Carnaval

Un couple de gens aisés, les Dubois, était invité à une soirée privée, organisée par le cabinet d'avocats qui employait le mari. La réception avait lieu chez l’un des patrons, dans une immense demeure bourgeoise, au milieu d’un parc, en banlieue. Ce cabinet d’avocat employait près d'une cinquantaine de personnes dans un immeuble du centre-ville, et ils avaient invité un certain nombre de collaborateurs, de partenaires et de clients.

C'était une soirée costumée mondaine entre gens de qualité.

Bérengère, la très jolie épouse de 35 ans, avait un terrible mal de tête en fin de journée, et elle a préféré renoncer.
Elle a dit à son mari d'aller seul à la fête, de s’amuser, qu’elle ne voulait pas lui gâcher sa soirée. 

Robert, le dévoué mari, ne voulait pas laisser sa femme seule. Mais il pensait que ce serait mal perçu s’il n’allait pas à la fête de l’entreprise. Comme il sera déguisé et masqué, cela ne se remarquera pas trop si sa femme est absente.

Alors, obéissant à la demande de son épouse, il a pris son costume et il est parti. Bérengère, elle, a pris son médicament et elle est allée se coucher.

Bérengère Dubois, après avoir dormi profondément pendant presque deux heures, s'est réveillée en pleine forme. Comme il était encore tôt, a décidé d'aller rejoindre son mari à la fête. Puisque son mari ne connaissait pas son déguisement, elle a imaginé le surprendre.

Elle allait se faufiler à la fête pour le regarder s’amuser en croyant qu’elle n’était pas là pour le voir. Elle n’imaginait pas qu’il puisse être infidèle, elle voulait juste connaître son comportement quand elle était absente.

Elle s'est costumée, elle a rejoint la soirée, elle a reçu un verre et elle a arpenté les salons à la recherche de son époux. Finalement, elle l’a repéré, batifolant sur la piste de danse, papillonnant autour d’un groupe de jolies jeunes femmes. Il dansait avec l’une, riait avec l’autre, multipliant les câlins avec ces jeunettes qui semblaient subjuguées par son charme.



Elle a bu son verre "cul sec", puis un autre pour se remettre de ses émotions. Ensuite, elle a espionné son mari de loin. Finalement, elle a décidé de se battre et de ne pas le laisser entre les mains de ces pétasses. Elle s'est approchée de l’amour de sa vie et elle s’est montrée plutôt séduisante, même aguichante.

Elle a fait si bien son ensorceleuse, se frottant contre lui en dansant, écartant les autres avec de redoutables coups de fesses, qu’il a oublié les gamines pour se consacrer entièrement à la belle femme qui le séduisait.

Sur la piste de danse, Bérengère déchaînée se comportait comme une fille de petite vertu, se laissant tripoter par son cavalier. Bien entendu, il pouvait lui faire tout ce qu’il voulait, elle n’y voyait aucun vice, puisque c’était son mari. Même s’il ne pouvait pas la reconnaître sous son déguisement, cela rajoutait juste un peu de piment.

Bérengère savait que c’était son mari, mais les deux verres ingurgités "cul sec" et coup sur coup avaient entamés sa jugeote. Lorsqu’il lui a murmuré une proposition salace dans le creux de l'oreille, elle l’accepta. Ils se sont glissés dans une chambre à l’étage pour assouvir leur fantasme. 

Ils n’ont pas allumé la lumière, utilisant la faible luminosité de la baie vitrée. Ils ne se sont pas déshabillés entièrement. Lui son pantalon et son slip, elle a ôté son collant et sa culotte, avant de juste dégrafer son balconnet. Bien entendu, ils ont gardé leurs masques, cela rajoutait un soupçon de mystère à l’ambiance déjà glauque.

Il a bien essayé de la démasquer pour l'embrasser, mais elle a refusé, en disant qu'elle était mariée et qu’elle ne voulait pas être reconnue. Il a bien sûr essayé d’insister, sans se rendre compte que c'était sa propre femme, mais elle lui a dit que son mari était en bas, et qu’elle ne pouvait pas s’absenter très longtemps.

