Carnaval

C’est Carnaval chez nous. Carnaval c’est la fête, la musique cacophonique, la bière, les copains, les copines… Et on est trois potes à faire la nouba. On s’est déguisés en clowns : un vieux pantalon trop grand retenu par des bretelles, une chemise blanche fripée, un veston trop grand, une perruque frisée, un chapeau mou avec une fleur en plastique fichée dessus, un maquillage de clown assez grossier. Une vieille paire de pompes noire aux pieds et c’est parti pour trois jours de fiesta ! Le but n’est pas de se murger d’entrée mais de boire assez pour être bien parti et ensuite entretenir cette cuite. Il faut bien doser si on veut tenir le coup pendant trois jours… Le troisième jour, j’ai quand même un petit coup de mou. Ben j’ai plus 20 ans et ça se fait sentir. On est dans la rue, pleine de gens déguisés, de confettis, de bouteilles de bière, de papiers en tout genre et je dis à mes deux potes :
- Continuez les gars. Je vais me poser un moment, j’ai les pieds en compote. Je vous retrouve plus tard.
- Ok me répond un de mes potes.
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je m’enfile dans une tente où joue un groupe de musique cacophonique. Les gens sont debout sur les bancs et les tables et tout le monde danse. Je cherche un coin où poser mes fesses et j’aperçois une place libre à une table dans un coin de la tente. Là, les gens sont assis et je demande aux personnes si la place est libre. Une femme en face de moi me répond avec un grand sourire :
- Mais bien sur, asseyez vous.
J’enjambe le banc et je pose mon cul. Ouffffffffffffffffffff ! Quel bien ça fait. A mon grand étonnement, malgré le monde, une serveuse arrive et je commande une bière. Je regarde autour de moi pour voir si je connais quelqu’un mais aucune tête familière n’apparaît. La serveuse m’amène ma bière et j’en bois la moitié pratiquement d’un trait. La femme assise en face de moi me demande avec un regard rieur :
- Alors, pas trop pénible ce Carnaval ?
Je l’observe un moment : la soixantaine bien tapée, des cheveux longs blonds (teints bien sur…) un peu grassouillette, un visage encore assez joli bien que marqué par l’âge, des yeux gris à peine fardés de bleu et une bouche aux lèvres légèrement maquillées de rouge.

Il se dégage d’elle quelque chose de vulgaire. Comme elle est assise, je ne peux pas voir comment elle est vêtue mais elle porte une veste doudoune violette et un pull en laine noire. Tout de suite, mon regard reste scotché sur ses seins. Sous le pull en laine, je les devine énormes, gigantesques, comme j’aime. Tout de suite, une image me vient à l’esprit : ma queue bien dure en train de faire des va et viens entre ces deux gros nichons ! La branlette espagnole, j’en raffole. Je décroche mon regard de ces deux grosses mamelles et je lui réponds :
- Ca va, c’est quand même assez pénible mais je tiens le coup. Je me réjouis d’être assis dans mon divan ce soir, les doigts de pied en éventail !
- Et que votre petite femme vous fasse une gâterie ? Me demande-t-elle en rigolant
- Pour ça, il n’y a aucun risque, je suis célibataire. Mais c’est vrai qu’une bonne pipe ne me ferait pas de mal, je lui réplique en me marrant aussi.
Là, le ton est donné car elle me regarde et passe discrètement le bout de sa langue sur toute la largeur de sa bouche. Je me dis : « toi, ma vieille salope, tu cherches de la bite ». Elle se penche en avant et me fait signe de m’approcher. Elle colle sa bouche à mon oreille et murmure :
- Si ça te tente, je peux te dépanner
Elle se remet droite sur son banc, ses énormes nichons bien en avant, me regarde et me lance un clin d’œil qui vient confirmer ce que je pensais : je suis tombé sur une vieille garce qui cherche à se faire sauter ! D’un signe de tête je lui fais comprendre qu’il est temps de sortir et je me lève. Elle se lève à son tour, fait le tour de la longue table et me rejoint à la sortie de la tente. Maintenant je peux la voir en entier. Elle est grande, un peu grassouillette en effet, des hanches larges. Elle porte une minijupe noire, des bas noirs et des bottes noires également qui lui arrivent aux genoux. J’écarte le pan d’ouverture de la tente pour la laisser passer et j’en profite pour mater son cul.
