Collection Fantasme. Triolisme (1/1)

• Chéri, je voudrais évoquer un fantasme qui me taraude depuis des semaines.
• Un fantasme, tu me fais peur, avec toi, je dois m’attendre à tout.
• J’ai pu voir que tu vas sur des sites de rencontres quand je suis au travail, quand tu es allée sous la douche l’autre jour, tu avais laissé ton ordinateur allumé, sache qu’il y a des historiques.
• Tu l’as vu, tu sais, je trouve cela fantastique de discuter avec des gens et de savoir que notre rencontre sera impossible.
Je vais être franche, un seul homme aurait pu me faire renier le serment que nous nous sommes fait, il s’appelle Hamed, il est arrivé à me faire des choses que j’étais incapable d’imaginer à travers l’écran.
Avec toi, j’ai la plénitude de mes sens chaque fois que ta bite entre en moi.
Tu me fais jouir comme une folle et mon corps est repu après nos étreintes.
Mais, avec Hamed, le fait d’être certainement à des dizaines de kilomètres, me fait déclencher dans mon cerveau un bien-être aussi fort qu’un contact physique.
Tu m’en veux.
• Pourquoi t’en voudrais-je, même si pensé à me tromper, c’est me tromper, le jour où tu décideras de le faire, j’aurais du mal à t’en empêcher ?
Bien sûr si tu m’en parle avant, que je sois là pour te voir faire l’amour avec un autre que moi, j’imagine que la tromperie tombe à l’eau.
• Tu me fais peur, tu aimerais me voir écarter les cuisses pour un autre que toi.
• J’en souffrirai, mais la souffrance fait partie du plaisir.
Et toi, tu aimerais me voir entrer ma verge dans la chatte d’une autre femme que tu aurais pu séduire et m’amener pour la baiser pendant qu’elle te lécherait la chatte.
• Espèce de phallocrate, pourquoi devrais-je devenir lesbienne pour que tu puisses assouvir tes envies d’autres femmes, assume.
Si on revient au point de départ de cette discussion, c’est mon envie d’Hamed qui a entraîné nos débordements verbaux.


• Tiens, tu te dévoiles, au départ, tu faisais des choses par écran interposé qui satisfaisait ton cerveau.
• C’était pour éviter de te brusquer, je voulais voir si tu étais prêt à faire évoluer notre couple dans des jeux sexuels plus hard.
• Hard comme tu y vas, si tu franchis cette étape, tu deviendrais une salope.
• Tu serais opposé à ce que je sois une salope, mieux une chienne.
Je fantasme d’avoir deux verges, en même temps, en moi.

Voilà le mot est lâché, fantasme, mais comment reprocher l’image de ma verge frottant celle d’un autre avec la protection des membranes internes de ma femme, car loin de moi l’idée de devenir homo et de m’occuper de la verge du dénommé Hamed.

• Tu as raison bébé, comme toi avec l’âge et Internet qui nous sollicite chaque fois que l’on se connecte, je fantasme et j’aurais bien du mal à te reprocher d’en faire autant.
Donne-moi un peu de temps que j’y réfléchisse et je te promets de t’apporter une réponse rapide, car ton fantasme accélère les miens, si tu es d’accord, ce sera donnant-donnant ainsi ni l’un ni l’autre, nous aurons l’impression d'être cocus.
• En attendant que, je te fasse cocu ou toi de ton côté donne-moi ta verge que je te suce, je sens sous ma main qu’elle est prête à éclater.
• C’est bien, je vois que tu as encore un peu de sentiment pour moi et qu’après ma verge dans ta bouche, tu aimes encore te la prendre dans ton joli minou.
• Attends, je vais te sucer en levrette et comme cela, je serais dans la bonne position pour que tu finisses dans mon anus, si dans quelques jours, je dois me faire pilonner par deux verges, il faut que je sois préparée.
Regarde, grand fou met ta main là où cela fait du bien, je suis trempée.

C’est excité par nos propres fantasmes qu’elle me suce en gorge profonde m’avalant la verge avec application comme elle sait si bien le faire depuis qu’elle m’a dépucelé.
Je pourrais faire croire que je suis un tombeur de femmes qui depuis mon adolescence baise tout ce qui bouge alors que je dois reconnaître qu’à 24 ans quand j’ai rencontré Fabienne, j’étais un puceau honteux.

