Les 1001 Perversions De Nathalie

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Les 1001 perversions de Nathalie


C’est seulement en fin d’après-midi qu’elle quitte la petite plage peu fréquentée où elle aime venir se baigner. Seule en vacances, son mari en voyage d’affaires à l’étranger, elle goûte ces journées sans emploi du temps précis et dont elle peux disposer à sa guise.
À 50 ans, exerçant un travail lucratif dans une grande banque, épouse d’un mari attentionné, Nathalie mène une vie tranquille de bourgeoise qui profite des privilèges matériels liés à son statut. Son seul "vice" est la fréquentation de sites de littérature érotique, et le fantasme qui la conduit régulièrement à se masturber et à jouir comme une folle : dans une zone, dans une cave, dans un parking souterrain, une bande de voyous la poursuivent, la malmènent, la forcent, la violent.
La plage est maintenant déserte, sauf ces quatre jeunes, deux Arabes et deux autres du genre voyous de banlieue, qu’elle avait déjà remarqué et qui sont là tous les jours.
Lorsqu’elle arrive sur le parking, il ne reste plus que deux voitures : la sienne et une vieille Oldsmobile, appartenant sans doute à ces jeunes.
- Ce n’est pas possible, je n’ai pas pu les perdre.
Elle fouille dans son sac à main à la recherche de ses clefs de voiture. D’abord inquiète, puis de plus en plus fébrile, elle finit par vider le contenu du sac à main sur le capot de la voiture. En vain : pas de clés, plus de portable.
- Y a un problème, madame ?
Elle se retourne. Ils sont là tous les quatre, les deux Arabes et les deux autres.
- Non merci… Ou plutôt oui. Pouvez-vous m’appeler un taxi ? J’ai perdu mes clefs de voiture et mon portable.
L’arabe tapote un instant sur son clavier et finit par déclarer :
- Y marche plus… C’est con… Guillaume, passe-moi le tien.
- Marche plus non plus… Ahmed essaie le tien !
- Non rien à faire… Gino ?
- J’en ai pas, on me l’a fauché hier.


Le plus grand des deux Arabes lance avec un grand sourire :
- Pas de problème, madame. On va vous reconduire vite fait. Je me présente, Houssam. Lui c’est Ahmed et voilà Gino et Guillaume.
Elle n’a d’autre solution que d’accepter. Elle leur indique l’adresse et ils s’entassent dans l’américaine, elle à l’arrière, coincée entre les deux arabes.
Ils roulent depuis cinq minutes lorsque elle fait remarquer au conducteur qu’il s’est trompé et qu’il ne prend pas le chemin de son hôtel. Houssam la tranquillise :
- Vous en faites pas, madame, on connaît un raccourci.
Mais lorsque au dernier carrefour Gino tourne à droite au lieu de tourner à gauche en direction de son hôtel, elle commence à être vraiment inquiète.
- Vous vous trompez encore, il fallait tourner à droite !
- Madame, lui déclare Houssam, on a changé d’avis. On va chez nous. On vous invite. Vous verrez, c’est bien, chez nous. On a tout ce qu’y faut : à boire, à manger, à fumer, du rap, on rigole bien. Chez nous, c’est au bonheur des dames.
"Je n’ai pas du tout envie de rigoler", se dit-elle. Au contraire, elle commence à avoir vraiment peur, elle craint que ces voyous ne soient capables de tout.
Au bout de dix minutes la gimbarde s’arrête devant un immeuble minable dans un quartier plus minable encore. Les deux arabes la sortent de la voiture, l’empoignant chacun par un bras ils l’entrainent dans un escalier sombre, et la maintenant toujours, lui font monter trois étages.
L’appartement est petit, pauvrement meublé et dans un désordre épouvantable.
Des bouteilles de vin, des alcools, des douzaines de canettes, des cartons de pizza encombrent une grande table au centre de la pièce. Dans un coin, un vieux canapé. Dans une seconde chambre, elle aperçoit des matelas sur le sol.
Ils branchent la sono à pleins tubes. Gino débarrasse la table et commence à rouler des joints. Ahmed fait chauffer des pizzas tandis que Guillaume décapsule des canettes, les distribue à la ronde, ouvre des bouteilles… Houssam l’entraîne près de lui sur le canapé, lui mets un verre dans la main :
- À ta santé, c’est du tout bon… au fait, tu t’appelles comment ? Moi c’est Houssam, mais tu sais déjà.

