Dimanche 28 Novembre 1981

Réveil tranquille à 6,00H, la force de l’habitude. En fait pour moi une grasse matinée. Douche et je prépare le petit dej. Comme d’habitude je l’apporte à AL, qui semble avoir des difficultés à faire surface, mais l’odeur l’aide à ouvrir les yeux et j’en profite pour lui caresser un sein, et elle me renvoie : « Non, … ne recommences pas, … fiches moi la paix, … j’ai faim, …je passe un peignoir, … et j’arrive, … » Je retourne dans la salle de séjour pour finir de préparer les reste du petit déj. Tout est prêt quand elle arrive vêtue d’un peignoir, … mais la garce a pris le plus petit de ses peignoirs, celui dont la longueur arrive juste à ras la touffe. C’est de la provocation, … mais je ne réagis pas, et nous finissons le petit déj. Puis nous nous préparons pour la plage où nous devons retrouver toute l’équipe de copains. AL est comme d’habitude en minijupe et comme elle dit : « Pas la peine de te fatiguer, … j’ai mon maillot en dessous, … ». Donc rien à faire. Arrivé sur place, nous nous installons, mise en maillot et dans la mer, pour quelques brasses, …Alors que nous rentrons, arrive Véro qui vient s’installer à nos cotés et la vie sur la plage reprend son cours habituel, volley, baignade, … et midi arrive, nous nous rendons à notre table. Le repas se déroule sans problèmes, mais je crois voir, à plusieurs reprises, les mains de l’une s’attardant, quelques secondes, sous la table pour ce qui pourrait être une petite caresse rapide sur une cuisse, … par contre à trois reprises, le pied nu de Véro, grimpe le long de mon mollet, … Au cours du repas, je demande à Véro comment s’est passé son rendez-vous d’affaires et de me répondre : « Fort bien,… j’ai obtenu tout ce que je voulais, … »
Moi : « Il est tombé sous ton charme et n’a rien pu te refuser, … »
Véro : « Exact, … il m’accordait ce que je voulais, … espérant que je lui accorde, ce qu’il voulait, … mais c’est le genre de type, si tu lui accordes ce qu’il veut, … il te laisse tomber après, … alors, … il peut courir, … ce n’est pas avec lui que je te tromperais… » et tout le monde de partir à rigoler.


Le repas ayant pris fin, nous nous dirigeâmes vers le 4*4, quand AL dit à Véro : « Que dirais tu d’un chauffeur, … »
Véro : « Une bonne idée, … » et voilà les deux nanas qui s’installent à l’arrière du 4*4, avec un : « A la maison chauffeur, … » OK, ces dames, c’est parti, direction de la maison. En cours de route j’entends des gloussements, des petits rires, … avec le rétro, je tâche de voir ce qui se passe. Ces dames se font des câlineries. Il me semble que AL a ma main gauche dans le corsage de Véro, alors que celle-ci semble vouloir s’insinuer sous la mini-jupe de AL. Là j’en suis sur, car j’entends « C’est pas vrai, … t’as encore ça, … allez, enlèves le, … » AL semble vouloir protester, mais je la vois se tortiller pour enlever sa petite culotte, elle était pourtant très petite. Les soupirs se font plus précis, mais nous arrivons à la maison. Ces dames descendent et je gare le 4*4. Arrivé dans la salle de séjour, il y a deux corsages sur un fauteuil et j’entends Véro « Viens nous rejoindre dans la chambre, … on t’attends, … » Ces dames étaient assises sur le lit, l’une à coté de l’autre, entièrement nues. A peine rentré dans la chambre : « Laisses toi faire, … on va s’occuper de toi, …on s’est partagé, … » et joignant le geste à la parole, elles me retirèrent chemisette, pantalon caleçon et je fus poussé sur le lit. J’avais de chaque coté une des ces belles femelles qui avaient l’air bien excitées et, aussitôt une partie de lèche museau, commença avec l’une puis avec l’autre puis une mains saisi « popol » et commença à le caresser doucement, et en même temps les bouche en m’embrassant partout, descendaient vers ma bite, qui commençait à prendre une forme certaine, enfin étant arrivées là, elle se mirent à me lécher, m’embrasser et me prendre en bouche, l’une puis l’autre, c’était incroyablement excitant, pour moi, et les voyant agir pour elles également. Quand elles estimèrent mon engin, se dressant fièrement, et je pense à leur goût, Véro m’enjamba et me prenant en main, me guida pour venir s’empaler, gentiment, avec un soupir de satisfaction, sur ma queue.
