Les 1001 Perversions De Nathalie (11) - Le Cercle (3)

Lorsqu'elle remonte dans le restaurant, après s'être réajustée et rafraîchie, Nathalie voit l'homme attablé en compagnie de Marc et de Léa.
- Nathalie, je vous présente Juan, un ami de longue date. Il sera notre hôte ce soir au Cercle.
- Marc m'a beaucoup parlé de vous et de vos... charmes. Il n'a pas exagéré…
Son regard bleu acier a quelque chose de fascinant. Nathalie a l'impression de rougir comme une collégienne. Tout à l'heure, dans les toilettes, en lui léchant le cul, il la tutoyait. Maintenant, il la vouvoie.
Ils passent une après-midi de farniente au bord de la piscine. Nus, comme d'habitude, et Nathalie a tout le loisir de détailler Juan, apparemment assoupi sur sa chaise longue.
Il est plus jeune que Marc. Dans la quarantaine, estime-t-elle. Un corps d'athlète, intégralement bronzé. Une belle queue, fine mais très longue. Nathalie prend chaud en imaginant la nuit à venir.

Lorsqu'ils arrivent au "Cercle", le parking encombré de limousines laisse deviner que tout le gotha du Cercle sera là ce soir.
Mme K. les reçoit en souhaitant la bienvenue à Nathalie comme si elle n'attendait qu'elle.
Au milieu du "Salon bleu", Mr. K. trône dans son canapé, deux nymphettes lovées à ses pieds. Il y a foule ce soir, la plupart des convives sont nus, quelques uns déjà plus ou moins accouplés, sur un divan ou sur la moquette.
Aujourd'hui, Mr. K. veut infliger une punition de principe à la petite Sophie parce qu'elle a pris trop à la légère certaines règles :
- Sophie, petite vicieuse, tu n’es pas sans savoir que tu me dois une pénitence. Monsieur Marc va te l’infliger. Tu va recevoir quelques bonnes fessées bien appliquées. Je viendrai ensuite te donner l’absolution. Es-tu consentante ?
- Oui, Monsieur.
Une femme, une duègne, s’adosse à un piller du salon et appelle Sophie à elle. Elle la fait se courber et enlacer sa taille. Dans cette position, elle présente ses fesses à Marc.

Un cul dodu, un con charnu. Marc s’installe un peu en retrait dans l’angle de ses cuisses.
La femme dit d’une voix douce :
- Tu es prête ?
- Oui, Madame ! 
Elle retient sa respiration, attendant le premier coup. Il claque sur sa fesse droite. Elle encaisse le coup sans trop broncher, elle espère que les suivants seront de même nature.
Marc lui laisse après chacun le temps de l’assimiler avant de lui en servir un autre. Puis les coups se font de plus en plus cuisants.
Au début, elle n’émet qu’une forte respiration, puis se met à pousser des "aiiiiie", des "ooohhhh", et des "aaaahh" de plus en plus larmoyants. Elle ne veut pas demander grâce, mais la douleur de plus en plus vive l’y force quand même.
- Monsieur ! Madame ! J'ai fait pénitence. Je vous demande pardon….  
Marc arrête sa noble tâche..
Mais ce n'est pas fini. Pour lui donner l’absolution Mr. K. se munit, en guise de goupillon d'un martinet à lanières de cuir. La terreur de toutes, paraît-il.
Il lui en applique un seul coup sur chacune de ses fesses écarlates. Cela lui fait pousser un grand cri qui retentit dans tout le salon et la fait vaciller sur ses genoux.
La femme lui fait bien écarter les cuisses et Mr. K. lui sert un coup de revers. Les pointes des lanières viennent frapper la partie la plus tendre de l’intérieur de ses cuisses, les lèvres de son con et son clitoris. Elle hurle de douleur et lâche les hanches de la femme. Au second coup de revers, elle se retrouve assise sur le carrelage, baignant dans sa pisse qu'elle n’a pu contenir.
Marc la relève. Elle se blottit dans ses bras. Elle lève les yeux, lui jette un regard de petite fille perverse.
- Vous m'avez fessée fort, monsieur, ça fait encore mal…
Il glisse sa main entre ses fesses, elle est mouillée jusqu'au trou du cul. Il enfile un doigt, remonte vers son con, trempé de mouille et de pisse, y met deux doigts. Tandis qu'il la doigte, Sophie se trémousse, frotte ses tétons durs contre son torse, presse son ventre contre sa queue tendue.
 
