Collection Triolisme. Les Spermatozoïdes (1/1)

• Christian, Ilona et moi avons quelque chose de très important à te demander, peux-tu te rendre libre samedi soir ?
• Bien sûr pour passer un moment avec deux amis comme vous, je suis prêt à déplacer mes rendez-vous.
• Merci depuis que nous nous connaissons, c’est-à-dire toujours, je sais pouvoir compter sur toi à tout moment.
• Mais ne peux-tu pas m’en dire un peu plus, nous sommes mercredi, je vais m’interroger jusqu’à samedi sur le service que vous semblez vouloir me demander.
• Impossible, il faut que nous soyons tous les trois en tête à tête, je ne peux rien te dire ce soir par téléphone.

C’est pour cela que nous te proposons de venir dîner, c’est Ilona qui doit formuler notre demande, cela la concerne en premier lieu.

• Je vais être impatient de savoir ce que vous me voulez, alors à samedi 20 heures, ça vous va.

En homme bien élevé, outre ma tenue sport, mais impeccable, j’ai apporté une rose rouge à Ilona et une bouteille de bourgogne, d’un grand cru pour Sylvain.
J’apporte toujours une bonne bouteille chaque fois que je suis invité, si je veux boire du vin de qualité.
Sylvain est capable de mettre sur table du Kiravi, vin à deux francs six sous.

• Merci Christian, pour ta rose, j’ignorais que tu étais amoureuse de moi !
• Qui ne le serait pas, Ilona, tu es magnifique, plus le temps avance, plus tu t’épanouis.
• Je te demanderais de revoir ta copie, mais nous en reparlerons après le dessert.
• Alors pourquoi m’as-tu demandé si j’étais amoureux de toi ?
• Je vais t’apprendre le guide des bonnes manières, avec une femme surtout mariée à son meilleur copain, et surtout devant lui.
Les roses s’offrent en nombre impair, une rose veut dire : « Je t’aime », voilà pourquoi je te demandais si tu connaissais ce code.
• Sylvain, tu m’excuses pour le Pommard.
Devais-je t’en amener trois bouteilles ?
Ne te méprends pas, une bouteille de ce grand cru est suffisante pour te dire que je t’aime mon frère.


• Moi aussi Christian, je te dois tout puisque c’est toi qui m’as fait connaître mon doux amour.

En disant cela, il prend Ilona dans son bras et l’embrasse amoureusement.

• Vous n’allez pas me faire un bébé dans ce vestibule, bien que les jeux libertins ne soient pas pour me déplaire, surtout ce soir.
J’avais un rendez-vous avec une blonde aux nénés comme des obus, mais pour passer une soirée avec vous, remettre notre rencontre à demain soir, n’est pas une contrainte.
J’aurais les burnes un peu plus pleines, voilà tout.

Je vois Ilona gênée, elle rougit, ça lui donne des couleurs, je la trouve un peu pâlotte ce qu’elle veut me demander, doit être difficile.

• Es-tu malade, ma mie, je te trouve un peu pâle ?
• Christian, soit gentil, allons goûter ton vin, le repas est servi, j’ai préparé quelques amuse-bouche pour l’apéro et un repas froid, tout est sur déserte.

Dès que nous aurons fini, je te dirais pourquoi nous avons souhaité te voir ce soir.

Le repas se passe sans aucun problème.
Est-ce le vin ?
Je me sens bien et regarde avidement notre hôtesse dans sa robe mi-longue, d’un rouge profond, certainement acheté dans une des meilleurs boutiques de notre ville, qui lui va à ravir.
À ce moment du repas, elle croise ses jambes, la robe fendue très haut glisse, me montrant qu’elle met bas et porte-jarretelles.
Bas noir bien sûr, lingerie de qualité l’ensemble de même couleur.
Sylvain a les moyens de lui acheter ces tenues, il est ingénieur dans une grosse boîte de la même région que la bouteille de vin que j’ai apportée et qui gît sur la table, vide.

• Allez-vous asseoir dans les fauteuils, je vais faire trois cafés, c’est la seule chose que j’ai à préparer, je sais que tu l’aimes très chaud.
• Et sans sucre, je te le rappelle, ça dénature la saveur de ce nectar.

Elle virevolte, ouvrant la fente de sa robe, je sens qu’elle est tendue, mais pourquoi suis-je ici, que me veulent-ils, l’attente s’éternise, ce qu’ils souhaitent me dire est-il si difficile ?
Elle dépose les trois tasses, m’en tend une, penchée elle me montre sa superbe poitrine et enfin commence à parler du sujet qui nous réunis.


• Christian, je vais être directe, nous voudrions que tu me fasses un .

J’ai ma tasse en main, je fais un mouvement de stupeur, je me mets du café partout.

• Attends, je vais chercher un torchon.
Excuse, j’aurais pu prendre un peu plus de précaution, mais tu sais pour moi, c’est aussi difficile de te faire cette demande que toi de la recevoir, je ne savais pas comment formuler notre besoin.

