Série Insolite. Épisode 17 « Sarah » : Baisée Par Gédéon Une Bête De Sexe. Partie 8/13

Je m’appelle Sarah, lors de la quatrième partie de mon histoire, dans la série insolite N°16, je vous ai expliqué comment je suis devenue libertine à 26 ans pour mon futur mari candaulisme que j’adorais. Je vais poursuivre mon récit. Après trois mois de vie commune et surtout après avoir couché avec trois amants différents, satisfaisant pleinement mon homme, je compris que plus rien ne serait comme avant. Je faisais tellement plaisir à mon chéri en prenant le mien que plus le temps passait, plus je désirais poursuivre ses petits jeux en me transformant en une véritable petite salope.

En femme libertine, j’étais prête à tout pour William, je voulais relever les défis car l’imprévu m’excitait. Nous évitions tout de même de montrer nos véritables fantasmes au niveau professionnel. Même s’il nous était arrivé de dér un peu, ce fut dans la plus grande discrétion. Une semaine après l’épisode avec l’italien, lors d’un week-end en Normandie où nous aimions nous retrouver, nous avions poursuivi notre petit jeu qui nous plaisait bien. Ce samedi après-midi, après notre balade au bord de mer, nous nous étions arrêté boire un verre à la terrasse d’un bistrot.

Seul, assis à la table d’à côté, un quinquagénaire ne cessait de me déshabiller du regard. William l’ayant observé un instant, me demanda si cet homme me plaisait, j’avais immédiatement compris ce que mon chéri désirait. Je fixai le voisin dans les yeux un long moment, avant de répondre. Cet homme me semblait sympathique et en forme, son visage n’était pas laid et semblait propre sur lui : « Que veux-tu que je fasse ? » Lui demandais-je en passant ma langue sur mes lèvres tout en continuant de dévisager le voisin. Mon chéri n’avait pas attendu, il se leva de son siège et alla parler avec notre proie.

Il fit les présentations, il invita le quinquagénaire à notre table pendant que je tirai la chaise afin qu’il se place à mes côtés. Il me tendit la main et en s’asseyant il se présenta à moi : « Moi c’est Thierry ! Enchanté mademoiselle.

» Désirant qu’il sache rapidement qu’il n’était pas là pour discuter, très vite, je collai ma cuisse contre la sienne. Je lui posai la main sur la sienne quand William reprit la parole : « Vous plaisez beaucoup à ma femme. » Dit-il sans attendre. Il en fut surpris mais il était loin d’être timide et répondit du tac au tac en s’adressant directement à moi : « Tu me plais beaucoup aussi Sarah, où allons-nous ? Je suis marié, je n’ai que très peu de temps. »

William lui désigna la voiture garée devant le trottoir, nous avions pris place sur la banquette arrière pendant que mon homme conduisait tout en nous regardant. Pendant le trajet, j’embrassais Thierry qui me pelota puis me doigta avant de relever ma jupe pour lécher mon intimité. La situation était si excitante et tellement inattendue que je lui avais arrosé le visage en jouissant. Nous nous étions très vite arrêtés sur un parking désert et avec les vitres teintées de la berline allemande, nous étions à l’abri des regards (Sauf celui de William). Je lui fis une savante et longue fellation dont j’avais le secret. Après m’avoir fait gouter son sperme, nous l’avions ramené à bon port, avant de retourner à notre hôtel où nous avions fait l’amour comme des fous.

À partir de là, nous nous désignions des proies, j’essayais de les déduire et je les emmenais dans la chambre d’amis ou dans notre chambre d’hôtel. Nous étions très clairs dans nos demandes, mon partenaire devait absolument accepter la présence de William. Il m’était arrivé d’amener un amant lorsque je sortais seule en ville, mais j’appelais mon chéri pour le prévenir et il se dirigeait dans l’appartement afin de nous regarder derrière le miroir sans tain. En général il attendait que mon partenaire éjacule une première fois avant de venir nous rejoindre. Devant le fait accompli, l’amant d’un jour, continuait en principe, ce pourquoi il était venu.

