Collection Dominant Domine. La Soumise, La Suite (1/3)

Comme promis dans le premier texte, j’ai élaboré une suite de cette histoire écrite le 21 novembre 2018.
Excusez de l’attente, comme vous le savez j’écris beaucoup.



- Chérie, qu’as-tu sur ton sein, c'est une coupure ?

C’est comme cela que tout a commencé.
J’étais en mal de sensation forte, j’étais en mal de sexe ressemblant à du sexe, pas à de la pisse froide, ce qui était le cas avant que Lionel prenne conscience de mon problème.

Pour prendre conscience, il a pris conscience allant même jusqu’à la construction d’une cage où il m’a fait croire qu’il m’enfermerait jusqu’à la fin de ma vie.
Pour me faire comprendre que c’est lui mon Maître, il est même allé jusqu’à me river un collier du même style qu’il met à ses chiens.
Pour l’enlever il faut le couper à la cisaille.

Après un repas aux chandelles pour notre huitième anniversaire de mariage, il me fait voir qu’il est un véritable homme, mon véritable homme.
L’un de mes fantasmes était la douleur, mais j’ai beaucoup apprécié le moment où a sec comme l’on dit, il m’a sodomisé sans s’inquiéter si je mouillais.

Ça fait un mois que j’ai retrouvé mon lit, hélas, les promesses sont valables que pour ceux qui les croient, pris par son travail celui qui se disait être mon Maître rapidement retombe dans la routine de tous les couples.

Il lui reste une chance que je reste sage hormis mon collier que je vois tous les jours dans ma glace quand je suis à ma toilette.
Toilette que je fais en reprenant mes jeux avec mes pinces à linge, faisant attention d’éviter de me blesser et éveiller les soupçons.
Alors hormis mon collier, la cage, sur l’arrière de son élevage, reste toujours là, il l’a laissé monter.
Surtout que c’est un coin, qui à moi sa femme, il m’interdit de m'y rendre.
S’il avait tenu sa promesse de m’enfermer jusqu’à ma mort, qui aurait pu me sauver de cet endroit isolé.



De temps en temps, il se souvient de mes fantasmes, mais au lieu de me tomber dessus à bras raccourcis, il me prévient que je vais souffrir.
Ce qu’il aime, c’est la laisse en cuir de son meilleur fournisseur de sperme pour saillir ses femelles.
Il m’attache les mains avec un collier d'électricien, les plaçant devant moi s’il veut s’occuper de mon fessier ou derrière si ce sont mes seins qui sont son objectif.
Ces soirs-là, je trouve mon plaisir, le reste du temps à part me masturber avec des carottes, des concombres ou tous ce qui ressemble à un sexe, je ronge mon frein.

Ce matin, je suis en train de nettoyer les cages quand on sonne au portail du chenil.
Lionel est parti pour deux jours livrer un chiot à Bordeaux pour l’anniversaire d’un petit garçon.
Je sais que même seule, aucune crainte, qui aurait l'idée de venir braquer un chenil connu pour être en simple équilibre financier.
C’est peut-être un acheteur qui vient choisir un chiot sur place.
Je sais que mon mari en vend directement en passant des annonces dans les journaux locaux.
J’appuie sur « ouverture. »
Le portail glisse sur son rail, je vois une femme avec une grande cape noire et un tatouage sur la figure.
Ce masque la rend méconnaissable que veut-il vouloir dire, qui est-elle, c’est la première fois que je la voie.

- Agnès ?
- Oui, Madame, que cherchez-vous, c'est un chien qui vous intéresse ?
- Non une chienne, mais cette chienne salope, c’est-toi !

La femme ouvre sa cape, elle est presque nue dessous avec une tenue faite de lanières de cuir.

- Je suis Démoniaque, c’est moi que tu as contacté.
Laisse-moi entrer.

Avant que je réagisse, elle prend une cravache coincée dans ces lanières de cuir et me donne un coup sur les seins qui me font hurler malgré la blouse et le soutien gorge qui les recouvre.

Lionel m’avait pris par mes cheveux, elle fait pareil.


- Ferme la porte, nous serons tranquilles.
- Aie, mon mari va revenir, c’est lui qui est mon Maître, je suis sa soumise.
- Petite conne, ton Lionel, c’est un placebo de dominateur.
Il est parti à Bordeaux livrer un chiot, sache que j’ai un réseau pour me renseigner avant de prendre une poufiasse comme toi sous ma coupe.
Que fait-il pour ton plaisir, je vois qu’il t’a mis un collier comme pour ses chiens ?

Disant cela, elle me lâche les cheveux pour se saisir de mon collier tirant dessus jusqu’à l’étranglement.

- Il marque un point, collier riveté de façon permanente, à part ça, te flagelle-t-il ?
- Oui madame, mais vous faite mal.
- C’est un début, mais dit moi, te sexe-t-il ?
- Oui madame, j’aime bien.

Un coup de cravache sur les fesses me fait hurler.
Inutile d’attendre de l’aide de voisins, un chenil, même si Lionel sait dresser ses chiens c'est bruyant et nous sommes isolés.

- Arrête de me m’appeler madame, à partir de maintenant tu m’appelles Démoniaque.
- Bien madame Démoniaque, lâchez-moi, vous me faite mal, vous m’arrachez les cheveux.
- Petite nature, tu veux jouer dans la cour des grandes et tu pleures dès qu’on te caresse un peu le cuir chevelu.
À poil !

