Moi Et Les Filles (6)

Chapitre 6
Moi et le réveillon de saint sylvestre (1/3)
On est le matin de la saint Sylvestre et c’est dans le brouillard que je me réveille comme le temps qu’il fait dehors. Il est déjà 9h30. Allez, il ne faut pas trainer, je passe sous la douche. Je ressors avec ma serviette sur la tête. Je m’arrête en plein milieu de ma chambre et je redresse la tête. Dommage, personne cette fois pour me mater la teub.
Je m’habile rapidement avec tee short et un jogging. Avant de sortir, je défais les draps de mon lit souillé par nos ébats avec manon et le refait avec des propres.
La journée passe vite avec les préparatifs du réveillon. Tout est prêt maintenant, je me dirige vers la bibliothèque qui est aménagé dans une dépendance relié à la maison. A l’étage en mezzanine se trouve le grand bureau de mon père avec son clic clac dans lequel vont dormir les filles. Moi j’amène un lit d’appoint que je laisse en bas près de la cheminée que mon père a allumée.
J’allais ressortir de la pièce quand Manon entre à son tour. Elle devait revenir à peine de son travail. Elle m’embrasse sur le coin des lèvres, du genre : je me suis loupé, au cas où quelqu’un pourrait nous voir.
- Tu es seul ? Me demande Manon
- Oui pourquoi ?
- Comme ça… Me dit-elle en fermant la porte et en m’attirant vers la mezzanine
Elle me tient la main en montant l’escalier. Puis, elle m’attire vers le clic clac et s’assoie sur le bord de celui-ci. Je suis debout face à elle, que veux-t-elle ?
Puis elle descend mon pantalon, je me retrouve la bite à l’aire.
- Tu n’as pas de caleçon mon salaud. Me dit elle
- Jamais quand je sais que je reste chez moi. Tu crois que l’on a le temps pour ça ?
Sans aucune autre réponse, elle m’att ma queue encore toute mole et se met à la sucer. Il ne me faut pas longtemps pour que je bande comme un âne. Vraiment, je commence à y prendre gout de me faire sucer par Manon. Elle passe sa langue sur toute ma verge, pour ensuite la gober.

Elle sait y faire la diablesse. Toute à son ouvre sur mon chypre, elle me fixe dans les yeux. Elle a vraiment l’aire d’une cochonne comme ça. Elle a maintenant ses deux mains sur mes fesses et m’imprime un mouvement de va et vient dans sa bouche. Quel bonheur de se sentir pomper de la sorte par une si jolie fille.
Au bout de quelques minutes, elle ressort ma bite de sa bouche. Je m’assois à sa place et s’est à son tour d’être debout face à moi. Elle remonte sa jupe jusqu’à ses anches avant d’enlever son petit string blanc. Je découvre son sexe complétement épilé, plus un poil à l’horizon. Elle prend ma main pour lui caresser la chatte. Un vrai travail de pro, cela ne pique même pas. Faut dire qu’elle est esthéticienne alors les poiles, elle connait…
- Sa te plait ? Me demande-t-elle.
- J’adore ça !
- On les a rasées rien que pour toi. Me dit Manon
- On ? Lui dis-je interrogateur
- Oui, on a fait ça ce matin, Jade et moi. Cela fait partie de ta surprise et vu ta tête cela fonctionne. Me dit-elle avec un sourire malicieux.
Elle se retourne et vient s’empaler sur ma queue bien droite. Elle a les jambes serrées, ce qui a pour effet de bien comprimer mon pénis dans son vagin. Elle commence doucement à monter et descendre. J’ai une vue imprenable sur son cul.
J’att ses anches pour suivre le rythme mais s’est vraiment trop bon dans cette position. Il ne lui faut pas longtemps pour qu’elle jouisse. Je sens son jus se rependre sur mes couilles. Je la vois mettre sa main sur la bouche pour ne pas hurler son plaisir à toute la maison. J’ai l’impression que plus nous faisons l’amour plus rapide sont ses orgasmes. Son puits d’amour s’est habitué à la taille de mon gourdin ?
C’est à mon tour de prendre les choses en main. Je la soulève sans sortir mon pénis de sa vulve imberbe et la place à quatre pattes sur le clic clac. J’aime la levrette car je peux imprimer le rythme que je souhaite, surtout celui qui me fera durer le plus longtemps.
Mais Manon en a décidé autrement et accélère le rythme. Pourtant, je sens qu’elle est au bord d’un nouvel orgasme et il ne tarde pas à arriver. Celui-ci est moins violent que le premier mais je sens son vagin se resserrer autour de ma bite ce qui a pour effet de me faire lâcher la purée plus vite que je ne le pensais. Je sens que de grand jet inonde la belle. Je veux restais encore un peu en elle tellement je me sens bien.
Mais elle se retire rapidement, prend sa culotte pour s’essuyer la chatte, me la tends et me dit :
- Désolé d’avoir fait si vite mais j’ai peur que l’on nous surprenne.
A peine a-t-elle dit cela que l’on entend la porte de la bibliothèque s’ouvrir et la voix de mon père dire :
- Antoine, Manon, vous êtes là ?
Je remonte rapidement mon pantalon et enfourne la culotte de Manon dans ma poche. Elle se relève en ajustant sa robe puis se dirige vers la rambarde de la Mezzanine.
- On est là, Jean-Marc. Antoine m’aide avec le convertible. Je n’arrive pas toute seule à l’ouvrir. Dit-elle d’un air serin
- Vous en mettez du temps ! Les invités vont bientôt arriver et vous n’êtes pas habillé. Dit-il un peu énervé
- D’ailleurs, je n’y arrive toujours pas tu peux venir m’aider. Lui dis-je bien planqué prêt du clic clac
Il monte et vient m’aider à ouvrir se clic clac récalcitrant. Nous partons ensuite chacun dans nos chambres pour nous préparer, comme si de rien n’était. La soirée va commencer et j’ai déjà un string en poche…