Moi Et Les Filles (4)

Chapitre 4
Moi, Laura, Vivien et Mathilde
Je me réveille tard, hier soir nous avons été invités chez des amis de ma mère et nous sommes rentrés tard. J’ai mal à la tête ce matin. Il est déjà passé 11h00 et je comate devant mon café. Ma mère est partie tôt travailler ce matin. Il n’y a pas de bruit dans l’appartement. Mon esprit erre entre Paris et Lille. Laquelle de ces deux vies me surprendra le plus.
On sonne à la porte, je me traine jusque dans l’entrée et j’ouvre les verrous de la porte. C’est un Vivien impatient qui se trouve derrière.
- Tu fais quoi encore en pyjamas, dit-il en entrant au pas course dans l’appartement
- Bonjour, comment vas-tu ? lui dis-je sur un ton ironique
- Bien, merci et toi ? me réplique-t-il sur un ton trop poli pour être honnête
- Mal à la tête…
- T’a picolé ?
- Non même pas.
- Alors habiles toi vite, les filles arrivent dans une demi-heure à la station de métro. Me dit Vi-vien
- Ce n’était pas cette après-midi qu’elle devait venir.
- Si mais elles veulent aller manger ensemble...
Je passe vite fait à la douche, je prends soin de bien choisir mes vêtements et sous-vêtements. Vivien pendant ce temps-là, m’explique qu’il a vu Mathilde hier et il pense le dire à ses parents bientôt pour eux deux. Il est amoureux. Hier, ils ont couché ensemble, mais il la trouve toujours un peu coincée du cul. C’est un peu toujours la même chose, c’est une pipe puis missionnaire.
Bref, il me déballait toute leur vie intime. Je ne savais pas quoi lui répondre n’ayant pas d’expérience plus que cela. Il lui avait demandé si elle avait des fantasmes et elle n’y avait pas encore réfléchi. Que lui, c’était de faire ça avec deux nanas.
Une fois habillés, nous sortons à la rencontre des filles. Sur la route, Vivien ne cache pas son impatience de revoir Mathilde. On arrive à la station de métro et on commence à attendre. Enfin, les voilà après dix minutes à se geler dehors.

Je fais la bise à Mathilde et elle me présente Laura. Vivien embrasse langoureusement sa bien-aimée. On décide d’aller manger au Mc Donald bien au chaud.
À table, je discute avec Laura. Qui m’explique, qu’elle vit dans une chambre de bonne. Ses parents étant décédés quand elle était jeune. Elle a vécu chez ses grands-parents et qu’avec l’argent de ses parents lui ont laissé, elle est à l’abri du besoin.
Pour Noël, ses grands-parents, sont partis chez son oncle en Espagne, donc elle est restée à Paris. Mais ils reviennent pour fêter la Saint-Sylvestre en France et donc elle va descendre les voir pour le réveillon.
Ensuite, les filles nous expliquent comment elles se sont rencontrées. Elles vont dans la même Fac. Elles croisaient souvent dans le métro et qu’un jour, elles avaient parlé ensemble. Elles ont tout de suite accroché. En quelques mois, elles sont devenues inséparables dorment même ensemble certains soirs.
Après le dessert que je pais à Laura, Vivien ne cache pas son impatience d’aller à la cave. Sur le chemin, je trouve Laura très charmante. Elle doit faire à peu près un mètre soixante-dix avec de belles formes. Elle a les cheveux bruns, les yeux bleus, un petit nez en trompette et porte une paire de lunettes. Son visage est agréable à regarder. Elle semble avoir une poitrine plutôt impressionnante que je devine sous son gros manteau d’hiver.
C’est quelqu’un de sûre d’elle. De plus, elle semble avoir de l’humour, car elle rit volontiers à mes blagues même celles pas très drôle… Ou est-ce par politesse ? D’ailleurs, elle me glisse dans la conversation que je suis tout à fait son type d’homme. Beau, grand, costaud, plein d’humour, mais pas lourdingue, bref elle me trouve charment. Je crois qu’elle a réussi à me faire rougir. Et je lui réponds :
- Tu sais, tu n’es pas mal non plus dans ton genre. Tu es mignonne et tu sembles être une fille gentille.
