Série Insolite. Épisode 22 « Sarah » : Baisée Par Deux Gays Devant Son Mari Qui Se Prend Au Jeu. Partie 13/13

Après cette séance au cinéma du sexshop, pendant le trajet du retour William était perplexe dans la voiture. Il était impatient d’avoir le fin mot de l’histoire que lui avait raconté Nabil, cependant avec la présence Gédéon, il n’avait pu continuer son interrogation. Une fois seuls à la maison, nous nous étions couchés dans notre grand lit, lorsque mon chéri me demanda ce que j’avais à dire et voulait savoir qui était ce Nabil qui semblait très bien me connaitre. Je lui confessai donc que j’étais accroc au sexe de Gédéon et que lorsque celui-ci m’avait demandé de poursuivre en cachette notre relation, l’idée m’avait traversé l’esprit. Cependant je n’avais pas encore donné mon accord car pour moi le mariage était bien plus important. Je lui avouai que j’appréhendais un peu avoir un manque de sexe.

C’était une évidence pour lui, il s’en doutait vu les vingt-deux ans d’écart d’âge. C’était la raison pour laquelle, il m’avait autorisé à prendre un amant régulier, mais il regrettait d’avoir choisi Gédéon le chauffeur qu’il prévoyait de licencier le lendemain. Néanmoins il me fit comprendre que dès que le besoin se ferait sentir, je devais immédiatement lui en parler afin qu’il règle lui-même le problème. Au sujet de Nabil, je n’avais pas très envie de lui dire la vérité car c’était mon jardin secret. Je dis donc à mon chéri que le fils du gérant était homosexuel et qu’il était devenu un bon ami. Cependant, je voyais que William était perturbé, il sentait que je lui cachais une partie de la vérité et il insista. Ne voulant plus avoir de secret pour lui, je révélai toute la vérité sur mon petit jardin secret.

Nabil était beau comme un dieu, ses traits étaient fins et avait des yeux bleu vert, ses cheveux bouclés étaient châtains. Malgré son teint mat, il n’avait rien d’un maghrébin. Cet homme de trente et un ans était grand et svelte, avec son l’allure sportive et son élégance, c’était un vrai play-boy. Pourtant Nabil préférait les hommes, lorsque j’avais eu l’occasion de revoir Mohamed, en sortant du sexshop, j’étais tombée sur lui par hasard.

Nos regards s’étaient croisés et nous avions eu immédiatement l’impression de nous connaitre depuis toujours.

Il m’avait invité à prendre un verre à la terrasse du café d’à côté et nous avions fait connaissance, le courant était très bien passé entre nous, je l’avais trouvé super sympa et surtout très beau. Pendant toute la discussion, Nabil qui ne m’avait pas quittée des yeux. Désirant tous les deux devenir des amis, j’avais accepté de le revoir la semaine suivante, à son domicile pour passer l’après-midi. Il m’avait avoué son penchant pour les hommes, pourtant il me complimentait sur ma beauté et mon charme. Pour moi, le terme ami n’avait sans doute pas le même sens, je me doutais bien que ce n’était pas pour jouer aux cartes.

Dès mon arrivée, pensant qu’il était bisexuel, je n’avais pas attendu pour venir l’enlacer pour lui faire la bise. Il me fit rentrer, me tendit la main afin que je m’installe sur le fauteuil du salon. Soudain, il me dit d’un air très sérieux : « Je suis homosexuel Sarah, pas bi. Toutes mes pulsions se rapportent exclusivement pour les hommes. Je n'ai jamais eu d’attirance pour les femmes. Je suis gay et j’assume. Pourtant depuis que je t’ai vue la semaine passée, je ne pense qu’à toi, je te désire, je ne sais pas pourquoi mais c’est un fait que je ne peux expliquer. » J’étais bouche bée, je ne savais pas quoi lui répondre. Après quelques secondes de silence, sachant qu’il m’attirait beaucoup physiquement, je lui demandai :
— Pourquoi t’en priver Nabil ? Veux-tu essayer ?

