Collection Vengeance. Internet (2/3)

Je récupère des connexions gratuites pour me connecter sur un site où les personnes désœuvrées se rencontrent, car entre Christiane et moi, les rapports dans notre couple se sont distendus au fil des années.
J’arrive à correspondre avec une femme ayant comme pseudo Christine21, le mien étant Christian21.
Comme moi, elle est frustrée, car son mari la délaisse plus enclin à taper sur son ordi que sur les pointes de ses seins.
Aux cours de nos conversations, elle fait un impair sur les noms de ses s et de leurs âges.
Un impair, car les deux prénoms et les âges correspondent à nos deux s.
Je prends conscience que ma femme pianote de l’autre côté de l’écran pendant sa pause du midi et est prête à me tromper.
J’ai évité de peu qu’elle passe à l’acte, quand elle m’avoue, lors d’un séminaire auquel elle a participé pendant deux jours, elle a posé sa main sur la queue de Gaétan, son collègue de travail et qu’elle a reculé la trouvant trop petite.
Je lui propose un scénario très hard puisque c’est ce qui semble la faire fantasmer, je veux qu’elle accepte un rendez-vous avec acte sexuel, dans un hôtel de Dijon pour le mercredi suivant.

Le mercredi matin, je la vois partir à son travail sans montrer le moindre signe de stress à ce qu’elle va faire en fin d’après-midi.
Étant persuadé que c’est elle mon plan cul, je la prends dans mes bras, je la fais pivoter sur mon siège et s’asseoir sur mes genoux.

• Arrête, tu vas toute me décoiffer, tu vas me mettre en retard, je te promets que nous ferons l’amour ce soir.
• Salope, tu sais que ce soir, j’ai mon match de foot, que je rentrerais dans la nuit et comme tu refuses de baiser le matin au moment où j’en ai envie, ta promesse, tu vois où je me la mets.
Attention un jour, je te violerai.
• Celui qui me violera ou qu’y me forcera à faire des cochonneries dans un lit ou sur une table de cuisine doit encore être dans les couilles de son père et comme je te suis fidèle, tu peux voir qu’il y a aucune chance que tu arrives à cette extrémité.


À demain matin, si tu es sage peut-être !
C’est sympa avec tes bêtises, je vais être obligé de remplir une fiche de retard.

Si c’est mon rancard du soir, elle va le sentir passer, mon plan est carré dans ma tête.
Dans la matinée, je fais quelques emplettes après avoir réservé la chambre ou ce soir, je vais faire voir à mon épouse que je tiens à elle et que je suis prêt à m’amender et lui montrer qu’il est possible de concrétiser ses fantasmes sans pour autant aller voir ailleurs.
Je suis tellement anxieux que le midi, j’en oublie de manger, mais pas au point d’oublier de me connecter.

• Christian, je suis impatiente d’être à ce soir, tu as le numéro de la chambre.

Impatiente la garce, je suis sûr que si je lui demandais de s’y rendre tout de suite, elle courait pour me sauter au paf.

• Oui, chambre 2 sur le derrière de l’hôtel au premier étage.
• Facile à se rappeler, et de dire le mot derrière me fait mouiller, je quitte, je vais travailler pour pouvoir sortir à l’heure te rejoindre dans notre chambre numéro 2 au premier étage.
• Cochonne.

Liaison coupée, à 14 heures, heure où la patronne m’a dit pouvoir récupérer les clefs de la chambre, j’arrive.
Coucher, debout, coucher, bains, en évitant de me toucher la queue, car dans l’idée que je me fais de ce que va subir Christiane, si c’est elle bien sûr, je veux éviter que mon sexe refuse de bander au moment où impérativement, j’aurais besoin de lui.
Deux heures avant, je ferme les volets et quand c’est fait, je suis content d’avoir pensé à un détail qui va s’avérer très utile lorsque la femme va arriver, j’ai acheté un rouleau de ruban adhésif, j’empêche tous points de lumière du jour.
Je m’allonge nu sur le lit en attendant l’heure fatidique de son arrivée et le noir m’aide à enfin me calmer et m’endormir.
Heureusement que mon plan est bien monté, à 16 heures 45 le réveil de ma montre me rappelle à l’ordre, j’évite que lorsqu’elle arrive, c’est moi qui sois piégé, coucher sur le lit endormi.

Je me sers de mon premier objet qui doit m’aider à rester anonyme pour Christiane.
J’enfile une cagoule que j’ai légèrement trafiquée, principalement à la hauteur de la bouche, qui me permet quand je vais parler d’avoir une voix déformée.
Un simple voile en tissu doublé d’une feuille en Cellophane alimentaire a fait très bien l’affaire.

À dix minutes de son arrivée, j’entre dans la salle de bain, la situation est tellement bandante, que ma queue se redresse toute seule.
La porte finit par s’ouvrir avec dix minutes de retard, à deux endroits dans les volets, le ruban adhésif a dû se décoller, laissant passer deux points de lumière qui me permettent de voir une silhouette qui méthodiquement ôte ses vêtements et comme elle le fait chez nous les plis sur la chaise au pied du lit pour venir se mettre à quatre pattes.