Une jolie paire de fesses bien rebondies. Tout de suite je me dis : « Oh mon salaud, tu vas te régaler avec cette pouffe » Je la rejoins hors de la tente et elle me demande :
- On va où ?
Je réfléchis un moment, à la recherche d’un endroit où je pourrais fourrer cette salope quand je vois à une dizaine de mètres des toilettes publiques, genre chiottes de chantier, en plastique bleu d’un mètre cinquante de côté. Je me dis que c’est l’endroit idéal pour démonter le cul d’une pareille chienne. Je lui fais signe de me suivre et avant de rentrer dans les chiottes, je jette un coup d’œil circulaire. Personne aux alentours, c’est parfait. J’ouvre la porte, nous nous engouffrons dans les toilettes et je referme aussitôt la porte avec son loquet. L’endroit est miraculeusement propre ; des confettis trainent parterre mais sinon c’est nickel. Je suppose que le personnel chargé du nettoyage est passé il y a très peu de temps.
Tout de suite, elle me plaque contre une paroi et se met à me rouler une pelle. Elle enfile une main dans mon pantalon et me saisit la queue qu’elle se met à tripoter. Depuis l’épisode de la tente je bande comme un malade donc elle n’a pas grand-chose à faire pour me mettre en forme. Elle me murmure :
- Mmmmmmmm… ! T’es super bien monté mon salaud !
J’agrippe un de ses gros nichons et je lui demande
- Comment tu t’appelle ?
- Rita, me répond-elle. Et toi ?
- Eric. Enchanté de faire ta connaissance Rita mais je t’ai pas entraîné ici pour que tu me roule une galoche mais pour que tu me taille une pipe. Mets- toi à genoux et suce-moi !
D’une pression sur l’épaule, je l’enjoins à faire ce que je demande. Elle retrousse sa minijupe pour s’accroupir et baisse mon pantalon aussitôt suivi de mon boxer. Ma bite est devant elle, tendue, gonflée. Elle la prend d’une main et commence par la lécher tout en me branlant. Je lui dis :
- Arrête de me branler et de me lécher mais suce-moi, vieille salope. Lâche ma bite et ouvre la bouche !
Elle s’exécute.
Je l’agrippe par la nuque et lui enfonce ma bite au fond de la gorge. Elle manque de s’, tousse et marque un mouvement de recul. Je resserre ma prise sur sa nuque pour ne pas qu’elle me recrache et je lui dis :
- Non, garde ma bite. Tu as voulu me dépanner, tu vas continuer comme je l’entends ma cochonne
Lentement, je commence des va et viens dans sa bouche, du bord de ses lèvres au fond de sa gorge. A chaque fois que j’arrive au fond elle pousse un hoquet. De la bave commence à couler au bord de ses lèvres mais je continue à la pilonner sauvagement. Je lui dis :
- Regarde-moi, salope ! Tu veux de la bite, je vais t’en donner
Elle lève vers moi ses yeux où des larmes commencent à perler. J’en ai rien à foutre et je continue de lui martyriser la bouche à grand coups de reins. La salive lui dégouline sur le menton et vient tacher son pull noir. Je lui ordonne :
- Ote ta veste et ton pull, je veux que tu me branle avec tes gros nibards !
Elle m’obéit. Sa doudoune, son pull et son soutif finissent parterre et j’ai devant moi la plus grosse paire de nibards que j’ai jamais vu. Malgré l’âge de la donzelle ils tiennent encore bien, sont fermes et sans vergetures. Ses tétons pointent alors j’en profite pour en prendre un entre deux doigts et je me mets à le rouler dans un sens puis dans l’autre. Elle pousse des petits gémissements de douleur mais ça ne me fait ni chaud ni froid. J’ai décidé de m’envoyer cette vieille radasse comme moi je l’entends alors je laisse mes états d’âme de côté.
- Mets-toi un peu en arrière, je vais te coller ma bite entre les seins et tu vas me branler comme la bonne salope que tu es.
