Un Autostoppeur Entreprenant

Je revenais d’une visite pour la journée chez mes parents, quand une envie pressante m’obligea à stopper quelques instants sur une aire d’autoroute. J’avais encore 2 heures de route, avant de retrouver la maison, et ne pouvais plus attendre. Quittant les toilettes un jeune homme m’aborda. Il était tout à fait charmant et son air rassurant me mis en confiance.

- Excusez-moi de vous importuner, mais je suis en panne de voiture et je cherche quelqu’un pour me déposer à Saint-Dié.

Trouvant cet homme charmant, Je n’avais aucune réticence et acceptais de le prendre dans mon véhicule afin de lui rendre ce petit service. De plus c’était sur ma route. Nous montâmes dans la voiture (en fait la voiture de mon mari un Espace dernier modèle).

- Je m’appelle Tony et vous remercie chaleureusement de ce service. Il n’est pas dans mes habitudes de faire du stop
- Moi c’est Patricia, et il est normal de s’entre aider. Qu’est t’il arrivé à votre véhicule ?

Il me raconta la panne mécanique survenue plutôt, et qu’il préférait ce faire dépanner par des amis plutôt que de faire venir une dépanneuse. C’est pour cela qu’il avait laissé son véhicule sur l’aire d’autoroute et reviendra le chercher plus tard.

Nous continuâmes, notre discussion, présentant chacun succinctement notre vie, et je dois avouer que le garçon était vraiment charmant, plein d’humour et de raffinement. Je croisais son regard qui était alors posé sur mes cuisses. En effet ma jupe était remontée à mi-cuisse laissant apparaître l’attache d’un de mes porte-jarretelles. Nos regards se croisèrent et je sentis mes joues rougirent. Immédiatement Tony senti mon embarras et dit :

- Ne soyez pas gêné, et accepter mes excuses pour mon regard perdu, mais vous êtes une très belle femme, et je ne connais aucun homme qui ne pourrait résister à cette vision magnifique que j’ai eu sous mes yeux un instant
- Vous exagérez, mais le compliment me touche.

A 39 ans, vous savez les années s’accumulent
- Vous êtes une femme exquise, et je peux vous garantir que je décrocherais la lune, pour quelqu’un comme vous.
- Mais décrochez donc Tony, décrochez donc….

Encouragé par ma plaisanterie, Tony plaça sa main sur ma cuisse. Je me sentis immédiatement troublée. Honteuse de ne pas manifester une vive protestation, et gênée du trouble que je ressentais au contact sa main sur ma cuisse.

- J’espère que vous n’êtes pas choqué me dit Tony. Si c’est le cas demandé moi de retirer ma main et j’obéirais immédiatement.
- Tony, vous savez, je ne suis pas habituée à ce genre d’échange, et je dois avouer que c’est une première fois pour moi. Je ne voudrais en aucun cas que vous vous mépreniez sur moi.

Sa main me caressait ma cuisse faisant remonter ma jupe, suivant le rythme de ma conduite. Un grand silence s’instaura dans la voiture ponctuait juste des bruits du moteur, et des froissements de sa main sur la jupe de mon tailleur trop sage. Tony par ses caresses expertes avait remonté intégralement ma jupe, découvrant mes porte-jarretelles blancs, recouverts par une culotte de dentelle blanche. Le contact de sa main sur ma peau m’excitait, et j’étais dans l’incapacité de prononcer la moindre parole Mes cuisses se resserraient sur sa main et mon souffle se faisait haletant. Il sentait mon excitation et de manière volontaire maintenait le silence rendant ce moment particulièrement envoûtant. Sa main passa sous ma culotte et je sentis ses doigts fouillés mon intimité. Il me caressa mon triangle tout en me laissant conduire la voiture, dont j’avais bien évidement ralenti l’allure. Quand son doigt pénétra en moi, mon souffle s’accentua,

- Arrêtez, c’est trop dangereux, nous allons avoir un accident
- Patricia, tu me rends absolument fou, ton corps est un appel à l’amour, gare la voiture au prochain parking et trouve un endroit tranquille ou nous ne serons pas dérangés.

Malgré mes remontrances il maintenait son doigt dans mon sexe, qui avec expérience me fouillait dans mes endroits les plus sensibles.
Nous avions quitté l’autoroute depuis 10 minutes et roulions sur une petite route à travers la forêt. Je décidais de me ranger dans un des nombreux chemins vicinaux. J’engageais la voiture dans le premier chemin, et roulait assez loin pour ne laisser hors de vue de la route.

- Arrête toi la. Ordonna Tony.

Une fois la voiture stoppée, il me renversa vers lui et m’embrassa avec fougue. Sa langue jouant avec la mienne. Sa main passa en dessous de mon tailleur pour attr un de mes seins. Il découvrit ma poitrine opulente, cachée en dessous d’un soutien gorge à balconnet blanc.

- Tes seins sont magnifiques Patricia, tu es une femme superbe

Sa langue continuait à fouiller ma bouche, pendant que ses mains investissaient soit ma culotte soit mon soutien gorge.

- Prends mon sexe dans ta bouche,
- Nous sommes fous, Tony je ne te connais pas, et en je ne peux pas tromper mon mari
- Tu crois au coup de foudre, j’ai trop envie de toi maintenant, vas y prends-moi dans ta bouche

Il avait sorti son sexe, et me dirigea la tête vers son entre jambe, pointant son sexe vers ma bouche. Je commençais à embrasser son membre, délicatement, pendant qu’il me maintenait par les cheveux. Son sexe s’engouffra entièrement dans ma bouche, et je le suçais intégralement. A ces gémissements je sus que ma caresse faisait un grand effet.