Quant à AL, elle m’enjamba également et vint positionner sa chatte sur ma bouche : « C’est à toi, … lèches moi, … suces moi, … prends moi avec ta langue, … fais moi jouir, … » pendant que, servant de sex-toy, à Véro excitait sur ma bite avec des soupirs de satisfaction. Je n’avais qu’à subir ce que me faisait ces dames et qui était incroyablement excitant. AL qui emblais la plus chaude et la plus excitée fut la première à partir : « Oh, … Oui, … continues, … OOOHHH, … OUIII, … » et elle se laissa tomber sur le coté, la main droite coincée entre ses cuisses, certainement à terminer son plaisir, enfin à se terminer. Quant à Véro, elle s’était penchée en avant et empalée sur ma bite accélérait le mouvement de va et vient : « Continues, … retiens toi, … » Trop tard, j’avais pas peu tenir plus longtemps, je la remplissais de mon sperme, mais cela fut tel, qu’elle décolla aussitôt : « Je sens que je vais jouir, … ne t‘arrêtes pas, … Oui, … OUIIII, …OUIII, ... C’est bon, … » et elle fut secouée d’un joli spasme qui la fit se contracter, pour enfin se laisser tomber à coté de moi. J’étai entouré de deux jolies femelles, qui semblaient avoir été satisfaite de mes prestations, … Tout cela fit, qu’une petite sieste la dessus fut la bienvenue et environ une heure plus tard, ces dames décidèrent d’aller prendre une douche et se refaire une beauté. Cela fait, AL prit sa voiture pour raccompagner Véro à sa voiture. L’aller et le retour normalement duraient une petite heure, là, il prit une grosse heure et demi. Mais je ne penses que c’était le moment de poser des questions ce que je fis.


Lundi 29 novembre 1981
Comme tous les jours et spécialement le Lundi, j’étais à l’embauche des chantiers. C’était bien organisé et les équipes savaient ce qu’elles avaient à faire, mais l’habitude pour moi et pour eux, j’étais présent. Mais à 10,00 heures je me rendis au centre car le patron m’y avait convoqué. Je me doutais, car en Afrique les bruits courts vites, donc le grand chef d’Abidjan venait faire une tournée.
A priori, pas de problèmes, mais c’était des ennuis en perspectives.
Le chef de centre me confirma la venue du chef de région et après avoir pris des nouvelles de mes chantiers, qu’il connaissait bien il me dit : « J’aimerais que vous montiez dans le nord voir Paul, je l’ai prévenu par radio de votre arrivée, … Vous l’avez aidé à démarrer son chantier, … il a l’air de maîtriser son affaire, mais je pense qu’il serait bon que vous alliez faire u tour pour l’aider et le préparer à cette visite. ». L’affaire était entendue, je n’avais plus qu’à m’exécuter. Donc le lendemain, après avoir organisé mes chantiers, je prenais la route en fin de matinée.
J’arrivais en fin d’après-midi. Paul était déjà rentré du chantier et on s’installa sur la terrasse pour prendre un verre. Naturellement en arrivant Mathilde me demanda des nouvelles de AL, … En fait, je connaissais, un peu, Mathilde, car nous étions monté assez souvent, avec AL, quand son mari démarrait ce chantier. En fait au début AL n’ayant pas de travail venait avec moi et nous les laissions seules toutes les deux à papoter. Et, j’avais remarqué que Mathilde, était un joli brin de fille dans les 24 ans, cheveux courts bruns, yeux verts lumineux qui éclairent son visage, et qui avait ce qu’il fallait où il fallait, peut-être une poitrine un peu lourde, mais paressant cependant ferme, il faudrait voir, mais je ne pouvais qu’imaginer et rêver, mais rien d’autre. En blouse d’infirmière, elle devait être craquante, mais, …
Le verre terminé nous passâmes à table pour le diner. Avec poulet grillé, … un diner sympa de brousse, … Au cours du diner on parla naturellement de l’arrivée du grand chef, ce qui avait provoqué mon arrivée. Paul, en tant que responsable du chantier, était un peu inquiet de la venue du grand chef. Je lui expliquais que le boulot qu’il faisait satisfaisait le client, que son réalisé suivait le prévisionnel et donc qu’il n’ay avait pas lieu de s’inquiéter, et que je n’étais là que pour rendre compte au chef de centre, … pas de soucis à avoir.
