Carnaval À La Martinique

Carnaval à la Martinique

Nous venons de rendre le bateau , au Marin après 15 jours de navigation et il nous reste encore 4 jours avant le départ. Nous avons rejoint des amis martiniquais chez qui nous logeons . Vielle amitié et régulièrement nous nous recevons. Cela tombe bien car c’est le carnaval et pendant trois jours nous allons pouvoir faire la fête et boire un peu de rhum, juste un peu et manger quelques spécialités, acras ou boudins antillais, sans parler d’un cari crevettes dont nous raffolons .
Aujourd’hui c’est un vidé noir et rouge ( vidé signifie défilé) pour ma part , pantalon et chemise noirs, idem pour notre ami Paulo et pour nini, une courte jupe en madras, avec un boléro rouge, couvrant tout juste un soutien sein de même couleur ; c’est pendant le vidé que je pourrais constater qu’elle a aussi un tanga rouge ; pour notre amie, Joceline, c’est tenue traditionnelle, avec la coiffe dans le même tissu madras.
17 H heure traditionnelle du départ, avec en tête le groupe des Diables rouges, très connu ici pour son animation joyeuse et très sonore. Nous déambulons dans les rues du centre-ville , avec en prime, un passage devant un bar délivrant facilement un petit punch. Inutile de préciser que l’ambiance est très chaude, chacun se tenant par la main, par le cou ou par les hanches, ce qui amène souvent les mains sur les fesses des femmes ; et c’est le cas pour Nini ; Paulo n’hésite pas à lui ploter les miches, et je me rends compte que parfois les embrassades sont plus près des lèvres que de la joue. Je dois reconnaitre que rapidement , il en est de meme pour Jo et moi, mais sans doute avec plus de retenue ; je connais la réputation de dragueur de Paulo, réputation confirmée par Jo qui me demande si je n’ai pas peur de laisser ma femme avec lui.
Comme il fallait s’y attendre, nous sommes rapidement séparés, ce qui en soit n’est pas grave, mais alors que Jo propose d’aller combler un peu le trop de rhum par quelques friandises locales, impossible de retrouver Nini et Paulo ; le téléphone de Paulo restant lui muet ; en riant Jo me dit
« Je t’avais prévenu, il a dû l’entrainer dans un petit coin discret pour un câlin, pourquoi tu ne ferais pas la même chose ; viens j’ai envie de t’embrasser et que tu me caresses.