Je m’exécute, j’enlève tout, je me retrouve devant cette femme impressionnante, elle mesure plus d’une tête que moi.
J’ai le temps de voir certains détails m’ayant échappé lorsque j’ai bêtement ouvert.
Son masque, certes, il est tellement étonnant qu’au premier abord c’est lui que l’on remarque.
Quelle femme peut être assez folle pour se faire tatouer de façon définitive ce machin noir jusqu’à ses paupières et finissant sur ses tempes.
Elle bouge un bras et je peux voir qu’elle a des ongles comme de véritables serres.
Elle doit user des kilos de durcissant pour réussir à ce qu’ils soient aussi grands et pointus à leur terminaison.
Je suis sûr qu’elle est capable de vous crever un œil d’un seul coup si elle vous les plantes dedans.

Je comprends pourquoi elle se fait appeler Démoniaque, on le serait à moins.
Sans motif apparent, voulant certainement prendre une pleine emprise sur moi, elle me donne des coups de sa spatule sur ma croupe, en tournant autour de moi.
Mes seins y ont droit, quand je baisse les yeux des traces rouges, mais pas de coupures, je suis rassurée.

- Appuie-toi, les mains sur le dossier de cette chaise, écarte tes jambes pour que ta croupe ressorte.

Je m’exécute, comment dire « non » à une telle femme.
Je m’attends à recevoir une volée de bois vert avec sa cravache.
Au contraire, elle avance sa main et son majeur vient caresser ma chatte.
Si elle le veut, ses ongles sont capables de la découper en lanières, heureusement, c’est autre chose qu’elle vise.
Le majeur entre, suivi de trois de ses serres, si elle le désir, elle m’estropie à vie, mais elle semble savoir ce qu’elle fait.
Elle les ressort, les replis comme si elle les rétractait et présente son point.
Son autre main écarte ma chatte et elle le pousse en moi.
Ça résiste et ça cède, millimètre par millimètre, centimètres par centimètres mes chaires s’écartent et la laissent entrer.
J’ignorais que j’étais si large et si profonde, ce que je me suis enfilé de plus gros depuis que je me suis fait dépuceler c’est le concombre que Lionel à manger avant de partir pour Bordeaux.

- Ça ton tocard, il te le fait, il te fist comme je le fais en ce moment, tu vas danser ma jolie.

Pour danser je danse, lorsqu’elle commence à le tourner de droite à gauche et de gauche à droite.
Pour faire bonne mesure, elle se plaque contre moi, je sens ses seins m’appuyer sur mon dos et sa respiration régulière dans mon oreille.

- C’est bon, je t’avais bien dit que j’étais la meilleure, je vais te faire voir le reste.

Sa main qui avait écarté ma chatte est toujours là et sans qu’elle puisse voir quoi que ce soit, son pouce à la serre acéré me caresse le clito.

Une main au fond de mon vagin et ce stylet en aveugle sur mon clito, je trouve enfin le plaisir suprême.
Le plaisir que je voyais dans les yeux des femmes qui souffraient jusqu’à la jouissance sur Internet.

Mes jambes ont du mal à me porter et mes mes seins me font mal.
Je lâche le dossier d’une main et je saisis celui à ma portée, je le tire comme si je voulais me l’arracher, repartant pour un tour.

Quand je reprends pleinement conscience, c’est au moment où elle sort son poing sans aucun ménagement.
Je me redresse, j’ai pissé sous moi de plaisir ou ma cyprine a tellement coulé qu’elle forme une mare.

- Suis-moi, je vais aller voir tes toutous, je vais voir, je vais peut-être en acheter un à ton mari quand il rentrera demain.
Dis-moi, qu’es-tu censée faire jusqu’à demain ?
- Je venais de leur donner à boire quand je suis allée ouvrir le portail.
Je dois leur donner des croquettes qui sont dans le laboratoire de Lionel.
- Allons-y, j’ai encore du travail à faire ce soir, crois-tu que tu sois ma seule soumise.

Je la conduis, je frissonne, être nue à l’extérieur de ma maison est loin d’être dans mes habitudes.
Je prends un sac et je fais la tourner des cages, pour eux, je suis une amie, ils ont l’habitude que je les nourrisse.

Je vois Démoniaque retourner vers le laboratoire et revenir vers moi quand j’arrive à la dernière qui est vide.

- Entre.

L’ordre tombe clair et précis, je dois obtempérer.
Elle m’attache à la chaîne qui est lovée au mur.

- Donne-moi le code du portail.
- Impossible, ça m’est interdit.

Elle ressort sa cravache, elle l’avait replacée sous sa cape.
J’ai assez ramassé.

- 15B04.
- Bonne nuit, à demain, ce que je viens de te faire subir est qu'un début.
J’espère que dès maintenant tu sais qui est Maîtresse Démoniaque.

Elle tourne les talons, j’ai de la chance, qu’elle ait oublié de s’en servir, les pointes sont aussi assérer que ses ongles au bout de ses doigts.
Je m’assieds dans cette cage, dans le labo, elle avait dû repérer les cadenas qui sont rangés là-bas par Lionel.
Je retrouve le dur d’une cage comme celle de l’autre côté où il a construit ma prison où j’étais censé vivre jusqu’à la fin de ma vie.
Mais quand reviendra-t-elle…

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