Sans perdre de temps, il a allongé sa conquête sur le lit, et s’est mis à l’ouvrage.
Les mamelons massés soigneusement, les tétons sucés longuement, il s’extasiait sur sa poitrine qu’il connaissait depuis longtemps, ce qui amusait beaucoup Bérengère.

Elle pensait juste qu’elle réussissait son pari, tellement excité qu’il ne la reconnaissait même pas, et comme elle était passée chez l’esthéticienne ce matin-même, se faire tailler le buisson, il n’allait pas s’apercevoir de quoi que ce soit.

L’idée que son mari puisse tromper sa femme avec sa propre femme lui parut ludique.

La main entre les cuisses de Bérengère, un doigt explorait l’intérieur la chatte, avant d’être rejoint par un deuxième, la faisant haleter. Elle a essayé d'attr sa bite mais elle n’a pas pu y accéder. Trop loin.

Son mari la masturbait énergiquement, deux doigts s’agitaient dans sa chatte, le pouce massait le clitoris. Sa bouche suçait divinement son mamelon. Il n’utilisait pas la même "technique" que d’habitude, elle trouvait cela plus excitant, et commençait à sombrer dans le ravissement.

Il s'est déplacé pour la chevaucher et elle a ouvert ses jambes en les repliant légèrement, s’offrant à la pénétration. 
D’habitude, elle devait l’empoigner pour le guider vers l’ouverture, car il n’était pas très adroit pour se faufiler en elle. Elle a décidé, par jeu, de le laisser se débrouiller, pour voir.

Effectivement, il a raté l'endroit, a essayé de nouveau, une fois, deux fois, et juste avant qu'elle ne l’att pour le guider, il a réussi son coup. Il a ôté sa main, cette main poisseuse de mouille, l’a posée sur son sein pour s’introduire en elle.

Il est entré en elle, la raideur familière, elle était mouillée et prête, mais il marmonné quelque chose à propos de sa chatte étroite et bien serrée autour de son arbre. La pression s’accentuant, la tige entrait en elle, elle bougea ses hanches pour s’aligner confortablement, mais elle se trouvait plus élargie que d’habitude.

Elle pensait que c’était dû à la situation exceptionnelle, qu’ils étaient tous les deux tendus et excités, et qu’elle avait eu une bonne idée de ne pas se faire connaître.
En commençant leur chevauchée, elle répondait par des mouvements du bassin qui répliquaient à ceux de son compagnon.

Bizarrement, de temps en temps, tous les quatre ou cinq coups environ, il se tordait le cul pour lui donner une sorte de rotation. Il n’avait jamais fait çà. Mais cela l’émoustillait, plus que d’habitude. La situation, l’alcool, la méthode, peut importe, elle a réussi à atteindre son orgasme, un orgasme assez intense. Le meilleur depuis longtemps.

"Oui bébé" grogna-t-il en l'entendant gémir et sentant ses doigts s'enfoncer dans ses épaules.

Il est venu juste après elle. Sa bite pressée fermement au fond de sa vulve, son orgasme dura longtemps. Plus que d’habitude. Ses pulsations déversaient une quantité inhabituelle de sperme en elle. Peut-être l’excitation, ou l’alcool.

Satisfait, mais un peu incertain sur la conduite à tenir, il s’est retiré, s’est rhabillé et l’a laissée après un petit geste de la main. Bien sûr, les masques empêchaient de s’embrasser, mais un peu de tendresse …

Maintenant, allongée sur le lit, les jambes ouvertes, sa chatte commençait à expulser l’excès de sperme. Son désir ayant été satisfait, elle se devait de réparer leur folie passagère. D’abord les toilettes attenantes à la chambre, se rafraîchir, et refaire sommairement le lit.

Toute cette affaire avait été si excitante pour elle, qu’elle ne regrettait rien. Elle pensait en souriant qu’elle avait trompé son mari avec son propre mari. Ce qui l’amusait moins, c’était l’attitude de son mari. Lui ne savait pas qu’il avait baisé sa femme. Et il avait été facile à séduire. Trop facile, c’était un coureur, un tricheur.

Elle vérifia son apparence dans le miroir et parti à la recherche d’un verre pour se consoler de l’inconstance des hommes en général, et du sien en particulier. Elle se sentait un peu triste, et déçue.