Me prenant par la main, elle m’entraine dans une petite ruelle, à l’abri des regards et sans une hésitation, elle m’embrasse fougueusement, baiser auquel je réponds, ma langue lui fouillant sa bouche. Collés comme nous sommes, je sens sa poitrine écrasée contre moi, alors que mon sexe, bandé lui appuie sur mont de venus. Elle se frotte contre moi et quand ma main s’engage entre ses cuisses , la jupe retroussée, je constate que son ventre est libre de tout vêtement ; lui écartant sans difficulté les jambes, mes doigts la fouillent, baignant déjà dans sa cyprine ; elle s’offre à mes doigts , se cambrant pour que la main la fouille encore plus profondément, gémissant, réclamant pour que je la possède ; la retournant, je la plaque contre le mur, baissant mon pantalon, je la penetre ,la possédant d’une seule poussée, tellement elle est dilatée.
A situation particulière, réaction particulière ; je ne me reconnais pas, car je la défonce brutalement, , lui agrippant les seins à travers le tissu, avant de baisser son haut et de lui maltraiter les tétons qui gonflent sous le traitement ; manifestement elle aime car soudain, les yeux fermés, elle pousse un long feulement traduisant sa jouissance ; il en est de même pour moi, et m’enfonçant profondément , je jute dans cette antre ; à chacun de mes jets , un oh sort de ses lèvres pincées par le plaisir. Après un petit moment de câlin, nous retrouvons le cortège mais toujours pas de Nini et Paulo.
Je suppose qu’ils ont fait la même chose et cela m’excite, ce que constate Jo en posant sa main sur ma braguette , avec un grand sourire. Elle me prose alors d’aller vers la plage, car il existe un coin, à l’abri des regards et que Paulo fréquente souvent, avec elle ou avec une autre ; je constate qu’elle est très libertine et cela me convient très bien ; main dans la main , nous nous y rendons et en arrivant nous pouvons apercevoir, dans le noir, un petit groupe immobile , entourant un couple allongé sur une couverture ; Jo me serre la main et en m’embrassant sur les lèvres , elle me dit « « je pense que nous allons les trouver là » et en effet, Nini est allongée, totalement nue , sur un black, sans aucun doute la queue dans sa chatte, alors que Paulo la sodomise ; pour du plaisir elle en a car elle n’arrête pas de gémir, de crier, de les encourager à la défoncer, ce que fait son pourfendeur avec fougue ; celui sur le dos est plus immobile , la queue profondément enfonce dans la caverne, lui mordille les tétons, ce qui je le sais lui procure une jouissance intense.
Autour d’eux, plusieurs Rastas ( ce n’est pas péjoratif) se branlent espérant sans aucun doute pouvoir la saillir ensuite
Nous restons en arrière pour assister, sans qu’ils nous remarquent ; les commentaires vont bons train , c’est ainsi que j’apprends qu’elle s’est fait prendre déjà par trois hommes, alors que Paulo la sodomise pour la deuxième fois ; Jo s’est accolée devant moi et me tripote le sexe encore enserré dans le pantalon ; se penchant à mon oreille , elle me dit :
« elle a du dégusté à sa première sodomie avec lui, car il a un très gros sexe, assez long, mais surtout très épais, et il doit la remplir complétement, quant à sa chatte, elle doit elle aussi être très dilatée ,car je connais deux des lascars présents, dont celui qui lui baise la chatte et crois en mon expérience avec lui, il doit lui écarteler le vagin. Elle va avoir beaucoup de prétendant , car ici , une femme blanche, blonde de surcroit, c’est un met de choix, surtout , excuse-moi, une aussi salope que ta femme ».
Sans aucune discrétion elle a ouvert ma braguette et a sorti mon membre et elle n’a aucun mal à se planter dessus, ; pliant un peu mes genoux, je m’enfonce un peu plus en elle, la possédant doucement ; je ne veux pas jouir trop vite et de plus elle semble apprécier cette douce suillie ; parfois elle enserre mon bassin contre elle, me bloquant ainsi au fond de sa chatte. Devant nous nini jouit en continue , puis elle s’crie « oh oui, je sens tes jets dans mon ventre, putain c’est bon , continue à me remplir oh oui encore » c’est Paulo qui vient de la féconder et quand il se retire, le black la retourne et la mettant en levrette, il la sodomise à son tour ; le membre doit être très gros car elle ne peut retenir un cri de douleur, vite remplacé par de nouveaux gémissements ; il est vrai que son conduit doit être bien lubrifié ; à son tour, il se répand en elle, accompagné des encouragements de la belle.
Excité par les événements, à mon tour, j’éjacule en Jo, et sa jouissance nous fait repérer ; ma petite salope vient de nous apercevoir , et se redressant, elle nous rejoint accompagnée de Paulo qui a récupérer ses fringues.
Alors que nous revenons vers le centre elle me raconte ce qui lui est arrivé.
« alors que nous dansions sur la place, un copain de Paulo m’a fait virevolter, dévoilant ainsi mon fessier sur lequel, les deux compères ont vite posé leurs mains ; ne voyant pas de résistance de ma part, ils m’ont entrainé vers la plage, tout en me tripotant, au vu de tout le monde ; quand deux doigts se sont infiltrés dans ma chatte, ils ont trouvé l’entrée bien humide et même plus. A peine arrivé où tu nous a trouvé, Paulo ayant raflé une nappe, m’a fait mettre à genoux et les deux compères se sont fait sucés, puis son copain m’a allongé pour me brouter la chatte ; c’est à ce moment que j’ai découvert que nous n’étions plus seuls ;
Tous les deux m’ont alors sauté, alors que plusieurs se branlaient au-dessus de ma tête. Deux grosses queues qui m’ont rapidement fait jouir ; c’est alors que Paulo m’a mis à poil et m’a offert aux autres ; par trois fois ma chatte a été dévastée par de gros et puissants chibres, parfois très vite . Mais pour deux d’entre eux, , puissants , très gros , et sachant bien me malmener le minou, cela a été le nirvana, jouissance sur jouissance ; quand Paulo a repris la main, il m’a sodomisé, longuement, par deux fois, entrecoupée d’un autre black, avant comme tu as pu le voir, de me faire prendre en double, pour mon plus grand bonheur ; mais maintenant , il faut que je trouve des toilettes, car j’ai plein de jute qui coule sur mes cuisses, aussi bien de ma grotte que de mon petit trou. Mais j’ai pu voir que toi aussi tu t’es bien amusé avec Jo «
Le reste de la nuit a été aussi chaud, ainsi que le deux derniers jours avant notre départ.
C’était il y a 20 ans et nous y sommes revenus régulièrement, avec le même plaisir et des jouissances toutes aussi fécondes, même si maintenant il est nécessaire de se protéger, ce qui gâte un peu le plaisir, mais sécurité
Demain nous arrivons Au Marin, pour trois jours, période de carnaval, à vous de fantasmer, à nous le plaisir.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!