Mercredi 18 Novembre 1981

Lundi, mardi débordé, impossible d’aller voir Véro
Le mercredi je pus m’organiser pour passer voir Véro, essayer de voir et comprendre ce qui c’était passé entre ces deux nanas. Me présentant à sa secrétaire, je fus immédiatement introduit dans le bureau de la cheffe, qui alors que je traversais le bureau et m’approchais d’elle pour la prendre dans mes bras et l’embrasser, me fit signe de m’arrêter et contournant son bureau, en faisant sauter un bouton de son corsage, de façon que je la vois debout, pris sa jupe et en deux ou trois tours de hanches, celle-ci devint une ceinture, ce qui me permettait de voir qu’elle ne portait rien en dessous : « C’est ce que tu voulais, … hier et avant-hier je t’attendais, … j’avais une envie folle de te voir, … que tu vois, que je fais ce que tu veux, … heureusement que tu es venu aujourd’hui, … tu vois, … maintenant viens, … dis moi que tu es content que je t’obéisse, … viens vite, … j’ai envie de toi, … donnes moi du plaisir, … et on parlera après, …». J’avais eu plaisir à la draguer, et je commençais à comprendre mieux cette femme, cette femelle, qui était gourmande de sexe et qui avait peu de chose pour la satisfaire à la maison, qui plus est, dont le mari allait draguer ailleurs. J’avais eu la chance d’être là au bon moment et elle ne demandait qu’une chose du sexe et pour cela elle faisait tout pour se satisfaire et satisfaire son amant donc moi. Je décidais de faire au mieux pour la satisfaire et sachant qu’elle était sensible des seins, je lui dis : « Je veux gouter à tes seins, … » sans hésiter elle ouvrit son corsage et prenant ses seins à pleines mains elle me les tendit : « Tiens, … prends les, … suces les, … j’aime quand tu me têtes, … c’est bon … » et penché en avant pendant que ma bouche s’occuper de ces deux beaux nénés, j’avais laissé glisser ma main vers son entrejambe et avais pu la poser, sans problème, sur sa chatte et commençais à la caresser. Les deux opérations en même temps firent que son rythme de respiration commença à s’accélérer, … Les tétons s’étaient durcis et si je les mordillais avec douceur, les cuisses s’étant légèrement écartées, je n’oubliais pas de suivre la tendre et chaude fente des lèvres de son minou, qui semblait vouloir s’humidifier.


Moi : « Montes sur la table, … je veux sentir ton odeur, … ta chatte, … je vais te bouffer la chatte, … dis moi que tu en as envie, …»
N’étant pas loin, je l’aidais à s’asseoir sur la table pendant qu’elle disait : « Oui, … occupes toi de ma chatte, … fais ce que tu veux, … lèches moi, … j’aime sentir ta langue me prendre, … oui, … viens, … donnes moi du plaisir, …»
Après avoir humer, dans sa touffe, son odeur de femelle chaude, j’entrepris de lécher sa chatte suivant la jolie raie de ses grosses lèvres gonflées et le bout de ma langue la pénétra pour avoir le goût de sa mouille, et voyant qu’elle était bien humide, j’enfonçais deux doigts dans sa chatte, alors, se laissant aller sur le dos, le compas de ses cuisses largement ouvertes, elle s’offrait à moi avec : « Oui, … prends moi, … j’aime te sentir, … oui, … donnes moi du plaisir, … »
Je me mis à la masturber avec entrain, plus ça allait plus elle coulait, plus elle semblait s’ouvrir. « Oui, … continues, … ne t’arrêtes pas, … »
Moi : « Après ce sera à toi, … je veux prendre ta bouche, … je veux que tu me suces, … »
Véro : « Oui, … tout ce que tu voudras, … ne t’arrêtes pas, … je vais, … OOOOHHHH, … OUIIIIIII, … » elle se cambra, ses cuisses se refermèrent brutalement ce qui lui fit comme un bon gros spasme. Quelques minutes plus tard, elle se redressa, se laissant glisser de la table, elle vint contre moi : « J’ai aimé, … laisses moi faire, … à ton tour sur la table, … » Le short et le caleçon furent évacués rapidement et moi en appui sur la table, elle entrepris de s’occuper de « popol » Doigts, langue, lèvres, s’occupèrent avec une douce énergie de l’engin, qui devenait dur et semblait avoir pris du volume quand elle le prit en bouche et commença à le pomper, il ne fallut pas beaucoup de temps avant que je sente une telle pression que d’une seule giclée, je me vidais et remplissais sa bouche de mon plaisir, qu’elle avala sans hésiter. Enfin se relevant, elle revint contre moi : « J’ai aimé te donner ma bouche, … le temps court, … il faut que tu partes, … mais reviens rapidement, … »
Moi : « Oui, … mais tu m’avais dit que tu voulais me parler, … c’est quoi, … »
Véro : « J’allais oublier, … B doit partir en fin de semaine.
