Collection Étrange Phénomène. Le Parchemin Diabolique (17/23)

La boîte en cuir, avec son parchemin diabolique a encore frappé, ce sont de modestes femmes, qui plus aient mère de famille pour certaine qu’elle a entraînée dans des jeux amoureux lesbiens.

Elle a des pouvoirs qui me dépassent, mais quand nous descendons dans la boutique, nous surprenons Jennifer ma petite voisine qui me remplace à ma boutique pendant mes absences dans les bras d’Anabelle.
La jolie femme qui tient la salle de mariage dans le Doubs ou mon fils va se marier serre sur ses seins la petite, leurs bouches sont intimement soudées, me voyant Jennifer quitte son amie et viens vers moi.

• Madame, c’est extraordinaire, je viens de retrouver Anabelle, c’était une copine de mon adolescence, nous étions très proches, mais sans jamais franchir le pas.
Je l’ai vu tout à l’heure quand je suis arrivée avec vos gâteaux, un regard a suffi.
• Louisa rentre seule au val, je crois que Jennifer a son logement à me faire visiter et demain je dois aller à un entretien à Dijon.

Personne n’a l’indélicatesse de lui poser une question.

• Très bien ma belle fait ta vie, je suis loin d’être jalouse, soyez heureuse.

Le parchemin semble avoir des vertus salvatrices, il y aurait pu avoir des cris et des pleure, mais nous sommes entre femmes bien éduquées.

• Bien, il me reste à récupérer mes chandeliers, je compte sur toi Véronique pour garder le secret que je vous ai dit avec Maria et Simon.
• Aucun problème Marie, si je te racontais ma vie depuis une certaine brocante, tu me dirais d’arrêter.

Je me retrouve seule, je garde ma boutique, mon employé ayant mieux à faire, je vends une commode 1800, je ne dirais pas le prix et surtout le bénéfice, même après la remise en état de la marqueterie.
Bref à part Jennifer, qui risque de me poser un problème, une très bonne journée surtout pour la chaudasse que le parchemin a fait de moi.

Ce matin, je vais dans ma chambre, j’ouvre mes armoires, je dois aller à la gendarmerie de Dole porter mon permis de conduire, j’ignore ce qui s’est passé depuis que j’ai laissé Franck et Corinne avec la bite de son supérieur dans la chatte.


Quand le phénomène déclenché par mon parchemin s'est atténué, y a-t-il eu scandale.
Je choisis une tenue b.c.b.g mais décontractée, surtout qu’après avoir géré mon problème de papier, je dois retrouver Anabelle à la salle de mariage.
Martine me rejoindra, ce soir nous dînons chez Fabrice et Louisa, je vais être dégoutté de la friture de truite, moi qui par habitude en mangeais une fois par an.
Par précaution, je laisse le parchemin dans mon tiroir dans le tiroir de mon bureau où je suis la seule à avoir la clef.

Arrivé à Dole, je demande où se trouve la gendarmerie, une gendarmette que je ne connais pas, me demande ce que je souhaite.

• J’ai rendez-vous avec l’adjudant Franck Coller.
• Ça m’étonnerait, l’adjudant est de repos.
• Pourtant il m’a dit de me présenter ce matin ici avec mon permis de conduire et mon assurance.
• Donnez-les-moi, je vais les noter dans notre fichier et je lui dirais demain.

J’étais en train de lui donner un peu déçu, mais la jeune femme que j’ai devant moi était rébarbative au possible.

• Gendarme Roselyne, j’attends une visite vous l’enverrez à mon casernement.
Véronique, excusez, de dos je ne vous avais pas reconnu.
Avez-vous enregistré les papiers de madame ?
• Oui mon adjudant, tout est en règle
• Véronique, venez, je vous offre le café, je suis logé dans la gendarmerie, j’ai un appartement de fonction.

Je vois bien que la dénommé Roselyne, fait une gueule, Corinne a profité du parchemin pour se faire sauter, il en est peut-être autant pour elle, il faut dire que Franck est très bien foutu.
Mais peut m’importe, je veux tester le pouvoir du parchemin, va-t-il me défoncer la chatte comme il l’a faite dans la camionnette de gendarmerie l’autre jour.

Je franchis la porte la chaleur dans ma chatte que je connais si bien maintenant me fais voir que même à distance, quand il le décide, ce putain de parchemin déclenche en moi une envie de baiser.

Il en va de même pour Franck.

• Putain de merde, j’ai eu peur de te louper, j’avais oublié que j’étais de repos aujourd’hui, heureusement que j’ai fait un tour vers nos bureaux.