Ahmed revient de la cuisine avec les pizzas, les distribue à la ronde. Houssam, décapsule une canette :
- Allez, mange et bois, madame, pardon, Nathalie. Y faut prendre des forces pour la nuit, Nathalie… la nouba ne fait que commencer.
Gino fait passer des joints. Houssam aspire une profonde bouffée, l’exhale longuement, tend la cigarette à Nathalie :
- Ça décontracte… Essayes, tu verras, après tu seras comme sur un nuage…
Des récits de viols collectifs dans une cave ou un parking de la zone lui reviennent. Crispée, terrorisée presque, n’osant imaginer ce qui va lui arriver, ce qu’ils vont lui faire, elle se dit que ses fantasmes sont en train de devenir réalité.
La tête lui tourne. Houssam a sûrement versé quelque chose dans son verre à son insu, se dit-elle encore. Ou bien est-ce la bière et les pizzas ou le joint qu’elle a fini par prendre, une bouffée qui lui a arraché une quinte de toux. Ou tout ça à la fois, plus la sono assourdissante et la chaleur étouffante dans ce petit appartement.
Toujours est-il qu’elle a l’impression de flotter, et petit à petit elle se sent partir à la dérive. Tous sont un peu ivres et s, et l’alcool et les joints aidant, elle sent qu’elle finit par se laisser aller à la folie générale.
- Bon, c’est pas tout de rigoler, de jointer et de picoler. On passe aux choses sérieuses. Lève-toi !
Elle n’oppose plus grande résistance lorsque Houssam la prend par le bras, la met debout et se colle derrière elle. Il passe ses bras autour de son cou, tandis que Guillaume et Ahmed lui font face. Gino est resté assis, occupé à rouler des joints  :    
- Nathalie, mes potes ont une question à te poser.
Ahmed lui lance :
- Tes gros nichons. Tu veux nous les montrer ?
Elle ne bouge pas et commence à avoir vraiment peur. Houssam déboutonne sa blouse, l’ouvre, fait glisser le soutien-gorge sous ses seins. Ses mamelles apparaissent, blanches, superbes, gonflées, tentantes. Toujours derrière elle, il passe ses deux mains sous les globes pour les soulever et les mettre bien en évidence sous les regards des deux autres.