Un mercredi soir en revenant du restaurant, lorsque Gédéon notre chauffeur gara la voiture sur le parking privé, nous étions rentrés déçus.
En effet lors de cette soirée, nous n’avions pas trouvé chaussure à notre pied. Nous nous étions précipités vers l’entrée et avant de prendre l’ascenseur, nous étions passé devant le bureau où l’agent de sécurité était seul : « Bonsoir Philippe ! Où sont les autres ? » Lui demanda William : « Mes deux collègues font leur ronde dans l’immeuble, ils en ont pour une heure Monsieur Fischer. » Au fond du couloir, devant la cabine de l’ascenseur, William voulant se mettre en appétit me souffla à l’oreille : « Si tu faisais une petite pipe au gardien avant de monter ? »

Pour le bien que mon chéri allait me procurer plus tard, ni une ni deux, j’acceptai de relever le défi. Philippe, regardait un match de foot à télévision, William se cacha derrière le mur et attendait le bon moment pour nous mater. En pénétrant dans le bureau, je demandai à l’agent : « C’est un beau match Philippe ? » Surpris de me revoir et surtout, se sentant fautif de regarder le match plutôt que les écrans de contrôle, il s’excusa en voulant éteindre le poste : « Non Philippe ce n’est pas la peine. » Je n’avais pas attendu, je m’étais approchée de lui et sous son regard ahuri, je lui caressai l’entrejambe. Ce quarantenaire était stupéfait, il ne savait que faire ou quoi pensé. Une chose était certaine, je lui faisais de l’effet, je n’avais eu aucun doute, vu la grosseur qui prenait forme sous sa braguette, il allait bientôt bander à souhait.

Je lui enlevai sa ceinture et baissai son pantalon pour sortir de son slip, sa verge pas encore tout à fait en totale érection. Il était bien trop absorbé pour s’apercevoir que William nous regardait par la vitre, celui-ci avait une vue imprenable. Une main sur la hampe, l’autre sur ses testicules, j’avais glissé son pénis dans ma bouche et je le suçai longuement. Je voyais dans ses yeux le plaisir intense que je lui procurais. Il ne pensait plus que j’étais la favorite du boss, il se moquait bien à cet instant de ma position sociale.
Plus je le suçais, plus il poussait de petits cris de satisfaction. Il me tirait la tête et la repoussait au rythme de ma fellation, sa belle verge était dure et bien raide.

Les deux hommes profitaient de la vue de ma bouche qui coulissait le long de sa queue. Je sentais son désir monter, timidement il me dit : « Attention Madame ! » Il m’avait chuchoté cela par respect, voulant me prévenir qu’il allait jouir et qu’il valait mieux que je me retire si je ne voulais pas être surprise par son éjaculation. Il fut tout autant surpris lorsque je lui répondis fièrement en ressortant sa queue de ma bouche, avant de la reprendre aussitôt : « Allez Philippe ! Éjaculez dans ma bouche ». J’aspirai son gland tout en lui triturant les bourses et soudainement je sentis un flot de sperme partir dans le fond de ma gorge. Je continuai la fellation afin qu’il se vide entièrement. Le sperme sortait de ma bouche et dégoulinait le long de mes joues.

Sur le visage de William, je pouvais lire un sentiment de satisfaction, avant que le gardien le voie, il se retira discrètement et m’attendit devant la porte de l’ascenseur pendant que je prenais congé de l’agent : « Je compte sur votre discrétion Philippe, si vous désirez que je revienne un jour, il faudra garder notre petit secret. » Tout en remuant la tête avec un énorme sourire, Philippe me jura que jamais personne ne saura ce qui venait de se passer. William était tellement excité que dès que nous fûmes collés l’un à l’autre dans la cabine de l’ascenseur en train de nous embrasser, je lui dis stupéfaite : « Mon chéri ! Tu bandes comme un cerf. Ça promet ! »

Il fallait que nous en profitions maintenant car après le mariage prévu un an plus tard, je m’étais promise d’er plusieurs fois, je désirais au moins deux s et pourquoi pas trois. Il valait donc mieux pour moi, d’en faire un avant mes trente ans car pendant mes grossesses, il était hors de question que je continue nos jeux érotiques qui avaient lieu en principe toutes les deux ou trois semaines.
C’était selon nos envies car il était arrivé de me faire piéger par mon propre désir, deux fois en quelques jours. Comme le lundi soir, après un week-end passé à la campagne où nous avions trouvé un vrai étalon.

Ce soir-là, nous étions allés au cinéma, notre chauffeur avait assisté à la séance avec nous et avant de monter dans la voiture, William me dit à l’oreille : « Gédéon doit en avoir une grosse, ça te dirait ? » Du tac au tac, je lui répondis discrètement : « Je n’ai jamais baisé avec un noir, pourquoi pas ! Mais crois-tu ? » Avec le personnel ce n’était pas très conseillé, mais le patron avait une grande confiance en son chauffeur. Gédéon ne fut pas très surpris de me voir m’installer sur le siège passager, il connaissait bien son boss. William s’était placé au milieu de la banquette arrière afin de ne pas en louper une seule miette. J’avais indécemment relevé ma jupe pour l’occasion, sachant l’effet que pouvait faire mon porte jarretelles.

