Collection Zone Rouge. Belle-Maman (2/2)

Je m’appelle Sacha, j’ai trente ans, allant au cinéma un soir où je m’ennuyais dans mon hôtel, j’ai le coup de foudre pour ma jolie voisine, elle s’appelle Magalie, je la demande en mariage.
C’est au domicile de ses parents à Roubaix dans sa chambre de jeune fille que je la déflore.
Ses parents l’ont envoyé dans une école suisse, je récupère une jolie fille, mais qui est nul au lit.
Un soir, un copain professionnel me donne la carte d’un bar à pute, qui à ce qu’il m’explique a garder son caractère ancien contrairement au nouveau bar qui affiche leurs services avec des enseignes au néon qui vous pète à la figure.
J’ai laissé la carte sur la table du restaurant, dans la nuit, je fais les poubelles de la cuisine, je la retrouve un peu tachée, mais très lisible.
Le lendemain étant au même endroit deux jours, je craque, malgré ma fiancée à qui je voulais rester fidèle, j’arrive devant une bâtisse qui ressemble à une grosse maison bourgeoise plus qu’à un bordel.
La patronne m’introduit, le bar est fortement éclairé, deux entraîneuses sont là, une jolie métisse et j’allais dire horreur, belle-maman, fourreau rouge sous les seins s’arrêtant très haut à ce que j’en vois quand elle descend de son tabouret, sur ses talons très hauts.
Je manque de nous découvrir tellement la stupeur est grande, elle est censée être une infirmière de nuit dans une clinique privée près de Tournai.
La métisse veut me prendre en main, je la remercie, mais jouant le jeu et surtout voulant en savoir plus, j’offre une bouteille de champagne à belle-maman, elle m’entraîne dans un salon particulier.

• Sacha, au point où nous en sommes, tutoyons-nous, ici appelle-moi Armelle, c’est le nom que j’ai pris il y a dix-huit ans, tu vas me dire pourquoi tu vas voir des putes alors que j’ai vu que ma fille se laissait baiser.
• Sans problème, belle... pardon, Armelle.
• Je commence, j’ai accepté de suivre ma copine Agnès qui ici se fait appeler Lucia, après une petite annonce parlant d’une clinique privée de Tournai recherchant des infirmières certifiées.


Dans ces années-là, la pénurie de professionnelle de santé faisait rage.
Nous étions en équipe de jour lorsque nous avons été embauchés, un soir d’hiver, j’ai senti qu’une roue se dégonflait, il y avait ce parking devant cette maison, il pleuvait à seaux, le temps de voir le massacre, elle ou moi était dans l’incapacité de changer la roue.
• Il est certain, même maintenant crevé ici ça doit rester une galère.
• Par chance, il en faut dans la vie, une voiture a tourné et est venue se mettre à côté de nous.
Deux hommes en sont descendus, ils nous ont changé la roue, nous allions les remercier quand l’un d’eux nous a dits que sous cet air austère, cette maison possédait un bar.
Nous ignorons qu’à cette époque, les bars étaient déjà des bars à putes.
C’est madame Edwige qui comme pour toi, nous a ouvert, le bar était le même qu’aujourd’hui, les lumières vives en moins.
Il y avait trois putes discutant avec deux clients, l’un d’eux a suivi la jeune femme qui à cette époque se faisait appeler Lucretia, elle était lilloise, elle avait un mac qui l’avait placée là.
Un jour, elle a disparu, la patronne nous a dit qu’elle avait été vendue à un autre mac et qu’il l’avait envoyé tapiner en Afrique.
Comme nous étions trempés, madame Edwige nous a proposé d’enlever nos affaires pour les sécher sur les radiateurs, de mettre un peignoir, là encore, dans ces années-là, les filles étaient avec bas et jarretière et en déshabillé.
Sans nous en rendre compte, nous venions de revêtir l’uniforme de la maison, moi peignoir bleu, Sonia, jaune.
Les deux hommes nous ont offert le champagne, celui qui était avec ma copine, lui a parlé à l’oreille, la prise par la main, je l’ai vu monter à l’étage.
Son copain m’a mis au parfum, aidé en cela par la patronne, j’ai compris que Sonia avait eu le toupet d’aller faire une passe, nous étions en francs en ce temps-là.
J’étais jeune et déjà frustré par mon mari, par jeux, je te jure par jeu, je l’ai suivi, j’ai touché 200 francs, presque deux jours de travail à la clinique.

Je me souviens lui avoir demandé de m’aider, c’était la première fois, j’ai appris à lui faire une pipe, avec Gustave, il me sautait dans la position du missionnaire, avec lui, levrette et autres positions du Kama-Sutra, j’ai vite fait de progresser.
Il a rempli sa capote après qu’il m’eût fait jouir, nous sommes redescendus, Agnès cette salope, avait trouvé un autre client qui venait d’arriver, nous sommes restés quatre heures à jouer au chat et à la souris, j’ai fait six clients, 1 200 francs, presque 8 jours de travail à l’hosto sans les inconvénients des malades faisant sous eux.
Quand nous avons remis nos affaires presque sèche, madame Edwige nous a fait une offre de revenir, elle cherchait des filles comme nous, sans aucun tabou sexuel.
• Vous y être retournée le lendemain ?
• J’ai mis plus de huit jours à me décider, chaque soir quand nous passions devant le bordel en sortant de la clinique, Agnès me disait 1 200, 2 400, 3 600, et elle ajoutait sans les bouchons, je touche sur la bouteille que nous venons de finir.
Il faut que j’y retourne, je pense qu’il serait mal venu que je te demande de monter surtout qu’il faudrait payer 300 € à madame Edwige.
• Tu te fais 300 par passe !
• Non, la patronne en garde 100.
• Alors les voilà, je veux passer un moment avec toi, je trouve que tu es bandante, dès que je t’ai vu chez toi, j’ai eu envie de toi.
Tu as craqué, il y a presque vingt ans, j’ai craqué sur toi quand je suis venue pour que ta fille nous présente et que je suis sorti de la salle de bains, te montrant ma verge.
• Dis-moi, que tu es comme tous les hommes, l’interdit est un motif d’envie pour toi, tu viens au bordel, tu trouves ta belle-mère faisant le métier, ça te fait bander.
Sans oublier le fantasme de beaucoup d’hommes à baiser la mère et la fille.
• Magalie, m’a parlé d’une femme qu’elle met au-dessus de tous, elle m’a parlé d’une certaine Lucette, peu m’importe le chemin que cette femme a emprunté dans sa vie, ce qui est sûr, c’est que Lucette est restée à Roubaix, ce soir, c’est Armelle que je veux.


