Dimanche 15 Novembre 1981

La jour n’était pas encore lever que je me réveillais et essayais de sortir discrètement du lit, quand Véro m’attrapa en disant : « Restes, … » et dans le même temps descendit vers le bas en direction de ma bite qu’elle pris en main, disant : « Déjà presque en forme, … peut faire mieux, … je m’en occupe, … » et elle se laissa glisser vers la bas, tout en caressant la chose, qui se réveillait très énergiquement. Ayant dégagé les draps, je pus la voir et ensuite sentir qu’en arrivant à hauteur de mon sexe, elle entreprit après quelques coups de langue sur la longueur, de prendre en bouche mon gland et de le titiller avec sa langue pointue et excitante, enfin jugeant la chose presque prête, elle prit en bouche l’ensemble et se mit à me pomper avec douceur, et pensant que la chose était à son goût et avait la dureté voulue, remonta, pour arriver à bonne hauteur et pendant qu’elle me guidait dans sa chatte bien chaude et bien mouillée elle dit : « Viens, … prends moi, … fais moi l’amour, … oui, … fais moi l’amour, … je veux te sentir sur moi, … entre mes jambes, … savoir ainsi que je suis à toi, … » Ce n’était pas le moment de m’occuper du vocabulaire, il fallait mieux s’occuper de sa chatte et la remplir. Dès que je commençais mes va et viens dans sa chatte coulant de son jus de plaisir, utilisant ses jambes repliées à mes cotés, à chaque pénétration elle se cambrait pour m’accueillir au plus profond d’elle, celles-ci accompagnées de : « Oui, … j’aime, … me donner à toi, … j’aime que tu me fasses l’amour, … oui, brutalises moi, … défonces moi la chatte, … OH, OUI, … baises moi fort, … continues, … je sens que ça vient, … » Alors qu’elle se cambrait brutalement que: « OH,OH,OH, OH,… OUIIIIIIIIII, … c’est bon, … je JOUIIIIIIIIIIS, … » et elle eut un spasme brutal suivi d’autres de plus faible intensité, mais ave ce que l’on avait fait quelque heures plus tôt, j’avais les plaisir dans les reins, mais qui ne voulait pas sortir, cela m’arrivait quelques fois et il fallait que ça sorte, je devenais, dans ces cas, une machine à baiser.

Après sa réaction d’avoir joui, elle subissait mes assauts : « Oh, … arrêtes, … je ne peux plus, … Oh, … OH, … OH, … » ne t’arrêtes pas je sens que ça revient : « Oui, … continues, … aimes moi fort, … baises moi fort, … oui très fort, … OH, encore, … dis moi que je suis ta femelle, … que tu aimes me baiser, … OH, OH, OH, … ne t’arrêtes pas, … OUIIIIII, … je vais jouir, … » et alors qu‘ elle disait cela, bien enfoncé en elle je me vidais brutalement dans sa chatte et m’écroulais sur elle, pour reprendre mon souffle. Elle me repoussa à coté d’elle, récupérant elle aussi. Et disant : « Tu es une brute, … je vais avoir une tête demain,… » et elle sombra, ce que je ne tardais pas à faire également.
Le jour était levé depuis un certain temps car la lumière me réveilla. Je me levais doucement et me dirigeais vers la salle de bains pour la douche matinale. Celle-ci terminée, ma partenaire n’était toujours pas réveillée, connaissant la maison, j’allais en cuisine préparer le café. Café fait, je décidais de l’apporter à Véro. Ça fait toujours plaisir. Effectivement : « Oh, … merci, … c’est gentil, … » Elle le bu et se levant, pour aller vers la douche: « Oh, … ne me regardes pas, … je suis moche au réveil, … » Passant devant moi : « Je ne pense pas, … mais t’as toujours un joli cul, … »
Véro : « Merci pour le compliment, … mais tu ne t’en ais pas occupé, … »
Moi : « Vrai, … mais je n’ai pas eu le temps, … dépêches toi et situ veux, je vais m’en occuper, … » Elle était dans la salle de bains. Et tant bien que mal je préparais le petit dej, en fait je fis du café et des toasts, c’était le plus simple et le plus facile
Un bon quart d’heure après elle se pointa en sortie de bains pour voir où j’en étais
Véro : « Un véritable cordon bleu, … »
Moi : « Fous toi de moi, … et que caches tu sous ta jolie sortie de bains, …montres moi, … »
Véro : « Tu ne vas pas commencer, … laisses moi pendre le petit déjeuner, … »
Moi : « Oui, … mais tu peux venir m’embrasser pour bien démarrer la journée, … » intérieurement je me dis que ce n’était pas gagné, mais que j’avais une chance.