- Je te plais ? Me répond elle
- Oui
- Tu as une copine ?
- Non pas en ce moment
- Moi, non plus pas de copain en ce moment.
Dit Laura d’un réveuse…
Devant nous, Vivien et Mathilde se tiennent la main et nous continuons à marcher jusqu’à l’entrée de l’immeuble. Nous prenons la direction de la cave. Là, les filles se mettent à l’aise et enlèvent leur manteau. Vivien avait mis en route un petit chauffage avant de partir et il a mis aussi le clic-clac en position lit. Je m’assois sur un petit fauteuil rond en rotin avec un gros coussin. Vivien et les filles sur le convertible.
La conversation s’orient sur les plans du réveillon. Je leur explique que mon père veut que je rentre pour passer le réveillon de nouvel an avec Jade et Manon, les filles de sa femme. En plus j’avais passé Noël ici donc, il était logique que je rentre dans le Nord. Vivien et Mathilde ont prévu de fêter cela chez le pote de Vivien et Laura rentre dans le sud. Elle prend aussi le train dans 2 jours.
Après quelques minutes, il n’y a plus que moi et Laura qui discutons sur nos études respectives. Puis de nos passions, moi c’est la musique, piano et guitare basse. J’avais même suivi des cours au conservatoire. Elle s’était la danse, le moderne Jazz. Mais depuis qu’elle était à Paris, elle n’avait pas trop le temps avec les études.
Le couple Vivien Mathilde, s’embrasse à pleine bouche en laissant échapper quelques bruits. C’est d’ailleurs de plus en plus chaud entre eux. Ils oublient complétement notre présence. Laura est de plus en plus intéressée par leurs petits jeux de bouche. Nous sommes maintenant deux spectateurs muets de ce mélange de salive. Laura finit par leur dire :
- Ne vous gênez pas pour nous.
- Vous n’avez qu’à faire de même tous les deux, Antoine ne te plait pas ? Pourtant ce n’est pas ce que tu m’as dit tout à l’heure quand on est allé aux toilettes ? lui répond Mathilde un peu échauffé par les ardeurs de son homme
- Elle t’a dit quoi ? poursuit Vivien en regardant Laura d’un air intéressé
- Je lui ai avoué que vous étiez charment tous les deux…Dit Laura avant de poursuivre.
Et qu’Antoine me plaisait beaucoup. Mathilde m’a même avoué une chose sur Antoine. Là je vis Mathilde faire de gros yeux à Laura comme pour la faire taire. Il parait qu’Antoine a une grosse queue.
- Je t’avais dit de ne rien dire, s’indigne Mathilde tout en paissant le regard
- Comment tu sais ça ? Pendant que je lance un regard furieux à Vivien
- C’est Vivien qui me la dit l’autre jour, il a même avoué que vous vous branlez ici tous les deux… Poursuit Mathilde
- Désolé vieux mais elle a des arguments de poids pour me faire parler. S’excuse aussitôt Vivien en montrant les lolos de Mathilde
- D’ailleurs j’aimerais bien juger par moi-même…. Tu en penses quoi Mathilde ? Ça ne te gêne pas si on leur demandait de nous les montrer ?
- C’est eux qui voient… Dit une Mathilde rouge comme une pivoine, se timidité a repris le dessus
- On y gagne quoi nous ? demande Vivien
- Et bien montrez-nous vos bites et vous verrez bien. Repris Laura avec beaucoup d’assurance
Vivien, déjà bien chaud par les embrassades de sa copine, se lève, commence à se déshabiller et m’encourage à faire de même. Je suis partagé entre une certaine timidité et une excitation de voir où cela va nous mener. Mais l’envie de voir jusqu’où nous allons aller me pousse et j’enlève presque tous mes vêtements. Nous sommes donc, tous les 2 debout, au milieu de la pièce en caleçon chaussette. Vivien se trémoussant doucement, leur dit
- Si vous voulez en voir plus à votre tour de vous dévêtir un peu.
