Série Insolite. Épisode 19 « Sarah » : Baisée Dans Un Sexshop Devant Des Voyeurs. Partie 10/13

Je m’appelle Sarah, lors de la sixième partie de mon histoire, dans la série insolite N°18, je vous ai expliqué comment William, mon chéri avait perdu sa partie de poker et me laissa en gage avec les autres joueurs. Je vais donc poursuivre mon récit. Depuis que le chauffeur Gédéon m’avait prise en main, toutes les semaines j’avais droit à de nouvelles expériences sexuelles, toutes plus ou moins excitantes et inattendues. Cette histoire se déroula le vendredi précédent la partie de carte, je devais aller acheter seule deux tenues sexy dans un sexshop et me laisser séduire à tout prix par le gérant.

Je pense que comme pour beaucoup de femmes, les sexshops me faisaient fantasmer, je n’avais jamais mis les pieds dans ce genre d’endroit. C’était pour moi un lieu en principe réservé aux hommes et en m’imaginant seule dans cet établissement au milieu de plusieurs types, probablement tous des vicieux de tout âge et de toutes races, je me demandais bien ce qui s’y tramait à l’intérieur. Comment ces hommes réagiraient-ils en me voyant vêtue en petite bourgeoise. J’appréhendais, cette situation m’affolait mais m’excitait beaucoup en même temps. Toute la journée, je fus obsédée à l’idée de me retrouver seule dans ce sexshop, surtout que mon futur mari William et Gédéon avaient insisté afin que je fasse le maximum pour les satisfaire en baisant avec le gérant Mohamed.

Dans l’après-midi, j’avais pris mon temps pour me préparer, comme me l’avait indiqué Gédéon, j’avais accentué mon maquillage au niveau des yeux et du rouge à lèvre. J’avais enfilé mes plus beaux sous-vêtements, un ensemble soutien-gorge, string noir en dentelle et tulle transparente et des bas noirs autofixants. Dessus, je portais une jupe courte noire, effet cuir, dévoilant l’intérieur d’une de mes cuisses sous la jolie dentelle, en laissant la fermeture éclair ouverte sur le devant pour un look terriblement sexy. En haut, j’avais choisi un chemisier noir manches longues, en dentelle avec un large col en V, croisé sur le devant dans un magnifique décolleté plongeant.



Ce soir-là, William n’étant pas là, le chauffeur me déposa devant le sexshop et m’expliqua ce qu’il attendait de moi. Mon amant Gédéon désirait que j’achète deux robes et des accessoires allant avec mes tenues et m’avait donné toutes les consignes, en spécifiant bien que Mohamed le gérant, était un très bon ami à lui et que je pouvais lui faire entièrement confiance. Ce qui voulait en dire beaucoup, cet homme avait carte blanche et pouvait faire de moi ce qu’il voulait. En contrepartie, il serait là pour me protéger en cas de problème.

A dix-sept heures précise, j’étais devant la porte du magasin que je n’osais ouvrir, les vitres étaient recouvertes d’une peinture blanchâtre, je m’attardais sur les affichettes que je ne lisais même pas, j’avais peur de franchir cette porte. Juste à ce moment, un vieil homme entra et me tint galamment la porte, en me disant : « Après vous, chère Madame. » Mon entrée fut très remarquée, effectivement, c’était assez inhabituel qu’une femme pénètre ici toute seule, surtout vêtue ainsi. Le regard de tous les hommes très surpris de me voir ici, se tournèrent vers moi. Mohamed vint tout de suite à ma rencontre, à n’en pas douter, il m’attendait.

C’était un bel homme typé bien charpenté, d’une cinquante années, légèrement dégarni avec une petite moustache et vêtu d’un jean, d’une chemisette bleue et une cravate blanche. Après avoir fait connaissance, je pris son bras afin qu’il m’emmène directement au rayon vêtements. Les clients de tous âges plantés dans les différentes allées, s’arrêtèrent un moment de chercher ce pourquoi ils étaient venus : revues, cassettes vidéo et sextoy en tout genre, pour me déshabiller du regard, Mohamed était assez fier de déambuler dans l’allée centrale à mon bras et j’avais très apprécié de faire sensation auprès de la dizaine de clients dans ma belle tenue.

Arrivée au fond de la boutique, Mohamed passa derrière son bureau et me tendit trois sacs en papier où se trouvaient de la lingerie :
— Ce sont les tenues que Monsieur veut que vous portiez.