Encore une fois elle obtempère sans broncher et se met à me branler divinement. De temps en temps je crache un peu de salive entre ses seins pour lubrifier cet assemblage. Cette sensation est sublime et je sens que je ne vais pas mettre longtemps à jouir. Avant de cracher ma purée entre ses seins, je me retire et lui dis :
- Allez ! Assez joué.
Maintenant je vais t’embrocher. Fous-toi à quatre pattes ! Je veux te défoncer la moule.
Elle me jette un regard de chienne en chaleur et me dit :
- Ce programme me plaît bien, je suis trempée, je dégouline.
Je lui mets une légère baffe sur la joue droite :
- Ta gueule salope ! Je me fous complètement de ce qui te plaît ou pas. Tout ce que je veux c’est te sauter, rien de plus. Alors ferme-la et mets toi à quatre pattes.
Encore une fois elle m’obéit en gloussant. Comme sa minijupe est déjà retroussée, je descends ses bas jusqu’à mi-cuisses. Elle a un string noir que j’écarte, découvrant sa chatte et son trou du cul. Sa moule et son petit trou sont rasés mais la dernière opération a dû avoir lieu il a quelques jours car je remarque un certain signe de repousse. Je m’empresse de le lui faire remarquer en me moquant :
- Dis-moi, tu as oublié de te raser ce matin ?
Je me mets à lui farfouiller la chatte. Cette salope est effectivement trempée ; je lui enfile le majeur de ma main gauche et son jus sort en faisant un bruit de succion. Elle cabre les reins quand je lui mets un deuxième doigt et pousse un gémissement de plaisir. Son souffle s’accélère tandis que je fais aller mes doigts dans sa chatte. Elle passe une main entre ses cuisses et se met à faire tourner son clito avec son majeur. Ses gémissements augmentent et je me dis qu’elle est à deux doigts de jouir. Je retire mes doigts de sa moule juteuse et les lui enfile dans la bouche. Elle suce son jus goulûment et me murmure:
- Enfile-moi ta queue, je veux te sentir. Baise-moi comme une chienne mais s’il te plaît ne m’encule pas, je déteste ça.
Je lui mets deux énormes claques sur les fesses et lui répond :
- Vieille salope. Si je veux t’enculer, je t’encule. D’ailleurs je pensais commencer par ton cul et je crois que je vais me tenir à ma première idée. Ici, dans ces chiottes, c’est moi qui décide. Toi tu la ferme et tu subis !
Joignant le geste à la parole, je crache un peu de salive sur son petit trou. Je l’étale bien et enfile lentement mon majeur. Elle à une réaction de fuite pour se soustraire à mon doigtage mais la promiscuité de l’endroit l’empêche d’aller bien loin.
- Ne bouge pas chiennasse, je te prépare pour une bonne sodo. Je vais te dilater le fion avec mes doigts et ensuite j’y enfilerai ma bite. J’espère juste que tu as le cul propre sinon tu seras obligée de me nettoyer la pine avec ta langue quand je t’aurai bien défoncé le cul.
Je ressors mon doigt de son anus et constate qu’il est légèrement brunâtre. A l’odeur, c’est sans équivoque : elle est allée chier il n’y a pas si longtemps que ça. Je le lui fais remarquer avec autorité :
- Bordel ! Tu aurais pu te laver le cul après avoir été chier, connasse. Mon doigt est plein de merde. Comme je n’ai pas de capote, ma bite sera pleine de merde donc tu me nettoieras.
Je me redresse, récupère le jus de sa chatte pour me lubrifier la bite et son cul ; j’approche mon gland de son petit trou et lui dit :
- La chevauchée fantastique débute maintenant. Je vais te démonter le cul. Penche-toi en avant et écarte tes fesses avec tes mains.
Elle pose sa joue sur sa veste, amène ses deux mains à ses fesses et m’offre son gros cul. A son regard je vois qu’elle n’est pas rassurée, voir qu’elle a même un peu peur. Elle tente une dernière fois de se soustraire à ce que je vais lui faire subir :
- Non, s’il te plaît, pas dans le cul. Ca me fait mal, je déteste ça.