Véro : « Je commence à te connaitre, … un petit baiser, … et puis, je vais me retrouver dans tes bras et après tu voudras plus et je vais accepter, car je ne sais rien te refuser, … je prends mon petit déjeuner et après ce que tu voudras, … ça y est je commence à céder, … » et elle s’installa devant son café et se restaurer. Nous devisâmes gentiment et s’étant restaurée elle se leva en disant : « Tu vois, … ne dis rien, … tu es content, … je viens, … »
Elle s’approcha alors que je la prenais dans les bras pour autre chose qu’une petite bise, je lui glissais dans l’oreille : « J’espère que tu ça ne sens pas le savon, … «
Véro : « T’es vraiment un horrible, … mais non, … quand je viens te voir, … pas de savon, … Je sais que tu n’aimes pas, … » et j’ouvrais le peignoir en lui disant : « Je veux vérifier, … je peux, …
Véro : « Depuis quand tu me demandes la permission, … de toutes les façons tu fais ce que tu veux, … et j’accepte, … je suis d’une obéissance incroyable,… j’irais presque jusqu’à utiliser un autre verbe, …»
Avant de la prendre dans mes bras, je m’arrangeais pour ouvrir son peignoir, ce qui se fit simplement et nous nous collâmes l’un à l’autre. Et Véro, commença à rouler, doucement mais avec application, des hanches et ce qui devait arriver, fut un léger gonflement dans ma braguette. Mais il n’y avait pas que moi qui montait en pression, mon adorable partenaire se chauffait aussi et me dit en écartant ses jambes : « Ta jambe, … mets ta jambe, … » Je compris vite le but de l’opération et introduisant ma jambe, enfin ma cuisse, entre les siennes, elle se mit à y frotter sa chatte. Le souffle s’accéléra en même que le rythme de frottement augmentait, tout cela, s’entendait par une accélération de sa respiration et tout d’un coup, ses cuisses se refermèrent sur la mienne, alors qu’elle se cramponnait plus fortement à moi. Conclusion simple, elle s’était fait jouir et moi j’étais resté en chemin, mais avec une trique importante. Ayant récupéré son souffle, elle me dit : « Viens, … j’ai envie de toi, … viens prends moi, … » et, le peignoir ayant été abandonné, elle se dirigea vers le canapé, et s’y installa en levrette : « Prends moi comme ça, … tu m’as promis, … je me suis préparé pour toi, … tu sais que j’aime quand tu me prends comme çà, …» Puisque tel était son désir et surtout, son joli cul bien en évidence, il n’y avait plus qu’à s’exécuter.
Même si elle était bien chaude, je voulais la faire grimper encore. Alors que j’avais une main sur ses hanches l’autre s’introduisit entre ses cuisses de façon à pouvoir caresser sa chatte et surtout y glisser deux doigts. Cette douce caresse suivie d’une pénétration fut appréciée, les cuisses s‘étant légèrement écartées. Je la masturbais avec application de la façon à faire monter la pression et en profitais pour une douce approche de la rosette, ce qu’elle apprécia. Après plusieurs va et vient, cette belle femelle se mit en colère : « Qu’est-ce que tu attends, … arrêtes ce jeu, … tu m’excites, … et rien, … prends moi, … tu m’avais promis de me pendre par derrière, … » Et c’est avec une belle trique je m’exécutais, mais en m’enfonçant, assez brutalement dans sa chatte, ouverte, chaude, pas humide non, trempée. Cette pénétration fut acceptée avec une sorte de soupir de soulagement, mais une réflexion : « Enfin, … ce n’était pas ça que tu m’avais promis, … oh, … oui, … continues, …» Quelques va et vient plus tard, la trique bien gonflée par ce petit jeu, je me retirais et ce fut un cri de colère rentrée : « Non, … arrêtes, … qu’est ce que tu fais, … » et en même temps que je me retirais je lui claquais les fesses, ce qui la fit se contracter, puis se décontracter, c’était le moment que j’attendais pour m’occuper de sa jolie rosette et la pénétrer. Après un semblant d’hésitation, elle s’ouvrit à ma queue. Là se fut, une autre musique : « Oh, … enfin, … tu aimes me faire attendre, … oui, … prends moi fort, … tu savais que j’en avais envie, … j’aime quand tu prends comme ça, … tu sais que j’aime, … » et cramponné à ses hanches je la ramonais avec en train, et je lui dis : « Tu oublies de t’occuper de ta chatte, … elle va pleurer, … »
Véro : « J’attendais que tu me le dises, … »
Moi : « Oui, … mais tu aimes te caresser pendant que je m’occupe de ta rosette, …alors, … »
Véro : « Oui, … j’aime être prise des deux cotés, … ça augmente mon plaisir, … continues, … j ‘aime te sentir là, … OOOHHH, … OUIIIIIIIII, ne t’arrêtes pas, … OH ? OUIIIIIIIIIII, … » et elle fut parcouru par spasme qui la fit se contracter de tous ses muscles, mais je n’avais pas fini et si elle avait joui, je bandais encore ferme et cramponné à ses hanches, tout à coup je me vidais dans son fondement, ce qui la fit réagir par : « Oh, … oui, … c’est bon, … » et elle se laissa aller sur le canapé, alors que j’en faisais autant.

Le temps de retrouver nos esprits, les aiguilles avaient tournées et il était temps de se préparer et de partir pour retrouver les autres sur le parking du club. Elle passa un bikini et recouvrit le tout d’un cordage et d’une jupe, alors que je passais mon maillot et en route pour le parking.
En chemin Véro : « Tu viendras me voir pendant la semaine, … »
Moi : « Tu en as envie, … »
Véro : « Goujat, … tu veux que je te supplie, … »
Moi : « J’aimerais assez, … ça flatterait mon orgueil masculin, … »
Véro : « Oui, … toute honte bue, … oui, j’aimerais que tu viennes, … »
Moi : « Ce sera avec un plaisir certain, … tu sais ce que tu devrais faire, … »
Véro : « Dis moi, … «
Moi : « Je veux que tu portes une jupe droite, … »
Véro : « Une jupe droite, … c’est pas très pratique, … si je devines ce que tu veux faire, … mais, … »
Moi : « Comme tu dis, c’est vrai, … mais quand tu remontes ta jupe, … et qu’apparait ta toison blonde, … c’est excitant au possible, … tu es bandante, … »
Véro : « Si je comprends bien, … je serais nue sous ma jupe, … »
Moi : « Oui, … tu as tout compris, … »
Véro : « Je pensais que tu étais fou, … mais là, … ça devient grave, … tu me vois quitter la maison les fesses à l’air, … n’y pense pas, … Si B s’en apercevait, tu vois la crise, … »
Moi : « Mais non, tu quittes honorablement vêtue, … c’est au bureau tu enlèves ta petite culotte, … et quand j’arrive, … tu n’as qu’à remonter ta jupe, … »
Véro : « C’est pas à moitié fou, … c’est complétement fou, … »
Moi : « Mais non, … je suis sur que déjà, … tu y réfléchis, … et que ça te donnes, des idées, … »
Véro : « Arrêtes, … je ne peux pas faire ça, … »
Moi : « Mais si, … je suis sur que quand je viendrais te voir, … ta secrétaire m’introduira dans ton bureau sans me faire attendre, … »
Véro : « Il est fou, … voilà les autres, … »
Moi : « Remontes vite ta jupe, … une dernière caresse sur ta chatte, … »
En même temps elle remontait sa jupe et disais tu es fou. Et le temps d’une caresses sur le maillot elle descendait pour changer de chauffeur alors que AL en faisait autant.
A peine l’autre véhicule parti AL se retourna vers moi : « Tu pourrais me dire bonjour et m’embrasser… » Ce que je fis et discrètement glissais une main sous sa jupe.