Laura n’hésite pas une seconde, se lève et en moins de temps qu’il faut pour le dire se retrouve en sous vêtement. Elle porte un petit ensemble string et soutien-gorge en dentelle blanc du plus bel effet sur sa peau encore un peu bronzée. Vivien encourage un peu sa copine qui elle aussi fini en culotte mais elle n’a pas de soutif et cache a grande peine de ses mains ses seins tout blanc. C’est alors que Laura s’assoit sur le bord du clic-clac et saisi l’élastique de mon caleçon.
Me jette un regard malicieux et commence à le descendre. Je vois Mathilde lâcher sa poitrine pour en faire de même. Une fois mon caleçon au sol. Laura me lance :
- Effectivement c’est une belle bête que tu as là. Elle n’est pas encore en grande forme. Mais déjà elle est plus grande que toutes celles que j’ai pu voir ou toucher.
Mathilde, regarde tour à tour nos deux attributs masculins. Laura me prend en main et commence un délicat mais délicieux va et vient, tout en soupesant mes couilles. Quel délice ! Il ne faut que quelques instants pour que ma verge soit complétement tendue. De son côté Vivien pousse déjà quelques petits cris de bonheur sous les caresses de sa belle. Du bout de sa langue, elle titille le gland gonflé de son amoureux. C’est le moment que choisit Laura pour intervenir :
- Bon comme nos deux males sont en forme. On va comparer. C’est le but de la manœuvre non ? en se tournant vers Mathilde. Messieurs mettez-vous face à face.
Je me tourne sur le côté. Laura prend alors nos couilles dans ses mains, les malaxes et les soupèses. Demande à Mathilde de faire de même. Elle s’exécute, sa main est moins ferme et plus délicate. Au bout de quelques minutes à s’échanger nos boules, elles décident que c’est Vivien qui a la plus grosse paire.
Maintenant au tour de notre « outil » et la pareil, Laura prend en même temps nos deux queues et nous imprime le même mouvement de va et vient. Doucement, puis plus fermement jusqu’à me décalotter totalement. Je ne sais pas si elle le fait exprès mais nos deux glands entre souvent en contact. A chaque fois je suis comme électrisé, elle doit le sentir, parce qu’un petit sourire apparait sur ses lèvres.
Mathilde prend le relais, sa main est moins habile. Plus timide au début mais Laura l’encourage à mieux se servir de l’outillage qu’on lui propose. S’est d’ailleurs de mieux en mieux, ses petits doigts jouent maintenant de façon très agréable.
Laura, nous fait encore nous avancer. Nous sommes devenus en peu de temps ses jouets. On s’exécute et mon sexe vient buter contre le pubis de Vivien. Sa verge longe la mienne en dessous. Elles nous observent et décident sans surprises que j’ai la plus grosse des deux. Laura dans un sourire malicieux nous lance :
- Messieurs si vous voulez que l’on vous suce et que je te dépucelle Antoine, vous devez toucher la bite de l’autre. Voyant que l’on hésite. Allez un peu de courage…
C’est Vivien qui le premier avance sa main vers ma bite et la touche. Nous n’osons presque pas bouger et ne faisons coulisser que de quelques millimètres nos mains. Bien sûr que nous l’avons déjà mais là devant les filles la situation est complétement différente. Laura se lève et viens serrer ma main sur la bite de Vivien et elle m’imprime un vrai mouvement de branlette. Elle tourne son visage vers moi et m’embrasse à pleine bouche. C’est notre premier baiser échangé. Mathilde fait de même du côté de son mec. Je sens que Vivien et moi-même nous nous décrispons et commençons à prendre du plaisir.
Mathilde me lâche la main mais je continue seule à branler Vivien. Nos langues avec Laura se touchent et tournent dans nos bouches. Vivien pousse de nouveau des petits soupirs par la bouche de Mathilde. Après quelques minutes de ce traitement Laure me couche à coté de Vivien sur le clic-clac, j’ai les jambes qui pendent au sol.