Mon seul plaisir, à partir du jour où j’ai découvert que j’ai une queue, était la branlette devenue journalière, voire bi-journalière.
Depuis ce jour béni où j’ai trempé ma verge en elle qui était une femme libre de son corps et qui si j’étais vulgaire à 22 ans avait déjà beaucoup d’heures de vol. Elle s’était fait dépuceler à 17 ans par un vague cousin le jour de la noce de sa sœur sur le siège arrière de la voiture qui avait servi à la transporter, car ils étaient les témoins, son cavalier possédait cette vieille traction avant Citroën qu’il rénovait.
C’est pourquoi après 7 ans de mariage, apprendre qu’elle fantasme sur d’autres verges en elle semble logique.
Je trouve déjà que la chaude qu’elle était les années précédant notre mariage est restée sage après toutes ses turpitudes de jeunesse, qu’elle a eu le courage de m’avouer, mais me promettant que pour elle, à partir du jour de notre mariage seul moi comptait.

Sitôt qu’elle m’ait sucé, comme elle me le demande, je contourne son corps et je me place bien dans l’axe et avant de lui faire plaisir en la sodomisant, je lui prends la chatte qui comme elle me l’a dite est dégoulinante.
J’adore la limer en rythmes différents, lentement pour commencer et accélérant quand sa jouissance monte dans son corps.
J’étais peut-être un bleu lorsqu’elle avait déjà des dizaines d’orgasmes à son actif avec ces nombreux partenaires, mais j’ai bien rattrapé mon retard et elle doit reconnaître que, depuis ce premier jour pour moi, jamais ma queue a oublié de lui faire atteindre l’orgasme.
C’est encore le cas ce soir et le cri de plaisir qui sort de sa gorge me prouve que j’ai bien tenu mon rôle de mâle, ce qui me permet de remonter mon tir et de la sodomiser, comme elle en a émis le souhait.
Ce que ma femme veut pourquoi l’en privé.
Avec son expérience, sa rosette qui me malaxe la tête de gland arrivant à m’empêcher de sortir à un mauvais effet sur moi, car il faut que je fasse un effort surhumain pour que mon sperme reste au fond de mes couilles surtout quand elle glisse sa main sous elle et qu’elle les atts en les serrant sans ménagement.

Là encore, j’ai appris à faire le vide et à faire mentalement retomber la pression, car avec la virtuosité qu’elle a acquise, je risque de passer pour un nul en éjaculant dans les premières secondes.
J’arrive à tenir une bonne demi-heure et c’est en retournant vers sa tête que je vide mes burnes en lui faisant avaler mon sperme qu’elle adore.

Un bon fantasme réalisé est un fantasme que l’on a oublié.
Pendant deux semaines, je surveille ses allées et venues sur Internet.
Un jour où je suis assis près d’elle et qu’elle pense que je dors, je peux voir son mot de passe pour ses Mails.
Comme je le pense, elle met le même partout de peur d’oublier en ajoutant un chiffre de fin.
Là, c’est le 5, jours de la date de notre mariage.
Depuis mon bureau le midi, je me connecte sachant qu’elle a coiffeur pendant sa pose et que je suis tranquille.
Sur ses Mails, je mets trois jours à pouvoir contacter le dénommé Hamed.

• Tu m’excuses Louison, j’étais parti à l’étranger pour mon travail.

Il faut que j’évite de me tromper, elle se fait appeler Louison au lieu de Fabienne.

• Quand se voit-on, je suis prêt à faire les trois cents kilomètres qui me séparent de toi quand on aime, on est prêt à faire de longues distances pour satisfaire une salope comme toi.
Tu me suces la queue.

Ma femme pourrait répondre bonne suceuse comme elle l’est, mais j’ai du mal à dire simplement.

• Oui.
• C’est tout ce que tu me dis, tu es avec quelqu’un, ton mari est là.
• Non.

Il faut que je prenne de l’assurance, car à l’autre bout, Hamed a des chances de trouver louche le peu d’empressement que je mets à lui répondre, surtout après ce que ma femme m’a dit sur les situations chaudes qu’ils vivent ensemble par écran interposé.

• Je sens ta tige dans ma bouche, tu vas m’arroser les amygdales.
• Tu as fait mieux la dernière fois, tu m’as coupé le gland avec tes dents en profitant pour me vider de mon sang comme le vampire que tu es depuis des semaines que j’attends de te prendre comme une bête.