Dans le même temps, il me plaque au mur à côté d’un porte-manteau où il a eu le temps de poser son képi.
C’est la première fois que des bras puissants me prennent comme un vulgaire fétu de paille, je sens sa main qui fricote dans son pantalon et sa verge entrée en contact avec ma chatte qui je le sens est dégoulinante.
Pour la première fois, je sens sa verge glisser sur moi, non en moi, l'excitation provoquée par le parchemin pourtant resté à Dijon s’amplifie, je me sens soutenue sous les fesses.
J’ai l’impression d’être un vulgaire imper placé sur le porte-manteau voisin, mais un porte-manteau bougeant en moi et de quelle manière, je me rends compte que je l’ai enserré à la hauteur de son cou.
Il me décolle du mur, il est tellement balaise qu’il m’emmène jusque dans sa chambre où je pense atterrir sur son lit.
Pour être mieux collées à lui, mes jambes viennent autour de ses reins, l’orgasme m’atteint au moment où il s’assoie sur une chaise.
Pour la première fois si ma mémoire est précise nous nous embrassons, il me fait fondre, quel bel amant, j’ai là, même si après le deuxième orgasme qui me transperce de ma chatte à mon cerveau mon vagin en veut plus.

• Fumier, tu baises avec Roselyne, depuis le temps qu’elle te fait les yeux doux.
Au pardon, c’est toi Véronique, je préfère, je viens du bureau, la gendarme Roselyne de service au guichet brillait par son absence.

C’est Corinne qui vient d’entrer dans la chambre, presque en courant, elle a commencé à gueuler dans le couloir et quand elle a vu que c’était moi qui baisais avec son mec, elle se radoucit venant même m’embrasser.

• Ma biche, grâce à notre amie qui est encore au bout de ma queue, on s’est trouvé, ta copine doit être aux toilettes dépitées que je refuse de la baiser, tu le sais bien, tu l’as déjà prévenu que tu lui couperais les couilles si tu la voyais se faire sauter par moi.


Je suis toujours empalée et en donnant son explication à sa maîtresse, il me soulève pour mieux me faire retomber sur sa verge, je suis toujours en feu, je redémarre un cycle orgasme finissant par hurler mon plaisir
Il me reprend sous les fesses et me porte sur le lit, j’ai le temps de voir Corinne retirer son uniforme, me montrant sa belle nudité avant de nous rejoindre sur le lit.

• Véronique, maman était sicilienne, la fidélité s'est sacrée chez nous, mais avec toi, ce n’est pas pareil.
• Tient prend ma place, j’ai mon compte, trois orgasmes à cette heure, plus mon rendez-vous au val, je vous laisse, amusez-vous bien.

J’enlève la verge de mon abricot, j’ai une putain d’envie de la baiser, le parchemin semblant ne pas avoir son compte ou alors c’est une impression qu’il dirige mes envies.
Je rabaisse ma robe, m’apercevant que je n’ai même pas pris le temps de l’enlever et comme à mon habitude depuis quelque temps, je n’ai aucune culotte, seules mes chaussures me manquent.
Je les retrouve dans l’entrée, une fois en tenue décente, je retourne vers la chambre, Corinne se fait pilonner avec autant de vigueur que je l’étais, je fais un signe de la main à Franck, lui envoyant même un baiser avec mes doigts.
Je vois simplement sa main et ses doigts bouger avant de la reposer sur la hanche de cette cochonne de Corinne.

Je ne quitte pas la gendarmerie, je fuis espérant que le parchemin va me laisser en paix, mais c’est pêne perdu, un petit bois, j’arrête ma voiture, je descends, je m’appuie à ma portière et je commence à me masturber.
Je suis sur le point d’arriver à un nouvel orgasme quand je suis interpellé.

• Un coup de main mademoiselle ?

C’est un joggeur qui a pris le chemin de forêt et qui passe à proximité, il est en sueur, mais je n’en ai cure, il s’agenouille et me lèche, à la vitesse ou je suis partie de chez Frank, s’il avait déchargé, il lècherait son sperme.


C’est moi qui le fais se redresser, lui baisse son collant de jogging, pas un mot de plus, surtout qu’il me retourne, m’ouvre le haut de ma robe et entrant en moi, il me pilonne à une nouvelle fois pour me faire jouir.
J’ai l’impression que depuis que je suis entré chez Franck, je ne suis qu’un orgasme, il me remplit de son sperme criant lui aussi son plaisir.
Sans un mot de plus, il doit remonter son collant et je le vois reprendre son chemin, mon parchemin m’a fait une nouvelle fois vivre une situation insolite, baiser avec un inconnu dans un bois.
Je profite du coin calme pour me soulager, ma pisse coulant de mon vagin, le refroidit un peu, c’est divin, moins bien bon que la queue qui vient de décharger en moi, mais divin tous de même.
Je prends des feuilles de noisetier pour m’essuyer, j’aime la nature, je reprends ma route, j’arrive tant bien que mal à la salle de mariage, Martine est là, ainsi qu’Anabelle, toujours aussi bandante malgré le chignon et ses grosses lunettes noires lui donnant un look d’intellectuelle.

Incroyable, ma chatte est toujours en folie, que fasse mon parchemin diabolique, me puni-il de l’avoir laissé, il va falloir que je réfléchisse, je me vois mal à 80 ans être dépendante de cette boîte en cuir.

• Je vais vous montrer les chambres, ne soit pas surprise Véronique, Jennifer est là, elle dort encore, nous avons eu une nuit torride et ce matin, quand Martine est arrivée, toutes les trois nous avons eu une nouvelle frénésie de sexe.

Même ici, mon fichu de parchemin fait son travail transformant mes copines en une bande de chaudasses…


Merci à Anne

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