Pendant toutes ces discussions, un moment Mathilde, sa tournant vers moi son genou vint toucher le lien. Incident, … Mais plusieurs fois ensuite, son genou toucha le mien. Un fois bon, deux fois, quand même, … mais cinq ou six fois, … je finis par me poser des questions, qui furent sans réponses, car le diner terminé, le café bu, et devant partir, pour un tour de chantier, de bonne heure le lendemain, nous allâmes au lit rapidement. Lever cinq heure, départ pour l’embauche du personnel à six heure et toute la matinée, une visite détaillée du chantier, avec retour vers une heure de l’après-midi, pour le déjeuner qui fut expédié, mais avec quand même deux contacts. Paul repartit pour vérifier certains détails sur la construction du pont, alors que je restais au bureau à jeter un œil sur la paperasse, ses rapports, factures, … sachant que le grand chef était pointilleux sur ces choses. Une demi-heure après, Mathilde frappa à la port et : « Jean voulez vous un café, …j’en ai du frais, … »
Moi : « Avec plaisir, … » Là, je remarquais que son corsage, offrait une vue très agréable et peu raisonnable sur ses appâts naturels et se retournant pour aller chercher la café, sa jupe, disons plutôt sa minijupe, permettait de deviner un joli cul, bien rond et à priori bien ferme. Quelques minutes après elle arrivait, un café, du sucre, … le tout sur un plateau, qu’elle posa sur la table de réunion en se penchant, me permettant d’avoir une vue plus plongeante sur son généreux décolleté, quelques secondes, et elle se redressait pour partir, elle était arrivée à la porte… sans réfléchir, je lui dis : « J’aimerais pouvoir mieux apprécier, … ce que tu as eu la gentillesse de laisser entrevoir, … » Instantanément, elle fit demi-tour, un sourire sur les lèvres, le sourire de celle qui se disait que son truc avait marché, et une main sur le bouton supérieur de son corsage, pratiquement en train de le déboutonner et s’approchant de moi : « C’est ça que tu veux voir, … »
Moi : « Oui, … montres moi, … viens plus près, … »
Ce n’était même pas la peine de lui préciser, elle était à coté de moi, le corsage pratiquement entièrement ouvert. J’étais en train de faire une connerie, mais la vue de ses jeunes seins, pratiquement offerts, bien ronds, dont les tétons commençaient à se dresser au milieu de larges aréoles, m’éblouissaient, c’était plus que tentant. Sans réfléchir, je l’attirais vers moi et entrepris de finir de les sortir du corsage et entrepris de gouter, caresser, téter ces belles choses que l’on m’offrait. Et loin de se refuser, elle me les offrait avec des soupirs d’aise, les changeant de façon à ce que chacun ait son plaisir. Si au début mes mains s’étaient occupées de ses seins, elles étaient descendues pour lui prendre la taille et l’attirer entre mes jambes. Enfin, n’y tenant plus d’envies, de curiosité, la main gauche la tenant toujours par la taille, la main droite se posa entre ses cuisses et caressa l’intérieur de sa cuisse droite, juste en-dessous de la minijupe. Il y eut un léger resserrement des cuisses, peut-être une hésitation pour enfin s’ouvrirent, me laissant la caresser. Remonter vers sa chatte était mon objectif, mais minijupe droite, serrée, cuisses écartées, difficile d’aller plus haut. Je pense qu’elle s’en rendit compte, car abandonnant ses seins, elle remonta sa jupe à la hauteur de ses hanches et écarta un peu plus ses cuisses, alors que ses mains reprenaient ses seins qu’elle m’offrait et que la mienne remontait jusqu’à sa chatte nue, toute chaude, aux grosses lèvres gonflées et légèrement humides. Ma main se posa sur sa chatte, ou plutôt, par un léger mouvement de ses hanches sa chatte vint se poser dans ma main. La seule réaction à cette prise fut qu’elle compressa ses seins avec un gros soupir, il ne me restait plus, après quelques caresses, appréciées, d’aller à la reconnaissance de sa grotte d’amour. Sans hésiter mon majeur se mit à parcourir la douce et chaude raie d’entre ses grosses lèvres rondes et gonflées, pour enfin rentrer, accompagné de mon index, doucement dans ce fourreau chaud, ce qui fut accompagné par un coup