Les 1001 Perversions De Nathalie (6) Nathalie Soumise - Le Cercle (2)

Au fond du salon bleu, une femme d'âge mûr, accroupie sur un grand lit, est en train de sucer la bite d'un "gode à pattes". Derrière elle, un deuxième lui donne de grands coups de queue dans la chatte, sans retenue, en la tenant par les fesses. Des grosses fesses encore fermes, et une grosse poitrine, deux globes laiteux aux larges aréoles brunes.
Marc et Houssam, affalés dans des fauteuils, reprennent des forces à grand renfort de coupes de champagne. Nathalie par contre, malgré cette séance torride sur le "banc à fesser", n'est pas repue.
La queue qui va et vient dans la chatte de la femme est plus grosse que celle qu’elle suce, longue et fine, le gland suintant luisant des succions répétées.
Le baiseur retire sa bite, grosse et veineuse, tendue, pour retourner la femme et venir près de son visage pour se faire lécher. Elle prend la grosse queue entre ses lèvres, en se dandinant, pendant que l'autre cherche l’entrée de son con.
- Oh, Simon... oui, plus profond dans ma chatte… Et toi, Manuel, assieds-toi plus près, que je te lèche sous les couilles !
La femme lape à grands coups de langue les couilles de l'homme, assit les cuisses grandes ouvertes devant elle.
- Oh… C'est bon, bon, bon! ! Vous êtes des diables,,, Oh…Manuel… Ta queue a bon goût !
L'homme retire sa bite de la chatte. Ils couchent la femme sur le ventre, les cuisses bien ouvertes. Le premier se met à lécher le trou du cul ourlé et mauve, niché dans la raie des grosses fesses. La femme gémit :
- Je veux me faire enculer… Viens, Simon… Dans mon cul !
Nathalie dégouline. Cette femelle déchaînée et ces deux "godes" la chamboulent… La queue de Houssam ne lui a pas suffi. Elle en veut plus. Encore. Des pines, des mâles, tout.
Mme. K., qui c'est jointe à l'assemblée, va au-devant de ses désirs :
- Madame, l'usage du Cercle veut que toute nouvelle invitée se mette à l'entière disposition de qui la voudra.
Elle lui pose un masque de velours noir sur les yeux.