• Samedi, tu es libre.
• Pourquoi, toi peux-tu te libérer ?
• Oui, ma femme va chez.

À une seconde près, je faisais la boulette, j’efface.

• Oui, mon mari va faire des travaux chez ses parents tout le week-end.
• Je peux venir dans ta ville, tu restes en ligne, je vais sur booking.com pour voir à quel hôtel, je vais m’occuper de ton petit cul avec ma grosse queue.
Au fait sur ton mail, tu as reçu la photo de ma verge en érection.
• Oui, elle est grosse, je vais me régaler.

Un temps un peu long, mais il revient.

• Tu connais l’auberge du canal.
• Non, j’allais te dire qu’il est impossible que j’aille dans un hôtel pas assez discret, qu’as-tu comme voiture.
• Une grosse Mercedes.
• Quoi, tu as une grosse Mercedes, c’est mon fantasme, j’adore me faire prendre par mes amants dans leur voiture, 20 heures devant l’auberge du canal.
• J’y serais, j’ai hâte de te baiser sur le siège avant.
• Je préfère à l’arrière à cause du volant.
À samedi Hamed.

Le samedi, je trouve un motif pour partir au rendez-vous, je le rencontre un peu surpris, mais dès que je lui explique ce que j’attends de lui, il est enthousiaste.
Trouvé un mari aussi compréhensif cela semble la première fois pour lui qui est un dragueur par Internet.
J’en reste là et la semaine suivante, j’invite ma femme pour son anniversaire.

• Chérie, pour ton anniversaire, j’ai réservé une table à l’auberge du canal.
• Tu es un peu radin, j’aurais espéré que tu m’offres un restaurant plus huppé.
• Oui, mais nous coucherons, j’ai réservé une chambre, nous pourrons boire du champagne, tu en raffoles et aucun problème de conduite.

Le samedi suivant nous sommes au restaurant avec une vue magnifique sur le canal.
Le repas est quelconque et c’est avec un début de gueules que nous montons dans la chambre ayant monté la valise avant le dîner.

Je la déshabille et quand elle est nue, je la couche sur le lit.

• Je te souhaite un bon anniversaire ma chérie.

Elle est étonnée de voir un homme sortir de la salle de bain recouvert d’un simple peignoir.

• Je te présente Hamed, ton amant d’Internet, nous allons réaliser ton fantasme et te faire l’amour toute la nuit et surtout te prendre en double pénétration.
Tu es satisfaite de ton cadeau d’anniversaire !
• Même si je prends un an de plus, c’est le plus beau cadeau que tu peux me faire, excuse-moi d’avoir été désagréable.
• À toi de te servir de nous comme tu l’entends et où tu veux nous avoir te pénétrer, nous sommes tes objets.
• Oui, mes jolis godemichets, venez là que je vous suce, Hamed souvient toi le nombre de fellations que je t’ai faite et qui te permettait de décharger dans ma bouche.

Une dans la chatte avec retour dans la bouche par Hamed, le reste des bites qu’elle reçoit, je suis sûr qu’elle est dans l’impossibilité de savoir si c’est la mienne ou celui de son fantasme, même si la mienne est un peu moins grosse que la sienne.

• Vous m’avez tué, achevez-moi par une double pénétration, vous venez de m’offrir le plus beau et le plus étonnant de mes anniversaires, j’espère qu’il sera suivi de nombreux autres.

Une dans la chatte avec retour dans la bouche par Hamed, le reste des bites qu’elle reçoit, je suis sûr qu’elle est dans l’impossibilité de savoir si c’est la mienne ou celui de son fantasme, même si la mienne est un peu moins grosse que la sienne.
Je sens avec délice sa verge glisser le long de la mienne sans que je sente les parois enserrer ma propre verge.
Son fantasme devient réalité et nous jouissons tous les trois ensemble dans un plaisir partagé.
Au moment où je m’allonge et qu’elle vient s’empaler sur ma bite prête à la recevoir, le baiser qu’elle me donne me prouve qu’elle apprécie l’initiative que j’ai prise renforçant un peu plus notre couple surtout quand Hamed vient prendre la place d’honneur que je lui ai réservée dans l’anus de ma femme.

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