Collection Triolisme. Les Deux Copines (2/2)

Depuis quelques mois, je suis l’amant de Jennifer la copine d’enfance de ma femme Marie.
Nous faisons très attention à nous retrouver pour des après-midis de folie chez Jennifer.
Ma maîtresse est plus active sexuellement que sa copine d’enfance.
J’ai beaucoup de scrupules à cette situation car j’aime foncièrement Marie ma femme.
Chance ou aboutissement d’une situation, nous qui pensions que Marie était chez ma belle-mère nous l’entendons ouvrir la porte et appeler sa copine.
Jennifer avait oublié qu’elle avait donné une clef à son amie ce qui lui a permis d’entrer.
Dans l’entrée elle a tout de suite compris que la situation n’était pas normale nos affaires que nous avions enlevées précipitamment jonchaient le sol.
Quand je suis arrivé, après le repas que nous avions fait avec deux de nos amis où nous étions échauffés dans ma cuisine alors que Marie racontait une histoire de vacances, elle m’a sauté dans les bras.
Elle n’a pas attendu que nous soyons sur la chambre d’elle qu’elle m’a dénudé, elle était couverte d’un simple peignoir qui git avec mon pantalon, ma veste, ma chemise sans oublier mes sous-vêtements.
Suspendue à mon cou, ma bouche sur sa bouche, elle s’est empalée sur ma verge qui ne demandait que cela car je bandais comme un taureau.

Dès que Marie est entrée dans la chambre de Jennifer, elle s’est jetée sur elle, j’ai laissé faire, pas comme un gros macho, mais je savais qu’il fallait que l’abcès entre les deux femmes devaient être percé.
C’est fait, j’ai donc pu les séparer en les prenant fermement par leurs cheveux.
Je réussis à ce qu’elles s’embrassent, autrement que comme des copines, mais carrément bouche à bouche.
Langue tournoyant autour de la langue de l’autre.
Je réussis même à ce qu’elles s’agenouillent et sans que je la force Jennifer me prend dans sa bouche.
Mieux même, quelques minutes après, c’est Jennifer qui présente ma verge à la bouche de sa copine.


C’est la première fois que ma femme me prend en bouche, elle a toujours refusé et pour ne pas la choquer, je ne l’ai jamais e.
Mais là, il faut que nous sortions de cette situation par le haut.
Là encore certains où certaines vont penser que je suis le seul fautif en prenant Jennifer comme maîtresse.
Si je l’ai fait c’est qu’entre nous un climat de confiance et d’envie s'était formé jusqu’à l’aboutissement de ce que nous vivons.

Ma position n’est pas la plus mauvaise car je peux relâcher les deux femmes.
À tour de rôle elles se partagent ma verge, je veux éviter que l’une ou l’autre ait le dernier mot en avalant mon sperme.
C’est d’elles-mêmes, qu’elles me quittent pour se prendre dans les bras.
Leur baiser est profond et loin d’être feint, leurs regards est explicite, ces deux-là s’aiment.
Depuis combien de temps, depuis combien d’années, je l’ignore et je m’en fiche ?
Si elles ne l’expulsent pas de leur vie pour vivre leur amour, je vais pouvoir être l’homme le plus heureux du monde.
Il faut que je reprenne l’initiative.

- Venez dans la chambre mes filles, nous serons mieux pour concrétiser ce que nous venons de commencer.

Marie, ne crains pas ce qui t’arrive, Jennifer sait être très douce, elle l’est avec moi, elle le sera avec toi.

- Viens, suis-moi Marie.

Quelle joie de voir mes deux femmes se relever, se prendre la main et faire les quelques mètres qui nous séparent du lit qui je l’espère sera notre terrain de jeu dans les minutes suivantes.
Elles montent sur le lit, je m’assieds au pied, je veux que ce moment soit le leur.
Je veux que l’osmose règne entre les deux amies ce qui est le garant d’une harmonie future que j’entrevois quand je vois leurs mains s’égarer dans leurs fourches.

- Jennifer embrasse Marie dans le cou, tu verras tu vas la faire fondre.
- Nicolas arrête de dire tous mes secrets à mon amie, c’est à elle de me découvrir.


Trop tard, Jennifer enlace Marie, elle doit sentir le souffle dans son cou.
Je la vois se cabrer comme elle le fait avec moi et les deux femmes s’embrassent de nouveau.
Par-dessus son épaule, Jennifer me regarde, Marie ne peut pas voir étant de dos.
Je sors ma langue et je la fais frétiller lui montrant la chatte de ma femme.
La bougresse me fait signe qu’elle a compris d’un battement de cil.
En moins de temps que je ne l’espérais, Jennifer couche Marie et sa bouche vient directement sur la petite culotte rose de ma femme.
C’est moi qui lui ai offert avec toute une parure.
Se montrer nue avec ces dessous affriolants est une des rares choses qu’elle ait accepté de faire pour moi.
Jennifer, certaine que ma femme est en train de se rendre, ne fait pas l’erreur de lui enlever.
Sa bouche aspire son clito plus petit que le sien, je le sais, j’ai eu le temps de comparer tout le temps que ces belles pouliches étaient ma seule propriété.
Comme je suis placé, je vois nettement Marie écarter ses cuisses d’elle-même, bravo ma belle Jennifer, je vois qu’elle est aussi efficace avec une fille qu’avec moi.
Un instant, je me demande comment elles n’ont pas fait ça plus tôt, mais je m’en fiche le principal c’est que cela se fasse même maintenant.