Se promenant dans les salons, Bérengère a vu que son mari avait rejoint son groupe de jeunes pétasses, et qu’il avait recommencé à batifoler avec elles.
Elle savait qu’après les exercices physiques qu’il lui avait accordés, son mari n’était certainement plus au summum de ses capacités sexuelles.

Bérengère a pris le risque de le laisser pérorer au milieu de son troupeau de poulettes, et elle s’est éloignée un peu, tout en gardant un œil prudent sur lui. L’alcool faisait son œuvre, elle se sentait parfaitement détendue. Elle n’avait pas vraiment l’habitude de consommer de l’alcool, elle avait besoin de rentrer chez elle en voiture, donc elle s’est approchée du buffet afin de consommer quelque chose de solide qui pourrait pomper les vapeurs d’alcool.

Elle savait qu’elle ne pouvait pas conduire tout de suite, et qu’elle devait attendre un peu. Elle a donc décidé d’aller danser avec d’autres hommes pour patienter agréablement. Puisque son mari s’amusait avec des jeunes femmes, elle n’avait aucun scrupule pour lui rendre la monnaie de sa pièce.

Bérengère savait qu’elle devait s'assurer que son mari ne le sache pas. Pas question d’être confrontée à un problème d’adultère. L’orchestre, à cette heure tardive, jouait des musiques romantiques. Les couples se pressaient sur la piste.

Bérengère pensait qu’il y avait de la sécurité dans la foule, même si les lumières tamisées permettaient quelques attouchements. Les gars qui la faisaient danser ne pensaient qu’à une chose, la tripoter. Lasse, pompette, elle laissait docilement leurs mains câlines se promener sur ses seins ou sur ses fesses.

Les premiers l’avaient invitée courtoisement. Mais ce grand type n’était pas galant. Il l’avait attrapée par le bras, conduite dans un coin sombre, l’avait enlacée de force et se conduisait avec elle comme un goujat. D’abord en promenant ses grandes mains dans son costume, sortant un sein de son bonnet, cherchant à s’immiscer dans sa culotte.

Ne perdant pas de temps en vaines négociations, il lui demanda directement si elle voulait essayer la banquette arrière de sa voiture. Elle a refusé poliment, mais sa proposition l’avait excitée. Le petit coup rapide avec son mari l'avait mise en appétit, et elle se sentait émoustillée.

«Je t’ai regardée danser avec les autres hommes, les mains sur ton cul, je suis sûr que t’es bonne !»

Elle n’a pas réussi à se dégager à la fin de la première danse, elle a dû lui accorder un deuxième tour. Il a continué à appuyer son avantage, la main dans son soutien-gorge, lui chuchotant à l’oreille qu’il était bien pendu, très supérieur à la moyenne. Normalement, elle aurait dû être dégoûtée par son comportement et le planter là, mais la grosseur qui se pressait contre son ventre l’intriguait. 

Dolente, peut-être à cause de l’alcool ingurgité, peut-être émue et intriguée par la masse de l’objet qu’il dissimulait dans son pantalon, elle a accepté une troisième danse, malgré l’imminence du danger.

Délaissant son nichon, il a glissé ses mains fouineuses sous son ample jupe. Luttant avec l’élastique du collant, il lui a demandé ouvertement de le caresser.

La pièce était sombre, elle était fatiguée, elle a a posé sa tête contre son torse puissant tandis qu'il passait sa main dans sa culotte. Ce n'était pas très romantique, elle devait l'admettre. Elle acceptait le danger malgré elle.

Elle n'avait jamais trompé son mari, mais la tentation de se venger était forte. Sa demande de câlin devenant impérative, il saisit la main de Bérengère pour la glisser dans sa braguette qu’il avait ouverte à son insu. Surprise, à la fois par l’audace de son cavalier que par la taille rocambolesque de l’engin qu’il cachait dans son pantalon, Bérengère restait figée.

Pendant ce temps, la main de ce séducteur avait fait le tour de sa hanche, oubliant ses fesses dodues pour se consacrer à son pubis fendu. Glissant immédiatement les doigts entre ses lèvres, pour lui donner une petite sensation, il s’est vite aperçu qu’elle était trempée d’excitation.

