Collection Étrange Phénomène. Le Parchemin Diabolique (12/23)

Retour de la finale de la coupe, j’ai été un peu vache, Alain le président du club de rugby a ramené Martine, ma copine d’enfance retrouvée par hasard lors d’une brocante de son village ou elle liquidait les affaires de sa maman.
Un peu vache quand je la retrouve tenant difficilement sur ses jambes, après lui avoir glissé subrepticement la boîte en cuir du parchemin dans son sac avant son départ avec le président et ses deux joueurs blacks partant pour le club de Toulon.

• Véronique, rentrons, je suis crevée, je t’expliquerai mon voyage dans tous ces détails.

Je l’aide à s’asseoir dans notre voiture, Alain, le président est là.

• Merci, à toutes les deux vous m’avez fait passer les meilleurs moments de ma vie, aussi bien à l’hôtel que sportifs pendant le match gagné par mon équipe, pardon, je dois dire notre équipe, vous avez été le seizième homme.

Il me fait un baisemain, se penche et regarde Martine dans l’habitat.

• Tu diras à Martine, que je m’excuse encore de la folie qui m’a gagné, comme avec toi, vous êtes des femmes formidables.
• Merci Alain, vous aussi êtes formidable.

Vu son état, je sais ce qui lui est arrivé, la boîte à dû s’ouvrir la livrant aux trois hommes dont deux ayant testé la force sexuelle.

• Christian, Corentin, je vous embrasse, j’emmène Martine se coucher.
• Nous passerons te voir un jour prochain quand nous serons revenues de vacances, nous partons pour l’île de Ré chez ma grand-mère.
• Évitez de vous fatiguer !

Nous éclatons de rire, je démarre la voiture et j’arrive chez moi, nous retrouvons ma chambre.
Benoît est de service ce soir, avant que nous ne nous couchions, je lui fais prendre un bain, je lui lave la chatte, du sperme la tapisse.
Ses seins, eux aussi ont ramassé, ils ont été griffés.
C’est à ce moment que je repense à la boîte, je vais dans son sac qu’elle tenait devant elle quand je l’ai récupérée.


La boîte est là sagement fermée, je la glisse dans mon propre sac, espérons qu’elle va rester sage, inutile de la remettre dans sa boîte en fer, elle est plus forte que ce morceau de ferraille.

• Salut mes grâces, faites-moi une petite place, j’ai eu les infos, vos amis se sont distingués.
Vous faites les gros titres de la presse dijonnaise du matin, « Les marraines du club transcendent les joueurs Dijonnais ».

Je prends le journal, l’article parle du tour d’honneur par les deux femmes accompagnant les joueurs, leurs facilitant la victoire au détriment des Lyonnais persuadés qu’ils allaient les massacrer.

• J’ai envie de toi.

Il s’allonge sur moi, ma chatte est en feu, mais seulement parce que mon mari veut m’honorer, sentant la différence quand cette maudite boîte s’ouvre, sortant son parchemin.
J’aime sentir son sperme en moi lorsqu’il éjacule avant de se retourner et de prendre Martine dans ses bras, se mettant à ronfler comme il a l’habitude de le faire quand il rentre de ses nuits de garde.
La gueule de bois, je me réveille légèrement cassée.

• Enfin, vous vous réveillez, le petit déjeuner est prêt, je vous ai préparé un bon café.
Racontez-moi vos exploits.

J’ai de la chance, je peux raconter comment et combien d’homme m’ont honorée pendant notre voyage à mon mari.
Le regard encore dans le vague, Martine commence son récit.
Le plateau qu’il dépose entre nous est d’un grand réconfort.

• Comment vous dire, c’est simple, vous vous souvenez du club libertin, le feu que nous y avons déclenché, nous venions de dépasser Mâcon, les jumeaux dormaient.
Alain a changé de vitesse, sa main s’est posée sur ma cuisse, quand j’avais atterri sur lui dans la piscine des vestiaires, j’avais senti que j’étais loin de lui être indifférente.
Je l’ai laissé faire, il a remonté jusqu’à ma chatte, j’ai senti que je mouillais, je me suis soulevée et j’ai ôté ma culotte.

• Bien ma salope.
• C’est toi qui me parles de salope, Benoît, ta femme est immanquable, elle se fait sauter dans un bus, certainement jusqu’au chauffeur et c’est elle qui me traite de salope.

Comment peut-elle savoir pour le chauffeur !

• Voulez-vous que je vous dise, vous êtes toutes les deux les plus belles salopes que je pouvais rencontrer, j’ai bien fait de t’épouser Véronique.
• Raconte-nous la suite Martine.
• Oui, la main d’Alain est venue me caresser, c’est à ce moment que j’ai senti ma chatte se vider littéralement de toute la cyprine accumulée au long de la journée.
J’ai entendu du bruit sur les places arrière, Louis et Luc étaient réveillés, ils me regardaient, leur sexe dans leur main, longs et gros, jumeaux, deux pour le prix d’un.
J’ai tourné la tête, Alain avait sortie la sienne, il lui était dur pour lui de rivaliser avec ce qui m’était offert sur les places arrière, mais c’était la plus proche, je me suis penchée et je l’ai avalée.
J’avais tellement le feu au cul, excuse l’expression Benoît.
• Je suis médecin, j’ai fait mes études à la fac de Paris, avant de venir à Dijon exercer, je sais ce que c’est d’avoir le feu au cul, je pourrais vous raconter des soirées d’étudiants où les infirmières se relayaient pour se faire sauter.
Je n’oublie pas les étudiantes en médecine, et aussi les médecins femmes déjà diplômées, c’est l’une d’elles, femme de presque 50 ans, qui m’a dépucelé le jour de mon entrée dans ses cours.