J’avais pu constater par moi-même qu’il me désirait vraiment, je m’étais levée, je m’approchai de lui par derrière et l’enlaçai de mes bras. Je l’embrassais dans le cou et lui dit de me laisser faire. Ma poitrine plaquée contre son dos, mes mains sur son ventre, mes sens étaient en émoi, mes doigts descendirent un peu plus vers son pubis et je ressentis son érection. Je le sentais bizarre, je le rassurai une nouvelle fois : « Laisse-toi aller Nabil.
» lui dis-je à l’oreille. Je lui enlevai les premiers boutons de sa chemise et glissai une main sur son torse, lui caressant ses pectoraux bien dessinés.

Pendant ce temps, mon autre main flattait son sexe que je sentais encore prendre du volume. Je lui susurrai à l’oreille : « Tu es sûr, tu ne veux pas essayer ? » Puis je l’embrassai dans le cou, mes mains défirent les autres boutons de sa chemise. Nous étions debout au milieu du salon, lui la liquette grande ouverte et moi plaquée derrière lui. Soudain, il fit ce que j’attendais depuis un long moment, il se retourna et me ceintura pour m’embrasser dans un baiser magique. Hormis mon chéri William, je n’embrassais personne passionnément, cependant avec Nabil, j’avais apprécié son baiser tendre et sensuel.

Quelques minutes plus tard, je le vis nu, son sexe en érection était magnifique, on aurait dit le phallus d’un Dieu, lisse, bien droit, tendu, dur à souhait et ses deux bourses bien rondes étaient parfaitement symétriques. Il me regarda avec un sourire en coin. Il me sourit et m’attira vers le lit, sans rien dire, pendant que je lui embrassais le torse, il retira ma robe et passa dans mon dos, se plaquant contre moi, je sentis son sexe contre mes fesses. Il retira le dernier rempart, ses mains passèrent alors devant moi, j’étais trempée de désir au moment où il me pénétra avec une grande délicatesse.

Après mon premier orgasme, il me demanda de me mettre en levrette devant le miroir, ne connaissant pas mes aversions, il me dit : « J’ai très envie de te sodomiser, tu veux bien ? » Ce qui m’excita une nouvelle fois, d’autant plus que de ce côté-là (dans les deux sens du terme) je le savais très expérimenté. Il fit donc ça très bien et arriva à me pénétrer par-derrière sans me faire mal du tout, j’appréciai beaucoup sa méthode de faire. Les caresses furent très importantes car elles avaient favorisé le « lâcher prise ». Nabil avait redoublé d’attention et fut très à l’écoute de mes ressentis.


Avec la nouveauté du partenaire, physiquement, les sensations furent démultipliées des deux côtés. Son magnifique sexe était bien à l’étroit dans mon conduit anal et je ressentais mieux son beau pénis dans mon rectum. Nous étions donc complètement connectés l’un à l’autre, nos corps étaient emboités parfaitement. L'orgasme anal que j’avais vécu fut démentiel, mon amant fut très performant dans son comportement pour me faire connaitre le grand saut, ce fut magique. Contrairement à mes partenaires précédents qui m’avaient enculée, lui m’avait prise par derrière, cette sodomie fut pour moi un moment plein de tendresse.

Nous avions tous les deux très apprécié de faire l’amour, cependant notre relation n’était pas strictement que sexuelle, nous avions énormément parlé, j’avais mille et une question à lui poser. Très vite nous étions devenus des amis. Je le rencontrais tous les lundis après-midi, lorsqu’il ne travaillait pas. Nous nous disions tout, nous discutions sans tabou, de ses ébats sexuels avec des hommes et je lui racontais tous mes délires, lors des jeux libertins comme si c’était ma meilleure copine. J’étais tellement curieuse de voir deux garçons en action, qu’il avait accepté que je vienne assister, voire même participer, lors d’un de ses rendez-vous avec un ami bi.

Ce jour-là, dans la chambre, je n’avais pas l’intention de participer, j’étais assise et les regardait faire. Thomas était déjà nu derrière Nabil, il enleva son caleçon, glissa ses mains le long de son corps et arriva à son sexe tendu comme un arc qu’il branla doucement tout en se frottant dans son dos, son sexe gonflait à vue d’œil contre les fesses nues de son ami. Thomas plaça son partenaire sur le lit et pendant qu’il le masturbait doucement d’une main, il lui massait ses bourses de l’autre. Il approcha la bouche du sexe de Nabil et le lécha goulument. J’étais face à deux hommes se faisant plaisir, je ressentais de drôles de sensations me transportant dans un état second.