- Oh oui monsieur… C‘est bon.
Il retire ses doigts de sa chatte, les renifle :
- Tu mouilles beaucoup et tu sens fort.
Elle glousse :
- C‘est à cause de tout ce que vous me faites, monsieur.
Léa glisse à l'oreille de Nathalie :
- Regarde… Marc bande comme un cerf. Fesser une petite le met dans tous ses états. Il est en rut, il va la baiser. Et moi, ça me met en chaleur.
Ce disant, elle fait remonter ses doigts sur les cuisses de Nathalie. Elle l'oblige à les ouvrir, fait glisser sa robe en haut de ses jambes. La toute petite culotte laisse voir par transparence sa touffe et le renflement charnu des grandes lèvres.
Dans son canapé, Mr. K., qui est en train de se faire lécher par ses deux nymphettes, lance :
- Madame, quand on met d’aussi ravissants dessous, ce n’est pas pour les cacher !
Il ajoute, voyant Léa palpant la vulve tiède sous le tissu :
- Montrez-vous, madame… Faites nous voir votre plaisir...
Nathalie se cabre quand Léa fait descendre sa main sur son ventre pour l’insinuer sous la culotte. Fourrant un doigt à travers ses poils, elle touche son entaille chaude et humide. Du bout du majeur, elle désunit ses lèvres et fait tourner son doigt au bord de son vagin. Les reins cambrés, le corps tendu contre le canapé, Nathalie frissonne en poussant de petites plaintes sourdes. Léa frôle son clitoris à demi érigé, le titille...
- Oui... C’est bon !
Elle lui retire sa petite culotte, découvre la vulve épaisse et poilue. Elle plonge ses doigts dans sa toison pour dégager sa fente. Nathalie se met à gémir quand Léa pose ses lèvres sur sa chatte.
Juan fait glisser les épaulettes de sa robe, découvre ses gros seins tendus. Il les dénude, les tétons sont dressés, mauves comme des framboises mûres. Il les caresse tandis que Léa lèche la vulve ouverte.
Devant eux, Marc a fait mettre Sophie à genoux sur un canapé, le haut du corps reposant sur le dossier. Posté derrière elle, il la saisit à la taille.

Elle gémit en sentant la queue se faufiler entre ses cuisses. Marc lui caresse les bords du vagin avec son gland. Elle le supplie de la prendre. La main de Marc s‘abat sur sa fesse. Enfin, au moment où Sophie se sent sur le point de devenir folle d’impatience, il lui enfonce sa queue.
Sa verge, dure, glisse jusqu’au fond du vagin avec facilité. Marc entame un lent va-et-vient, il la prend posément, de bas en haut, agrippé a ses hanches. Lorsque ses coups de queue deviennent plus violents et qu‘il se met à la fesser à toute volée, Sophie, supplie, quémande, mendie, sanglote.
Elle jouit encore, lui n‘a pas éjaculé, il sait qu‘à la façon dont elle a pris son plaisir, Sophie lui appartient.
Sucée par Léa, tétée et mordillée par Juan, exposée comme une salope à tous les regards, Nathalie dégouline. Le ventre éperdu de désir, elle ne quitte pas Marc des yeux.
Il s'est retiré du con de la fille. Il tient d’une main sa queue maintenant dirigée plus haut. Il promène le gland sur la croupe de Sophie, puis contre sa rondelle. Il appuie de ses reins, il progresse lentement. Il la sodomise.
Elle ne le refuse pas. Sa bouche est ouverte, sa tête penchée vers le divan, elle acquiesce en silence, elle accepte ce pieu qui écarte son cul pour entrer lentement, toujours plus loin.
Brusquement, Marc progresse d’un coup, son ventre vient contre les fesses de Sophie et elle accompagne l'intrusion d’une longue plainte.
Marc commence son va-et-vient dans les reins de Sophie, lentement au début, plus vite ensuite. Courbé sur elle, le bras droit passé sous son ventre, il la branle, en même temps qu’il l’encule.
Un cri encore, aigu et long. Sophie jouit à nouveau. Marc lui pilonne le cul en la tenant maintenant par les hanches. Elle a posé sa tête sur le divan, complètement offerte. Son visage n’exprime rien, sinon un infini plaisir.
Léa, qui se masturbe en continuant à sucer Nathalie, jouit avec des gémissements rauques. Nathalie la suit, arrosant sa bouche d’une giclée de mouille.