L’armée fait des manœuvres dans le nord, il sera absent pendant une bonne semaine, … »
Mi : « Tu en as parlé à AL, … »
Véro : « Non, … pas encore, … mais tu peux le faire, … »
Moi : « Je préfère que ce soit toi, … »
Un corsage qui se ferme, une jupe qui retrouve sa place, un léger baiser sur les lèvres, j’étais parti.
- Le soir
Je rentrais tard et comme d’habitude AL était là à s’occuper à préparer ses cours. Un léger baiser et : « Comment c’est passé la journée, … tu as vu Véro, … »
Moi : « Non, … »
AL, brutalement : « Jean, … pas la peine de me mentir, … je sais que tu couches avec, … je ne t’ai pas fait de reproches et pour cause, … avec ce qu’elle a la maison, … étant normale, je dirais, … c’est normal qu’elle cherche ailleurs, … alors, … »
Moi : « Mais, … »
AL : « Tu vois, quand tu rentres des chantiers, … tu sens le chantier, … si vous avez utilisé du ciment, tu sens le ciment, … si vous avez fait des … oui des enrobés, … tu sens le bitume, … et aujourd’hui, il y a au-dessus du ciment une légère effluve d’eau de Cologne, … et que je sache, seule Véro utilise cette eau, … on est d’accord, … »
Moi penaud : « Bon d’accord, …je l’ai vue, … »
AL : « Je ne te reproche rien, … ça pourrait être mal vue de mon coté, … elle cherche ce qu’elle n’a pas chez elle, … bien, … alors, … »
Moi : « Bon, … B doit partir en manœuvres en fin de semaine et ce pour plusieurs jours, … si tu veux lui en parler, … libre à toi, … »
AL : ironiquement « Ainsi, tu pourras profiter de ce départ, … pour t’occuper de Véro, … elle doit être ravie, … chaude comme elle est, … »
Moi : « OK, … t’as fini, … » et elle partit à rire en me proposant un petit apéritif avant le diner.
Au cours du diner le cas Véro revint sur la table.
AL : « Je vais aller la voir, … on ne peut pas la laisser seule, … es-tu d’accord, … »
De toutes les façons, d’accord ou pas, AL ferait ce qu’elle voulait donc j’étais d’accord.

Du reste de la semaine, il me fut impossible de faire un saut pour voir Véro et le vendredi soir AL me dit qu’elle avait vue Véro, que B partait samedi matin pour une semaine complète. Elles avaient donc décidé que samedi soir, on se retrouverait au club, mais de façon à éviter les cancans, nous arriverions tous les trois ensembles. Nous sommes amis, son mari est parti, … donc à priori pas de mauvaises pensées.
➢ Samedi 21 novembre 1981
Comme décidé, nous sommes arrivés ensemble et nous nous sommes mis à notre table habituelle, … Passé les premières danses, bien serrées et bien chaudes avec AL, j’invitais Véro, qui d’ailleurs ne manquait pas de cavaliers, et nous arrivâmes sur la piste, et sans hésiter Véro se colla à moi et les premiers pas faits : « Tu sais, je t’ai espéré toute la fin de semaine, … je me suis ennuyé de toi, … j’espère que tu vas te rattr , … où, il faut que j’aille te voir à ton bureau, … »
Moi, glissant ma jambe entre les siennes : « Tu sais bien que j’aurai aimé, … mais on ne paye pas à ne rien faire, … et actuellement on a quelques problèmes, … mais je vais faire un effort, … »
Véro : « Je vois, … non, je sens que tu veux bien commencer la soirée, … continues, … j’aime ta jambe, … c’est bien de m’exciter, … mais il faudra aller jusqu’au bout, … tu sais que je suis seul ce soir, …»
Moi : « Ça, je sais, … mais je ne sais si AL serait d’accord, pour m’abandonner, … dans tes bras, … à sa façon de danser, … je ne pense pas que ce soit possible, … »
Véro : « Serres moi fort, … j’ai envie de toi, … depuis mercredi, je ne penses qu’à ça, … je sens ta place, … débrouilles toi, …»
Moi : « Tu veux sortir, … » mais la série était terminée, retour à la table
Retour à la table, où ces dames trouvèrent qu’elles avaient soif et qu’en honnête homme efficace, je me devais de les abreuver rapidement. Je me propulsais vers le bar où le garçon s’affairait à distribuer des boissons. J’étais arrivé alors que c’était certainement un moment de réapprovisionnement, car il y avait un monde fou.