de rein assez brutal, entrainant une pénétration aussi profonde que possible, apprécié par un : « Oui, … OH, … c’est bon, … » S’appuyant sur la table, elle ouvrit grand le compas de ses cuisses, se laissant aller au plaisir qu’elle ressentait et que je lui donnais en la masturbant : « Oui, … c’est bon, … continues, … encore, … OH, … OH,… j’aime ça, … oui, prends moi, … OOOOHHHH, … OUIIIIIIII, … » elle eut un spasme assez brutal, me collant contre ses seins alors que ses cuisses se refermaient sur ma main et mes doigts emprisonnés dans sa chatte qui coulait de plaisir. Enfin se décontractant, elle se redressa, pendant quelques secondes ne semblant ne pas être revenue. Puis un large sourire se montra et me prenant la tête posa un léger baiser sur mes lèvres. : « A moi, … tu m’as donné du plaisir, … beaucoup de plaisir, … à moi, … » et s’accroupissant elle commença à défaire et enlever mon short et caleçon et regardant ma bite dressée fièrement : « Je savais que j’aimerais, … à moi, … » et elle me prit en bouche et commença à me pomper, doigts, langue, lèvres entreprirent de s’occuper de ma queue avec une tendre énergie. Avant qu’elle n’en termine, je l’arrêtais : « Arrêtes, … »
Mathilde : « Tu n’aimes pas, … je voulais te donner du plaisir, … je ne te suces pas bien, … »
Moi : « Si, mais c’est toi que je veux, … j’aimerais te prendre, … te faire l’amour, … » Alors se redressant, elle se retourna, se colla contre moi : « Oui, … prends moi, … j’en ai envie, … » et prenant appui sur la table : « Je suis à toi, … oui, prends moi, … prends du plaisir, … donnes du plaisir, … fais moi jouir, … » Alors qu’elle me présentait son joli cul, j’entrepris du lui caresser la raie de sa chatte et de remonter dans la rais de son cul, elle respirait de plus en plus rapidement et pensant qu’elle était à point, je me guidait dans sa chatte que je pénétrais facilement tellement elle était chaude, ouverte, … et je me mis à la ramoner avec énergie, certes je voulais me faire plaisir en sautant cette jolie femme, mais je voulais que cette baise lui laisse un bon, non un très bon souvenir. Et, elle cramponnée à la table et moi à ses hanches, j’y allais à grand coup de rein, ce qu’elle semblait apprécier : « Oui, … prends moi , … prends moi fort, …j’aime te sentir dur, … » du coup, je lui claquais un peu fort ses belles fesses, elle eut un brutal coup de cul et un : « OH, … oui, … prends ton plaisir, … je me sens soumise à ton plaisir, … oui, … j’aime te donner du plaisir, … OH, … c’est bon, … ne t’arrêtes pas, … continues, tu vas me donner du plaisir, … OOOOHHH, … OUIIIIIII, … OOOHHH, … OUIIII, … » et elle fut secouée par un gros puis plusieurs petits spasme quand cramponné à ses hanches, je me vidais dans son fourreau accueillant. Elle resta un moment allongée sur la table et reprenant ses esprits, elle se redressa et m’enlaçant, me dit : « C’était bon, … je le savais, … embrasses moi, … » s’en suivit une baiser goulu, accompagné d’un chaud contact de son corps. Nous nous réajustâmes et elle prit la direction de la porte, cependant avant de la franchir, elle se retourna en disant : « Quand tu voudras, … » elle était partie. Je me remis au boulot, en traitant de tous les noms, que ce n’était pas une chose à faire et chose que j’avais toujours évité de faire, … mais quelle femme, j’avais tort, … mais en fait je ne regretterais rien, et puis demain, il était prévu que je parte en début de matinée. Paul rentra du chantier vers 18,00 h et après une douche vint me rejoindre dans le bureau où nous parlâmes, boulot, visite du grand chef, quand Mathilde, le décolleté sage et la jupe évasée, vint nous proposer de prendre un apéritif avant de passer à table. A table, repas sans histoire quand Paul s’enquit : « Quand comptes tu partir demain, … t’avais prévu de partir de bonne heure, … c’est quelle heure à peut près, … que je m’organise, …»
Moi : « C’est exact, était prévu, … (un genoux vint se cogner contre le mien) enfin, je pense que j’aimerais finir tout ce que j’ai commencé dans la paperasse et partir en fin de matinée, … »