• Vous êtes là, j’ai un peu peur.

Je me garde bien de répondre franchement, j’émets simplement un son.
J’ai dû oublier une étape de notre vie pour qu’elle en soit arrivée à prendre autant de risque en venant dans un hôtel pour accepter de se mettre dans une position aussi obscène dans ce noir alors que je peux être un taré qui veut simplement r d’elle.

Elle a respecté mes recommandations aussi, je sors de ma cachette et avant qu’elle réagisse une de ses mains est attachée à l’un des barreaux du lit.
Se voyant prise elle pousse un cri me montrant que ses biens la voix de Christiane qui arrive à mes oreilles.

• Tout doux Christine.

J’ai failli dire Christiane.

• Aucune crainte Christine, cette paire de menottes fait partie du jeu que tu as accepté de jouer avec moi comme la cagoule que je vais te passer sur ta figure pour éviter qu’en te retournant, mon visage t’apparaisse.
Pour te le prouver et que tu te détendes, je place dans ta main libre la clef des menottes qui te servira à te détacher quand je serai parti.

Menottes et cagoules font partie des objets que j’ai achetés dans un sex-shop trouvé sur Internet ainsi que le ruban adhésif au supermarché de notre ville autre que celui de Christiane.

Pour les menottes, j’ai eu la chance que le lit soit à l’ancienne et qu’il soit à barreau.
Il faut un peu de chance lorsque l’on monte un piège sans avoir vu l’endroit où il va avoir lieu, j’avais une parade dans mon sac, une corde entourant la tête de lit m’aurait fourni un point d’attache.
Dans la préparation de la remise dans le droit chemin de ma femme envers son serment de mariage, j’ai imaginé plusieurs scénarios possibles en lisant sur mon PC de nombreux textes écrits par des auteurs plus imaginatifs que moi et qui publient des textes sur la soumission et les cocus.
Le principal site avec les meilleurs auteurs hommes ou femmes s’appelle Histoire de Sexe qui m’a appris à me méfier des volets dans une pièce qui dans la journée laisse passer obligatoirement un petit peu de lumière risquant de faire voir à la soumise un détail faisant capoter l’opération de remise au pas.
Dans certains textes, ce sont même des hommes soumis qui subissent le courroux de leurs femmes.
Dans une des histoires, l’auteur employait du film souple noir qu’il scotchait devant la fenêtre, à la base, j’aurais oublié ce détail d’où le ruban adhésif.
Alors, les mains où une main attachée au lit avec la cagoule, employée par un auteur, était la solution qui me montre leur ingéniosité.
La différence entre la cagoule que je porte et la sienne, c’est qu’elle m’entend grâce à deux petits trous que j’ai percés à hauteur des oreilles, j’ai essayé avec notre radio, j’entendais de manière feutrée, mes paroles nasillardes grâce à mon montage sur ma cagoule et devant ma bouche doivent faire le reste.

• Quelle impression cela fait d’être à la merci d’un homme qui va pouvoir profiter de ton corps comme tu le désirais lorsque nous en parlions derrière nos ordinateurs.

Sa cagoule lui permet de parler et même de me sucer ce que je vais m’empresser de lui faire faire à un moment où un autre et qui présentement lui permette de converser.


• J’ai peur, mais votre voix très douce me rassure, je dois reconnaître que je sens ma mouille couler le long de mes cuisses.
• Écarte les jambes que je vérifie.

Par les trous dans ma cagoule et les deux points de lumière, je la vois écarter une jambe après l’autre, très docilement, bien qu’elle soit dans le noir au niveau de ses yeux.
Je passe ma main, je dois constater qu’elle est loin de mentir et que sa chatte commence à ruisseler.
Sentant qu’elle est prête à ce que je passe à la deuxième étape de mon plan, je monte sur le lit en récupérant l’un des autres objets que j’ai apportés.

• Tu penses à ton mari que tu vas tromper comme je pense à ma femme qui dans quelques minutes sera cocufiée.
• Il l’a bien cherché, c’est comme la tienne à ce que tu m’as écrit.
• Comment, tu parles de lui, tu mérites une bonne correction, ignores-tu la solidarité masculine ?

J’ai dans la main un objet qui me suffisait de montrer à nos deux s lorsqu’ils étaient petits et insupportables que j’avais apportés faisant ainsi une petite économie dans ma vengeance.
J’ai mis du temps à le retrouver, craignant d’être obligé de retourner en acheter un au sexe-shop.

• Aie, non pas cela, surtout pas le martinet, tu vas laisser des traces que mon mari va voir et savoir quelle salope, je suis.

Un deuxième coup de lanière, bien appliqué, la fait hurler une nouvelle fois, mon plan est bien préparé, je pose provisoirement mon martinet.

• Vas-y, gueule tout ton saoul, je vais te corriger jusqu’à ce que la peau de tes fesses t’empêche de t’asseoir pendant plusieurs jours.
Tiens prend…

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