Quand je revins avec les boissons, ces dames étaient en grande conversation. Je déposais les boissons et une nouvelle série commençait. C’est AL qui se leva et nous attaquâmes cette série, où AL faisait son maximum pour se frotter à moi et le résultat se fait sentir dans ma braguette. Collé l’un à l’autre, ce cher amour se frottant à moi : « Alors, … elle est bien chaude, … tu l’emmènes sur le parking, … »
Moi : « Tu ne penses pas que tu pousses un peu, … »
AL : « Disons, que je sais que tu en as envie, … je pense qu’elle aussi, … et j’ai comme, qui dirait que, l’impression que je serais capable de ne rien voir, … de ne pas voir l’absence de mon mari pendent, … un temps raisonnable, … »
Moi : « C’est de la provocation, … »
AL : « Non, … c’est de l’incitation, … »
Moi : « Tu es folle, …ou qu’est ce que tu prépares, … »
AL : « Serais-tu méfiant, … j’ai toujours étais honnête avec toi, … ce n’est pas une vacherie, … je t’aime trop, …»
Moi : « C’est tentant, … » et nous retournâmes à notre table.
A peine arrivé, Véro était prête pour la série suivante. Elle était déchainée, collée contre moi, ma jambe entre les siennes, à chaque passage elle se frottait et plus ça allait plus sa respiration s’accélérait, pour vers la deuxième danse me dire : « Viens, … tu as envie de moi, … je le sens, … moi aussi, … je suis folle d’envie de toi, … viens, … j’attends ce moment depuis mercredi, …»
Moi : « Et AL, … que lui dire, … »
Véro : « Rien, … elle regarderas ailleurs, … »
Il y avait quelque chose qui me dépassait, AL incitait et même insistait, Véro disait ne pas s’en soucier, … j’étais un peu dépassé. Il devait y avoir quelque chose entre elles, mais quoi, … Je me décidais, un peu par provocation, et aussi car cette salope de Véro avait tout fait pour que j’ai une trique douloureuse, gonflée à éclater. Enfin, je lui dis OK, fin de la danse on se quitte direction le 4*4. Comme dit comme fait.
Echangisme bureau sans capote

En allant au parking, VERO SE REMÉMORA comment tout ça avait été possible. « Quand AL, s’était faite annoncée, je me demandais ce qu’elle voulait, sachant qu’avec B leur nuit c’était male passée, elle voulait, certainement que j’abandonne Jean ».
En fait, en entrant, AL était tout sourire, elle lui fit la bise et demanda des nouvelles, puis on s’installa à la table de conférence et le dialogue reprit :
AL : « Je sais que Jean est venu te voir mercredi »
Véro : « Il te l’a dit, … »
AL : « Non, … j’ai senti ton eau de Cologne, … tu sais sans doute que ça c’est mal passé avec B, ... Bien, affaire terminée, n’en parlons plus, … J’ai appris également que B sera absent pour au moins une semaine, … on a pensé avec Jean que samedi, pour que tu ne sois pas seule, tu viennes avec nous au club, nous sommes amis, personne n’y verra à redire, … Je pense que c’est une bonne solution pour vous, … Jean est ton amant, on le sait, … Ce qu’il apprécie chez nous, toi et moi, la brune et la blonde, c’est qu’on aime le sexe, qu’il sait avec nous prendre son plaisir et nous en donner, … d’accord. »
Et elle posa sa main sur mon bras. Un peu surprise je ne dis rien et elle continua
« Depuis mercredi, disons que je n’ai rien fait pour qu’il m’approche, tu vois ce que je veux dire, pensant que samedi il aurait de grandes envies et que te retrouvant il lui viendrait l’idée de te proposer une sortie dans la parking, comme vous l’avez déjà fait. Etant donné les circonstances et que cela se produise, disons que je ne verrais rien. »