Après cette fellation, Thomas était derrière lui et le pénétrait sans retenu. Puis ils avaient échangé leur position sans s’occuper de moi, ils s’étaient retrouvés dans un 69, se suçant mutuellement leur membre bandant de désir, tout en se doigtant l’anus. C’était très excitant, je n’avais jamais vu un garçon sucer la queue d’un autre. Ils s’étaient sodomisés sous protection, à tour de rôle avant d’éjaculer dans la bouche de leur partenaire. Je n’en garde pas un immense souvenir mais ça m’avait permis de constater qu’une bouche ou un anus pouvaient avoir le même effet qu’ils soient d’un homme ou d’une femme.

Lorsque Gédéon me soupçonna d’infidélité, il me menaça de vendre la mèche à son patron, il avait surtout peur que mon ami prenne le dessus sur lui. J’avais mis un terme à notre relation mais, nous nous téléphonions au moins une fois tous les trois jours. Nabil m’avait déjà averti plusieurs fois, il s’apercevait que je devenais bien trop dépendante de mon amant et m’avais mis en garde avant que cela ne soit trop tard :
— L’aimais-tu ce Nabil ? C’est vrai c’est un très beau type. Me demanda-t-il en me faisant une bise dans le cou.
— Non mon chéri c’est toi que j’aime. Oui ! C’est un véritable ami. Mais on dirait qu’il te plait. Dis-moi, franchement, as-tu déjà couché avec un homme ?
— Je t’avoue que c’était un fantasme, que j’ai réalisé plusieurs fois étant jeune et une fois avec André. Tu ne peux pas t’imaginer le nombre de fois que j’ai voulu sucer la grosse bite de Gédéon quand il était avec toi. Pour la sodomie, il était bien trop gros.
— Petit coquin, tu aimes me mater baiser mais tu regardes aussi la queue de mes partenaires. Tu aurais dû me le dire plus tôt. Lui rétorquais-je en lui massant le sexe.

En effet, pendant toute cette longue discussion, William n’avait pas cessé de me caresser, mon histoire avec Nabil l’avait rendu dans une telle excitation qu’il bandait fortement. Il m’enlaça et nous avions fait l’amour comme si c’était la première fois. Le lendemain matin, je m’étais empressée d’annoncer à Nabil que William était au courant de tout et qu’il ne voyait aucun inconvénient que nous restions amis. Un peu plus tard, cela faisait dix jours que je n’avais plus aucun rapport avec Gédéon, son sexe me manquait. Nous étions à moins d’un mois du mariage, comme mon chéri me l’avait demandé, je lui dis : « Ça ne te manque pas à toi mon chéri ? » William avait compris et immédiatement me répondit : « Pourquoi n’inviterais-tu pas Nabil à diner demain soir ? »

J’avais ma petite idée sur le sujet, je voulais en profiter et offrir à mon futur mari, un petit cadeau supplémentaire : « Que dirais-tu s’il ne venait pas seul ? Tu sais, son ami Thomas est un garçon charmant. » Le lendemain lorsque le diner fut terminé, Nabil n’avait pas attendu longtemps pour nous demander de passer au salon. Il était tout heureux de me baiser, depuis le temps qu’il attendait ce moment, il était comme un gosse devant une friandise. Pour ma part, j’avais passé onze jours sans sentir en moi le sexe de Gédéon, mon esprit de salope revenait au galop, j’allais profiter de celui de Thomas qui était d’une très belle taille aussi.

J’avais hâte d’être remplie, je me mis à genoux devant lui, il avait compris immédiatement et avait sortis son sexe. Je ne voulais surtout pas le décevoir, je commençai avec une grande application ma fellation, laissant de côté mon ami et William. Pour la première fois je vis Nabil venir devant mon chéri qui s’en hésiter une seule seconde, s’agenouilla à son tour pour sucer la longue queue du jeune et beau maghrébin. Je ne parvenais toujours pas à comprendre que mon mari soit bi, il donnait bien l’impression d’aimer sucer cette bite. Cependant, Thomas me sortit de ma torpeur, il m’installa sur le sofa et commença à me caresser les seins de sa main douce tout en me cajolant de ses doigts de fée ma chatte en feu. J’étais transportée dans un autre monde, je jouis une première fois.