Un long râle, c’est Marc. Il vient de jouir, lui aussi. Il se retire lentement du cul de Sophie, son sexe semble interminable. Il est toujours dressé vers son anus quand il sort enfin. Il donne une petite tape sur les fesses de la fille, comme pour lui dire qu’il est content d’elle, qu’elle s’est bien conduite.
Sophie l’embrasse, se frotte à lui comme une chatte qui ronronne de plaisir, son corps frissonne sous ses mains. À voix basse, elle dit des mots, toujours les mêmes :
- Vous m‘avez remplie, je vous appartiens.
Marc la prend par la main. Elle se lève, docile, les yeux baissés.
Mr. K. fait servir du champagne. Léa quitte le salon, entraînant derrière elle un "gode à pattes".
Nathalie n'en peut plus, le brasier que cet accouplement a allumé au creux de ses reins la rend folle. Son con est une fournaise, et à la raideur et aux palpitations de la queue de Juan, qu'elle a prise en main, il n'est pas loin de jouir également.
Elle le supplie :
- Baise-moi… Prends-moi ici, tout de suite...
Mr. K. intervient :
- Tout de suite, oui, mais pas ici, madame… Juan, faites donc connaître la "Vitrine" à notre invitée.
La "Vitrine", la pièce dans laquelle Juan emmène Nathalie est un salon aux murs tapissés de miroirs. Au fond de la pièce, séparé des spectateurs par une grande vitre, un couple baise. Nathalie reconnaît la femme. C'est Léa qui s’abandonne à son "gode à pattes" de la façon la plus obscène possible.
Juan pousse Nathalie contre la vitre. Un léger sursaut, en raison du froid du verre sur la pointe de ses seins. Elle sent Juan, debout derrière elle, la queue raide, dure, calée entre ses fesses. Son cul à elle enserre sa queue.
Nathalie porte une main à son bas-ventre. Sa main qui n’est pas occupée à se frotter vient enserrer la queue de Juan et elle commence à le branler.
Face à eux, ils baisent bestialement. Léa tend ses reins à son mâle et accompagne ses mouvements. Nathalie voit la dure colonne de chair qui se fraye un chemin dans le fourreau humide. La bouche ouverte, la chevelure secouée de mouvements désordonnés, Léa s’abandonne à la saillie.
- Plus vite ! Plus vite !
Léa, qui se laisse enculer comme une chienne en chaleur devant ses yeux. Les corps transpirants et rougis par l’excitation... Tout ça les excite de plus en plus, à la vue du rythme auquel Nathalie triture son bouton et à la raideur de la bite de Juan dans sa main.
Il ne tient plus. Il jouit, il répand tout son foutre sur les reins de Nathalie. Son jus coule le long du sillon de ses fesses jusqu’à son con puis se disperse le long de ses cuisses.