AL n’était plus là, elle suivait son idée, sa respiration s’était un peu accélérée, … Tout à coup il vint l’idée que AL me tendait, peut-être, sans s’en rendre compte clairement, une perche, me proposant une sorte de marché, elle fermait les yeux pour samedi et peut-être plus et je m’occupais d’elle, … je trouvais l’idée drôle, excitante, … j’étais la maitresse de son mari, elle s’offrait à être mon amante, …Instinctivement et sans réfléchir plus avant, pendant qu’elle parlait, je me penchais et posais mes lèvres sur les siennes, … Quelques secondes d’hésitations et ses lèvres s’entrouvrirent, s’ouvrirent et nos langues firent connaissance. Ce fut un baiser surprenant, excitant et même extrêmement tendre. Je me levais, elle se leva et je la pris dans mes bras, on se colla l’une à l’autre, pour un nouveau baiser plus fougueux, puis je descendis le long de son cou, elle frissonna. J’ai hésité, mais au point ou nous en étions, il fallait y aller. Je la poussais contre la table et je remontais sa jupe, elle m’aida à la coincer et je glissais une main dans son entrejambe, qu’elle ouvrit avec un soupir de plaisir, et tombais sur sa petite culotte, que je sentie légèrement humide. Sentant cela, je me dis que c’était gagné. Alors que je m’efforçais de lui enlever, je lui dis : « Tu portes encore çe truc, … » Elle : « Pas tout le temps, … Au lycée, je ne pourrais pas ne pas en avoir, … » Quand il fut enlevé, la regardant, je le portais à mon nez et reniflais son odeur et ce pour lui dire : « Tu sens bon, … t’es toute chaude,… » Elle, toujours en appui sur la table, les cuisses écartées : « Arrêtes, … tu me rends folle, …je ne sais plus où j’en suis, … »
Pour ma part j’étais excitée au possible, je sentais que mon rythme cardiaque c’était accéléré, ma tête bouillonnait, tout d’un coup, je voulais cette femme, elle était prête également, c’était le bon moment, je me rapprochais d’elle et une main sur sa chatte je la caressais, elle réagit aussitôt, écartant les cuisse avec : « Oui, … viens, … ». Je dirais pratiquement instinctivement j’enfonçais deux doigts dans son fourreau chaud et humide, elle était ouverte, prête à se faire prendre, prête à jouir et c’est ce qui arriva rapidement : « Oui, … j’aime, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … continues, … tu vas me faire jouir, … OOOOOHHHH, … OUIIIIIIII, … » et elle fut parcouru par un long frisson suivi d’un spasme aussi brutal que surprenant. Quant à moi, si cela m’avait un peu calmée, j’aurais eu besoin d’un homme pour me calmer. AL, sembla retomber sur terre ou se réveiller, elle rabattit brutalement sa jupe et me regardant dit : « Je suis folle, … je ne sais ce qu’il m’a pris, … oublies ce qu’il vient se passer, … et rends moi ma petite culotte, …». Là, je n’étais pas d’accord et lui répondis en tenant son petit slip : « Je la garde en souvenir, …J’ai aimé ce que nous avons fait, … tu as aimé aussi, … on se reverra pour recommencer, … », elle était partie.

J’arrivais que quelques instants avant Véro et ouvrais le hayon du 4*4. A peine arrivée, elle avait déjà défait la ceinture de sa robe, qui s’était ouverte : « Regardes, … je suis comme tu aimes, … nue, … viens prends moi, … comme tu veux, … mais prends moi, … j’espérais que tu viendrais, … j’ai tellement envie de toi, …» et elle se colla à moi. Mes mains entrèrent dans sa robe et je pouvais, ainsi, la caresser et ressentir la douceur de sa peau, ce qui ne fit qu’augmenter mon envie de la prendre, mais je lui dis : « Enlèves ta robe, … »
Véro : « Mais, … non, … complétement, … »
Moi : « Oui, … complétement, … avec cette lune, … nue tu seras très belle, … »
Véro : « Non, … tu es fou, … je ne peux pas faire ça, … »
Moi : « Mais, si, … je suis sur que tu es en train de te dire pourquoi pas, … l’idée te tente, … t’excite, … »
Véro : « Non, … tu es fou, … on peut nous voir, … »
Moi : « Tu imagines, … tu enlèves ta robe, … tu te montres à moi, belle, nue, … tu fais un tour sur toi, … qu’après tes beaux seins, … je vois ton joli cul, … et tu viens contre moi, … pour que je te caresse … c’est follement excitant, … »
Véro : Tu es complètement fou, … non, … je ne peux pas, … »
Moi : « Mais si, … tu en meurs d’envie, … je suis certain que ça te fait mouiller, … dis oui, … »
Véro hésitante : « Tu es sur qu’on ne peut pas nous voir, … » et avant que je puisse répondre, elle commença à enlever sa robe, doucement et complètement et elle me la tendit, et la posais dans la voiture.
