Collection Zone Rouge. Rupture Familiale (2/2)

« Je pars vivre ma vie. »

C’est le mot que je laisse sur la table de la maison familiale quand je la quitte avec ma valise.
À la recherche de sexe facile pour casser le lien de soumission des femmes qui semble être le mot d’ordre dans nos familles aisées.
Après plusieurs essais infructueux surtout avec Julien mon copain d’enfance qui m’arrose la main dès que je lui touche le sexe, c’est un inconnu dans un bar près des Champs-Élysées qui me rendent ce service.
J’ai aimé la facilité à me faire embarquer, alors je décide d’y retourner, une femme ayant de la classe, mais un peu âgée et déjà vue la première fois va bouleverser ma vie.

• Loïse, tu perds ton temps dans ta quête de sexe gratuit, je peux te proposer de rencontrer des hommes dans le monde entier, contre de grosses rétributions.
Avec moi, tu pourras t’éloigner de notre castre comme je l’ai fait, il y a de nombreuses années et assumer ta vie en continuant à t’habiller chic.
• Vous voulez que je me prostitue, mais d’abord, qui êtes-vous ?
• Je m’appelle madame Claudine, que crois-tu que tu fasses quand tu viens dans un bar chercher la queue d’un homme pour qu’il te saute, la différence entre une jeune femme honorable et une pute comme tu dis, c’est que la pute assume.
La jeune femme honorable cherche un soutien pour la vie, dès que tu es entrée la première fois, j’ai su que tu voulais briser le lien avec la manière pleine de soumission dont vie ta mère.
Neuilly, un mari influent, qui entre parenthèses va aux putes régulièrement et une mère qui subit son bon vouloir.
Ta mère a épousé ton père grâce à madame Louise, marieuse professionnelle, morte depuis peu, remplacée par madame Arlette, elle lui est complètement soumise.
• Comment savez-vous tous ceux-là, madame Claudine, êtes-vous médium ?
• Non, seulement une bonne professionnelle dans le milieu du sexe, je t’ai fait suivre la première fois par mon neveu que j’avais appelé et qui est arrivé quand tu sortais avec l’homme qui tu avais dragué.


Entre parenthèses, quand il est revenu, très peu de temps après, il pestait, car tu lui avais laissé des traces de ton hymen sur son pantalon, il a demandé au patron ou il y avait une teinturerie.
Avec ton adresse, j’ai pu remonter tes origines, pour ton père, il est sur mes fiches, il fait appel à mes services quand il a envie de tromper ta mère.
Si tu attends qu’il te présente ton futur mari, tu es fichu, je te propose de vivre ta vie à travers le monde comme je l’ai fait moi-même avant de créer mon agence.
• Pourquoi travailler avec vous, je peux mettre ma photo sur Internet dans une agence d’escorte, je me ferais des clients ?
• Bien sûr, et un jour, tu te retrouveras avec ton père dans ta chambre puisqu’il va aux putes, avec moi, j’enquête sur le milieu ou mes filles ont vécu et ainsi, j’évite cet inconvénient.
Connais-tu Benoit, un homme de l’âge de ton père ?
• Son bras droit, bien sûr, je le connais.
• Je leur fournis souvent deux filles pour des parties carrées, te vois-tu au milieu de ces deux hommes ?
• Bien sûr que non, vous me dites que mon père partouze dans le dos de ma mère !
• Chaque fois qu’il le peut, quant à ta mère, mon neveu, là suivi elle aussi, c’est son chauffeur qui est son amant.
• Hubert est l’amant de maman, quelle famille d’hypocrites, sa joue les vertueuses et ça fornique même avec le personnel.
• Loïse, dans le genre, tu es une aussi belle salope, en plus de l’homme qui t’a dépucelée en sortant d’ici, qui ont été tes amants.
• Vous savez ça aussi, si j’ai couché avec Hubert et après son gendre, c’était par dépit, mon dépucelage avait été bref et j’étais frustré.
• Frustré, c’est le mot qu’emploi mes clients quand ils m’appellent, ils sont frustrés, car ils croient que leurs femmes sont frigides, moi avec mes filles, je suis là pour leur ôter ce sentiment.
• Pourquoi semblez-vous travailler dans ce bar, si vous avez un réseau si important.