Je sors du petit salon, je vais devant madame Edwige, je lui tends l’argent qui va faire de belle-maman ma pute.

• Vous faite un bon choix jeune homme, dommage que ce soit le dernier soir où Armelle va exercer son art, vous serez son dernier client.
Armelle, prends ton temps avec ce garçon, fais-toi plaisir, quand vous redescendrez, comme je te l’ai dit, je ferme pour trois mois, le temps de rénover ma boîte.

Je regarde celle qui me fait bander, j’aime sa fille, mais elle est frustrée du cul, je suis sûr qu’avec le temps, je vais en faire une jolie petite salope, je suis un homme patient, mais voir ma belle-mère monter l’escalier en roulant son fessier, est une situation que je souhaite à tout homme de vivre.
Nous entrons dans une chambre comme il y en a des milliers dans tous les bordels du monde entier, un lavabo derrière son paravent, ma belle-mère détache mon pantalon et me lave la queue.

• Veux-tu que je te suce ?
• C’est à ta fille à qui tu aurais dû apprendre à sucer, à ce jour, elle me le refuse, mais dis-moi, je suis vraiment ton dernier client !
• Oui, ce soir était ma dernière soirée, je vieillis et je sens que la passion qui nous a fait commencer à nous prosti avec Agnès est retombée, elle a arrêté il y a un mois, elle s’est fait embaucher à l’hôpital de Lille.
J’ai gagné beaucoup d’argent, j’en ai une valise pleine dans la cave de notre maison, impossible de le dépenser sans dire comment je l’ai gagné, ils payent rarement les gains du loto en liquide.
Dans cette maison nous étions relativement protégés, mais madame Edwige est rattrapée par le progrès, elle investit pour faire comme tous les autres bars à putes du coin.
Demain des ouvriers vont venir casser l’intérieur de mon lieu de travail et mettre des enseignes lumineuses partout sur la façade, je suis certaine que le nombre de clients augmentant, le risque de tomber sur quelqu’un comme toi me connaissant augmentera.

Quand elle rouvrira, des pros comme moi vont être remplacés par des jeunes filles plus bandantes que la vieille peau que je commence à devenir, la seule chose qui m’embête, c’est de retourner à l’hôpital comme Agnès pour donner le change.
• Suce-moi, je vais te donner la solution à ton problème quand je t’aurais fait l’amour.

C’est comme cela que ma bite se retrouve dans la bouche de belle-maman, fellation, 69, levrette, à la cuillère, le cheval à bascule, elle m’apprend à faire la pieuvre avant que je décharge dans la capote mise avec sa bouche, après je la baise avec délice.

Plusieurs semaines sont passées, j’ai épousé Magalie, elle a emménagé avec moi, Lucette lui a parlé de ce qu’il plait aux hommes pour qu’ils soient fidèles, elle a commencé à me sucer, je le sais quand je suis passé à Roubaix, seul, chez mes beaux-parents.
J’ai placé l’argent de belle-maman avec l’aide de mon courtier, elle a perdu quelques pourcentages, l’opération étant dangereuse à cause de la police financière, nous avons déjà récupéré cette perte.
Après avoir décidé de certains placements, en ce moment, je sexe belle-maman sur la table de la cuisine dans la position du papillon, elle continue à m’apprendre comment satisfaire ma femme.
De mon côté, j’ai eu un seul souci avec elle, avec ses clients en bonne pute, elle refusait de leur donner sa bouche, au début, j’ai dû la violenter, maintenant, c’est elle qui me saute au cou dès que j’arrive, j’ai réussi à effacer Armelle au profit de Lucette.
Je m’arrange pour venir chez belle-maman chaque fois que beau-papa est à son travail, ça nous laisse de l’amplitude pour le tromper.
À Paris, Magalie devient aussi performante que sa maman, sans avoir eu besoin d’aller dans un bordel, il m’arrive dans mes tournées de repasser devant le bordel de madame Edwige, chaque fois, je m’arrête.

Aucune méprise, j’ai réalisé le fantasme de beaucoup d’hommes qui ont une belle-maman restant très bandante et qui sexent la mère et la fille, je viens seulement donner à madame Edwige, des nouvelles de son ancienne amie.
Quand on a connu le bordel d’avant et celui d’aujourd’hui, avec ces filles qui semblent s’emmerder, monter une fille serait un sacrilège, nous buvons une coupe ensemble et je retourne à mon hôtel à rêver à mes deux femmes.

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