AL : « Profiteur, … tu ne pourras rien, j’ai mis mon maillot, … »
Moi : « Enlèves le, … on est seul, … »
AL : « Mais tu es fou … »
Moi : « Oui de toi, … et de tes seins, … et de ta chatte, …»
Al : « Arrêtes, on rentre à la maison, … »
Moi : « OH, … on ne peut pas, … tu sais bien, …on doit tous se retrouver, … qu’est-ce qui c’est passé, … »
Al : « Rien, … fous moi la paix, … »
En moi-même, je ne savais pas ce qui c’état passé, … mais je savais que ce n’était pas le moment de poser des questions, … donc direction la plage et les copains.
Plage, baignade, bronzage, volley, … la seule chose su je pus faire, pendant une partie de volley-ball, je réussis à croiser Véro et lui glisser : « Jupe droite, … » puis baignade de nouveau avec AL.
Après le déjeuner dans le maquis installé en bord de plage, nous rentrâmes calmement à la maison. Et, là, à peine rentré, AL se jeta dans mes bras : « Prends moi dans tes bras, … sers moi fort, … oh, … viens, … pardonnes moi, … viens, fais moi l’amour, … j’ai envie de toi, … oui, … viens, … » Pas le moment de se poser des questions, à peine dans notre chambre AL était allongée sur le lit, le compas de ses jambes largement ouvert, offerte. « Popol » trouva la positon intéressante et il se redressa avec orgueil, prêt à servir. Alors que j’arrivais vers le lit, elle se retourna et se mettant en levrette : « Non, … prends moi comme ça, … montes moi, … montes ta chienne de femme, … oui, … montes moi dessus, … » Comment refuser une telle proposition lors que j’avais devant moi offert son joli cul et son adorable chatte aux belles grosses lèvres. Sans hésiter je m’enfonçais dans son minou, tout chaud, cela fut apprécié : « Oui, … prends moi, … j’aime te sentir sur moi, … baises moi, … baises moi fort, … » Je n’avais pas besoin d’encouragements et je commençais à la ramoner avec application et force, c’était un long râle de plaisir : « Oui, … continues, … ne t’arrêtes pas, … » Malgré ce que j’avais fait avec Véro, le matin il me fallait satisfaire cette femme, non cette femelle qui cramponnée aux draps ne demandait qu’une chose c’était se faire sauter pour certainement oublier la nuit précédente et dont j’apprendrais, les détails ultérieurement. Pour le moment il fallait la satisfaire, d’autant qu’elle semblait ouverte et prête à se faire baiser à se satisfaire et me satisfaire. Pour l’exciter un peu plus, alors que je la ramonais avec énergie, je lui claquais les fesses, ce qui la fit se cabrer : « Oui, … ça fait longtemps que t’avais pas fait, … continues, … ne t’arrêtes pas, … je vais jouir, … OOOOHHHH, … oui continues, … OUIIIIIIIIII, … » et elle eut un beau spasme, mais emmanché comme j’étais, je continuais à la ramoner avec application ce qui la fit repartir : « OUIIIII, …continues, … OOOOHHHH, … OUIII, … » elle eut un nouveau spasme, alors que je me vidais et remplissais sa chatte de mon plaisir. Vidé et fatigué, je me laissais choir à ses cotés. Elle vint se caller contre moi et nous endormîmes pour une sieste réparatrice.
Environ une heure après, je me réveillais et m’éloignais doucement du lit, pour aller prendre une douche et vaquer à quelques bricoles à faire dans mon bureau.
Peut-être une grosse heure plus tard j’entendis Al qui se levait et qui disait : « Je prends une douche et on se retrouve dans la salle de séjour, prépares nous un thé STP »
Exécution, pas de discussion, une bonne demi-heure plus tard, alors que j’avais préparé le thé et que j’attendais AL, surpris, j’entendis un bruit de talons hauts, et la porte s’ouvrit sur AL disant : « Monsieur, la call girl que vous avez demandée est là, … »
Moi : « Wouah, … » Je m’attendais à tout sauf à ça. AL qui habituellement se maquillait toujours légèrement était « outrageusement » maquillée. Montée sur des escarpins à talons aiguilles, dévêtue d’une guêpière noire. Une bande de tissu au-dessus et en dessous des seins les maintenaient fermement, le reste en tissu ajouré était absolument transparent, et s’arrêtait naturellement au dessus de la touffe avec des jarretelles qui tendaient des bas noirs aussi transparents. Elle traversa la salle de séjour et revint en tortillant son joli cul. L’effet était saisissant, enfin elle vint et s’arrêtât devant moi, les mains sur les hanches et les jambes légèrement écartées, provocante. « Alors, … ça te plait, … »
Moi : « Belle présentation, … tu es bandante, … » et comme elle était à un portée de bras, je tendis le bras et introduisais ma main dans son entrejambe pour prendre sa chatte. Mon geste fut apprécié, car AL plia légèrement les jambes pour poser sa chatte dans le creux de ma main.