Ils s’approchent :
- Des nichons pareils, c’est une bénédiction.
Les deux sont maintenant contre elle. Leurs mains se posent sur ses seins offerts. Chacun s’empare de l’un d’eux, les caresse, les soulève. Des doigts agacent les mamelons, les titillent, les pincent, les tirent, les roulent. Contre ses fesses elle sent la queue dure de l’arabe. Les deux autres collent leurs bites contre son ventre. Elle perd pied et ils y vont de leurs commentaires :
- Tu as des lolos superbes.
- J’aime tes nichons, ils sont doux comme du velours.
- Avec des outres pareilles, tu fais durcir nos bites.
Ahmed l’arrache aux bras de Houssam et la retourne face lui :
- Houssam, ça veux dire "sabre tranchant", en arabe. Montre ton sabre à Nathalie, Houssam, pour qu’elle voie ce qu’elle va recevoir dans le cul. Elle va aimer.
Houssam ouvre son pantalon, fait glisser son slip. Elle reste fascinée qu’on puisse avoir une queue si grande. Elle se sent partagée entre la peur de se faire enfiler ce gourdin, et l’envie de connaître les sensations qu’il pourrait lui procurer.
Houssam l’entraîne sur le canapé et la débarrasse de sa culotte, lui écarte les cuisses, tandis qu’Ahmed s’approche, armé d’une brosse à cheveux.
Elle tremble quand les poils rêches lui caressent un mamelon. Sa respiration se fait rapide, il agace sans douceur les tétons, il éprouve un plaisir crapuleux à malmener les pointes en érection.
Poitrine offerte, elle se cambre au contact des poils rugueux qui frottent ses mamelons. Ceux-ci se dressent au centre des aréoles contractées, ils lui font mal tant ils sont durs. Entre ses cuisses, elle se sent devenir mouillée lorsqu’il fait descendre lentement la brosse le long de son ventre, marque un arrêt sur le nombril qu’il se met à titiller méchamment. Elle respire fort, la peau hérissée de chair de poule. Elle laisse échapper un soupir en sentant les poils durs effleurer son clitoris dressé.
Les yeux brillants, il joue avec la pointe de chair bandée, la grattant avec les filaments rugueux.
Elle geint, sa chatte coule. Houssam la tient fort, l’écarte, elle voit cette queue raide, grosse... Et elle en a soudain envie… Elle se tortille, la motte en avant, sa mouille lui dégouline à l’intérieur des cuisses. Si seulement il lui enfonçait le manche de la brosse dans la chatte, elle pourrait accéder à une jouissance que maintenant elle réclame.
Ahmed prend soin d’éviter la fente écarquillée, luisante de mouille et quand il cesse tout mouvement, elle geint :
- Je vous en supplie, faites-moi jouir !
Il a un sourire ignoble.
- Pas question, ma salope, tu dois apprendre à te dominer. Regarde ce qu’on te prépare.
Gino vide le contenu d’un sac de shopping sur la table.
À la vue des accessoires elle frissonne, partagée entre l’anxiété et une excitation sournoise. Ils ne font pas dans la dentelle. Godes, menottes, chaîne à collier de chien, tout y est. Plus divers légumes.  
Houssam lui relève les cuisses jusqu’aux épaules, exposant de façon obscène son con et son cul. Les yeux brillants, Gino s’approche, un gros gode à la main. Elle tremble en sentant l’épais gland lui parcourir la raie du cul, titiller son anus. Ses tétons et son clitoris dardent à lui faire mal. Ils lui écartent les cuisses pour faciliter le passage du gode qui vient caresser sa fente trempée, puis taquiner son bouton dressé. Houssam prend son clitoris entre deux doigts, se met à le branler avec rudesse. Mais il ne la laisse pas atteindre la jouissance. Elle reçoit une claque sur le cul.
- A genoux !
Frustrée, elle se laisse plier les bras derrière le dos par Guillaume qui enferme ses poignets dans les menottes, faisant ressortir ses seins aux pointes dardées. Guillaume lui passe un collier de chien fixé à une chaîne autour du cou. Houssam tire sur la chaîne, ordonne :
- A quatre pattes !
Puis l’arabe lui enfonce un énorme concombre dans la chatte, une carotte dans le cul, une courge dans la bouche. Il retire les menottes puis tire sur la chaîne :
- Avance !
Les joues rouges, elle se traîne le long du tapis, tenue en laisse par l’arabe. Situation dégradante, mais qui la fait mouiller. Ses mamelles aux pointes raidies se balancent, raclant le tapis de laine rêche.
- Plus vite !
Ahmed cingle son cul d’une claque qui lui arrache une plainte et qui le fait redoubler d’ardeur. Tiraillée entre la douleur et l’excitation, elle avance tant bien que mal sur le tapis qui irrite ses tétons et ses genoux. Ses fesses tremblent sous les claques, deviennent écarlate sous les coups que lui assène l’arabe.
Il accroche la chaîne à un pied de la table et l’oblige à se tenir à genoux, les bras pliés dans le dos. Ses poignets sont à nouveau enserrés dans les menottes. Sa posture fait ressortir ses mamelles et son ventre bombé. Elle doit garder les cuisses largement écartées, exposant ainsi sa vulve écarlate, trempée, où pointe le bouton du clito.
À genoux derrière elle, Ahmed commence à la lécher. Il prend tout son con en bouche et la mange, aspire les grandes lèvres, les relâche. Il suçote et mordille le clito, lape sa fente sur toute sa longueur. Sa langue parcourt le sillon fessier, vient contre son petit trou et repart vers sa fente. Et elle s’entend geindre. C’est si bon. Enfin, Ahmed retire les menottes et la relève.
Collé à elle par-derrière, les bras passés sous ses aisselles, il lui caresse les seins, puis il lui ouvre la chatte et propose à Houssam de la prendre à deux, debout, en sandwich.
Ahmed, par-derrière, lui écarte les fesses et joue avec son anus. Sa chatte a produit tellement de mouille que son petit trou luit d’humidité. Ahmed n’a aucun mal à y introduire le doigt, et lorsque Houssam vient frotter son gland luisant contre son clito, elle ne connaît plus aucune retenue.