Je me penche un peu vers elle et lui murmure :
- Ceux qui t’on prise par le cul ne savaient pas y faire. Moi je suis le clown sodomite et je n’ai jamais eu de réclamations après avoir bourré le cul d’une gonzesse. Au contraire, elles en redemandaient. Tu vas en redemander toi aussi, tu verras ma salope. Tu ne pourras plus t’en passer. Je te donne un petit truc : quand je rentre ma queue dans ton cul, pousse comme si tu devais chier et ça va rentrer comme dans du beurre.
Je mets encore un peu de salive sur ma bite et sur son anus puis dirige mon gland contre son trou. J’appuie légèrement. Je vois ses muscles se dilater et d’un coup de rein sec ma bite rentre dans son cul. Elle pousse un cri aigu :
- Aïïïïïïïïe !!! Vas-y doucement s’il te plaît…. Ca me fait mal.
- Et là tu n’as encore rien vu. Il n’y a que le gland qui est rentré. Maintenant on va procéder à l’embrochage en bonne et due forme. Je vais t’enfiler ma queue jusqu’à la garde.
Je crache encore un peu de salive sur ma bite, prend ses hanches à pleine main et d’un furieux coup de rein m’enfonce au plus profond d’elle. Elle gémit, couine, pousse un feulement et je reste dans son cul sans bouger. La sensation est délicieuse. C’est chaud, ma bite est comprimée. Je sens son sphincter se dilater. Je lui demande :
- Alors ma belle salope, ça te plaît ? Tu vas voir que tu vas aimer te faire défoncer le cul.
La tête enfouie dans sa doudoune elle me répond :
- Oh mon cochon ! Continue… Putain ce que c’est bon. Vas-y, ne te gêne pas, déchire-moi le fion.
- Oublie pas que tu devras bien me nettoyer la bite après.
- Je m’en fout, me répond-elle dans un souffle
- C’est bien ce que je pensais, tu es un vrai trou à bite
- Oui, je suis ta chienne. Fais de moi ce que tu veux, je suis toute à toi.
Je lui mets une grande claque sur la fesse gauche et elle pousse un gémissement de douleur. Je lui besogne le cul, d’abord lentement puis de plus en plus vite. A chaque coup de rein elle glisse un peu plus sur le sol si bien qu’elle finit la tête dans la paroi des WC. Cette vieille pute pousse des couinements mêlés de douleur et de plaisir. Je suis persuadé qu’il y a longtemps qu’elle n’a pas connu une troussée aussi magistrale. Je sors ma queue de son trou du cul et bien évidemment elle est maculée de traînées brunes. Son cul reste béant et l’odeur qui monte à mes narines me retourne un peu.
- Putain, tu es dégueulasse, je lui fais. Ton cul est plein de merde et ça pue incroyablement.
Je me relève, ferme le couvercle de la cuvette des WC et lui ordonne :
- Viens t’asseoir ici !
Elle obtempère mais je dois l’aider à se relever car ses jambes sont entravées par ses bas qui lui arrivent toujours à mi-cuisses. De plus, avec la magistrale sodomie que je viens de lui faire subir elle doit avoir un peu mal au cul. En bon Suisse, j’ai toujours un petit canif sur moi et une fois qu’elle est assise sur les chiottes, je le sors, déplie la lame et entreprend de tailler le Nylon noir de ses bas pour la dégager. Elle proteste mais c’est trop tard. La culotte de ses bas est séparée en deux. Son string subit le même sort : un coup de canif de chaque côté, au niveau des hanches et le voilà qui finit parterre. Je replie la lame de mon couteau, lui enfile deux doigts dans sa chatte juteuse et lui dis :
- Comme ça, tu seras bien plus à l’aise pour te faire baiser.
- Mais comment je vais faire après, en ressortant ?
- Tu es une grande fille, non ? Tu te débrouilleras.
- Tu es un beau salaud. En fait, tu n’en à rien à foutre de moi.
- Eh non, ma salope. Vraiment rien à foutre de toi. Tout ce que je veux c’est me vider les couilles et tu es la parfaite gerce pour ça.
Je sors mes doigts de sa chatte et entreprend d’étaler sa mouille sur ma queue toujours raide. Je retourne récupérer son jus et je l’étale bien sur toute la longueur de ma trique. Je m’approche de son visage:
- Allez, nettoie bien tout ça. J’ai mis ta mouille dessus comme ça elle n’aura pas trop le goût de merde. Une fois qu’elle sera propre je vais te la fourrer dans la chatte.