Moi : « Hum, … je vais te caresser, …je suis sur que tu es toute chaude, … »
AL : « Oui, … juste une caresse, … après tu t’assieds sur la chaise, … je vais te faire l’amour,… »
Je la caressais doucement et comme c’était tentant, je laissais trainer un doigt dans la fente de ses grosses lèvres, la réaction fut rapide, elle recula et : « Tu n’es qu’un traitre, … on ne peut pas te faire confiance, … mets toi sur la chaise, … » Il n’y avait qu’à obéir, c’est ce que je fis et en même temps je tombais short et caleçon, ce qui permit à « popol » de se redresser, enfin d’essayer de faire honneur à son propriétaire.
Voyant la chose, AL s’empressa de le prendre en main et en me disant : « Je m’en occupe, … » s’accroupissait et ayant passé un grand coup de langue, se mit à le branler légèrement du bout des doigts et l’effet fut pratiquement immédiat puisque « popol » se redressa ce qui fit dire à AL : « Là, tu me plais, … j’aime quand tu es comme ça, … je vais te gouter, … » et aussitôt ses lèvres entourèrent le gland, le parcourant doucement : « J’aime quand tu deviens dur, … j’aime te sentir gonfler dans ma bouche, … » et elle se mit à me pomper doucement, m’avalant presque entièrement. Mais à ce petit jeu, je ne pouvais pas tenir longtemps et je lui dis : « Arrêtes, … tu vas me faire éclater, … » à regret, elle se redressa et m’enjambant vint se mettre à la califourchon sur mes jambes en même temps qu’elle me guidait et faisait en sorte de littéralement s’empaler sur ma bite fièrement dressée. Et je m’enfonçais dans son intimité ouverte, chaude. Alors AL s’activa elle montait, descendait, le long de ma trique, alors que je la tenais par les hanches : « Oui, … c’est bon, … continues, … » alors que je ne faisais, disons, que subir et elle accéléra le mouvement : « Oui, … j’aime, … baises moi, … oui fort, … comme ça, … retiens toi, … » et tout d’un coup elle s’empala avec force sur ma trique : « Oui, … je jouis, … OUIIIIIII, … encore, … OUIIIIIII, … » et elle eut un splendide spasme qui la fit se contracter brutalement, pour enfin se laisser aller essoufflée contre moi. La position étant relativement inconfortable, nous allâmes nous câliner sur le sofa. C’est là, que contre moi que j’osais enfin lui poser la question de sa colère. Alors là, je fus servi. En fait, elle se raconta : « B avait été surpris et furieux du changement de ‘chauffeur’. Arrivés à la maison, je lui proposais un verre, pour qu’il se calme, je passe les détails, mais il m’expliqua qu’il était fatigué, … j’étais furieuse, et je lui ai qu’il pouvait aller se reposer dans la chambre d’ami … »
Moi : « Il a abandonné la partie, … »
AL : « Sans problème. … Tu avais raison, c’est un dragueur, … là il est bon, … mais pour le reste, un petit cinq à sept, … non six à sept, … et au revoir, … Il ne tient pas la distance, …» Que pouvais-je dire, sinon, que je commençais à comprendre Véro, et AL de reprendre : « J’aurais du t’écouter, …et pas tomber dans son piège, … la prochaine fois je t’écouterais et, … je t’obéirais, … embrasses moi, … » Le calme était revenu. Enfin se levant : « Je vais me changer, … et mettre une robe, … »
Moi : « Non, … gardes ça, … et mets une robe par dessus, … je pourrais imaginer, …»
AL : « Ça t’a plu, … »
Moi : « Oui, … beaucoup, … mais où as-tu eu cette parure, ... excitante, … »
AL: « C’est Véro, qui m’a dit qu’elle avait reçu ces dessous, … »
Là, ça a été le choc, … ma femme et ma maitresse se filaient des tuyaux sur leur tenue, sur leurs dessous, … j’étais sacrément mal parti.

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