Je lui fais signe de continuer, je prends mon mouchoir, rapidement le mal est réparé.

• Je t’explique, depuis deux ans que nous sommes mariés, tu t’en souviens, tu étais le témoin de Sylvain, nous essayons d’avoir un .

Rien ne venant, nous sommes allés consulter.
De mon côté tout va bien.
C’est à ce moment que Sylvain prend la parole, semblant soulager Ilona.

• C’est moi qui ai un souci, j’ai un manque de spermatozoïdes actifs, on ignore d’où cela vient : héréditaire, oreillon sur le tard, slip trop serré depuis ma puberté ?
Si c’est la cause, j’aurais dû mettre des slips kangourous.
Mais rien ne dit d'où ça vient, je peux avoir des s, mais quand ?
Ils ont été incapables de me donner un pourcentage de chance, si un jour cela marche se sera un coup de pot, nous n’en avons pas le temps.
• Je comprends, je vois ce que vous allez me demander, me masturber dans une éprouvette et être votre donneur de sperme pour que tu te fasses inséminer Ilona.

Une nouvelle fois, la parole change, soulageant à son tour mon copain.

• Spermatozoïdes actifs oui, mais je refuse que mon soit le fruit d’un travail en éprouvette.
Je veux que nous couchions ensemble en présence de Sylvain et que tu m’offres tes spermatozoïdes directement en moi.
Attention ma demande est très précise, je m’allonge, tu te masturbes, à la rigueur, je veux bien écarter mes cuisses pour qu’en voyant ma chatte, je t’aide à avoir envie, mais pas plus.

• Je vois.
En faisant cela, ça revient à ce que je me masturbe dans ta chatte, que je crache mon sperme et adieu la messe est dite.
J’espère que tu sais que cela ne fonctionne pas à tous les coups.
Ton vagin bien rempli, tu as raison, mes couilles te fournirons une très bonne matière première et surtout en quantité.
On attend un mois et basta si tes règles sont là, on recommence le même cinéma.
• Tu dématérialises l’affaire, mais en gros c’est ça.
Je dois dire la vérité, quand Sylvain et moi nous avons rencontré Ilona, il a cru que je la lui présentais pour qu’il perde son pucelage, il l’a perdu mais a été jusqu’au mariage.
Pour moi, la jeune et jolie femme qu'était Ilona était mon plan cul de ce soir-là et quand j’ai vu qu’elle m’échappait, j’en ai été jaloux.
La rose de ce soir, ce n’était pas gratuit, je connais le langage des fleurs surtout des roses, en bon gentleman.
J’en ais souvent offerte à ces dames, mais s’était pour mieux les baiser, une fois, devant la difficulté c’est une gerbe que j’avais acheter.
J’espérais simplement attirer son attention, c’est gagné mais pas de la manière espérée.
Je suis accro au sexe et les femmes j’en ai quand j’en veux, exemple ce soir où j’ai remis à demain mon plan cul avec Alice la fille aux gros roberts que j’espère sauter demain.

• Je vais vous laisser, heureux de votre demande, mais pour moi faire un ce ne sont pas que quelques coups de bite dans la chatte d’une fille fusse-t-elle la femme de mon meilleur ami ayant un problème.
Ilona, quand tu fais l’amour avec Sylvain, tu écartes les cuisses, il te regarde en se masturbant et il te la met pour lâcher sa petite goutte ?
• Non bien sûr.
• Comment vous faites ?
Tu lui caresses la queue, par exemple la nuit quand il dort, tu le fais démarrer, mais comme il est encore assoupi, il bande mou, alors ta tête passe sous les draps et tu lui fais une fellation, dis, je me trompe ?
• C’est à peu près ça Christian, mais tu me gênes, ce que tu dis est trop intime.

• Donc, c’est ce que vous faites, ne vous tracassez pas, demain la copine à qui j’ai décalé le rendez-vous, va me faire elle aussi une fellation.
J’aime et elle aime, bien sûr en gorge profonde, c’est une avaleuse de bite, j’adore.
Alors, c’est clair, ou on te fait l’amour à deux avec Sylvain puis que tu souhaite qu’il soit présent.
Pour moi aucun problème, je suis partageur, ou vous allez chercher un autre couillon pour être un simple donneur de sperme.
Appelez-moi si ma demande vous convient sinon oubliez-moi, je vous souhaite bien du plaisir pour trouver un con capable de mettre sa queue dans ta chatte simplement pour y mettre son sperme.
Des chattes il y en a plein les rues qui n’attendent que moi pour une partie de trou du cul.

Je me lève et je quitte la pièce sans me retourner, je claque la porte du palier.

Trois semaines plus tard, n’y croyant plus, mon portable sonne.

• C’est Sylvain, Ilona et moi nous voudrions que tu viennes ce soir à la maison, nous avons réfléchi et nous sommes d’accord.
• Attends, je regarde mes disponibilités, j’ai un créneau dans une semaine.
• Arrête tes conneries frangin, c’est un appel au secours, j’ai peur de la perdre et de te perdre, je te dis qu’elle est partante pour faire l’amour comme tu le souhaites, tu sais sa tête sous les draps et tout et tout.
• Je vais faire un effort pour ce soir 20 heures.
Tu te rends compte, je dois encore déplacer mon rendez-vous avec la fille aux gros seins, elle va finir par être traumatisée.