Elle râle en s’empalant sur la queue qui glisse et s’enfonce toute entière dans son vagin. Elle n’a jamais connu de bite aussi grosse. Elle tend son cul vers Ahmed. Sans trop de difficulté,  il s’introduit dans son anus.
Elle se fait baiser et enculer à la fois. Debout, coincée entre les deux mâles, pilonnée des deux côtés, elle se laisse faire, telle une poupée de chiffon. Sous la poussée conjuguée des deux queues, ses pieds quittent le sol.
Les Arabes éjaculent presque ensemble, et ces deux pines qui lui jutent dans le con et le cul réussissent à lui arracher un fulgurant orgasme.
Pantelants, les d eux se jettent sur le canapé, la laissant écroulée sur le sol, dégoulinante de sperme. Ahmed lui lance :
- Nathalie, Gino et Guillaume ont besoin d‘une femelle ! Tu n‘a rien contre, je suppose ?
Gino la relève, se colle dans son dos et empaume ses seins. Guillaume l’embrasse, glisse une main sur son ventre et l’insinue entre ses cuisses. Elle sent son con couler. Guillaume en profite pour y insérer un doigt. Gino, l’att par les cheveux, lui bascule la tête en arrière et l’embrasse à son tour. Son autre main descend dans son dos et se glisse entre ses fesses. Son excitation grimpe. Ils placent chacun leur sexe tendu dans chacune de ses mains :
- Branle, cochonne !
Elle se surprend à prendre plaisir à les masturber doucement alors que sa chatte et son cul s’enflamment sous les doigts des deux hommes qui la fouillent. Ses jambes flageolent : elle s’accroche au cou de Guillaume pour ne pas tomber.
Toujours caressée et fouillée, elle est allongée sur le canapé. Houssam et Ahmed les regardent installés dans des fauteuils, la verge à nouveau tendue, ils se branlent. Guillaume s’agenouille, vient lui bouffer la chatte, alors que Gino, grimpe près d’elle, lui présente son noeud à sucer. Sous la langue de Guillaume, son clitoris lui envoie des ondes de plaisir de plus en plus fortes. Sous ses doigts, son cul s’ouvre de plus en plus largement. Elle pompe Gino comme une folle. N’y tenant plus, elle agrippe les cheveux de Guillaume et l’oblige à remonter sur elle.
Elle saisit sa verge turgescente et la guide elle-même, impatiente, la fais entrer jusqu’au fond de son con. Elle a le souffle coupé : il est si large qu‘il la dilate complètement. Guillaume entreprend de la baiser, entre et sort de plus en plus rapidement de sa chatte, fait grimper sa jouissance à chaque aller et retour. Elle sent la verge de Gino, qu’elle continue à sucer goulûment se contracter, il lui saisit la tête entre les mains et éjacule au fond de sa gorge, lui fait tout avaler.
Guillaume, voyant cela, se déchaîne, son corps répond à ses assauts, le plaisir monte du fond de son ventre, elle halète, gémit sous lui. La jouissance la prend violemment, entraînant des spasmes de son vagin sur la bite de Guillaume. Elle jouit sous ses coups de bite, et lorsqu’il vient à longs jets chauds au fond de son ventre, elle ne peut retenir des cris, tandis que Gino se vide dans sa bouche.
Elle a à peine le temps reprendre son souffle qu’Ahmed, allongé sur la moquette, la saisit par les hanches, et l‘oblige à empaler sa chatte trempée sur sa pine dressée. Guillaume vient fourrer sa verge encore molle dans sa bouche. Elle se sent déjà bien remplie quand la queue de Houssam s’insinue dans son cul.
Son fourreau est dilaté et lubrifié par les bites qui s’y sont déjà vidées, mais il est si gros qu’elle ne peut pas s’empêcher de râler comme une femelle prise quand il la sodomise comme une chienne. Non seulement, elle est prise ainsi en sandwich, mais elle a une autre pine qui durcit dans sa bouche et étouffe ses plaintes. Gino s‘agenouille à côté d’elle. Dans un état second, elle saisit sa verge qu’elle masturbe fortement.
Elle ressent une extraordinaire jouissance, car les quatre mâles harmonisent leurs mouvements. Son corps est rapidement agité de violents soubresauts, tandis que ses trois orifices se crispent sur les sexes qui la travaillent. Un orgasme la secoue quand le premier gicle dans son con. Les deux autres suivent, remplissant sa bouche et son cul de longues giclées. Gino, qu’elle branle, se vide à son tour, sur son visage et ses seins.
A cet instant, elle sait qu’elle va s‘abandonner aux désirs de ses mâles sans prendre la moindre initiative. Excités comme des boucs en rut, un de ses baiseurs est aussitôt remplacé par un autre. Elle est possédée par un, deux, trois ou quatre hommes en même temps, à quatre pattes ou allongée. De temps en temps, on lèche, on lape, on essuie sa vulve et son cul dégoulinants. Elle connaît une volupté extraordinaire, depuis son premier orgasme, elle est portée par une jouissance qui semble être sans fin.
L’aube pointe lorsqu’elle  se réveille sur le canapé défoncé où ils ont fini par la laisser. Nue, endolorie de partout, son cul et sa chatte à vif, poisseuse de sperme, de bières et de tout ce qu’ils ont répandu sur son corps.
Dans la chambre sordide ou règne une odeur de sperme, de sexe et de sueur, ils dorment tous, écroulés dans un fauteuil, répandus ça et là sur le sol.
Elle part à la recherche de ses vêtements éparpillés dans la chambre. Elle finit par retrouver sa culotte enroulée autour de la bite de Gino, qui s’est sans doute masturbé avec avant de tomber dans le coma.
Dans la rue, la fraîcheur de l’aube la fait frissonner et c’est en vain qu’elle cherche des yeux une station de bus ou de taxi. Et espérer trouver un taxi en maraude à cette heure dans ce quartier est une illusion.
- Puis-je vous aider, madame ?
Elle sursaute, paniquée, elle se retourne.
- Vous semblez mal en point, madame. Permettez-moi de vous ramener, ma voiture est à deux pas.


(à suivre)

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