Elle me regarde dans les yeux et dégrafe son soutien-gorge me dévoilant ainsi sa lourde poitrine. Ses seins sont merveilleux et ses aréoles sont plus sombres que ceux de sa voisine. Ses seins sont bronzés comme le reste de son corps, elle n’a pas de marque de bronzage.
Tout en ne me lâchant pas du regard, elle s’agenouille devant moi. Prend mon phallus en main, le branle un peu et gobe mon gland. Je sens sa langue passer tout autour. Elle enfonce de plus en plus profondément mon sexe dans sa bouche. Puis tout doucement, elle commence à faire des va et vient dans un délicieux bruit de succion.
Le fait de voir Mathilde faire de même sur Vivien m’excite au plus haut point. Laura prend soins de ne pas aller trop vite et trop fort. Quand elle sent que cela monte trop, elle recrache ma bite. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle lance à sa voisine :
- Allez on change, n’oublie pas qu’il faut que l’on compare !
Elle bouge, pousse un peu Mathilde et prend sa place devant Vivien. Elle le prend directement en bouche et l’avale entièrement sans grande difficulté. Mathilde plus timidement approche de moi, pose sa main sur ma tige et l’embouche qu’un petit peu. Elle préfère passer sa langue ou mordiller tout au long de mon sexe ou sucer mon gland. Elle est beaucoup moins douée que Laura.
A côté, je vois Laura s’activer sur la bite de Vivien. Elle la ressort pour le branler frénétiquement tout en passant sa langue sur le bout de son gland. Il pousse de petits cris de façon de plus en plus rapprochés. Dans un long soupir, il dit qu’il va jouir. C’est le moment que choisi Laura pour de nouveau changer.
Mathilde ne fait que 2 ou 3 vas et vient avant que son mec n’éjacule à grand jet. Il en met partout. J’en ai même sur moi. Mathilde se met à le lécher pour récupérer le jus.
Cette vision provoque mon orgasme. Je n’ai pas le temps de prévenir Laura qui retire aussi vite que possible mon sexe de sa bouche. Mais, elle continue quand même à le lécher et invitent même Mathilde à la rejoindre. Elles ne perdent pas une goutte de mon sperme.
Je vois leurs deux langues s’activer sur ma bite pleine de foutre. Leurs langues se croisent et se touchent parfois. Une fois le travail fini, elles continuent en s’embrassant comme pour s’échanger tout ce qu’elles viennent de lécher. Elles jouent avec leurs langues. Laura prend du plaisir à faire cela sous nos regards à Vivien et moi-même.
Toutes les deux, sans arrêter de se rouler des pelles, viennent se glisser entre moi et Vivien. Elles se caressent le corps s’arrêtant longuement sur leur zone les plus érogènes. Comme si elles se connaissent déjà bien. Quand elles nous ont dit qu’elles dormaient parfois ensemble, cela voulait-il dire aussi coucher ? Toutes les deux poussent des petits cris de plaisir. Elles ont maintenant les mains entre les cuisses l’une de l’autre. Toutes deux ondulent du bassin comme pour se donner encore plus de plaisir. C’est Mathilde la première qui est traversée par un orgasme, elle cri son bonheur en se raidissant. Puis c’est au tour de Laura de lancer de long soupir et en poussant de grand « Oui ! ».
Elles marquent une pause après leur jouissance. Je décide de reprendre l’initiative, en faisant rouler Laura sur le dos et en plaçant ma tête entre ses jambes. Je lui enlève son string et je découvre une chatte bien ouverte et luisante de mouille. J’écarte un peu les lèvres de la belle pour avoir un meilleur accès à son clitoris. Je commence doucement à lui lécher du bout de la langue, le suce et le fait rouler entre mes lèvres. Je passe ensuite plusieurs fois ma langue le long de sa vulve en poussant un peu plus ma langue à l’entrée de son puit d’amour. Puis, je lui mets un doigt dans le vagin afin de lui masser l’intérieur déjà bien lubrifié.