Elle approche timidement sa langue de ma bite et commence son délicat décrassage. Elle est un peu réticente alors je l’encourage :
- Vas-y, ne fais pas ta mijaurée
Elle s’approche, ressort la langue et au moment où elle touche mon gland je pousse mon membre dans sa bouche. Mon gland cogne contre ses dents ce qui m’arrache un petit cri de douleur. Maintenant que le début de ma bite est dans sa bouche, je l’agrippe par les cheveux au sommet de son crâne et je m’enfonce dans sa gorge. Elle m’avale complètement, mes couilles viennent taper contre son menton. Elle pousse un hoquet et se met à râler d’. Je ressors légèrement pour lui permettre de reprendre son souffle puis je retourne caler ma queue au fond de sa gorge. Elle lève vers moi des yeux révulsés et des larmes coulent sur ses joues. Ma bite dure l’étouffe littéralement. A nouveau de la salive coule sur son menton. Je fais encore quelques allées et venues dans sa bouche puis je sors. J’examine ma pioche et constate qu’elle est bien propre.
- Tu vois ? Maintenant elle est propre. Tu as fait du bon boulot. Ce n’était pas si pénible que ça, non ? Maintenant je vais pouvoir te baiser la chatte avec une bite ripolinée.
Je m’accroupis devant elle, met mes deux mains sur ses genoux et lui écarte les cuisses largement. Je remarque que sa chatte trempée a laissé des traces sur le couvercle des toilettes.
- Met-toi en arrière, je lui ordonne. Et relève les cuisses bien haut
Elle obtempère et passe les bras sous ses cuisses afin de maintenir ses jambes écartées le plus largement possible. Je l’agrippe par les reins et la fais glisser contre moi afin que ses fesses arrivent sur le bord des toilettes. Sa chatte est béante, son clitoris gonflé darde vers moi. Je le prends entre le pouce et l’index de ma main gauche et plonge deux doigts de mon autre main dans sa chatte gluante. Sa cyprine se met à couler entre ses fesses, tartinant son petit trou au passage et fini par tomber sur le sol en gouttelettes. Cette vieille garce mouille comme une fontaine et ça m’excite terriblement. Je lui enfile encore deux doigts de plus dans la chatte si bien qu’il n’y a que mon pouce qui soit à l’air libre. Je lâche son clito et appuie mon pouce dessus. Je fais rouler son bourgeon tout en faisant des va et viens avec mes doigts. Je la masturbe férocement. Je suis surexcité de voir cette salope écartelée, ses gros nibards gonflés. Je sens sa respiration accélérer, sa chatte devient plus béante et toujours plus dégoulinante. Sa mouille coule en continu dans la raie de son cul et commence à former une jolie flaque parterre. Ses muscles se resserrent sur ma main, je la sens au bord de l’explosion. Elle se met à gémir comme une donzelle qui se fait dépuceler.
- Vas-y, laisse-toi aller ma grosse chienne. Prend ton pied. Je veux te voir jouir.
Sa respiration s’accélère encore et soudain ses gémissements se transforment en un cri qui lui vient du fond des tripes. Un puissant jet de cyprine éclabousse ma chemise blanche. Tout mon torse est trempé. Je la sens trembler sous la puissance de son orgasme. Tout son corps est parcouru de tremblements incontrôlés et il manque peu pour que je reçoive un coup de botte dans la tête. Je freine les mouvements de ma main et lentement je la sors de son con brûlant. Ma main dégouline, ma chemise est trempe et une belle flaque s’est formé parterre. Je la laisse reprendre son souffle et ses esprits. Une fois que la tempête qui a parcouru son le corps s’est un peu apaisée, elle entrouvre les yeux, me regarde et me souffle :
- Oh putain de putain… ! C’est la première fois qu’on me branle comme ça. Je n’ai jamais joui autant fort, c’est trop bon, j’en veux encore. Baise-moi, enfile-moi ta queue.