- Derrière cette porte, dans le salon rouge, des messieurs passablement en rut ont hâte de faire votre connaissance. Vous ne les verrez pas et votre plaisir n'en sera que plus intense.
Nue, conduite par Mme. K. et Léa, Nathalie fait son entrée dans le salon rouge.
- Messieurs, notre invitée est à votre disposition !
Les mâles, échauffés par l’attente, émoustillés par l’alcool, se lèvent et s’approchent de cette femelle préparée pour eux.
P. ne perd pas son temps, il prend ses seins, les embrasse longuement, en mordille les pointes que sa langue a tôt faite de faire durcir.
Nathalie frémit sous la caresse, incapable de résister au plaisir qui déjà la saisit.
D’autres bouches se posent sur ses nichons. Des langues les lèchent à grandes lapées, les mouillent de salive. Elles n’en finissent pas de parcourir ses mamelles aux tétons bandés.
Nathalie est incapable de maîtriser son corps, ses jambes flageolent. Elle tremble d'excitation. L’idée qu'elle est à la merci de ces inconnus la chavire. Elle perçoit leur souffle haletant tandis qu’ils jouent avec elle. Elle gémit et se tord sous leurs bouches et leurs mains exigeantes, qui maltraitent ses nichons, pincent ses fesses, froissent sa toison.
- Allons, messieurs, je vous en prie, vous allez nous l’abîmer si vous êtes aussi impatients. Je propose de procéder dans l’ordre. D’abord J.L., puis M., ensuite X., enfin B..
La prenant par la main, Mme. K. et Léa la guident vers une banquette de cuir noir et l’allongent :
- Madame, nos amis désirent connaître vos talents. Soyez à la hauteur. Pour commencer vous ferez une fellation. Venez J.L., à vous l’honneur d’étrenner notre invitée.
J.L. ne se fait pas prier. Il s’installe à califourchon sur Nathalie allongée. Il est nu et cale ses fesses sur sa poitrine. La tête posée sur un coussin, Nathalie a la bouche à portée de la pine qu'elle doit avaler. Léa l'exhorte :
- Prends la bite de notre ami et guide-la toi-même !
Tâtonnant, elle se saisit de la grosse verge.
Ses doigts la pressent comme pour en éprouver la densité et le volume. Elle porte le pieu à sa bouche. J.L. pousse son bassin en avant. Léa prête son concours, imprimant un mouvement d’allées et venues à la tête de Nathalie.
Fascinés, les autres regardent la queue surgir et disparaître entre ses lèvres, luisantes de salive, le nœud décalotté délicieusement irrité par la langue. Elle enveloppe la verge de sa langue, la lèche, la suçote, l’aspire. Elle est trempée de la sentir grossir et durcir encore dans sa bouche.
Le visage crispé et le souffle rauque de J.L. annoncent l’efficacité du traitement.
- Va, ma pute, suce-le bien à fond. Je veux te voir avaler tout le sperme qu'il va répandre dans ta bouche.
Après quelques sursauts convulsifs, la bite déverse son épaisse liqueur dans l’accueillant gosier.
Nathalie continue de le sucer, comme pour épuiser jusqu’à la dernière goutte la réserve de foutre. J.L. ne tarit pas d’éloges sur sa performance de fellatrice. Mais à peine s’est-il relevé, le toilettage de sa pine terminé, que Mme K. invite un autre homme à s'occuper d'elle :
- Cessez de vous prélasser, madame. C’est au tour de M. de profiter de vous. Et il vous prendra comme une chienne.
Avec l’aide de Léa, elle la saisit aux poignets et l’aide à se relever et à se mettre à quatre pattes. Léa lui administre une claque sur les fesses :
- Montre-nous comme tu tortilles bien du cul lorsque tu as une grosse bite dans le con…
Offerte en levrette, Nathalie se cambre. Léa la force à ouvrir les cuisses, invitant l’assistance à regarder son con dont elle écarte les mèches. Elle entrouvre la fente qui luit de mouille et fait admirer la vulve où va pénétrer bientôt la pine dure du second invité.
M. regarde le somptueux cul qui s’offre à sa vue, il sort un sexe volumineux, bien arrimé à son corps ventripotent. Lentement, il fait pénétrer le gland dans la fente, parfaitement huilée par l’abondance des sucs intimes. Il pousse et pousse encore et Nathalie pousse un feulement.
M. se retire à moitié avant de se renfoncer brutalement. Tout en limant, il se met à compter chaque coup de queue qu’il donne sur un rythme lent.
- Un… deux… trois…
Il parvient jusqu’à soixante-trois.
Sous la cadence qui peu à peu s’accélère, Nathalie serre les dents pour résister au désir de hurler et d’exprimer la volupté qui lui tord le ventre. Elle est trempée de sueur. Elle halète comme une chienne en chaleur, ivre des sensations que lui procure la verge qui ramone son con dilaté.
Elle prend un plaisir vicieux à être ainsi exhibée. Il lui semble qu'elle n’a jamais été aussi bien fouillée et défoncée. Lorsque l’accouplement approche de sa conclusion, la queue pilonne sa chatte plus violemment et dégorge le sperme tiède en saccades brèves qui n’en finissent plus.
Lui laissant à peine le temps de reprendre son souffle et recouvrer ses esprits, Mme K. et Léa allongent Nathalie sur le dos, les fesses au bord du plateau de la banquette.
Elles lui attachent des cordelettes aux chevilles et au pli des genoux et lui font ramener les cuisses sur la poitrine. Puis les liens sont assemblés et noués derrière sa nuque. Ainsi installée et dans l’impossibilité de se libérer, elle est exposée de façon particulièrement obscène.
Mme K. fait l’article :
- Ainsi exposée, notre amie ne vous dissimule plus rien de ses trésors les plus intimes. Voyez cette belle vallée poilue, et ces lèvres disjointes où pointe le clitoris. Le pauvre chéri aimerait bien qu’on le sollicite, il n’a pas eu droit à beaucoup de câlins. Admirez cette vulve hospitalière qui accueillait il y a peu la verge de M... Mais je devine que X. s’intéresse à autre chose.
Mme K. humecte son index et, le posant au centre de l'anus, pousse lentement, insinuant trois phalanges sans difficulté. Elle le fait bouger d’avant en arrière, puis en petits cercles concentriques, s’efforçant patiemment de dilater l’orifice sous les regards intéressés.
Elle prend un petit pot rempli d’une pommade translucide et parfumée, elle crochète une noix de l’onguent et en tartine le trou avant de faire coulisser à plusieurs reprises son majeur dans l’étroit orifice.