Je m’avachis sur le canapé et les invitai à me rejoindre, Je me remis à pomper la queue de Thomas, Nabil avait quitté la bouche de William et me léchait la chatte, j’adorais ça, d’autant plus que ça m’excitait de voir mon mari caresser les fesses nues de mon ami tout en se masturbant. Le jeune gay bandait fort, il venait de me pénétrer et me limait sans retenu, j’avais la bouche et le vagin bien remplis. Ils étaient venus ici afin que tous les deux me prenne en double pénétration, Nabil s’allongea sur le canapé et je vins m’empaler sur sa verge tendue à bloc afin qu’il me sodomise et que Thomas puisse avoir accès à mon vagin ruisselant de désir.

Quel bonheur de ressentir leurs deux queues ensemble dans mes entrailles. Cette sensation me faisait vibrer surtout que mon chéri embrassait à pleine bouche le jeune marocain. J’étais prise en sandwich par mes deux partenaires dans une partie de sexe intense, sauvage mais non violente. Mon futur mari se branlait entre les fesses de Nabil, j’appréciais beaucoup de voir William aussi joyeux pendant que mes deux partenaires me labouraient à tour de rôle, je pris mon deuxième orgasme qui les inonda. Nabil se retira et mit mon mari à quatre pattes, cracha sur son anus et le doigta un moment avant de le sodomiser. Quant à moi, tellement excitée par la situation, j’en voulais encore, Thomas prenait maintenant mon cul, je jouis une troisième fois abondamment.

Nous nous sommes retrouvés William et moi à genoux devant eux leur sexe à la main. J’hallucinais, ensemble ayant les deux grosses queues à notre disposition, nous étions allés loin ce jour-là, je roulais une pelle à mon chéri entre les fellations que nous faisions à Thomas et à Nabil. Ils n’avaient pas attendu longtemps avant d’éjaculer tour à tour, juste après avoir retiré leur préservatif, leur sperme se mélangeait dans nos bouches. Après avoir bu le café, Thomas nous avait quitté avec regret, cependant William trouva les arguments afin que Nabil dorme avec nous dans notre lit où nous avions renouvelé avec un grand plaisir, ce que nous avions si bien commencé.

Depuis ce jour, mon chéri s’était empressé de nous acheter un sextoy spécial ceinture afin que nous poussions jouer à deux, nous n’avions plus besoin d’un troisième partenaire lors de nos joutes intimes. Toutefois Nabil était venu plusieurs fois les week-end suivants et fut un de mes témoins à mon mariage qui fut célébré par un samedi ensoleillé de juin 2016. Si toute ma famille était présente, du côté de William, ses parents étant décédés et n’ayant plus de contact avec sa famille, seuls ses deux s et ses amis étaient invités dont Helmut le bavarois et Elena son épouse. Ce qui nous avait permis de vivre notre nuit de noce à quatre.

Comme il était prévu, nos jeux s’étaient arrêtés après notre mariage, le voyage de noce dura quinze jours et le mois passé avec Nabil m’avaient permis d’oublier complètement Gédéon. Nous désirions nous consacrer à notre famille. Trois mois plus tard, j’apprenais la bonne nouvelle à William, j’étais enceinte. Après la naissance de notre petit garçon, en mai 2017, peu après le retour de couche, je fus une nouvelle fois enceinte, nous avions eu la chance d’avoir une petite fille née en août 2018. En un peu plus de deux ans, nous avions construit notre famille, nous étions comblés, nous vivions heureux. Si sur le plan sexuel nous étions en harmonie surtout avec le gode ceinture, nos jeux avec ce petit quelque chose en plus qui nous avaient tant procurer de plaisir partagé, nous manquaient toutefois.

Nous avions hâte tous les deux de reprendre nos petites aventures libertines, cependant nous avions tenu à attendre la fin de l’allaitement en janvier 2020 pour enfin retrouver la joie de me retrouver dans les bras d’un amant. Ce fut avec Nabil naturellement que j’avais eu envie de vivre ce moment en compagnie de William mon mari adoré qui avait apprécié les vertus de notre amant. Malheureusement, la Covid étant là dès le mois de mars, nous empêcha de poursuivre nos petits jeux libertins, nous avons hâte que tout cela se termine. Je vous raconterai donc plus tard mes nouvelles aventures.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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