- Je vais te baiser, c’est sur, je lui réplique. Et je vais même me vider les couilles dans ta gueule de salope
Le plus incroyable c’est que je n’ai toujours pas débandé d’un millimètre depuis le début. Sûrement l’effet de l’alcool et surtout le fait de plier cette vieille pute à toutes mes envies, toutes mes perversités et tous mes vices y sont pour beaucoup. Je m’approche d’elle, plie les genoux, prend appui d’une main contre la paroi des chiottes et de l’autre main je dirige ma bite à l’entrée de son con détrempé. Je lui murmure à l’oreille :
- Je vais te sauter comme une pute
D’un coup de rein sec je la pénètre jusqu’à la garde. Mes couilles rebondissent contre ses fesses et je reste figé au fond de son fourreau brûlant. Sous l’effet de cette pénétration brutale, elle cambre les reins contre moi pour m’accueillir au plus profond d’elle en poussant un râle sourd. Je me mets à lui pilonner la chatte furieusement. Cette fois c’est moi qui ai envie de prendre mon pied et d’arroser cette garce de mon foutre. Ses énormes seins tressautent à chaque coup de rein. J’en saisis un avec ma main gauche et le malaxe, le pétris, lui tord le téton dans tous les sens jusqu’à arracher des gémissements de douleur à la salope que je suis en train de sauter. Je sens son con se resserrer autour de ma bite. Son plaisir est en train de monter. Je continue mes furieux coups de reins. Sa nuque est appuyée contre la paroi et ses cheveux sont complètement ébouriffés. Je lâche son sein que je suis en train de martyriser, met ma main autour de son cou et je commence à serrer doucement. Je lui murmure à l’oreille :
- Ouvre les yeux, salope. Regarde-moi.
Elle ouvre les yeux, plante son regard dans le mien et j’y décerne nettement une flamme de défi. Je rassemble un peu de salive sur ma langue et je lui crache au visage. Je l’injurie en la traitant de vieille pute, de grosse salope, de truie, de trou à bite et j’en passe. Ceci a un effet sur elle car je sens les muscles de son con se serrer de plus en plus ; elle pousse un feulement rauque et jouit. Je sens son jus qui m’arrive sur le pubis, me dégouline sur les couilles et les cuisses. Je n’y tiens plus. Ma bite est sur le point d’exploser, mes couilles me font mal, je suis à deux doigts de cracher ma purée. Je me dégage de sa chatte collante, lui baisse les cuisses et je l’enjambe en lui mettant ma queue sous le nez. Elle la saisit d’une main, ouvre la bouche et la gobe en me masturbant. Je lui crache de longs jets de foutre au fond de la gorge qu’elle avale avec de grands bruits de déglutitions. Quand j’ai découillé tout ce que j’avais, elle entreprend de me nettoyer la queue plus pour ne pas perdre une goutte de mon foutre que par souci de mon hygiène. Enfin, à mon grand soulagement, ma bite ramollit. Triquer pendant autant de temps, c’est finalement un peu douloureux. Je reprends mon souffle tandis que de sa langue elle récupère les dernières gouttes de mon sperme. Je suis vidé, mon cœur tape fort dans ma poitrine et j’ai le souffle court.
Je me remets sur mes jambes et je constate qu’elles tremblent. Putain ce pied géant que j’ai pris. Je m’adosse à la porte, en attendant de retrouver mes esprits. J’ouvre les yeux et je regarde la salope que je viens de me farcir. Elle est assez pathétique : affalée sur les toilettes, les cuisses écartées et la chatte béante. Le sol est couvert de sa mouille. Ses bas en lambeaux pendent lamentablement sur ses bottes et traînent dans son jus. Sa minijupe retroussée sur son ventre grassouillet lui donne véritablement un air de vieille pute. Ses monstrueux seins se lèvent et se baissent au rythme de sa respiration rapide. Toujours appuyée contre la paroi, sa tête est penchée de côté. Ses cheveux sont en bataille, une traînée de sperme et de salive coule au coin de sa bouche. Ses bras ballants pendent le long de son corps. Aucun mouvement de sa part, mis à part sa respiration rapide.
- Il est temps de sortir, tu ne crois pas ? Lui dis-je en la regardant. On va aller boire un verre, je crève de soif.
- Mouais, bonne idée, lâche-t-elle en marmonnant. Mais je peux pas sortir comme ça. En plus, je peux plus bouger. Tu m’as démonté le cul, mon salaud. J’ai mal. Tout mon corps me fait mal. Les cuisses, les hanches, le cul, les seins, la mâchoire… Tout me fait mal.