• Ça remonte à madame Claude, elle faisait le même métier, mais avait fini par avoir pignon sur rue, c’est son agence qui a été son point faible et qu’il l’a fait tomber.
J’ai appris de cette expérience, je garde mes fiches dans un coffre et je reçois mes filles dans des lieux publics, si tu travailles avec moi, je te donnerais un portable.

Elle m’en tend un.

• Si tu le prends, nous correspondrons par ce biais, je te donnerais un code que tu apprendras par cœur et qui te dira dans quel bar me rejoindre.
• Si j’accepte, vous me garantissez l’incognito sur ma vie parallèle madame Claudine, vous avez de l’humour, madame Claude, madame Claudine !
• Tu me plais de plus en plus, tu es la première et la seule à avoir fait le rapprochement, je vieillis, mes filles auront prochainement besoin d’une nouvelle Claudette, penses y.
Bien sûr, après avoir fait tes preuves.
• Comment puis-je les faire ?
• Ce soir, hôtel Normandie, chambre 20, j’ai un client qui attend une fille, c’est l’un de mes derniers clients avant que j’arrête de tapiner, j’aime lui fournir des nouveautés.
• Je serais sa nouveauté.
• Oui, pour 3 000 € la soirée avec un repas dans un grand restaurant, je peux l’appeler pour lui dire que je lui ai trouvé une perle rare !
• Ça peut se faire, si je comprends bien, j’ai le choix entre votre client ou cet homme bedonnant qui me dévisage comme si j’étais une vache de concours agricole.
• Quand l’homme qui t’as dépucelé, en plus du patron, il a conversé avec cet homme, j’ai très clairement entendu qu’il lui a dit, qu’une salope comme toi revenait toujours, ça fait deux jours qu’il traîne ici.
• Alors, je suis certaine d’aller chambre 20 ce soir, à l’hôtel Normandie.
• Sage décision, mais avant je dois faire ta fiche, même si j’y ai déjà marqué pas mal de renseignements.

C’est ainsi que je suis en chemin pour faire ma première passe, comme transgression de ma vie familiale, je pense que ce que je vais faire, va m’éloigner définitivement de mon milieu, tout en gardant mon standing.

Madame Claudine a raison, se faire baiser en cherchant le premier venu où se faire baiser pour du pognon, même si ma famille et donc moi-même en avons plus que nos besoins, seront plus jouissifs.

• Entrée, madame Claudine m’a dit qu’elle m’avait trouvé un morceau de roi, elle était en dessous de la réalité.
Mademoiselle Lucie, c’est votre nom, je crois, voulez-vous m’épouser.
• Bien sûr monsieur, mais pour une nuit seulement et pour les 3 000 € que vous allez me remettre.
• Voici l’enveloppe, vous pouvez recompter.
• Vous êtes ami avec ma préceptrice, je vous fais confiance, passons aux choses sérieuses.

Merci Internet d’avoir vu des pornos ou des putes se faisaient sauter, elles commençaient toujours par une fellation, aussi je m’agenouille et j’ouvre le peignoir sur le dos de cet homme très près de l’âge de mon père.
J’ai un moment le regret qu’il soit âgé, mais quels jeunes ont les moyens de sortir 3 000 € sans oublier ce que doit garder madame Claudine pour faire tourner son affaire, je pense que mon anus doit valoir 3 000 € au minimum.

Mon anus, car dans ma prestation, Alain mon client souhaite me sodomiser, je sais qu’un jour, je devrais me faire enculer, alors pourquoi pas par cet homme qui en a une, loin d’être gigantesque.
Impossible de dire comme dans du beurre, mais ce soir c’est fait, il a même déchargé son sperme dans mon anus, cela l’a ravi, à tel point qu’avant que je parte, il me tend un billet de 500 €, très bonne soirée.