Surprise de ne pas avoir la possibilité de choisir moi-même, me perturba quelque peu mais si c’était la volonté de William, je me pliai à sa décision et demandai à Mohamed où se trouvait les cabines d’essayage. Là encore, le gérant m’amena dans une pièce d’à peine huit mètres carré en me disant que Monsieur désirait que je m’installe ici. Cette salle pratiquement vide, hormis un porte manteau, une petite table basse et un grand canapé en cuir, comportait trois murs peints en blanc, recouverts d’affiches de films porno et côté boutique, se trouvait une immense glace faisant presque toute la longueur de la pièce sur 1,50 m de haut.

Mohamed m’expliqua que cette petite pièce était réservée à certains couples exhibitionnistes, désirant faire l’amour devant du public :
— Côté intérieur, c’est un miroir traditionnel, mais en fait, les clients de l’autre côté peuvent vous voir et vous entendre par l’intermédiaire de petits haut-parleur placés dans les aérations.
— William veut que je fasse les essayages devant vos clients ?
— Non Madame ! Cependant Gédéon aimerait bien. Si vous le désirez j’ouvre le store, sinon celui-ci restera fermé au public.

Une fois que le gérant fut sorti, je déballai les tenues. Il y avait dans le premier sachet des sous-vêtements que je choisi d’essayer en premier. Un superbe soutien-gorge redresse-seins très original avec des broderies noires sur tissu beige, décoré de tulle dont la finition était impeccable. Il laissait voir les tétons et les aréoles par transparence et comportait trois positions de réglage grâce à ses mignons nœuds de satin et des bretelles non amovibles. Une petite culotte noire à dentelle sur un fond beige sensuelle super sexy, ouverte devant et derrière et un porte-jarretelles assorti. Mohamed était revenu et entra sans frapper en s’exclamant :
— Cet ensemble vous donne un charme irrésistible. Dit-il en s’approchant de moi.
— J’aimerais la taille supérieure pour le soutien-gorge.

— Non ! C’est réglable, laissez-moi vous montrer.

Mohamed en faisant le réglage, en profita pour glisser sa main sur chacun de mes seins en me félicitant pour ma belle poitrine :
— Voilà qui est mieux, vous ne trouvez pas ? Vos seins sont tout simplement magnifiques. Passez maintenant votre petite robe.
J’étais très gênée qu’il reste là, mais William avait dû lui donner les mêmes consignes que moi, il devait sans doute savoir que je devais m’offrir à lui. La petite robe noire en tissu stretch wetlook à effet mouillé était très courte, les épaules étaient ornées de boutons et la partie avant était dotée d'une longue fermeture à glissière qui garantissait un très profond décolleté. Pendant que je me regardais avec attention dans le miroir, Mohamed était passé derrière moi collant son pubis contre mes fesses et ses mains posées sur mes hanches, il me dit : « vous êtes énormément bandante Sarah. ».

Cet homme m’avait excité, j’essayais de retarder le moment, je ne voulais surtout pas lui montrer que je désirais coucher avec lui. Je m’étais écartée de lui et enlevai ma tenue afin d’enfiler la seconde. Une mini robe à épaules dénudées bleu nuit, extensible, à manches longues, finie d’un volant élégant. Cette dentelle florale transparente montrait toutes mes courbes et tout ce que je portais en dessous. Une fois encore, Mohamed était ébloui, il s’approcha une nouvelle fois et m’enlaça tout en me caressant les fesses, il m’embrassa dans le cou. J’étais restée pantoise, il m’excita une nouvelle fois, ne voulant pas montrer mon envie, je lui dis :
— Monsieur que faites-vous ? Demandais-je sachant très bien ce qu’il m’attendait.

J’avais ressenti du désir, je trouvais que cet homme avait les mains douces. Il était bel homme, c’était la volonté de William et de Gédéon. Il me prit dans ses bras, je me collai contre son corps et lui rendit son baiser. Toute cette mise en scène m’avait rendue pleine de désir, je sentais sa verge dure contre mon ventre et je me frottais contre elle sans pudeur.
Ses mains avaient pris possession de mes fesses qu’il malaxait, les doigts passés par le vide de ma petite culotte titillaient mon anus. Je mouillais fortement :
— C’est bien ce qu’avait dit Gédéon. Tu es une belle coquine Sarah. Enlève tes fringues, il ne faudrait pas les abimer, Monsieur ne serait pas content.