Elle se tait et reprend sa respiration.
- Attend, je vais t’aider, je lui dis. Je suis peut-être vache question baise mais je ne vais pas t’abandonner comme ça.
Je me baisse devant elle et descend la fermeture Eclair d’une de ses botte. Je la lui enlève et retire le reste de la jambe de son bas. Je remets sa botte en place et remonte la fermeture. Même chose avec l’autre jambe, je ramasse le tout et trouve son string. Je fais une boule avec et balance le tout dans la poubelle. Je ramasse son soutien-gorge, son pull et sa veste que je pends au crochet prévu pour ça à la porte.
- Allez, viens que je t’aide à te relever.
Je lui prends les deux mains et je l’attire contre moi. Elle manque de s’affaler car ses jambes ne la portent plus. Elle s’accroche à mes épaules, pose son visage dans mon cou et me murmure :
- C’est la première fois qu’on me baise de cette façon, avec autant de brutalité. Tu m’as humiliée, traitée de pute, de salope, de truie… D’habitude c’est moi qui mène les opérations mais là j’étais à ta merci. Tu n’es qu’un salaud.
Je passe le bras gauche autour de sa taille et de la main droite je prends un de ses seins. Je penche mon visage dessus et y dépose un baiser sur le téton.
- Pour moi, la baise c’est bestial. Je parle de baiser, pas de faire l’amour. Et là, j’ai eu envie de te baiser, pas de te faire l’amour. C’est ce qui fait que je t’ai un peu brutalisée.
- En tout cas, me répond-t-elle, la tête toujours dans mon cou, j’ai adoré. Tu es un salaud mais un salaud adorable et un sacré bon baiseur.
Je repose un baiser sur son téton, me redresse et la regarde dans les yeux. Son regard est tendre, presque maternel.
- Tu es une sacrée femelle toi, lui dis-je en rigolant. Une sacrée bonne salope comme je les aime.
J’appuie mes dires d’une claque sur ses fesses ce qui la fait rigoler également.
- Si tu le désire, je serai ta salope quand tu veux et où tu veux, me dit-elle avec un clin d’œil.
- J’y compte bien, je lui réponds avec un clin d’œil en retour.
Pendant que nous nous rhabillons, je lui demande :
- Est-ce que je peux te poser une question indiscrète ?
- Essaye toujours, me répond-t-elle
- Je sais que ça ne se fait pas mais est-ce que tu peux me dire ton âge ?
- Ce n’est pas indiscret comme question. Je n’ai jamais eu de problème à dévoiler mon âge. J’ai 63 ans. Et toi ?
- 50 balais dans un mois. En tout cas, tu te tiens très bien. Tu es super bandante.
- Merci du compliment, c’est flatteur. Rien que d’entendre ça je recommence à mouiller comme une gamine.
Je m’approche d’elle, la reprends par la taille et lui roule une pelle baveuse. En même temps je glisse une main sous sa minijupe, remonte jusque à sa chatte et constate qu’en effet, elle est toute humide. Je la caresse un moment, enfile un doigt dans son con et me dis que je ne lui ai même pas bouffé la chatte. Je ne sais pas le goût qu’elle a alors je ressors mon doigt et le porte à ma bouche. Le goût est délicieux, corsé.
- Espèce de gros cochon, me dit-elle en partant d’un grand éclat de rire
Je me marre aussi, rajuste sa minijupe sur ses cuisses et nous sortons de la cabine. Personne derrière la porte, tout va bien. On reste un moment dehors à fumer une cigarette, on échange nos numéros de portable. J’avise une vitre de l’autre côté de la rue et je m’en approche. Mon maquillage de clown n’est plus qu’un lointain souvenir. Tout a dégouliné avec la transpiration de nos ébats. Je reviens vers elle et lui dis :
- J’ai plutôt l’air d’un clown triste, tu ne trouves pas ?
Elle se marre et me réponds :
- C’est pas grave si le clown disparaît. L’important est que le sodomite reste pour s’occuper de mon cul.
On se quitte là, après un dernier baiser fugace. Il y eu d’autres rencontres torrides en Rita et moi. Je vous les raconterai une prochaine fois.

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