Collection Dominant Domine. La Soumise. (1/1)
Chérie, quas-tu sur ton sein, c'est une coupure ?
Ce nest rien Lionel, je me suis fait mal avec une porte contre laquelle je suis tombée.
Une porte ?
Une porte ta coupé ?
Oui, ce matin en sortant de la douche, jai glissé sur le sol mouillé et mon sein a tapé la porte sous le lavabo qui était ouverte.
Cette situation et ces remarques auraient dû faire voir à Lionel que jai un problème ! Mais il ne s'est douté de rien.
Même pour moi ce fut une surprise, jai découvert que pour prendre du plaisir il fallait que je me fasse mal !
Tout est parti du matin où, en me levant, jai voulu prendre un café en pleine canicule.
Par ces chaleurs, je dors nue et jaime marcher sur le carrelage froid, sans mes mules.
Jignorais si Lionel savait que notre nouvelle cafetière avait un défaut disolement et que si lon touchait une des parties métalliques, on prenait la bourre.
Je me suis donc servi un café, tenant ma tasse de la même main, jai voulu appuyer sur le bouton arrêt, quand jai pris une châtaigne.
La tasse a volé et le café bouillant a été projeté sur lun de mes seins.
Ma poitrine, je l'aime bien quand je me regarde dans ma glace, elle est encore ferme et gonflée.
Sur le coup, jai crié, mais rapidement, malgré la rougeur qui est apparue, jai ressenti un début de plaisir.
Je suis allée prendre une douche, et j'ai continué à ressentir du plaisir.
Incroyable pour moi, femme de quarante ans !
Étant étonnée de la réaction de mon corps, je suis allée voir sur Internet ce quil fallait que je fasse, car jai constaté en me lavant que ma chatte ruisselait comme jamais.
Jai découvert par des lectures sur le net le milieu des Maîtres et des soumises, voire linverse ou des femmes avec des femmes, idem pour les hommes.
Un gros problème s'est posé à moi, lamour de mon mari.
Un mari aimant, ayant mon âge.
Il gère un élevage de chiens dont il s'occupe.
Avec moi, il est très attentif, je peux dire que jai un mari doux et caressant.
Pourtant, je découvrais un monde dont je sentais quil lui serait impossible de me rejoindre, même simplement de le comprendre.
Un monde fait de brusqueries, de souffrances.
Jai vu des vidéos où des femmes souffraient pour leur plaisir et surtout jaimais que ce soit de plus en plus trash.
Jai cherché à satisfaire moi-même mon corps, mais jai rapidement compris que seule, je resterais aux portes dun monde que je sentais fait pour moi.
Jai commencé par me poser une pince à linge sur mon mamelon et cest là que je me suis coupée.
Jen ai mis aussi sur mes grandes lèvres comme le disait le site « La soumission pour les Nuls ».
Jai apprécié quelques jours, mais hélas rapidement, jai senti que mon corps en voulait plus.
Les pinces sur mes tétons, sur mes lèvres vaginales, oui, mais cela ne me suffisait plus.
Sur un site, une adresse Mail ma permis de joindre une femme cherchant à en dominer dautres, elle était joignable par sa boîte de correspondance.
Démoniaque habitait près de mon lieu géographique, je lai contactée sur son mail, lui donnant mon numéro de portable, cétait une femme de 50 ans ayant eu plusieurs soumises et qui a accepté de me prendre en main.
« Je veux bien, mais à une condition, tu quittes ton mari.
Jai de quoi te loger.
De toute façon, les queues des hommes cest moi qui te les fournirai.
Je verrais ainsi si tu acceptes la soumission, sinon on perd notre temps.
Tu as 48 heures pour te décider. »
Jai tenu 24 heures avant de prendre ma décision et de parler à mon mari.
C'était ce matin, au petit déjeuner.
J'étais en peignoir.
Lionel, je vais te quitter.
Jespère que tu rigoles, je taime tendrement, sil y a un problème on va le résoudre, jai toujours règlé tous nos problèmes.
Cest pour cela que je te quitte, jai besoin de plus, tu sais la coupure sur mon sein, cétait avec une pince à linge que jai mise sur mon mamelon que je me la suis faite.
Jai mis des pinces un peu partout sur mon corps, mais cest insuffisant.
Toi, tu es trop doux quand nous faisons lamour alors je te quitte, jai trouvé une dominatrice.
Je pourrais essayer de te donner plus de plaisir, dis-moi ce quil faut que je te fasse.
Veux-tu que je te pince le mamelon, je devrais serrer plus fort quune simple pince ?
Il écarte les pans de mon peignoir.
Il me prend la fraise de mon seins droit, il me pince, allonge le téton, et serre.
Sur le coup jaime, mais insuffisamment pour régler mon problème.