Je relève les yeux et je vois Vivien allongé sur le dos avec la chatte de Mathilde sur le visage. Comme elle est de dos, je vois la main de Vivien fouiller ses fesses afin de le lui enfoncer un doigt dans le cul. Il me l’a déjà dit qu’il aimerait bien tenter la sodomie. Va-t-il y avoir le droit ?
En tout cas, il ne faut pas longtemps à nos deux belles pour jouir de nouveau. Je sens les spasmes contracter les parois vaginales de Laura sur mes doigts. Et sa mouille se répandre sur ma langue. Suivie d’un long : « Putain oui que c’est bon ». A côté de nous la belle rousse s’effondre sur le clic-clac en tremblant de toute part.
Je prends une capote et je me présente à l’entrée du vagin de ma belle. C’est elle qui m’attire vers l’intérieur. Je la pénètre petit à petit, je sens que je la rempli entièrement. Que c’est bon d’être dans cette grotte humide et chaude. J’y vais doucement de peur de jouir trop vite. Je ferme les yeux comme pour ressentir encore plus intensément ces merveilleuses sensations.
Quand je rouvre les yeux, Laura à la bite de Vivien dans la bouche et le suce avec application pour qu’elle reprenne vie. Elle y arrive rapidement et je sens de mon côté que la pression monte rapidement. Ce n’est que la seconde fois que je fais l’amour à une fille.
Je décide de changer de position. Laura se mets à quatre pattes, je me mets derrière elle et Vivien remet sa queue dans sa bouche. Mathilde a repris ses esprits et s’est mise à côté de nous. Elle caresse chacun d’entre nous tour à tour. Je me donne à cœur joie et à chaque coup de butoir, Laura pousse des cris de plus en plus fort mais étouffés par la verge qu’elle suce. C’est ma belle qui jouit avant moi. Je l’agrippe par les anches pour continuer malgré ses mouvements désordonnés. Elle lâche la bite de Vivien et pousse de longs cris avec quelques injures. Je sens la mouille couler le long de nos jambes. Elle finit par s’écrouler et je m’allonge à côté d’elle.
Je suis surpris de voir Mathilde se mettre au-dessus de moi et prendre ma queue pour la guider en elle. Ce vagin est clairement plus serrer que le précédent. Elle n’arrive pas à me faire entrer entièrement. Vivien vient se placer debout devant elle. J’ai une vue imprenable sur sa raie et ses couilles. Mais Mathilde a du mal à se concentrer sur les deux en même temps.
Mais elle lui lèche le gland pendent que je lui caresse les boules… Pourquoi je fais cela, je ne sais pas mais Vivien a l’aire d’apprécier. Puis, il décide d’enfiler un préservatif et de se mettre entre les jambes de Laura qui reprend ses esprits à coté de nous.
Après quelque minute Mathilde se retourne. J’ai maintenant une vue imprenable sur ses fesses. Je la vois monter et descendre sur mon pieux avec plus d’amplitude qu’avant puisqu’elle a les pieds au sol. Je pose mes mains sur hanches et l’accompagne dans ses mouvements.
Mon souffle se raccourci et je jouie dans en cri rauque. J’ai les couilles qui fondent tellement les jets sont nombreux. A côté, Laura joui aussi une nouvelle fois. Cette fois c’est Vivien qui est toujours au « garde à vous ». Il met Mathilde à quatre pattes sur le bord du clic-clac et présente son sexe sur le petit trou.
Et commence doucement à sodomiser Laura qui râle un peu en lui demandant d’aller doucement. Il fait quelque aller-retour avec juste le gland de rentré que sa partenaire lui demande d’arrêté.
Je m’allonge à côté de Laura et nous nous caressons doucement. Vivien reprend sa copine en levrette doucement. Au bout de quelques minutes, on voit à son visage qu’il est au bord de l’explosion. Il se retire, enlève sa capote et fini en se branlant sur les fesses de sa partenaire.