Il se baisse et commence à la lécher pour ne pas en perdre une goutte. Ses lèvres se retrouvent sur sa chatte, sa langue sur le clitoris. Il lui mange le con, Nathalie feule en jouissant sur sa bouche.
Un deuxième homme a rejoint Léa et son "gode à pattes". Bien membré, comme celui qui est entre ses fesses depuis tout à l’heure. Il lui tend son pieu déjà gonflé de désir. Elle ouvre la bouche et s’empare de lui.
Juan se prend en main et se branle, Nathalie voit sa queue durcir à nouveau. Elle se colle contre la vitre, elle écarte largement les cuisses. Le chemin lui est tracé. Elle veut sa queue.
Il place son gland contre sa chatte et l’appuie sur l’entrée de son fourreau. Elle mouille tellement qu'il n’a pas le moindre mal du monde à la pénétrer. Il commence son va-et-vient. Il se retire, revient, se retire et revient et se retire encore.
Elle geint, frustrée :
- Ohhh… Reviens…
Il ignore sa requête. Il joue, elle supplie :
- S'il te plaît… Reviens...
Il lui glisse à l'oreille qu'il veut l'entendre lui dire où elle le veut.
- Reviens… Dans mon cul…
Elle se place contre la vitre, les mains plaquées sur le verre. Sa queue, bien lubrifiée par sa mouille, n'a aucun mal à la pénétrer, à la remplir, dedans jusqu'aux couilles. Il prend appui sur ses hanches et la besogne consciencieusement.
Elle utilise une de ses mains pour se frotter pendant qu'il la possède. Elle pousse de petits cris. Le trio face à eux arrive au bout. Léa hurle de plaisir, elle jouit et ses amants semblent ne pas en être loin non plus.
Dans le fondement de Nathalie, les va-et-vient de Juan se font rapides et violents. Il bute au fond de son cul à chaque retour, elle sent ses couilles ballotter contre sa chatte. Elle crie et elle se laisse aller en même temps que les hommes face à eux.
Le premier recouvre le dos de Léa de son foutre. De longs jets blancs et puissants s’écrasent jusqu’à sa nuque. Le deuxième ne tient plus. Il se masturbe face à elle qui n’attend que ça. Il jouit dans un grand râle. Son sperme vient buter sur le visage de Léa, elle se délecte de son nectar.
Quand Juan grogne qu'il va venir aussi, Nathalie le repousse et se jette goulûment sur sa queue. Elle colle ses lèvres sur son gland et elle le pompe comme une adolescente qui ferait un suçon à son petit ami. Il gicle dans sa bouche et elle ne cesse de le téter que lorsqu'il s'est entièrement vidé.
Elle se relève. Elle se fait chatte. Elle plante ses ongles dans ses fesses tout en l’embrassant et partageant avec lui son jus de plaisir.