Cest gentil dessayer, je taime moi aussi, mais il me faut un mâle un vrai ou Maitresse Démoniaque que je vais rappeler pour lui dire que je suis toute à elle, elle ma promis de me fournir de vrais mâles.
La claque que je ramasse me fait voler sur les fesses, jai limpression davoir reçu un coup de bourre de notre cafetière, dix fois plus fort.
Je me frotte la joue quand il me prend par les cheveux et me tire sans ménagement hors de notre maison.
Il matt par une main et me traîne jusquà son lieu de travail, l'élevage canin et les chenils.
Jessaye de le suivre mais jai du mal, je tombe fréquemment, mécorchant les genoux, je suis pieds nus, vêtue de mon peignoir ouvert.
Mes seins ballottant librement
Quand nous entrons dans le chenil, les mâles et les femelles qui attendent dêtre vendus me font la fête.
Auraient-ils compris que jétais une nouvelle femelle rejoignant sa cage ?
Quand il ouvre la dernière cage, il prend le collier au bout dune chaîne quil met aux chiens récalcitrants pour leur faire voir qui est le maître de notre élevage.
Sans le savoir, je découvre pourquoi il gagne beaucoup dargent avec ses labradors mâles et femelles.
Ils sont beaux, mais il sait les dresser et en faire des chiens qui obéiront à leurs propriétaires au doigt et à lil.
Il marrache littéralement le peignoir, je me retrouve nue.
Je ne lai jamais vu dans une telle colère, ses yeux sont injectés de sang.
Heureusement c'est encore l'été.
Il prend une corde qui se trouve sur le grillage et mattache les mains dans le dos avant de quitter la cage.
Pendant deux jours, jignore ce quil fait.
Il me laisse seule, ne vient pas me voir.
J'entends la bétonnière tourner à fond, Que construit-il !
Jai faim, depuis ma baffe et mes mains attachées dans mon dos, je ne lai pas revu pendant tout ce temps.
Je suis obligée de constater quil a fait mouche, m'obligeant daller dans un coin de ma cage pour faire mes besoins.
La seconde nuit tombe, je m'endors.
Je suis endormie à même le sol quand je suis arrosée avec de leau froide.
Lionel mon homme est là, il a pris le jet deau rangé le long des cages et marrose copieusement.
Il vise tout mon corps, même ma figure ce qui finit par me faire suffoquer.
J'ai des frissons sur toute ma peau laiteuse.
Mes mamelles sont gonflées par ce froid et la puissance de leau les déformant.
Il ouvre la cage et défait la chaîne attachée à mon collier de chien.
Il la remplace par une laisse courte qui lui permet de maîtriser ses mâles les plus agressifs.
Elle serre mon cou.
Sans le moindre mot, il me conduit, m'obligeant à me déplacer à quatre pattes, jusque dans son laboratoire.
Il mattache, toute nue, comme il le fait avec ses chiens quand il doit les soigner et enfin jentends le son de sa voix.
Ça te plaît ma jolie chienne, je vais te mettre un nouveau collier avant de te mettre dans ta nouvelle cage, mais avant ça fait deux jours que je suis sans femelle, tu vas le sentir passer.
Il me prend par le collier, il me tire la tête en arrière, à la limite de me casser le cou. Je le regarde il est en chemise et pantalon de travail.
Sa chemise ouverte montre sa poitrine velue.
Un vrai éleveur !
Je sens quil va dans son pantalon, sort son sexe et se plaçant derrière moi, sans ménagement, il se présente devant mon anus inviolé jusquà ce jour.
Il pousse, je dois me cambrer pour ne pas tomber et il entre en moi.
Quand il ma dépucelé il y a de cela quelques années, jai eu mal, mais mon vagin sest rapidement adapté à son calibre, là il se plante sans ménagement dans mon anus qui lui aussi accueille son long sexe.
Mon dieu quil est gros, je hurle entraînant les hurlements de tous les chiens et chiennes du chenil.
Il me pilonne lanus jusquà ce quil éjacule, je sens son sperme remonter dans mes intestins vides de toute matière, nayant pas mangé depuis plus de deux jours.
Ça te va comme ça ?
Suis-je capable dêtre ton Maître comme cette Maîtresse Démoniaque que tu me vantais ?
Tends ton cou, je vais te river un nouveau collier quil te sera impossible denlever.
Après je te conduirais dans la cage que jai construite et où tu resteras jusquà la fin de ta vie.
La fin de ma vie !
Il est fou, je veux juste être une soumise.
La façon dont il sest comporté ces derniers jours me satisfait pleinement.
Je suis contente quil mait enculée, même si mon anus me brûle.
Le plaisir que j'ai eu était nouveau pour moi, il faudra que je m'y habitue.
Sil me laisse retrouver notre chambre, il pourra me prendre régulièrement dans le rectum, je le sucerai aussi.
