Pauline Remplace Séverine

PAULINE 1

Pauline prend la suite de Séverine

Nous sommes partis de la maison de Gérard laissant Séverine à son sort bon ou mauvais, elle me le dira lundi au travail.
Mon maître me ramène en ville, et il s’arrête sur le boulevard, j’ai remis mon manteau mais je suis toujours en petite tenue dessous, avant de descendre de voiture, il me demande de retirer ma culotte ; et c’est les fesses à l’air que nous traversons le boulevard, pour entrer dans un magasin spécialisé en robe de mariée et de tenue de soirée.
Une jeune vendeuse nous accueille.
« Bonjour, bienvenu vous recherchez ? »
(Le maître) « Je cherche une tenue de soirée pour cette jeune femme, j’ai vu une robe en vitrine, c’est possible de lui faire essayer ? »
(La vendeuse) « Bien sûr il me faut prendre les mensurations de madame !! »
(Le maître) « C’est mademoiselle !!!! »
(La vendeuse) « Veuillez m’excuser, si vous voulez bien me suivre en arrière boutique, et si vous voulez bien retirer votre manteau que le puisse prendre vos mesures »
(Panique générale de ma part je jette un regard interrogatif et suppliant vers le maître, mais c’est lui qui me pousse à la suite de la vendeuse).
Au moment où elle se retourne, avec le mètre ruban dans les mains, mon maître vient de me retirer le manteau et c’est juste vêtu de mon soutien gorge quart de seins qui laisse voir mes tétons, et perchée sur mes escarpins, la petite vendeuse en laisse tomber son mètre. Et en le ramassant elle se trouve juste à la hauteur de mon sexe, qu’elle regarde avec stupéfaction.

(Le maître) « C’est la tenue habituelle de mademoiselle !!!! »

(La vendeuse) « Je vois !!! Vous avez vu une robe de soirée dans la vitrine ? (Semblant troublée elle se relève et mon maître lui indique la robe qu’il désire »

La jeune femme prend mes mensurations ses mains chaudes m’électrisent, surtout que chez Gérard mon maître n’a pas voulu que je jouisse, et je me suis retenu difficilement, et maintenant chaque attouchement de la jeune femme me fait monter une fièvre érotique, ma vulve palpite, mes lèvres se gonflent de nouveau et mon vagin coule.



Les mains de la vendeuse tremblent, ce qui ajoute à mon émoi, elle arrive tant bien que mal à prendre mes mesures, et le rouge aux joues elle part chercher une robe qui correspond.

Elle revient avec la robe et elle m’aide à la passer, c’est une robe longue bleu électrique, sans bretelles, et fendue jusqu’en haut des cuisses et avec un dos nu le haut est assez rigide afin de ne pas se dégrafer mais le dos nu jusqu’au bas des reins ne laisse aucun doute sur la tenue ou plutôt la non tenue en dessous de la robe.

(Mon maître) « Ecartez la robe mademoiselle pour voir si elle est assez fendue !!! ».

La vendeuse fébrilement s’exécute et le pubis de Pauline apparaît comme un bijou au fond d’une boite en satin, la petite vendeuse reste scotchée devant le spectacle offert par Pauline, elle n’est pas au bout de ses surprises.

(Le maître) « Très bien mademoiselle nous la prenons faites nous une boite!!!! ».
La petite vendeuse aide Pauline à retirer la robe en lui disant : « Il vous faudra de l’aide la fermeture dans le bas du dos ».
La petite vendeuse avec la robe et le maître avec le manteau de Pauline repartent vers le comptoir, laissant Pauline nue dans l’arrière boutique.
Pauline entend des brides de conversation, puis le tintement du tiroir caisse, et quelques secondes plus tard une clé qui tourne dans une serrure, l’éclairage du magasin s’éteint partiellement puis le rideau s’écarte, et la petite vendeuse et le maître entrent dans la pièce.

(Le maître) « Pauline Assied-toi dans le fauteuil, les jambes bien écartées et posées sur le accoudoirs, notre petite vendeuse Elodie a très envie de goûter à tes charmes et boire ton plaisir et toi Elodie tu te mets nue tu sera plus à l’aise et à égalité avec Pauline !!!! ».
Pauline s’installe tandis que Elodie retire ses vêtements.