Il est temps de faire une pause, afin de permettre à chacun de récupérer un peu de forces. Ils regagnent le "Salon bleu". On sert du champagne, des entremets.
Mais Nathalie n'est pas encore rassasiée. La braise qui couve dans son ventre n'est pas éteinte. Elle se revoit dans le "Salon rouge", lors de sa première nuit au Cercle. Cinq hommes l'ont prise, baisée, saillie, malmenée, elle a hurlé de plaisir. Elle en aurait voulu dix, vingt.
Lorsque Marc, qui a repris des forces, prend sa bouche et conduit sa main sur sa queue à nouveau tendue, elle lui murmure :
- Ce soir, je veux tout... Pour vous. Je veux être votre salope. Conduisez-moi au "Salon rouge".
Comme la première fois, on lui pose un masque de velours noir sur les yeux.
- Vous ne l'enlèverez que lorsque vous y serez autorisée.
Des doigts agrippent fermement sa main droite. Ils traversent un couloir. Une porte qui s'ouvre. Nathalie perçoit des voix d’hommes et de femmes et des odeurs de sexe. Un doigt très fin se faufile entre ses cuisses, presse impudiquement sa vulve, glisse dans son vagin. Une voix de femme :
- Cette femelle est trempée.
Ses reins se creusent quand le doigt fouille le bord de son anus. L’impudeur de cet attouchement la fait couler.
Un homme se colle contre elle, prend sa main, la plaque contre lui. Il ne porte qu’un slip, gonflé par son sexe et ses couilles. Elle agrippe le volumineux paquet à travers le tissu. Il la saisit par les cheveux, la met à genoux devant lui.
Elle sait ce qu'elle a à faire… Elle le suce à travers le slip, puis, comme elle l'a déjà fait avec Germain, elle le baisse avec ses dents, fait descendre l'élastique sous les couilles. Tout en léchant son sac, elle fait glisser le slip d'une main en branlant l'homme de l'autre main. Un murmure approbateur dans l'assemblée lui indique que l'on goûte sa prestation.
L'homme la relève, elle continue à le branler. Il gicle. Une femme se joint à l’homme, elle lèche le foutre répandu sur son ventre et ses seins. Elle prend sa bouche, lui fait goûter le sperme, lui pétrit les seins pendant qu'un autre homme vient se coller derrière elle. Il s'agenouille. Elle se cambre et gémit lorsque une langue se met à explorer son sillon fessier.
Elle est soudain renversée sur un divan. On écarte ses cuisses sans ménagement, tandis que des mains s’emparent de son corps.
Des doigts masculins et féminins pressent ses seins gonflés, des dents mordillent ses tétons bandés, des bouches sucent sa vulve chaude et juteuse.
Les odeurs de sexe se font plus insistantes. Un membre dur force sa bouche. Elle le sent gorgé de sperme, il gonfle encore entre ses lèvres par petites saccades.
On saisit ses poignets pour tirer ses bras en arrière, comme si on voulait accen la soumission de sa posture. Une verge s’enfonce dans son con. L’inconnu la pistonne vigoureusement. Chaque fois que le gland heurte son utérus, elle gémit, elle tressaille en sentant les couilles pleines frôler sa chatte. Ses plaintes sont étouffées par la queue épaisse qui emplit sa bouche.
Ils accélèrent leur cadence, les deux hommes se vident presque en même temps dans ses orifices.
Sans un instant de répit, des doigts, des langues, des queues se succèdent en elle. On la met à quatre pattes pour être sodomisée, plusieurs fois de suite.
Livrée à tous, elle ne compte plus ses orgasmes. Certains mâles, trop excités, se masturbent sur elle pendant que d’autres la possèdent. Des femelles en chaleur viennent s'asseoir sur sa bouche, elle lape leurs chattes trempées et boit leur mouille.
L’orgie s’arrête. Le brouhaha des conversations a repris dans la pièce. Nathalie n‘a aucune idée du temps écoulé depuis son arrivée.
Son vagin déborde de tout le jus reçu, son corps est couvert de sperme. Elle est toujours allongée sur le divan bas. Le foutre coule doucement à l’intérieur de ses cuisses.
Elle aurait pu enlever le bandeau noué sur ses yeux, mais elle ne veut pas enfreindre la règle du jeu. Léa lui retire le bandeau. Marc et Juan lui présentent leurs bites dressées. Elle s'agenouille devant eux pour les avaler.
Encore excitée à la pensée qu'ils l'ont vue livrée à tous, elle engloutit l'une après l'autre leurs verges palpitantes, lèche leurs couilles pleines.
Marc éjacule copieusement, arrosant sa gorge de jets tièdes. Elle le boit avec délice, comme chaque fois qu'il jouit dans sa bouche. Et tandis qu'elle offre son con et son cul à Léa qui la lèche et la suce, Juan se répand sur elle.

La petite Sophie conduit Nathalie dans une salle de bains. Comme une camériste consciencieuse, elle la lave, la savonne soigneusement, termine la toilette en lui parfumant le corps, s’attardant sur les seins dont les pointes frémissent, sur le sexe qui palpite et sur l’anus qui se contracte sous la brûlante vaporisation. Enfin, elle refait son maquillage.
Il est plus de 3 heures du matin lorsqu'ils prennent une dernière coupe de champagne.



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