Moi Et Les Filles

Chapitre 7
Moi et le réveillon de saint sylvestre (2/3)
Il est 20h30, lorsque je redescends enfin doucher et habillé. Je saluts les premiers invités que je croise. Mon père me félicite pour mon élégance et je lui rappelle que c’est lui qui m’a payé ce costume. Tout le monde est habillé sur son 31 et s’est normal pour cette date… Et les filles de la soirée sont toutes plus belle les unes que les autres.
Mais mon regard est attiré par une belle voiture garée dans la cour, une Ford mustang 1966 fastback rouge rubis avec de belles bandes racing. Elle semble comme neuve.
- Quelle robe magnifique ! Me dis-je tout haut.
- Merci, je l’ai restauré de mes mains. Me répond quelqu’un qui vient d’arriver à côté de moi.
Je me retourne et découvre un homme d’une cinquantaine d’année d’une élégance à la James Bond.
- Je suis étonné qu’un jeune comme vous ne sois pas plus attiré vers des carrosseries plus modernes. Reprit cet homme.
- Le charme de cette voiture m’a toujours plus. C’est une 66 ?
- Non une Shelby gt500 de 67 avec boite mécanique. Je l’ai trouvé lors d’un de mes voyages en Amérique. On a tout refait à l’identique sauf les freins que l’on a un peu modernisés. Après une courte pause, il reprit. Je suis le frère ainé de Rachel. Tu dois être Antoine ? Me demande-t-il.
- Oui Monsieur, enchanté.
Il est 21h00, quand je retrouve les trois filles, Sandrine, Manon et Jade. Elles sont très belles mais je n’ai d’yeux que pour Jade. Elle est rayonnante dans sa robe noire. Quelle beauté, je ne l’avais jamais vu comme cela et je reste sans voix… Sandrine est ravissante dans une robe rouge ornait de dentelle. Manon a une jupe crayon et un tailleur, une vraie working girl.
A 21h30, comme nous avons tous les quatre un verre à la main, nous trinquons à l’année à venir. Les conversations vont bon train sur les désirs et les rêves les plus fou qui pourrait se réaliser l’année prochaine
Vers 22h00, après que les convives ont consommé plusieurs apéros, mon père annonce sur un ton un peu guindé : « les mises en bouches sont servi ».

Je n’ai pas encore faim et je décide de m’assoir dans le divan que nous avons déplacé un peu à l’écart. Au bout de quelque secondes, Sandrine vient me rejoindre et me dit :
- Tu devrais arrêter de la manger des yeux !
Je lui jette un regard interrogateur.
- Ne me prend pas pour une conne, tu l’aime ! Ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Me dit Sandrine
- Mais non que vas-tu imaginer…
- Fait attention quand même ton père pourrait mal le prendre. S’il s’aperçoit de ce que tu fais avec les filles de Rachel. Moi je n’ai rien contre mais je serais toi je ferais semblant de draguer une autre fille ce soir. Me dit-elle en me posant la main sur la cuisse
- Avec qui tu veux que je fasse cela sans que les filles pensent que je drague réellement ? Lui dis-je.
- A ton avis gros béta !
- Toi ?
- T’inquiète, je préfère les filles même si j’ai déjà couché avec un mec. Les cousines savent qu’entre nous aucun truc sérieux pourrait se passer. Me dit-elle au creux de l’oreille.
Il est vrai que son attitude avait changer. On aurait pu croire, en nous regardant, qu’elle me faisait du rentre dedans. Mais cela me semble un bon plan afin de détourner mon père de son éventuelle idée pour Jade et moi. Sandrine continua à se coller à moi et de rire plus que de raison.
Je joue le jeu mais ce que je n’ai pas prévu c’est que cela commence à me faire de l’effet. Sentir ses seins contre moi et l’alcool doit aider. Après quelques minutes, elle me demande si on peut s’éclipser, afin de faire croire aux autres que l’on est parti faire des choses à deux. Je lui propose d’aller faire un billard.
Nous entrons dans la salle qui se trouve au sous-sol. J’allume et referme la porte derrière moi. A l’horloge de cette salle, il est 22h22.
- Enfin seul ! Me dit Sandrine
- Un peu de tranquillité, il n’y a trop de personne qui ne sont là que pour mon père et son pognon. Cela me gave un peu de les voir le flatter sans arrêt.