Alors Elodie voit Pauline écartelée sur le fauteuil, les jambes sur les accoudoirs, et la vulve qui bâille, les lèvres brillantes de cyprine.
Un fruit bien mûr et juteux offert à la dégustation.
Il ne reste qu’à Elodie à se mettre à genoux et à déguster.
La petite vendeuse s’applique, léchant chaque recoin de la vulve de Pauline, pas un centimètre n’échappe à sa langue fouilleuse.
Les bruits de succion avec la douceur de la langue qui tantôt se fait large afin de bien récolter le miel chaud qui lui coule du vagin , et cette langue qui se fait le plus pointue pour bien pénétrer son vagin et lui toucher son point sensible à l’entrée de son vagin, ou quand Elodie aspire son bouton entre ses lèvres pour bien le faire sortir de sa cachette, afin de bien le cajoler allant même jusqu’à le mordiller, Pauline en renverse la tête sur le dossier du fauteuil, et le maître en profite aussitôt pour lui faire téter son gros mandrin.
Pauline est maintenant à deux doigts de jouir sous l’action de léchage d’Elodie et de cette grosse bite qui coulisse jusque dans sa gorge. Mais en décide autrement, il relève Elodie qui a le visage barbouillé de mouille. Et il lui fait prendre la place de Pauline dans le fauteuil, et il demande à Pauline de rendre la pareille à Elodie.
Pauline découvre un buisson couleur d’automne bien touffu et déjà bien trempé, les poils roux sont collés au sexe d’Elodie mais il suffit de suivre de flot de cyprine pour découvrir des petites lèvres toutes roses et nacrées d’une crème odorante à souhait.
Si Elodie a de petites nymphes, elle a un gros et long bouton d’amour au point que l’on pourrai croire qu’elle est dotée d’une petite bite, c’est un vrai régal de sucer un tel clito, c’est ce que se dit Pauline. Le maître comme il l’a fait avec Pauline, donne sa grosse tige à sucer à Elodie, et bien qu’elle soit plutôt portée aux relations saphiques et ne dédaigne pas se régaler de ce gros bâton de chair.
Avant que les deux filles n’aient pu jouir, le maître décide de passer à la vitesse supérieure ; il fait relever les deux filles, et s’assoit dans le fauteuil, att Elodie par la taille et j’attire vers lui de dos.

(Le maître) « Viens sur moi Elodie je vais bien te prendre !!!! »
(Elodie) « Oh non votre sexe est trop gros il ne rentrera jamais !!! ».
(Le maître) « Ne discute pas tu en meurs d’envie, j’ai bien senti comme tu l’as sucé !!!! »
(Elodie) « Je sais pas !!! »
(Le maître) « Pauline aide la !!! ».
Pauline aide Elodie à écarter les cuisses, et elle s’empare du sexe du maître et en faisant descendre Elodie au contact du gland, elle le frotte tout le long de la fente de la jeune vendeuse.
Juste au moment ou le gland passe sur le petit trou d’Elodie, le maître la prend par la taille, et d’un coup sec sans précaution aucune, il enfonce tout le gland dans le rectum d’Elodie qui pousse un hurlement de douleur, que le maître fait taire en mettant sa main sur la bouche de la belle embrochée.
A chaque palpitation de l’anus la bite du maître s’enfonce inexorablement dans le fondement. Elodie pense que la queue est en train de la déchirer, que jamais son cul ne pourra se refermer, mais après quelques minutes d’attende, le boyau culier commence à se conformer à l’objet qui le dilate, et Elodie commence à avoir des bouffées de chaleur, le plaisir petit à petit laissant place au plaisir.
C’est le moment que le maître choisi pour la prendre aux creux de ses genoux et la soulever pour bien l’empaler.
Pauline tombe à genoux devant cet accouplement monstrueux, et elle lèche avec gourmandise la fente qui dégouline, et la queue qui s’agite avec frénésie. Parfois sa langue s‘égare sur les couilles du maître.
Elodie gémit, tandis que le maître grogne comme un fauve en rut à chaque pénétration profonde, Elodie tremble de tout son être chaque fois que le gland s’enfonce profondément.
Et puis soudainement Pauline décide d’enfoncer deux doigts dans la chatte d’Elodie pour sentir le gland de l’autre coté de pas paroi spongieuse, et après quelques aller retour, le maître rugit tel une bête déverse plusieurs giclées de semence au fond des intestins d’Elodie, qui à son tour explose de plaisir arrosant le visage et la poitrine de Pauline de son jus parfumé de rousse brûlante.

Il faut au duo quelques minutes pour reprendre leurs esprits, il n’y a que Pauline qui n’a toujours pas pris son plaisir, elle a très envie de se caresser afin de calmer sa frustration. En bonne soumise elle demande à son maître la permission de se caresser ce qu’il lui refuse, lui promettant autre chose.
Elodie se rhabille et le maître la rejoint au comptoir, Pauline les rejoint toujours nue, c’est son maître qui a son manteau.
Le maître donne sa carte de visite à Elodie en lui disant : « Demain soir j’ai un vernissage et j’aimerai que vous puissiez m’accompagner avec Pauline, voilà mon adresse passez vers 19h30 avec une robe comme celle de Pauline, mais dans une autre couleur je vous donne un chèque, mettez le montant des deux robes sinon juste la robe de ma soumise ; si vous venez nous aurons quelques petites corrections à faire, vous aiderez Pauline à passer sa robe et elle fera de même avec vous.
Merci pour ce moment de plaisir ».
Maître et soumise quittent le magasin Pauline est toujours nue, heureusement il fait déjà nuit et il n’y a pas grand monde sur le trottoir, le maître remet les poids suspendus au nymphes de sexe de Pauline et lui met simplement le manteau sur les épaules, il laisse la voiture et tous les deux rentrent à pied vers l’appartement.
Entre le magasin et l’appartement le maître lui réserve une surprise que Pauline ne sera pas prête d’oublier.



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