Les semaines et les mois qui suivent, mon engagement envers madame Claudine augmente de jour en jour, elle me fournit ses clients les plus vicieux, il y en a même qui me cravachent.
Je suis ouverte à tous les vices, je m’en fiche après la location de mon appartement, je viens de m’acheter une voiture de mon standing.
Ce week-end, je suis allée au Japon, j’ai rencontré un couple de Nippons avec qui j’ai couché, bien sûr la femme a fait partie de nos jeux, brouter un vagin a été une grande expérience surtout pendant que le mari m’enculait.

Il en avait une petite, mais très vigoureuse, il m’a fait jouir par l’anus, première fois pour moi.

Depuis aujourd’hui, je suis en chemin pour devenir madame Claudette, nous sommes assises dans un bar où j’ai déjà rencontré madame Claudine, avant que j’aille faire une passe dans un palace parisien.
Vanessa, belle métisse réunionnaise, est devant nous, je lui donne ses billets pour le Mexique, plus particulièrement Acapulco, ou elle verra les célèbres plongeurs.
C’est nous qui lui donnons son enveloppe, pour ce genre de voyage au bout du monde, ils payent avant le départ, sur la table, une autre enveloppe similaire.

• Je peux l’ouvrir !
• Bien sûr, tu dois tout voir, tu as déjà les codes de ma banque avec un pouvoir illimité signé devant le directeur, apprends vite, je t’en supplie.

J’ai pris cela comme un message, l’enveloppe contient 2 000 €, les filles gagnent plus qu’elle, c’est une patronne très correcte.

C’est à ce moment qu’elle me donne mon billet pour la Jamaïque et une enveloppe de 10 000 €, je dois partir avec un homme qui me paye pour que je prenne des vacances, cet homme, je le connais, dès que j’arrive à l’aéroport, c’est Julien.
Il est impossible que madame Claudine ignore que c’est le garçon qui a déchargé sur ma main, le cloisonnement de ses fiches lui aurait dit, aussi, j’attends mon retour pour lui demander.

• Julien, que fais-tu là !
• Depuis notre triste expérience, j’ai tellement eu honte, que j’ai osé demander à mon père comment il se procurait ses putes, il m’a donné le numéro de madame Claudine, depuis je me suis fortement formé sur le sexe avec ces filles, tu verras en Jamaïque.

Pour voir, je vois, un véritable étalon, je pensais prendre des vacances, je reviens plus fatiguée qu’avant notre départ, mais vraiment comblé, il a même formulé une demande en mariage alors qu’il sait que je suis une pute, une salope.

• Lise, te voilà devenue madame Claudette, je pars sereine malgré ce cancer qui me ronge depuis des mois, mes filles sont en de bonnes mains, ce voyage en Jamaïque était le dernier comme escorte, si j’en vois cette bague à ton doigt.
• Madame.
• Chut, laisse-moi parler, le souffle commence à me maquer, je vais mourir, seule dans cet hôpital, du moins sans garçon, j’ai appris de mes erreurs, je voulais que toi, tu aies une vie différente.
J’ai réussi à savoir d’après ce que tu m’avais dit que le garçon qui t’avait déchargé dans la main, c’était Julien, tu trouveras la fiche de son père qui étant un de mes clients qui me rapportait le plus avec ton père.
Je l’ai contacté, il m’a envoyé son fils et mes filles fait le reste, j’espère qu’il sait se servir de son sexe maintenant sinon, c’est à démériter d’avoir fait ce métier.
C’était ton dernier client, avec ce que je te laisse, tu peux vivre sans problème le reste de ta vie.

Elle est morte dans mes bras, j’ai dû la quitter, je dois rencontrer ma Réunionnaise, elle part pour le Bénin, ce qu’elle ignore, c’est que c’est avec mon père, heureusement, le téléphone m’isole de nos clients.

Julien m’attend à la maison, dans quelques jours, je me marie.

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