Alors qu'il la pénétrait avec son doigt, elle haleta, mais ne se recula pas. Puis il a chuchoté assez fort pour qu'elle entende: «Branle-moi, bébé.» Le doigt du type dans sa chatte faisait des miracles et ses jambes devenaient toutes molles.

Il n'avait pas exagéré sur la taille de son sexe. Merde, qu’il était gros ! Elle a passé sa main le long de la tige, s’étonnant de ne pas pouvoir en faire le tour d’une seule main. Bérengère en appréciait la sensation, la longueur, l’épaisseur, et surtout sa chaleur.

Elle se sentait défaillir, tenaillée par l’envie et le désir, prête à céder. Cherchant d’un coup d’œil circulaire quelque chose à quoi se raccrocher pour trouver le courage de repousser l’importun, son regard tomba sur son mari qui dansait avec une jeunesse, la main dans son corsage.

Une colère froide envahi Bérengère. Le salaud ! La petite escapade avec sa femme dans la chambre, tout à l’heure, ne lui avait pas suffit ! Il lui les fallait toutes. La colère la dégrisa. Elle voulait se venger

Et l’autre clebs qui ne la lâchait pas. Qui farfouillait dans sa chatte. Qui … Oh, merde, ça vient ! L’esprit occupé par son mari infidèle, Bérengère ne s’était pas rendue compte. Un immense frisson. La main crispée sur la tige du mec, elle s’est blottie contre lui, frissonnante d’émotion.

C’était la première fois qu’elle avait du plaisir avec simplement un doigt en elle. D’ordinaire, c’était la stimulation de son clitoris qu’il lui fallait. Tripoter cette grosse bite insensée avait dû l’émouvoir.

Il avait ressenti son émotion, comprenait son trouble. Il en profitait pour avancer ses pions.

«Tu as aimé ? Ne lâche pas ma bite, elle est faite pour toi.»

Elle le tenait toujours et elle le palpait en respirant fort. Oui, c'est … charmant !

Voulait-elle s’isoler quelque part avec lui ? Il ne la retiendrait pas longtemps.

Non, désolée, elle ne pouvait pas faire cela. Elle était mariée et fidèle.

«Fidèle ? C’est quoi, fidèle ? Une maladie ? Vous le désirez, n'est-ce pas ?»

«Oui. Je dois bien admettre que c’est … extravagant ! Mais je ne peux tout simplement pas faire cela.»

«Juste une caresse ? Tu sais, un petit travail manuel ? Dans un endroit discret ...»

Elle n'aurait pas dû faire cela, mais elle a accepté, et elle l’a suivi, dans les couloirs, il a ouvert une porte et l’a faite entrer. Un regard circulaire, vérifier que leur escapade passait inaperçue, l’a suivie et il a verrouillé la porte en éclairant. Le cœur battant, Bérengère s’est blottie contre lui tandis qu’il attrapait ses fesses à pleines mains.

Pour la première fois de sa vie, elle envisageait de faire quelque chose que sa morale réprouve. Ce n’était plus un jeu, une blague faite à son mari, elle allait se comporter comme une salope ...

«Enlevons nos masques … / ... Pas question, du moins pas le mien.»

«Sors ma bite de là, elle a besoin de respirer.»

Sa braguette était défaite, Bérengère a pu l'atteindre et la sortir. Elle était encore demi-molle, mais c’était un sacré morceau de viande. Longue, épaisse, et lourde. Et chaude ...

Il avait ouvert son haut et il tripotait ses nichons.

«Ne reste pas plantée comme une godiche, caresse-moi. Joue avec ma bite, elle aime ça !»

Bérengère subjuguée, s’est exécutée en examinant avec attention les détails, la douceur de la peau, le prépuce qui se rétracte et qui découvre le gland violacé, les veines saillantes. C’était une véritable machine de guerre. La lumière crue faisait ressortir tous les détails. Les yeux écarquillés, Bérengère découvrait l’insoupçonnable. Son mari était petit !

«C'est vraiment énorme !» s’exclama-t-elle sous son masque.

«Tu m’as dit que tu es mariée. Ton mari, il en a une aussi grosse que celle-là ?»