Poli, respectueux, souriant, Gédéon en tant que célibataire devait toujours rester disponible, c’était la raison pour laquelle, il fut embauché. Il avait un logement de fonction, un des deux studios situés au rez-de-chaussée de l’immeuble, l’autre étant réservé à Éliane la femme de service. Ce jeune trentenaire Tchadien était polyvalent, il réceptionnait les colis, s’occupait de l’entretien des trois véhicules des directeurs, des quelques petits travaux de bricolage dans l’immeuble, faisait le coursier et était le chauffeur du patron, lorsque celui-ci avait besoin de ses services. Grand, très mince, avec sa peau d’ébène, Gédéon avait un certain succès auprès des femmes de la société, notamment avec Sophie la Directrice administrative et d’après les rumeurs, il couchait régulièrement avec sa voisine Éliane.

Pendant que nous roulions, je voyais Gédéon qui ne put s’empêcher de mater mes jambes nues, cela devait l’exciter, surtout que j’avais mis ma main à l’intérieur de mon string. Puis de ma main gauche, j’avais commencé à lui toucher la cuisse, il fit un mouvement de recul mais ne le pouvait pas, il regarda immédiatement William dans le rétroviseur mais celui-ci lui dit : « Laisse-toi aller au plaisir Gédéon. » Ma main remonta sur son sexe, je sentis tout de suite qu’il bandait déjà comme un malade. Ce Tchadien d’origine ne semblait pas gêné, ni perturbé par ma caresse audacieuse, devant son boss, il avait une érection démentielle, j’avais hâte de voir la grosseur de son sexe.

J’avais déboutonné et baissé un peu son pantalon, il m’avait bien aidé à le faire en levant ses fesses. Lorsque je sortis sa verge de son slip pour mieux la caresser, je fus stupéfaite. William ne s’était pas trompé, il avait une vraie matraque entre les jambes. J’étais très excitée, je n’arrivais pas à faire le tour avec ma main tellement elle était épaisse. Cela devenait de plus en plus difficile de conduire pour lui. Le boss lui demanda de s’arrêter dès qu’il trouverait une place de libre dans la peine ombre : « Rassure-toi Sarah, avec nos vitres fumées, personne ne peut nous voir à l’intérieur. » Me dit mon chéri. Cependant il rétorqua poliment : « Ne vous en faites pas Patron, nous sommes bientôt arrivés, je tiendrai jusque-là. »

En effet, pendant les dix minutes de trajet dans la voiture, il avait bien su résister aux assauts de mes lèvres et de ma langue. Lorsqu’il gara la berline sur le parking, je n’étais pas très à l’aise, j’avais envie de beaucoup plus d’espace et de lumière : « Nous pourrions finir cela dans la chambre d’ami mon chéri. » Dis-je à William, tout en tenant toujours le sexe tendu du chauffeur, je lui demandai : « Veux-tu monter avec-nous Gédéon ? »
— Je suis là pour vous servir Mademoiselle.

Dans la cage d’ascenseur, je me mis face à lui et ma bouche se colla à ses grosses lèvres charnues. Sa grande langue épaisse s’enroulait autour de la mienne en explorant ma bouche, sa longue main remonta le long de ma cuisse pour se poser sur mon string et me caressa à travers sa dentelle. Je frétillais de plaisir sous les caresses insistantes de mon beau black. Avec ses doigts agiles, il repoussa le tissu et atteint ma vulve déjà bien humide, mon désir montait de plus en plus. Arrivés à destination, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent, William se mis entre celles-ci afin de bloquer leur fermeture, il désirait prolonger le moment.

De ses doigts, Gédéon écarta mes grandes lèvres, ouvrant ainsi le sillon chaud et bien lubrifié de mon sexe. Ses caresses me faisaient gémir, le plaisir montait dans mon ventre. Il me leva la jambe, ma jupe se releva au fur et à mesure que mes cuisses s’écartaient puis il me décolla du sol, son dos était plaqué contre la paroi de la cabine. Je poussai des petits cris lorsque deux de ses doigts me pénétrèrent d’un seul coup. Sa bouche toujours contre la mienne, il m’embrassait dans un baiser torride. William sortit un préservatif et l’enfila sur le phallus de Gédéon.

D’une main, il plaça son gros gland couvert de latex à l’entrée de mon intimité, son pénis était long, épais, très large et peinait à s’introduire dans ma fente. Par l’excitation, mon vagin se dilatait au fur et à mesure qu’il s’enfonçait. La pénétration se faisait centimètre par centimètre, me laissant ressentir toute la puissance de ce phallus noir. Je me jouais du bassin pour lui faciliter la tâche, Gédéon su se rendre tendre et ferme à la fois. Sa longue et grosse queue de black n’était entrée que de moitié : « Vas-y Gédéon pousse. » Dis-je impatiente pendant que je me laissai aller. Enfin, son sexe était planté en moi à son maximum et remplissait entièrement mon vagin.