J’apprends comment mon mari a été dépucelé par une femme de 50 ans.
Quel âge à cette femme aujourd’hui ?
Mais Martine reprend son histoire.

• Quand je parle de feu au cul, c’était pire que dans le club libertin, on aurait dit qu’une force extraordinaire chauffait mes sens, il fallait impérativement que je m’occupe de ces trois queues qui m’étaient proposées.

J’ai bien fait de lui confier le parchemin, sa force diabolique l'a propulsée vers des forces que lui seul sait déclencher.

Je vois que Benoît se sert de ses deux mains, il caresse nos deux chattes qui n’ont pas besoin de sa puissance pour dégouliner.

• J’ai entendu les bruits des portières alors que j’arrivais à faire une gorge profonde à mon voisin, ma portière a été ouverte, j’ai senti une main venir caresser ma chatte.
Je me suis mise à genou sur le siège, l’ouverture de la porte permettant à mes jambes de trouver de l’espace, heureusement que nous sommes en juin, j’ai senti un peu d’air sur mon vagin quand ma jupe a été relevée.
• C’était les jumeaux qui venaient t’honorer ?
• Oui, j’ignore lequel des deux m’a baisé la première, mais peu importe pour moi, ils me remplissaient c’était là le principal, surtout que j’ai bien senti qu’ils se relayaient, à la limite de se bagarrer.
Deux verges de cette dimension qui bataillaient pour mon utérus, me rendaient fière surtout que celle d’Alain, que je pompais du mieux que je pouvais tellement mon corps vibrait de partout, arrivait à son paroxysme.
Les bruits que faisaient sa bouche et son bassin qui se soulevait de plus en plus, me bloquant la tête à cause du volant m’ont prévenu de l’arrivée de son sperme qui m’a envahi la bouche.
Coup de chance, il est retombé sur son siège après m’avoir envoyé peu de liqueur dans la gorge, mais je l’ai avalé avec délice.

Le moment dans sa chambre avant le match où nous avons baisé, a dû contribuer à tarir cette source.

• Dans ma chatte, une première bite a déchargé, vite remplacée par une deuxième puis une troisième.
• Une troisième, Luc et Louis t’ont baisée plusieurs fois coup sur coup ? Dommage qu’ils soient partis à Toulon.
• Ma chérie, tu as leurs numéros de portable, je te promets que nous prendrons quelques jours de vacances sur les bords de la Méditerranée.
• Alors la troisième bite ?
• J’ai tourné la tête, le bas ventre que je voyais était blanc, je voyais les jumeaux l’encourager à me remplir la chatte.

Alain avait arrêté la voiture entre deux camions, j’ignore si c’est le bruit des portières, mais les chauffeurs étaient descendus, l’un deux me baisait et j’aimais alors que j’aurais dû le repousser.
• Deux camions, deux chauffeurs, tu as sucé Alain et tu t’es fait baiser par quatre gars dont les jumeaux et leurs queues gigantesques !
Terrible, incroyable, il n’y a pas à dire, tu es une salope.
• Les chauffeurs, j’ignore et j’ignorerais toujours de quel pays ils étaient, mais c’étaient des transporteurs internationaux à deux par cabines, ils y sont passés tous les quatre.
• Je comprends l’état où je t’ai retrouvée, ma salope, se faire prendre par quatre gars à tour de rôle dont certains n’ayant pas vu la chatte d’une pute comme toi depuis des semaines.
• Pourquoi me traites tu de pute, j’ai baisé pour éteindre le feu en moi sans les faire payer.
• Ne te fâche pas ma chérie, quand j’emploie le mot pute, c’est d’une façon générale pour dire de se faire sauter par autant de mecs surtout sur une autoroute, seule une pute peut réaliser ce type d’exploit, c’est un compliment.
• Combien de fois as-tu été enfilée ?
• Je l’ignore, j’ai été sortie de la voiture, l’un d’eux, un balaise plus balaise que les jumeaux, m’a prise dans ses bras et m'a rempli la chatte.
J’ai senti un des autres venir derrière moi et j’ai joui, joui, joui quand un deuxième m’a enculée.
• Tu veux dire que tu étais prise en sandwich par deux gars, sans toucher le sol, simplement transpercée par deux verges ?
• C’est ça, ils ont là aussi rempli mes deux trous, avant de me reposer au sol.
J’ai dû m’appuyer sur le capot avant de la voiture, le moteur était encore chaud, j’avais envie de dormir, mais j’étais loin d’en terminer, les jumeaux avaient des réserves.
Alain aussi qui avait certainement retrouvé des forces à regarder les autres me sauter.
J’ignore comment ça s’est terminé, j’ai vaguement entendu que la voiture roulait.
Je me suis réveillée quelques minutes pour que tu me fasses monter dans ma voiture pour me ramener ici.

C’est à ce moment que je vois que Benoît est prêt à nous saillir, le récit des exploits de ma copine Martine ayant réveillé ses ardeurs.
Laquelle de nous deux va avoir ses faveurs ?...


Merci à Anne

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