Avec ses dents, elle arrache sa culotte avec ses dents, je serai bon pour lui en racheter une autre.
Du moins, si tout se termine le mieux du monde, je jure que je leur offrirai une parure identique, mais de la couleur qu’elles le souhaiteront.

Jennifer a vraiment tout compris, elle suce la chatte qui s’est rendue sans grande bataille.
Elle se déplace et présente sa chatte à la bouche de son amie.
Les deux femmes forment un magnifique 69 qui me fait bander.
Mieux même, me regardant, elle fait faire 180 degrés à leur couple improbable il y a encore 24 heures.
Jennifer est dessous et Marie dessus me présentant son cul.

La sodomie, là encore c’est une chose qu’elle m’a toujours refusé alors que ma maîtresse le fait très fréquemment avec moi.
Tout semble neuf pour ma femme, je pense que si je suis patient Jennifer serait celle qui m’aidera à ce que sa jolie rosette m’appartienne ?
Je m’approche, Jennifer relève la tête forçant Marie à relever sa croupe.
Elle n’a rien vu, mais lève la tête à son tour quand Jennifer sort sa main, me saisit et me plonge en elle.
Je retrouve avec délice la seule partie de son corps qu’elle a consenti à me donner.
Contrairement à Jennifer, la chatte de Marie a toujours été plus serrée, phénomène de la nature ou pratique sexuelle moins intense ?

Je la tiens par ses hanches et je la pilonne comme jamais je ne l’ai pu le faire.
C’est dû certainement à la position et à mes mains qui amènent son corps sur ma verge.
Quand je la fais jouir, sa bouche quitte la vulve de Jennifer, tout son corps se tend, j’ai l’impression que pour la première fois je lui apporte un orgasme.
Merde, aurait-elle simulé toutes ces années, n’ai-je pas su ouvrir son corps à la sexualité ? ai-je été un si mauvais mari ?
Je vais tout faire pour me racheter.

Marie que je libère me montre, elle, les progrès qu’elle a faits ou qu’elle fait quand de façon identique à Jennifer, elle la fait passer au-dessus d’elle.
C’est incroyable, elle me prend la verge comme l'a fait Jennifer il y a quelques minutes et là et dans la chatte qui se présente à moi.
La seule différence est qu’elle sait que je vais la fourrer et d’elle-même son cul se soulève pour, être à bonne hauteur.
Je disais vrai, je suis moins à l’étroit que dans la chatte de Marie, ses hanches sont moins larges que celles que je viens de saisir aussi c’est avec plaisir que je les serre.
Mes femmes, comment les appeler différemment maintenant sont aussi expressives l’une que l’autre lorsque je les fais jouir.
Elle, je suis sûr qu’elle n’a jamais fait semblant depuis la première fois où nous nous sommes trouvés, quel intérêt elle avait, aucune bague n’orne nos annulaires ?
Il va falloir que je règle ce problème dès que nous aurons cadré notre trio.


C’est ainsi qu’au moment où elle jouit, je décharge sous les yeux de Marie qui m’a fait partir en me léchant les couilles là où elle est placée.

Ça fait six mois que nous avons emménagé tous les trois dans notre appartement, plusieurs choses ont changé.
Jennifer a vidé son appartement et a rompu sur bail.
Notre appartement étant assez grand et surtout notre chambre, aimant mes aises, nous avons acheté un lit de deux mètres sur deux.
Jusqu’à ce jour, j’évitais d’aller dans la boutique de Jennifer pour éviter les soupçons de ma femme sur ma fidélité et celle de son amie.
Je passe de l’une à l’autre comme je passe d’une chatte à l’autre et depuis peu d’un cul à l’autre.
C’est le jour de la fête que j’organise pour offrir à Jennifer le même anneau que j’ai offert à Marie le jour de notre mariage qu’elles se liguent ensemble pour m’offrir l’anus de ma femme.

En quelques jours je ramasse la mise, deux femmes, deux boutiques côte à côte qui me permettent si une petite envie présente se fait sentir, de sexer celle qui en demande plus.
Je ne m’en prive pas même si autour de nous, nous sommes rattrapés par la morale, pendant quelques semaines, nos boutiques sont un peu rejetées par les coincés du cul.
Ça leur passera, la vie va si vite, je me suis caché de mon amour pour Jennifer, ne la baisant que les lundis !
De nouveau voisins viendront remplacer ces culs bénis et nos commerces seront de nouveau florissants.

C’est mon anniversaire aujourd’hui, peu importe l’âge que j’ai, je suis comme disait l’histoire, un vert galant.

- Mon chéri.
- Mon chéri.

Le reste dit à l’unisson.

- Voilà notre cadeau d’anniversaire.

Deux boîtes identiques, j’ouvre les deux en même temps.
Des petits chaussons bleus.
Des petits chaussons roses.

Quand je disais que j’étais un vert galant.

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