Sil le souhaite, je veux bien aussi venir très souvent dans la cage quil a construite pour moi, mais seulement pour quelques heures, quelques jours, pas pour toujours.
Je navais jamais vu la force de mon mari, lui qui me semblait si chétif.
Il a bien changé et cela me convient.
Cest avec une pince à river quil me fixe un collier plus large que celui qui était dans ma première cage.
Il semble allonger mon cou.
Lanneau est plus gros mais surtout il a des clous et une plaque.
Jai le temps de voir que cest mon nom « Agnès » en dessous « propriétaire Lionel » et en dessous notre nom de famille.
De femme, je deviens chienne, sa chienne, une chienne qui est soumise à son Maître comme jen ai vu des dizaines sur le parcours derrière les cages où il les entraîne à écouter.
Son travail terminé, je sors de son laboratoire, la courte laisse fixée à mon anneau.
Je me sens de plus en plus à l'aise dans ma nudité.
Les chiens eux aussi sont nus !
Avance, je vais te faire voir ton lieu de villégiature, enfermée et attachée par ton cou, impossible de tenfuir retrouver ta démoniaque.
Contrairement à la première cage qui était au bout de celle des chiens, la nouvelle est placée à larrière, donc impossible à quiconque de voir que jexiste surtout quand il referme la porte, misolant du froid.
À linverse de la première, je suis gâtée, jai un tapis pour chiens grande taille.
Il va falloir que japprenne à dormir en boule car même si je ne suis pas très grande, il mest impossible dêtre en entier allongée dessus.
Je dois un peu me recroqueviller.
Je suis obligée de reconnaître que cest un bon Maître, il a pris soin de moi, jai maintenant un certain confort.
Tiens, je tai mis à boire et à manger, je pense que tu dois avoir faim.
Comme tu le remarques, il ny a pas de commodité, chaque jour, je te sortirai sur le terrain de jeux de mes chiens.
Je devrais dire de mes chiennes.
Jai un seul conseil à te donner, deviens une chienne dominante car sinon, tu vas morfler, les chiennes entre elles ne sont pas tendres.
Quand je rentre dans cette cage, il y a deux gamelles, lune avec des croquettes, lautre avec de leau. Elles sont fixées au sol.
Les croquettes, il les sort dun des sacs que je lai vu déchargé, livré par le grossiste pour ses chiens.
Quant à leau, je suis obligée de me mettre la tête presque dedans pour pouvoir boire.
Je sais que les chiens lapent leur eau, jessaye, je me mouille seulement la langue.
Dès le lendemain, je trouve la solution, jaspire et je me désaltère.
On s'habitue vite !
Enfin, cest ma première sortie, mon maître me laisse librement me promener.
Trois chiennes sont sur le terrain, elles veulent jouer avec moi, mais je me suis retenue pour mes besoins, alors je misole dans un coin et je me satisfais.
Jignore comment je ferais quand mes intestins seront pleins.
Il y a trois jours que je suis dans ma cage, jai perdu la notion du temps, mon Maître vient me chercher à la nuit tombée, il me conduit dans notre chambre, toujours à quatre pattes.
Tu as trente minutes pour te laver et te faire belle, je tattends dans la salle à manger.
Il me quitte, je me dépêche, que veut dire ce renversement de situation ?
Je me savonne avec délectation, leau est crasseuse, jignorais quen si peu de temps on pouvait être si sale.
Je prends même le temps de me soulager, jignore la suite et dans combien de temps je retrouverais un tel confort.
Sur notre lit où je me love deux minutes, retrouvant la douceur de mes draps, je trouve une robe fermant sur mon épaule par une magnifique broche.
Elle est longue, moulante.
Je la mets, ainsi que des escarpins posés à côté.
Aucun sous-vêtements, il me veut nue !
Je rejoins Lionel, il a mis de la musique douce, une table est dressée avec un chandelier qui éclaire la pièce et un service inconnu de moi.
Il sapproche, me prend la main et me fait un baisemain.
Bon anniversaire de mariage ma chérie, nous venons datteindre notre huitième année, tout va aller mieux dans notre couple, sinon
Inutile quil en dise plus, je sais que si je mets en doute sa virilité, une cage mattend.
Je passe une nuit ou je m'offre à lui plusieurs fois.
Une nuit où son sexe dès quil se repose, se remet en forme grâce à ma bouche.
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Dans cette nuit de débauche, première dune longue série, cest moi qui me suis introduite sa verge dans lanus.
La sodomie que j'ai découverte m'attire.
J'étais nue toute la nuit, dans le lit, enfin pas toute nue, j'ai dû garder le collier, qui je le sais à ce jour fera parti de moi.
À mon réveil je me sens pleinement femme, pleinement femelle aussi, je ferais tout pour le rester et être la bonne soumise quil a su faire de moi.
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