Mohamed était très délicat, il me dévêtit très lentement, en me laissant en bas et en escarpin, il fit très attention à me laisser face à la glace afin que la petite dizaine de clients puissent apprécier le spectacle. Cet homme était formidable, très attentionné et affectueux, il m’embrassait régulièrement le cou, les seins tout en m’effeuillant, il n’était pas avare de compliments : « Tu es très belle Sarah, je ne regrette pas d’avoir accepté la proposition de Monsieur ». Il se pressait derrière-moi, je passai mes bras par-dessus moi en lui prenant la tête je tournai mon visage et l’embrassai en disant à son oreille :
— Merci Mohamed ! Vous êtes un ange.
— Attends ma chérie, je n’ai pas fini ma mission. Dit-il en déballant quelques sextoy.


Il y en avait trois en tout, un beau pénis lisse tout noir, un plus gros couleur chair très bosselé et un vibromasseur : « Touche les Sarah, tu peux même les sucer car aujourd’hui, je n’ai pas droit à une fellation. » Des frissons me parcouraient le corps, je me sentais bien avec lui, j’aimais son contact. S’apercevant que je me lâchais entièrement, il me dit doucement à l’oreille : « Sarah ! Les clients sont derrière le miroir, ils t’admirent et vont probablement se branler pour toi. » je n’y pensais plus, mes joues se mirent à rougir en me regardant dans la glace, offerte entièrement à mes voyeurs. Je dois reconnaître que cela m’avait beaucoup plu, à tel point qu’une coulée de cyprine ruisselait sur ma cuisse, je connaissais mon côté exhibitionniste :
— Ne les faisons pas attendre, donnons-nous en spectacle.
— Tu sais sans doute que nous, maghrébins, aimons sodomiser les bourgeoises blanches comme toi, Monsieur n’est pas contre.
— Alors sodomisez-moi, OK si c’est le désir de mon homme.

Mohamed se dévêtit rapidement, comme je me l’étais imaginé, il était beau, avec son teint mat, pas très poilu avec un léger embonpoint mais musclé. Son sexe était magnifique assez long, pas trop épais mais de belle taille avec un gros gland rouge vif, circoncis. Il était entièrement rasé, pubis et testicules, aucun poil à la base de son pénis. Après avoir enfilé son préservatif, il s’assis dans le canapé et me demanda de m’approcher. Il mouilla ses doigts et me caressa la vulve prenant au passage un peu de ma cyprine qui continuait de suinter de ma chatte hyper mouillée et m’enduisait tout en douceur l’anus que j’avais préparé avant de venir.

Après avoir glissé un doigt puis deux dans mon petit orifice, il me dit de le chevaucher dos à lui. Je passai une jambe autour des siennes face au miroir et vint m’empaler sur sa verge, je descendis lentement ma raie sur sa queue jusqu’à la garde et m’affalai sur lui. Je ne voyais pas les spectateurs, je supposais qu’ils appréciaient la scène. Je leur offrais mes lèvres longues et charnues, mon mont de venus rebondi et ma petite toison. Mohamed prit le gode noir en main, écarta un peu plus mes jambes et fouilla ma fente. Il fit glisser le pénis en silicone dans ma chatte ouverte et poussa à fond. Dans une position semi-allongée sur mon partenaire, de mes deux mains je me caressais les seins.

Pendant que j’avais le sexe de Mohamed fichée dans mon rectum, il faisait coulisser le sextoy sous les yeux que j’imaginais, pleins d'envie des voyeurs derrière le miroir sans teint. Cette double pénétration me fit jouir rapidement, il ressortit le pénis noir afin que j’expulse ma jouissance. Il continua par me frotter le clitoris avec le vibromasseur, je n’arrêtais pas de couler, sa bite dans mes fesses je montais et descendais en m’aidant de mes jambes puis je m’enfonçai une nouvelle fois avant que Mohamed n’éjacule :
— T’es géniale Sarah. Me dit-il en me déposant un bisou dans le cou. Retire-toi et mets-toi à quatre pattes de trois-quarts.

Je m’étais positionné suivant ses instructions afin que tout le monde puisse admirer la scène de sexe qui allait suivre. Il m’enfonça le troisième sextoy couleur chair dans le vagin, et se pencha sur moi pour une sodomie en règle. Mon désir remontait de plus belle sous ses va et vient doux mais profonds. J’avais crié de plaisir, j'inondai une nouvelle fois le sol, il se retira passa devant moi et je vis ses longs jets de sperme sortant de son gland pour s’étaler sur ma langue et atterrir dans ma bouche. Quel dommage de mettre une capote, j’aurais préféré ressentir la douce chaleur de cette belle semence dans mon rectum !