Mon cul face à lui, William parvenait à me malaxer les fesses et jouer avec la peau tendre de la petite rondelle de mon anus. Chacun des va et vient du chauffeur m’arrachait un cri de plaisir. Mes bras autour de son cou, j’étais accrochée à lui. Les pieds bien ancré sur le sol, le dos contre la paroi, le jeune Tchadien me soulevait comme une plume, me faisant monter et descendre sur son pieu de chair, j’étais en transe. Après plusieurs minutes intenses, je jouis fortement en hurlant lorsque les deux doigts de mon chéri étaient entièrement plantés dans mon rectum et quand je sentis au fond de mon ventre, la douce chaleur du sperme de Gédéon à travers le latex.

Cinq minutes plus tard, William était parti chercher des boissons dans l’appartement. Pendant ce temps, nous étions avec Gédéon dans la chambre d’amis. Je n’avais pas attendu le retour de mon homme, j’avais encore de nouvelles sensations de désir et après avoir embrassé mon nouvel amant à la peau d’ébène, mon chéri revenait avec un plateau à la main en s’installant sur le fauteuil face au King Size. Nous avions bu d’un seul trait notre jus de fruit puis le jeune tchadien me déshabilla et me déposa nue sur le grand lit avant de se dévêtir à son tour, laissant apparaître son grand corps mince, aux muscles saillants.

Il s’allongea à mes côtés et posa ses grandes mains sur mes seins qu’il malaxa tout en suçant mes tétons tendus et sensibles. Puis il se mis à genoux entre mes cuisses, descendit sa tête entre mes jambes et de sa langue épaisse et longue, commença un cunnilingus admirable. Je n’avais pas pu résister longtemps, mon orgasme m’avait transcendé, mon sexe dégoulinait de ma jouissance. Je ne m’étais pas donné la peine de le sucer, Gédéon était une bête de sexe, il bandait de nouveau et était parvenu, une nouvelle fois, à me faire grimper au septième ciel avec ses coups de boutoir, entrant et sortant son gros sexe au plus profond de mes entrailles.

Grâce aux capacités exceptionnelles de mon amant, cette nuit-là je fus insatiable, je ne voulais pas que cela se termine. Je lui demandais qu’il me baise comme une salope. Heureusement, Gédéon était plein de vigueur et plein de ressource, il m’avait prise de nombreuses fois énergiquement et m’avait apporté beaucoup de plaisir avec son long et beau phallus. J’étais entièrement satisfaite, William s’était endormi sur son fauteuil après avoir éjaculé deux fois en se masturbant. Il n’avait pu voir qu’à trois heures du matin, le jeune africain m’enculait encore avec une énergie insoupçonnable.

Je m’étais réveillée le lendemain matin vers dix heures et demi, sous les petits baisers que William me faisait. Il était impatient que je lui raconte ce qu’il avait manqué et lorsque je lui dis que Gédéon était parvenu à me sodomiser, il n’en croyait pas ses yeux. En effet, plusieurs fois dans la nuit, il avait essayé, cependant à chaque fois, cela me faisait mal, son pénis était bien gros pour pénétrer mon anus que je n’offrais que rarement. Souvent à mon chéri qui n’était pas de la taille d’un éléphant : « Alors comment a-t-il fait ? » Me demanda-t-il.

Je lui expliquai donc que lorsque nous nous savonnions sous la douche à l’italienne, dès que je lui avais nettoyé délicatement le sexe, celui-ci se redressa pour la nième fois et grâce à ses doigts enduits de gel douche et de puissants jets d’eau bien chaude au rinçage, il avait dilaté ma rondelle suffisamment. Il m’avait fait mettre en levrette et petit à petit, il s’empara de mon petit trou. Le plus difficile ce fut son gros gland, une fois que celui-ci m’avait pénétré sous une douleur supportable, le mal se transforma vite en plaisir pour atteindre un nouvel orgasme : « Gédéon est un monstrueux amant mon chéri. »

Après cette nuit magique passée dans les bras de mon jeune africain, j’étais épuisée, pourtant William qui avait écouté avec attention mon récit bandait fortement, je dus le contenter en lui offrant mon cul, il voulait lui aussi me sodomiser. Si mon chéri avait joui en râlant, se vidant dans mon rectum, je ne pris pas de plaisir ce matin-là, mon anus martyrisé la veille était bien trop sensible et me brûlait encore. William m’avait décidée de prendre Gédéon comme amant régulier. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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