- Allez continue de me sucer, vas-y comme une glace passe ta langue de bas en haut, oh oui tu lèches si bien

Je continuais et lui obéissais passant ma langue autour de son gland, lui léchant la hampe, de bas en haut puis de haut en bas, lui mordillant le gland.

- Ohhhh oui continue, comme ça tu vas me faire jouir ma belle, pompe-moi la bitte vas-y

Je sentis monter en lui un grand frisson, qui présageait, d’une libération soudaine.

- Non pas dans la bouche ne jouis pas dans ma bouche.

Mais il était trop tard il se soulagea dans ma bouche, me déversant son sperme au fond de la gorge, me maintenant toujours par les cheveux afin d’être sûr que j’avale tout.


Nous laissâmes passer quelques minutes avant de reprendre nos esprits. Ma grande surprise, Tony sorti de la voiture et ouvrit la portière. Il me fit descendre à mon tour, et m’emmena à l’arrière, ouvrit le coffre, et me coucha sur le dos. Il releva à nouveau ma jupe et s’agenouilla entre mes cuisses.

- Que fais-tu Tony, il est temps de partir maintenant
- Je vais te rendre le plaisir que tu viens de me donner

Il écarta ma culotte découvrant mon sexe, et plongea sa langue profondément au plus loin de mon vagin. Sa langue experte explorait tous les endroits de mon sexe, tandis que ses mains maintenaient mes cuisses au-dessus de mon corps bien haut afin de rendre l’accès à mon jardin secret plus lointain. Il me fallu pas moins de 2 minutes pour avoir mon premier orgasme, tant la situation était excitante. Tony continua de plus belle, me laissant sans volonté tant sa langue ma ravagée la chatte. Avec son avant bras il me retenait les deux jambes en l’air, tandis que son autre main explorée la raie de mes fesses. Je compris ce qu’il voulait. Tandis que son pouce titillait mon anus, nous entendîmes le bruit d’un tracteur qui s’approchait. Très rapidement, nous rhabillèrent et remontèrent dans la voiture. J’étais à bout de souffle, mais trouva la force de ramener la voiture sur la route.

- Nous sommes à 5 minutes de chez moi me dit Tony, prend la prochaine à droite, et je vais te faire visiter mon appartement
- Non Tony il faut que je rentre maintenant, mon mari va s’inquiéter.

En guise de réponse, Tony replaça sa main sur ma cuisse remontant rapidement le cour de mes bas afin de reprendre sa position initiale. Son doigt dans mon sexe recommença, et je ne pus protester tellement le bonheur était intense.

Il m’indiqua comment arriver à l’appartement. Une fois à destination, il me prit par la main, et me fit rentrer chez lui. Je décidais de prendre l’initiative.

- Laisse moi faire
- OK ma beauté surprend moi, répondit Tony

Dans sa chambre il s’allongea sur le lit, et me regarda me déshabiller.
Une fois débarrassé de mon tailleur avec pour seul vêtement mon soutien gorge et mes portes- jarretelles, je défis un bas et lui attachait les bras au montant du lit. Il était alors à ma merci. Je lui baissais son pantalon, pour m’apercevoir qu’il avait retrouvé toute sa vigueur. Son sexe était tendu raide et gluant Je le chevauchais, et avec ma main dirigea son sexe en moi. Il me pénétra, moi au-dessus et lui en dessous. Je le baisais, le regardant à ma merci, mes seins lourds ballottant au-dessus de son visage. De temps à autres je venais l’embrasser, il plaçait sa tête entre mes seins me suçant les tétons.

- Ca va être à ton tour maintenant ma belle, d être à moi
- Tu ne peux rien faire tu es à ma merci, commentais je tout en continuant de le baiser

Cependant il défit ses liens, et nous retournas. « Place-toi à 4 pattes je veux voir ta croupe s’offrir à moi ». J’obéis, étant passé en quelques secondes de dominant à dominée. Avec mon bas, il m’attacha les poignés ensemble, qu’il fixa solidement au barreau du lit. Il se plaça derrière moi et plongea son visage entre mes fesses, passant sa langue entre mes fesses qu’il remontait de mon sexe jusqu'à mon petit trou intime.

- Je vais te sodomiser Patricia, tu vas sentir mon sexe rentrer dans ton anus et enfin je jouirai sur tes fesses, tu veux ?
- Oui prends moi je suis à toi, encule-moi maintenant, je veux sentir ta grosse bite dans mon cul
- Mais quel langage peu commun pour une femme aussi BCBG, c’est qu’elle se laisse aller, la petite bourgeoise

Il pointa son sexe vers mon anus, et tout doucement me l’enfonça jusqu’à la garde. Se saisissant de mes fesses à pleines mains, il me pilonna, comme un marteau piqueur.

- T’aimes ça cochonne de sentir ma grosse bite dans ton petit trou
- Oui continue c’est trop bon

C’est deux mains s’étaient emparées des mes seins qu’il malaxait avec forces, le faisant s’entre choquer entre eux. Il jouit très vite au fond de mes fesses me laissant sentir la chaleur de son sperme au fond de moi. Son sexe sorti de mon anus et gicla le reste sur mes fesses, qu’il étala avec son sexe encore bien dur.

Je ne l’ai jamais revu. J’espère qu’il pourra lire cette histoire et enfin savoir tout le plaisir qu’il m’a donné.

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