Je nettoyais avec ma bouche le pénis de Mohamed, mon sexe était vide mais encore trempé. À cet instant la porte de la pièce s’ouvrit sur deux vieux bien plus hardis que les autres voyeurs, leur bite en érection dans la main finirent de se masturber et éjaculer sur mon dos. Me voyant rire, les huit autres et le neveu du gérant qui tenait la caisse du sexshop firent de même. La situation était nouvelle pour moi et j’avais même demandé au jeune caissier de venir se finir dans ma bouche. Il était tout heureux et après quelques coups de langues et quelques aspirations de son gland entre mes lèvres, il se déversa en râlant très fort et en criant :
— Où as-tu trouvé cette salope tonton ?

Mohamed se leva et en guise de réponse, gifla son neveu en lui ordonnant de s’excuser immédiatement. Ce jeune maghrébin de 20 ans était tellement vexé qu’il rougit mais finit par me demander pardon avant quitter la pièce. Le gérant m’essuya le sperme avec une serviette éponge avant de nous rhabiller, puis sortit le DVD de l’appareil en disant : « Tout a été filmé, c’est pour Monsieur. Rassure-toi, il n’y a pas de copie. » J’étais assez triste de partir, j’aurais aimé rester un peu plus avec cet homme doux et délicat qui était parvenu à m’apporter beaucoup de plaisir mais il était déjà l’heure que je rejoigne Gédéon qui était garé devant l’établissement. Lorsque j’avais voulu payer, Mohamed m’annonça que tout était déjà régler par Monsieur mais il m’offrit en cadeau une jolie guêpière en satin rouge en me disant :
— J’ai adoré Sarah, tu seras toujours la bienvenue ici. Si des fois tu as envie de me revoir, mets cette petite tenue sous ta robe.

J’avais compris que lui aussi avait bien apprécié notre partie de sexe et ce fut la mort dans l’âme que je lui dis qu’il était impossible pour moi de revenir sans l’autorisation de Monsieur :
— Tiens voilà mon numéro de portable. Monsieur n’est pas obligé de le savoir.
Lorsque je m’étais retrouvée seule dans l’appartement avec William, il s’était empressé de regarder le DVD. Assis l’un à côté de l’autre, je voyais dans ses yeux la joie de me voir aux prises avec le maghrébin et lorsqu’il vit à l’écran, tous les voyeurs qui se masturbaient sur moi, il sortit son sexe en totale érection. Je devinais ce qu’il désirait, à genoux devant lui, je pris un grand plaisir à lui faire une belle fellation. Ce soir-là, comme à chaque fois, nous avions fait l’amour avec une grande passion. Si cette expérience au sexshop fut un régal pour William, ce le fut encore beaucoup plus pour moi. J’avais énormément apprécié Mohamed et j’avais très envie de le revoir.

Je ne sus jamais pourquoi j’avais fait cela, mais j’étais retournée en métro au sexshop le mercredi après-midi sans rien dire à William et encore moins à Gédéon. J’avais passé deux heures magnifiques dans les bras du gérant et de son neveu, dans cet endroit où le rideau resta fermé et aucune caméra ne nous filma. Gédéon avait dû s’apercevoir de mon absence car le vendredi matin, n’ayant pas apprécié que j’accepte le cadeau de Mohamed, il me le reprocha. Il connaissait le maghrébin et le soupçonnait de m’avoir demandé en échange une rencontre secrète.

C’était la première fois que j’étais infidèle, j’étais tellement contente de faire plaisir à William que je commençais à regretter mon geste, j’avais peur qu’il le découvre, je n’étais pas prête à recommencer. J’étais à deux doigts de lui dire la vérité mais le mal était fait, je ne pouvais plus revenir en arrière. Néanmoins je ne désirais pas que Mohamed et son neveu aient des problèmes à cause de moi. Je niai donc les faits : « Non bien sûr ! je te le promets, pour qui me prends-tu ? » Lui avais-je répondu sèchement, sûre de moi. N’ayant aucune preuve, Gédéon finit par abandonner.

William faisant énormément confiance à son chauffeur, en quelques semaines, j’étais devenue entièrement dépendante de Gédéon. Grâce à lui et par son intermédiaire, mon futur mari appréciait beaucoup nos jeux libertins et vivait ainsi des instants de jouissances dont il avait besoin. Cependant ce jeune tchadien en demanda toujours plus, d’où l’idée la semaine suivante, de m’offrir pour toute une nuit à d’autres inconnus pendant la partie de poker. Gédéon ne m’avait pas cru, il se doutait que Mohamed ne m’avait pas offert un cadeau sans contrepartie, sans m’avertir, je compris qu’il avait bien l’intention de me punir. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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