Paul : « Mathilde va être contente, … une matinée où elle ne se trouvera pas seule, … »
Mathilde : « Ça me change un peu, …les échanges sont ce qui nous manque, … » et le diner se termina en parlant d’autres choses. Vers 20,00 h alors que j’allais la case de passage, Paul me souhaita une bonne nuit et me dit : « Je vais faire mon tour, … »
Moi : « Quel tour vas-tu faire, … »
Paul : « Je joints l’utile à l’agréable, quand je fais un tour de chantier, comme tu le sais tu descends du 4*4, tu regardes les travaux, tu discutes à les chefs de chantier, et tu remontes dans le 4*4 et ça tout la journée, …ça fat peu de sport. Alors le soir, je fais la tournée des gardiens, utile, et ça me fait marcher environ une demi heure, agréable, … au fait Mathilde, j’ai vu qu’il n ‘y avait plus d’eau dans la case de passage, peux tu apporter une bouteille à Jean, … Bonne nuit à demain, … ». Torche à la main, il était parti, alors que je regagnais la case de passage et m’installais pour ébaucher mon rapport de visite, j’y étais depuis cinq minutes, quand on frappa à la porte, après un entrez, Mathilde apparut : « Que viens tu faire, … ou est Paul, … »
Mathilde : « T’apporter la bouteille d’eau, … et … je viens demander, …non quémander une caresse, … tu as le temps, … »
Moi : « Tu es folle, … et s’il revient, … on aura l’air de quoi, … »
Mathilde s’asseyant sur le bureau : « Ne t’inquiètes pas, il en a pour une demi heure, … au lieu de discuter, … vient m’embrasser, … et me caresser, … » Le mieux était de se plier à ses désirs, je m’approchais d’elle pour l’embrasser. Pour me laisser m’approcher, étant donné sa position, elle écarta les jambes et nous pûmes faire une partie de lâche museau, assez agréable et elle me dit : « Caresses moi, … ma jupe est pratique, … et je n’ai rien en dessous, … dépêches toi, … » Une impulsion, un désir brutal : « Remontes ta jupe, … » ce qu’elle fit et la prenant sous les genoux, je la basculais sur la table. Elle se trouvait sur les dos, las cuisses écartées et la chatte, que j’avais touchée, caressée mais que je n’avais jamais vue, était là devant moi, avec une touffe, taillée en un petit triangle et coupée très court. L’ayant touchée, maintenant vue, je voulais humer son odeur de femelle chaude, et la gouter : « Je vais te bouffer la chatte, … c’est ce que tu veux, … écartes tes cuisses, … » ce qu’elle fit avec un soupir d’aise : « Oui, … lèches moi, … goutes moi, … je veux te sentir me lécher, … j’en rêve, … oui, … c’est bon, … » Et je me gavais de son jus de plaisir qui coulait généreusement, et j’enfonçais deux doigts dans se grotte d’amour et commençais mes va et viens, ce qui la fit se cambrer, pour mieux m’accueillir et soupirer de plaisir et m’encourageant par des pus vites, plus fort. Un doigt plein de sa mouille, j’en profitais pour tâter la souplesse de sa rosette, et elle sembla apprécier par : « Oui, … encore, … ne t’arrêtes pas, … je sens, … OOOOOHHHH, … OUIIIIIIII,… OOHHH, … OUIII, … arrêtes je ne peux plus, …» , j’étais inondé de son plaisir, mais moi cela ne faisait pas mon affaire, j’avais un trique pas possible qu’il fallait soulager, … je me défis rapidement et la bitte bien dure à la main, je l’enfonçais d’un seul coup dans son fourreau chaud, ce qui fut accueilli par : « Oh, … non, … tu ne peux pas, … arrêtes, … tu vas m’épuiser, … arrêtes, … non, … OH, … oui, … continues, … oui, … baises moi, … fort, … plus fort, … fais moi des souvenirs, … ne t’arêtes pas, … fais moi de bons souvenirs, … OOOHHH, … OUIIIIII, … » et pendant qu’en fin libéré, je me vidais, avec soulagement dans son minou, elle fut secouée par un spasme aussi brutal que rapide. Elle se redressa encore un peu secouée, debout sans un mot elle prit la direction de la porte, au passage, je lui claquais gentiment une fesse en lui disant : « T’as vraiment un beau cul, … » C’était idiot, grossier, … mais enfin. Peu de temps après son départ, j’entendis l’arrivée de Paul, ce qui me mit mal à l’aise. Enfin c’était fait, d’un coté pas content, mais bon sang quelle nana, elle aimait ça, et elle s’offrait, … Je finis par m’endormir.

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