Nous nous allongeons tous ensembles deux par deux. Laura est face à moi et on s’échange plein de petits bisous. On remonte une couette sur nous et nous restons ainsi un très long moment. Je pense même que les amoureux se sont endormis. Moi, je somnole tout en appréciant le moment présent. Les choses se bouscule dans ma tête. Après un long silence, elle me regarde plus intensément et me dit en chuchotant :
- Tu es sûr que c’était ta première fois ?
- Oui pourquoi ?
- Tu as assuré, qu’est-ce que cela va être les prochaines fois…
Vient-elle de me dire que nous sommes en couple maintenant ? Elle m’embrasse avant de poser sa tête sur mon épaule et de s’endormir aussi. Moi, je reste là à fixer le plafond, en pensant à Jade et Manon. Pour ma vie Parisienne, je suis maintenant en couple avec Laura et je ne suis plus puceau. Pour ma vie dans le Nord, j’ai couché avec Manon et je suis toujours vierge pour Jade.
Du coté sentiment, je ne sais plus en j’en suis. J’ai beaucoup de sentiment pour Jade, Laura me plait et Manon me fait trop bien l’amour. Bref s’est un peu beaucoup pour un mec de mon âge ou faut-il juste que je profite de chaque moment.
Vivien se réveille d’un coup, se lève, se rhabille et nous dit qu’il est en retard car il a un rendez-vous. Il prend le temps embrasser sa copine mais la laisse là à poil. Elle le regarde incrédule partir. Elle se lève aussi prend ses vêtements, demande à Mathilde si elles rentrent ensemble. Mais Mathilde veut rester encore un peu avec moi. Laura une fois vêtu, nous fait la bise et s’en va.
Nous sommes seules dans le clic clac et nous nous caressons. Elle sent rapidement que j’ai de nouveau envi d’elle. Elle me met une capote et me monte dessus. Elle présente mon pieu à l’entrée de son vagin et le fait doucement coulisser à l’intérieur.
Elle ne peut résister très long temps et commence doucement à onduler du bassin. Elle ferme les yeux et me lance des petits « c’est bon » ou des « je la sens bien ta queue ». Mais ses gestes sont beaucoup plus tendre que tout à l’heure. Elle profite du moment tout comme moi, cela pourrait durer des heures que j’apprécierais chaque moment.
Puis, elle se redresse me laissant voir sa belle poitrine bronzée se balancer à chaque mouvement. Quel beau spectacle mais je ne peux m’empêcher de les prendre en main et de titiller les tétons. Je ne sais combien de temps nous restons dans cette position tellement l’instant est magique.
Elle jouit, tout son corps est parcouru de tremblement et elle m’insulte de bonheur. Elle me regarde et s’excuse d’avoir jouit avant moi. Elle m’enlève la capote et commence à me branler tout doucement. Jamais on ne m’avait branlé aussi doucement aussi longtemps.
Moi-même dans mes séance solitaire je n’allais pas aussi doucement. Mais qu’est-ce que c’est bon. Me sentant prêt à exploser, elle s’arrête. Je la supplie du regard de continue. Mais de la tête elle me fait non…
Elle me caresse les boules le temps que cela retombe puis reprend. Elle recommence plusieurs fois et à chaque fois une petite goute de sperme coule sur mon gland... Elle reprend en main mon sexe plus fermement et commence en va et vient plus énergique. Elle a le sourire de quelqu’un qui est arrivé à ses fins. Là dans un grand râle de jouissance, j’expulse toute ma réserve de semence. Je crois bien que je n’ai jamais joui aussi fort avant.
Il est temps pour nous aussi de nous rhabiller. Je reconduis Laura au Métro. On s’embrasse longuement et on se donne rendez-vous le lendemain. Tout comme moi, elle devait repartir après-demain. Bref, il ne restait qu’une journée ensemble avant que je reparte dans le nord. Je suis déjà nostalgique. Elle va me manquer, je pense. A moins que les filles chez mon père me fassent tout oublier.

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