Elle secoua négativement la tête. Trop absorbée pour répondre. Une goutte de liquide clair perlait au bout du gland. Elle l’étala du bout du doigt. Elle avait envie de lécher son doigt, mais n’osa pas …

Il ricana : «Ouais, quand j’ai mis mon doigt dans ta chatte, même si tu étais mouillée, j’ai bien senti que tu étais serrée. J'ai su que ton mari avait une bite d’. Tu ne pourrais pas me prendre. Tu ne sauras probablement jamais ce que c'est que d'avoir une vrai bite en toi !»

Bérengère était vexée. De curieuse, en découvrant l’impensable, ce crétin qui la défiait l’avait vexée. Pas capable? Il l'avait narguée. Une vrai bite ? Elle devait savoir. Elle le voulait en elle. Sur un coup de tête, elle a pris sa décision. Impulsive. Il lui avait lancé un défi, elle le relevait. Elle le voulait. Cachée derrière son masque, sa décision était prise.

«D’accord, nous allons le faire comme ça» dit-il confiant.

Bérengère retira sa culotte et il l’aida à s’asseoir sur le lavabo.

«Tu es juste à la bonne hauteur pour moi. Je vais bien te baiser !»

Bérengère ne pouvait pas croire qu'il lui parlait comme à une fille de mauvaise vie. Elle ne pouvait pas croire que ça allait se produire. Qu’elle lui permette cela. Elle était sidérée par sa docilité. Elle était si désireuse …

Le lavabo était froid sous ses fesses, il n'était pas confortable, elle se soulageait avec ses mains en appui. Il souleva ses jambes en les écartant, et sa bite chaude vint en appui contre sa chatte. Il s'était logé comme par magie juste à l'endroit exact, et il était prêt à entrer. Il attendait. Elle gémit d’impatience.

«Bien sûr, ce serait meilleur si nous pouvions nous embrasser» demanda-t-il.

Embrasser? Oui, d’accord. Le fait d'être reconnue par un collègue de son mari ne l’inquiétait plus. Rien ne l’inquiétait, d’ailleurs. Une seule question, dans sa tête :

«Qu’est-ce qu’il attend ? Je suis prête !»

Il a ôté son masque en même temps qu’il commençait à la pénétrer. Puis, les bras passés sous ses cuisses écartées, les doigts enfoncés dans la chair tendre de ses hanches, il la maintenait en place en s’enfonçant lentement en elle.

Son pénis commençait à la dilater, à l’évaser, et c'était juste incroyablement bon. Il étudiait ses réactions sur son visage. La surprise, la douleur, le plaisir. Elle tremblait. De froid ? De peur ?

Entre ses yeux mi-clos, elle surveillait son visage. C’était un bel homme. Soulevant le menton, elle lui tendit sa bouche. Son pénis glissait en elle, l'élargissant incroyablement, il lui effleura les lèvres avec les siennes, et c’est elle qui l’embrassa. Elle s’offrait, impudique, cuisses largement ouvertes, et elle lui mangeait la bouche avec passion.

Il la prenait lentement, pour qu’elle ne souffre pas, pour qu’elle se donne totalement. Dans l’esprit de Bérengère, impossible de ne pas faire la comparaison avec son mari. Et cela l’excitait encore plus.

Elle l'embrassait passionnément, mais il voulait plus. Il voulait l’entendre commenter ce qu’elle ressentait. Il voulait qu’elle le compare à haute voix avec son mari. Il voulait qu’elle le reconnaisse, meilleur, plus fort.

Il l’obligeait à parler. Si elle se taisait, il s’arrêtait de la baiser. Si elle reprenait son monologue, il recommençait son va-et-vient. Elle s’est soumise de bonne grâce. Elle lui a dit ce qu’il voulait entendre. Que c’était bien mieux qu’avec son mari. Qu’il était un homme, un vrai, et qu’elle perdait son temps avec son mari.

Il la baisait bien profondément. À longs coups régulier. Il la maintenait fermement et la travaillait lentement et épiant ses émotions sur son visage. Elle était en transes. Prête à défaillir. Il s’est arrêté, stoïque. Attendant qu’elle l’implore. Qu’elle le supplie. Pour la baiser plus durement. À grands coups, plus violents, pour la faire crier.