Elle écarta les bras en disant : « C’est ça que tu voulais, … dis moi que tu aimes, … je tourne, … dis moi que tu as envie de moi, … » Elle fit un tour complet, pendant ce tour ses bras ou plutôt ses mains se posèrent sur ses hanches pour remonter le long de son corps et terminer en prenant ses seins et comme pour les offrir. Ce corps de femme nue sous la lumière de la lune était follement excitant.
Son tour terminé, elle vint se coller contre moi, elle était chaude. S’en suivit un long baiser des lèvres mais aussi du corps. Après l’avoir serré dans mes bras, je glissais une main vers sa chatte, ayant légèrement écarté les cuisses, l’accès était aisé et je pus constater qu’elle était trempée.
Véro dans un souffle : « Tu es content, … tu es arrivé à tes fins, … je suis mouillée, … ça te plait, … viens prends moi, …tu m’as excitée, … j’ai fait ce que tu voulais, … à toi de me satisfaire, … j’espère que tu es en forme, …»
Moi : « Viens contrôler, … j’ai envie que tu me suces, … et que tu vérifies la forme de ce qui est à ta disposition, … »
Sans hésiter, elle sortit l’engin en pleine forme avec un : « J’aime quand t’es comme ça, … c’est beau, … je vais voir s’il est bon, … » et sans hésiter deux ou trois coups de langue sur la longueur, ce qui me faisait vibrer, puis elle attaqua avec les lèvres douces le gland, pendant que le bout de sa langue me titille le bout de la queue. Plus ça allait plus je bandais, après m’avoir pompé un petit peu, elle se releva pour me dire : « Je crois, que tu es en forme,… viens prends moi, … j’en ai envie, … je veux te sentir, … viens, … montes moi, …» dit-elle en se retournant et le me présentant ainsi son joli cul. Pour voir sa réaction, je lui dis : « Je vais prendre ton joli cul, … »
Aussitôt : « Non, …pas maintenant, … tu l’auras après, … quand tu voudras, … maintenant baises moi, … prends ma chatte, … Elle t’attend, … » Elle était prête, je n’avais qu’à me guider entre ses cuisses largement ouvertes et d’un léger coup de rein je la pénétrais complètement et profondément tellement elle était ouverte et mouillée. A peine dedans, je senti qu’elle se contractait et semblait me bloquer en elle. Cramponné à ses fesses je commençais à la ramoner avec énergie, et rapidement : « Oui, … je te sens bien, … c’est bon, … continues, … j’aime que tu me prennes comme ça, …dis moi que je suis ta femelle, … et que t’aimes me baiser, …oui, … continues, … c’est bon, … j’attendais ça avec impatience, … » et très excité, je la ramonais avec énergie, et comme cela faisait partie du jeu je lui claquais les fesses : « Oui, … j’aime, … encore, … oui, … baises moi fort, … éclates moi la chatte, … oui, … plus fort, … fais moi jouir, … » et je continuais, puis je me disais, que je pourrais changer de cible et lui disais : « J’ai envie de prendre ton joli cul , … je sens que je vais t’enculer, … » Vive réaction de ma partenaire : « Non, … fini ce que tu as commencé, … tu auras le reste plus tard, … mais finis moi, … OOHHH, … continues, … ne t’arrêtes pas, … OOOOHHHH, …. OUIIIIIIIII, … » et elle avait tellement envie de jouir que soudain elle se contracta avec un bel orgasme, qui la fit s’accroupir alors que j’aspergeais ses jolies fesses. Alors que Véro se relevait, je dus retenir sa robe. Ayant dans la voiture une trousse de premier secours, les dégâts furent vites réparés et nous rentrâmes au club. Et là AL, me demanda avec un petit sourire en coin : « J’espère que ça c’est bien passé, … que tu as été à la hauteur, … » Là, je commençais à m’inquiéter, qu’elle ferme les yeux, bon, … mais qu’elle commente, … c’était ennuyeux et elle « m’invita » à danser. Sur la piste, je te colle, tu me colles, on se colle, … et ma chère et tendre : « C’est drôle, je ne sens rien, … » effectivement, je n’avais pas encore récupéré.
De retour à la table, ces dames décidèrent qu’il était temps de se rentrer. Direction les voitures et à ce moment Véro dit à AL : « Tu viens avec moi,… » Quelques secondes d’hésitation et celle-ci accepta. Elles étaient dans la voiture de Véro alors que j’en étais à me demander ce qui c’était passé et ce que je devais faire, les poursuivre et demander des explications, ou rentrer à la maison ce que je fis et on verrait demain. Sur cette bonne résolution je rentrais me coucher, pas content du tout, mais, …

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