Je suis à l’heure, pour pimenter le jeu, j’apporte trois roses à Ilona et une bouteille de la piquette la plus pourrie qu’un vendeur d’une cave voisine a pu trouver dans sa boutique.
Je sonne, ils ouvrent leur porte.

• Christian entre, mais dis-moi, tu ne m’aimes plus.
Trois roses, je croyais que tu étais d’accord puisque nous le sommes ?

J’entre, je ferme la porte et je la prends dans mes bras, ma bouche prend sa bouche.
Sylvain vient derrière elle et l’enlace.
Tout marche comme sur des roulettes, elle a le même genre de robe que la première fois, je glisse ma main dans la fente et je touche sa cuisse ferme et bien galbée.
Je suis content de ce que je sens.
Je serais parti si elle avait été chatte à l’air.
Là je sens le porte-jarretelles, les bas et ce qui doit être un string, mes doigts se glissent entre ses cuisses.
Elle quitte ma bouche et prend celle de Sylvain, j’allais dire son mari, non, son amant comme je vais devenir le sien.
Quand j’entre mes doigts en elle, après avoir écarté le string étroit, je la sens un peu sèche, mais rapidement elle commence à mouiller.

• Venez.

Je les entraîne dans la salle à manger, ils ont prévu un repas aux chandelles, la musique diffuse un slow que nous dansons tous les trois enlacés.
Je la regarde dans les yeux, j’ai eu des filles amoureuses dans mes bras, elle me présente les mêmes attitudes mais aussi à Sylvain quand elle le regarde.
Elle nous guide vers notre chambre, le repas nous attendra.
Sur le lit, elle ouvre nos braguettes et attaque nos deux queues avec sa bouche, elle suce divinement, elle aussi fait des gorges profondes alternativement à l’un et à l’autre.
Nous sommes allongés et nous nous dénudons, sans gêne.
C’est sur lui qu’elle s’enfile sa verge dans la chatte, elle s’assoie carrément dessus, je la vois monter et descendre, jusqu’à avoir un premier orgasme.
Elle met sa tête en arrière et pousse des cris.
C'est fort et long mais surtout elle a les yeux fermés comme pour le faire monter du fond de son être.
J’ai souvent vu des femmes jouir, mais aussi intensément jamais.
Une fraction de seconde, elle semble être dans les vapes, mais elle le quitte pour venir sur moi, j’ai le temps de voir du sperme couler de son intimité, il a déchargé.
Malgré cet écoulement, c’est sans aucune gêne que lorsqu’elle m’enfonce en elle.
Je lui prends les seins que nous avons dénudés quand nous sommes entrés dans la chambre et je suis aux anges quand je sens le plaisir monter en nous.
Sylvain et moi sommes nus, elle a encore sa robe et ses sous vêtements.
C'est très érotique.
Je malaxe ses mamelles qui réagissent bien avec les tétons qui ont énormément grossi.
Sylvain nous regarde, je lui prends la main, nous formons un trio magique, sans honte, sans gêne.
Cette première fois a été mémorable.

Ce fut le coup de foudre pour une vie à trois, dans l'harmonie et la complicité.
J’ai emménagé avec eux, n’ayant qu’un studio et surtout un lit standard.
Notre lit de 140 est passé à 160, impossible de mettre un deux mètres sans déménage. Mais c'était suffisant, nous nous renions bien chaud.
J’avais une cave à vin que nous avons installé dans le sellier.
Maintenant nous achetons ensemble de grands crus pour la remplir, je l’ai initié aux divers crus et autres cépages.

Ilona un soir, le troisième je crois, alors que nous sommes à nouveau à trois, s’empale sur Sylvain.
Je suis venu derrière elle et je l’ai enculée, nous l’avons prises en double pénétration.
Nous le faisons souvent, même après six mois de grossesse et jusqu’à la naissance de Louis notre premier .

Depuis quelques semaines, au milieu de notre bonheur de nouveau nous baisons sans qu’elle soit protégée.
Nous voulons que notre foyer s’agrandisse d'une petite fille.
Notre bonheur est multiplié par trois chaque fois que l’un de nous a du plaisir.
Il va sans dire, que je suis fidèle à notre femme, j’ai terminé de butiner.

Une seule chose à dire avant de récupérer Sylvain et d'aller à la clinique.
Anaïs est annoncée dans notre foyer dans quelques minutes et nous ferons comme pour Louis, mon meilleur copain et moi, en comptant jusqu’à trois, nous couperons un morceau du cordon.

De retour chez nous, nous vivrons un amour toujours renouvelé avec nos deux s, car à trois, contrairement aux couples dit normaux, l’un de nous sait toujours comment faire pour que la lassitude ne nous atteigne jamais.


Corriger par Anne.

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