- Je crois que ça ira comme ça !
Déjà, des mains lui écartent les fesses. Nathalie perçoit la chaleur d’une verge contre son trou du cul. Elle retient sa respiration lorsqu'elle sent un gland rigide tâtonner dans la fissure de ses fesses largement ouvertes. La pression s’accentue. L’énormité de la queue qui s’apprête à la percer l’épouvante presque. L’homme pousse irrésistiblement en avant, pesant durement sur la rosette.
Léa l’encourage avant de la bâillonner de sa main.
- Sois courageuse, ma chérie, ça va bien se passer !
Heureuse initiative qui étouffe son hurlement lorsque la verge mafflue viole le sphincter et s’enfonce sans rémission dans son cul. Nathalie se tord, secouée par un spasme. Elle pousse un râle. Ses fesses se crispent. Son bas-ventre ondule.
Ses trémoussements ne servent qu’à favoriser la pénétration de la bite dans ses entrailles. Par saccades, l'enculeur pousse sa longue verge dans son cul, qui finit par absorber la pine jusqu’à la racine. Nathalie s’en rend compte en sentant les couilles de son baiseur contre ses fesses. Le pieu lui remplit l’anus, remuant à peine tellement il le serre.
L’homme s’agite, remue sa verge, la retire à moitié avant de la remettre à fond. Il baise son cul à longs coups de piston, attentif à ne jamais se retirer.
Nathalie geint au rythme de cette bielle qui va et vient, sa tête s’agite de droite et de gauche. Bien enserrée dans l’étroit conduit, la verge se meut avec lenteur, sans brusquerie, peaufinant en quelque sorte la voie ouverte.
L’assistance suit attentivement le spectacle. Quelques hommes se masturbent. Des jets de foutre atterrissent sur son ventre, ses seins, ses joues. Un homme promène sa pine sur ses joues, sur son cou. Elle le réclame dans sa bouche, il l'ignore, et descend le long de son bras, dans sa main.
Elle s'empare de la bite, la masturbe. Une deuxième pine se pose sur sa main encore libre, elle l'empoigne et le branle aussi. Un gland suintant, turgescent, vient se frotter contre sa bouche. Elle tire la langue et lèche, elle ouvre la bouche pour sucer. L'homme grogne et s'enfonce et elle le tète comme un biberon.
Mais ils ne sont "que" quatre à la posséder ! Elle en veut plus, elle en veut cinq, dix, vingt ! Et lorsque les doigts d'un cinquième se mettent à effleurer et triturer son clitoris et les lèvres gonflées de sa vulve, Nathalie pousse des râles de femelle obscène.
Fouettée par la volupté qui éclate, elle offre son cul, comme soulevée, pour mieux profiter de cette trique qui lui défonce le rectum.
Elle va à la rencontre de la sodomie qui se transforme en un insupportable délice. Elle transpire de plaisir, elle n’est plus qu’un ventre qu’on laboure et qui en tire une ignoble jouissance.
Offerte en pâture à ces mâles, enculée, doigtée, suçant et branlant, Nathalie éprouve une émotion masochiste. Elle est ivre d’être traitée comme une esclave, comme un objet de plaisir par ces pervers déchaînés.
Soudain, elle se tend et se crispe et se met à jouir avec une longue plainte. Secouée de convulsions frénétiques, elle pisse, arrosant les doigts de son branleur et la queue et les couilles de l'enculeur,…
Ce déluge déclenche l’orgasme de l’homme qui pousse un long râle. Sa queue expulse un torrent de foutre qui se déverse dans son cul comme un lavement onctueux et tiède. Gémissante, elle boit le foutre qui au même moment se déverse dans sa bouche.

L'aube pointe lorsqu'ils quittent le Cercle. Sur la banquette arrière de la voiture, Nathalie s'est endormie contre l'épaule de Léa.

(à suivre)

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