Elle a défailli entre ses bras musclés, sous sa charge violente. Elle s’est laissée malmener, comme une poupée, sans tenter de préserver sa dignité. Elle s’est offerte, impudique, à l’homme qui lui révélé sa véritable nature.

Que dire ? Elle se sentait comblée, assouvie. Il continuait de la besogner lentement en attendant que la passion renaisse. Elle n’avait plus aucune pudeur, aucune dignité. Elle n’était qu’une pauvre chose soumise aux caprices de l’homme qui la possédait, changeant de rythme au gré de ses envies.

Elle a exulté plusieurs fois avant qu’il ne se libère en elle. Qu’il ne l’inonde sous des flots de sperme. Et puis il s’est retiré, la laissant se vider dans le lavabo. Tel le coucou, il a fait son nid dans le nid d’un autre. Maintenant, cette femme ne sera jamais plus comme avant, une épouse aimante et fidèle.

Elle s’est offerte, il l’a possédée, maintenant elle lui appartient. Le mari sera un cocu. Un cocu de plus, quelle importance ? Elle n’avait aucun remords. Son mari l’avait trompée. Avec elle, d’accord, mais c’est l’intention qui compte. Elle s’est vengée, et bien vengée.

Elle ne lui dira rien. Aucun reproche. Aucune confidence. Mais dès qu’elle le pourra, elle s’échappera pour aller retrouver son amant à la grosse bite. Toute culpabilité envolée, elle lui fit savoir qu’elle aimerait le revoir, partager des moments intimes, avait-il quelques libertés ?

«Je suis célibataire, alors nous pourrons partager tous les moments que tu souhaiteras, Mme Bérengère Dubois.»

Le cœur dans la gorge, elle s’étonnait :

«Tu connais mon nom ? Mais comment ...»

«Je travaille avec ton mari, j’ai déjà vu ta photo sur son bureau, mais n’ai aucune crainte, je serai discret ...»

Il l’a prise dans ses bras, l’embrassant, la câlinant, pour la rassurer. Elle se blottit tout contre lui, lui rendant son baiser avec passion, heureuse et amoureuse. Ils ont échangé leur numéro de portable en se promettant de se revoir très vite.

Bérengère s’est enfuie pour rentrer directement chez elle, sans passer par les salons de réception, sans chercher à savoir où était son mari, ce qu’il faisait, et avec qui. Elle avait eu son compte d’émotions pour la soirée, elle n’avait qu’un désir, rentrer chez elle, un bon bain chaud et au lit.

Bérengère pensait à son mari en se couchant. Elle avait toujours été fidèle. Elle lui avait tout donné. La trompait-il depuis longtemps ? Qu’elle avait été crédule ! Maintenant qu’elle savait, quelle serait la conduite à tenir ? Le confronter ? Divorcer ? Son amant semblait tenir à sa liberté. Il avait claironné "célibataire" avec fierté.

Son amant était incroyable. Une vraie machine à baiser. Même s’il la traitait comme une catin, cela l’émoustillait. Elle ne pourrait pas passer beaucoup de temps avec lui, mais ce temps sera profitable à sa sexualité.

Son mari est rentré au petit matin, il a été discret mais elle ne dormait pas. Elle l’a accueilli avec un sourire innocent.
Elle voulait savoir s’il s’était bien amusé, mais il était préoccupé par la santé de son épouse.

Son mal de tête ? Oublié. Passé une bonne nuit ? Oui, excellente. Elle ne dormait pas ? Assez dormi.

«Bien, maintenant, à toi. C'était bien ? Tu t’es amusé ? Tu as dansé ? Tu m’as été fidèle ?» Dit-elle en riant.

«Quand je suis arrivé, la soirée venait de commencer. Pas d’ambiance. Alors, avec mes collègues, on est descendu au sous-sol, où il y a une salle de jeux. On a joué au poker toute la nuit. J’ai prêté mon costume à un pote, il me l’a rendu à la fin de la nuit en disant qu’il s’était bien amusé, et qu’il avait même baisé une salope en chaleur !»

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