- C’est clair !
J’avais pris au passage une bouteille de champagne et deux verres. Je nous serre chacun une coupe et nous trinquons à l’amour.
- Au fait, les filles m’ont dit que tu en as une grosse ?
- De quoi ? sur un air étonné.
- Que tu avais une grosse bite et elles m’ont dit toutes les deux t’avoir sucé la bite. On en fait des confidences sur l’oreiller, tu sais. Cela m’a donné envie de la voir et si elle est appétissante pourquoi pas d’y gouter. Me dit-elle en me collant
- Je ne sais pas, on pourrait venir et tu m’as dit que tu préfères les filles.
Décidément, je ne sais pas dire non aux filles ! Va falloir que j’apprennes, mais je ne pense pas que cela va être ce soir…
- Je t’ai dit aussi que j’ai déjà couché avec un mec et puis juste me la montré ne t’engage à rien. Me dit-elle en me plaquant contre la porte et portant sa main à ma braguette.
Une fois ma fermeture baissée, elle entre sa main dans mon pantalon avant de sortir mon sexe déjà en pleine croissance. Tout en le branlant doucement, elle me dit
- Dit donc, elles n’ont pas menti les sœurettes. Quel morceau, bien plus grosse que celle du mec qui m’a dépucelé. Tu me pourrais à nouveau me faire préférer les mecs.
Elle commence doucement à me branler. C’est la deuxième fois ce soir que l’on me tripote la queue. C’est un vrai bonheur. Tout en continuant de me branler, elle vient m’embrasser à pleine bouche. Je sens l’excitation monter de plus en plus.
- Ouah, elle grossit encore… Me dit Sandrine surprise
- Si tu continues comme ça je vais rapidement jouir !
- Alors vient me la mettre. Me dit-elle
Elle se retourne et va s’appuyer sur le billard. Remonte sa robe jusqu’à ses anches puis fait glisser son petit string en dentelle rouge le long de ses jambes. Elle se penche en avant, j’ai une vue imprenable sur cette moule luisante d’envie et de son petit trou. Elle aussi doit s’épiler la chatte car je ne vois aucun poile sur ses lèvres.
J’en profite pour la doigter délicatement et ouvrir le passage pour mon gourdin. Elle mouille comme une folle.
Je me baisse et commence à lécher cette chatte en chaleur, quel délicieux gout sucré. Je m’attarde sur son clitoris bien gonflé par le plaisir. Je le suce, le fait rouler entre mes lèvres et le titille du bout de ma langue. Sandrine n’en peut plus et me supplie de venir en elle.
J’enfile une capote qu’elle avait préparée pour moi et je présente mon pieux devant sa chatte. Je sens la chaleur de ses lèvres sur mon gland à travers le préservatif. J’entre centimètre par centimètre en elle. Je ne veux pas précipiter les choses sinon je vais jouir trop vite. Doucement, je commence quelque va et vient. Cette chatte est vraiment serrée, que du bonheur !
Je ressors quelque fois pour frotter mon sexe sur sa raie ou sur son clito. Ce qui a pour effet de la faire gémir de plaisir. Puis, je la pénètre de nouveau en lui donnant des grands coups de rein. Ma main gauche joue avec son téton bien tendu de son sein. Le pouce de mon autre main titille son petit trou. Elle semble appréciée lorsque mon doigt s’aventure à presser l’entrer de cet orifice.
Je me décide de lui enfoncer un doigt dans le cul. Ce qui a pour effet de la faire jouir. Alors que j’étais aussi sur le point de lâcher la purée. J’entends que quelqu’un descendre les escaliers. On se précipite alors dans le cabinet de toilette dans le fond de la pièce. Heureusement que celui-ci est spacieux et nous pouvons facilement tenir à deux. Sandrine me regarde et me dit en chuchotant :
- Merde ma petite culotte…
Cela doit-être un couple qui vient d’entrer dans la salle de billard. On les entend rire et chuchoter. Puis on ne distingue plus que quelques mots par ci par là… Sont-ils en train de faire la même chose que nous ?
En tout cas, Sandrine m’enlève la capote et recommence à me branler car j’ai pas mal débandé. Il ne faut pas longtemps pour que je suis de nouveau en forme.
Elle se retourne de nouveau, relève sa robe et me chuchote :
- Maintenant que tu m’as préparé le cul, fais toi plaisir.
- Mais je n’ai pas de capote…
- Pas grave pour se trou. Me dit-elle. Mais va quand même doucement, je suis vierge de ce côté-là.
Je positionne alors mon gland devant sa rondelle et je presse doucement. Je sens que ses chaires s’écartent doucement. Elle pose sa main sur moi afin de m’inciter à aller doucement. Je me retire et de nouveau la pénètre un peu plus loin.
Mes aller-retours ont pour effet de faire céder ses dernières retenues. C’est une sensation nouvelle que de sodomiser une fille. Je sens Sandrine se caresser le clitoris et par moment se fourrer les doigts dans le vagin. C’est elle maintenant qui bouge le long de ma tige.
On entend de plus en plus le couple à côté, surtout la fille qui gémit de plus en plus fort. Je ne sais pas si c’est la situation avec un couple à coté ou le fait de ma première sodomie mais je ne crois pas que mon sexe n’a été aussi gros. Il est tendu au maximum, à la limite de faire mal.
C’est Sandrine qui imprime le rythme. Elle réussit à faire entrer totalement mon sexe dans son anus. Il coulisse facilement dans cet orifice complétement vierge. Elle pousse, elle aussi de petits gémissements. Je sens son anneau se resserrer sur mon membre. Cela a pour effet de faire monter rapidement mon plaisir.
- Je vais jouir, lui dis-je…
- Vas-y, lâche-toi au fond de moi. Me dit-elle en murmurant
J’att ses anches et je la pilonne vigoureusement. Il ne faut qu’un ou deux coups pour sentir son orgasme se libérer et le mien aussi. Je me vide les couilles au fond de ce cul. Il nous faut quelques secondes pour reprendre nos esprits. Je me retire de ce trou béant, je le vois reprendre sa forme doucement et du sperme s’écoule de celui-ci
Elle se retourne et vient m’embrasser doucement. Puis elle va s’assoir sur les toilettes et j’entends qu’elle urine sans complexe devant moi. Moi, je prends du PQ pour m’essuyer la queue. Je me rhabille. Et entrouvre la porte pour voir ce qui se passe de l’autre côté. Je vois une copine des filles à moitié nu sur le billard et un mec en train de la niquer voilement.
Au bout de quelques minutes, je vois le mec se retiré de la demoiselle. Elle se met à genoux devant lui afin de le sucer. Il se crispe et jouie dans sa bouche. Elle se relève et se rhabille rapidement. Ils sortent tous les deux, nous libérant de notre cachette improvisée. Sandrine se précipite dans les escaliers. En partant, je trouve le string rouge de Sandrine dépasser de sous le billard. Je vais pouvoir commencer une collection si cela continue.
Elle se promène donc là-haut, aux milieux des invités sans culotte et avec mon foutre au fond de son cul.

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