente de me dire, « je suis toujours au premier rang, offerte. »
Le reste de la journée, je n’ai pas de surveillance de classe, sauf dans la cour, les deux filles restent appuyées à un arbre me regardant fixement, Noa passe même sa langue sur ses lèvres comme si elle suçait une glace.
À un moment, je les vois bouger, Sarah vient parler au proviseur, je ne me méfis de rien, il lui arrive souvent de descendre voir si tout va bien à la récré.
La cloche pour le dernier cours de l’après-midi retenti quand Noa ressort, elle a dû aller aux toilettes, j’ai un moment l’image de sa chatte urinant comme je l’ai vue, exposée devant mes yeux, cette vision va me poursuivre longtemps si je ne fais rien.
La journée se passe sans plus d’incident.

Je viens de finir de dîner quand la sonnerie de l’interphone de ma porte d’entrée retentie, qui peut venir me voir à cette heure, je suis un peu contrarié, le Paris Saint-Germain joue son premier match du championnat de la saison et je suis supporteurs.

• Kevin, je peux te voir.

Impossible, elle vient me relancer jusque chez moi, réfléchir vite, elle est majeure, mais si je veux percer dans mon travail, il faut que j’évite tous rapports intimes avec une élève.


• Que me veux-tu, je tiens à être tranquille après ma journée de travail, d’ailleurs comment as-tu eu mon adresse ?
• Pendant la récré, Sarah a occupé le proviseur pendant que j’allais dans son bureau regarder ta fiche, pas super la photo que tu leur as donnée.
• Je te le redemande, que me veux-tu !
• Sur un autre ton, tu n’as pas compris que c’est moi qui mène le jeu.
• Dégage, demain, je vais aller voir le proviseur pour lui parler de ton comportement.
• Si tu fais ça, les conséquences seront terribles pour toi, ok je pars, mais attends que je t’apporte une surprise avant de le contacter.

Je la vois partir grâce à la petite caméra qui vient d’être installée.
Le lendemain, je suis angoissé, à la récré, les filles semblent absentes.
Elles finissent par revenir, je vois Noa prendre son portable et composer un numéro, le mien sonne, c’est elle qui appelle.

« Regarde, ce que je suis capable de faire, tu reconnais Sarah, elle suce la queue d’un copain dans les toilettes, je l’ai e, quoiqu’elle veuille rester pure jusqu’à son mariage.
Je vais venir te voir ce soir, si tu n’ouvre pas, la photo sera publiée sur le mail du proviseur avec comme légende « Votre surveillant se fait sucer dans les W.C., prends conscience que je suis la plus forte.
Demain, elle se fera baiser, ça dépend de toi. »

Pour prouver que ce n’est pas moi qui me faisais sucer, je vois mal sortir ma bite devant le proviseur, me masturber pour bander et prouver que se sexe est celui d’un autre garçon.
Dès qu’elle sonne, j’ouvre, elle monte, dès qu’elle a franchi la porte de mon petit logement, elle peut voir que j’ai mis les petits plats dans les grands, orangeade et petits fours sur la table de mon salon.
Je la prends par la main, elle me regarde semblant se demander ce que je vais faire, je m’assieds sur mon canapé qui est mon lit, dans le mouvement, je la fais tomber en travers de mes jambes.

Prestement, je relève, sa courte jupe dévoila sa jolie mappemonde et je commence à lui claquer les fesses.
J’y vais de bon cœur, dans un premier temps, ma main qui s’abat me sert à expurger mon trop-plein de rancœur, je ne dirais pas que je lui fais voir qui est le mâle dans cette pièce, mais pas loin.
Son derrière se colore rapidement, elle va finir par ameuter les voisins à force de pleurer.

• Arrête, je ne t’ennuierais plus, tu vas voir, je serais sage.

Je sens que c’est un vœu pieux et que dès demain, elle continuera à me tourmenter.
D’un coup, la claque que je lui assène fini dans son entrejambe, elle est trempée, la salope, je la fesse et elle mouille, elle me fait voir la traînée qu’elle est, ses copains ont dû la fourrer depuis des mois.
Je la prends par les cheveux, je la tire en arrière, elle tombe au sol lourdement, hurlant une nouvelle fois, mais pas de plaisir, je défais le Zip de mon jean faisant apparaître ma verge honorable, mais pas hors normes comme elle a dû en connaître des dizaines.

• Suce salope, tu veux jouer avec les hommes, tu vas être servi.

Je bande, la fessée et ses deux lunes m’ont excité, elle ouvre sa bouche, je vais à fond, je me sers de sa tête comme l’on se servirait d’une poupée gonflable.

• Arrête, je vais décharger, je vais te mettre ma bite pour te faire voir qui commande dans cette piaule.

Je la relève toujours en la tirant par les cheveux.

• Mets-toi à genoux sur mon canapé, les seins sur le dossier, je vais te donner le plaisir que tu es venue chercher.

Elle se place par obligation, car ma main tire tellement sur ses cheveux que je manque de lui arracher le cuir chevelu.
Elle est en position, je lui écarte l’une de ses jambes pour qu’elle soit accessible dans sa chatte, je place mon gland croyant entré librement dans son fourreau tellement baisé.
La résistance que je ressens me surprend, mais je suis tellement excité à saillir cette poufiasse, que je finis par me trouver au plus profond de cette femelle.

• Aie.

Je suis surpris, je ressors ma verge couverte de sang, incroyable.

• Je suis vierge, pardon.
• Tu l’étais, excuse, à jouer avec les hommes, on finit par se brûler, tu as de la chance que j’ai senti la résistance de ton hymen, j’allais t’enculer.

Noa a passé la nuit chez moi, il y a trois mois que nous avons emménagé ensemble.
Au lycée, nous finissons l’année dans une classe sage comme jamais dans ce collège, le proviseur loue la manière que j’ai de régler les petits conflits qui se font jour.
Noa est mon fer de lance, dès que l’un bouge, elle le regarde et la paix revient.
Tous les soirs avant de la baiser, je la fais travailler, elle veut devenir avocate alors que je vais passer mon diplôme de psychiatre comportemental.

À oui, j’oubliais, hier au soir pour la première fois, je l’ai enculée, elle a adoré, je sens que je vais passer à une autre phase de sa soumission, maître Kevin vient de naître.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!