Un Voisin Entreprenant

Je m’appelle Blandine, j’ai 22 ans et je suis d’après ce que mon entourage dit, très belle. Du haut de mes 1m 65 et 55 kg, les hommes se retournent souvent sur moi.
Je suis une petite brune, avec de petits seins 80 B et une taille très fine (le 36 me va grand), et de belles petites fesses bombées. Je suis entièrement rasée, à part un petit ticket de métro que mon petit copain me demande de garder. J’ai une peau blanche qui bronze un peu l’été. Je vis dans les Hautes-Alpes, je suis sportive et énergique et j’adore les hommes avec un ventre plat et des abdos dessiné. J’adore aussi les femmes, de plus en plus car elles sont douces et prévenantes et savent ou appuyer pour me faire jouir.
D’après le copain de mon père, mon nouvel amant, et celui de ma mère, je le reconnais, je suis devenue une petite salope !
L’année de mes 20 ans, de nouveaux voisins sont venus s’installer dans notre rue. Lui prof dans le lycée de la ville voisine, elle instit dans notre village. Lui très beau mec la quarantaine, sportif, mince, peu souriant. Elle, blonde pas très belle, un chignon en permanence, grosse poitrine et très gros cul, peu souriante et pas avenante du tout.
Pendant l’été, alors que je me rendais au village, à pied, mon vélo étant crevé, je dois acheter des rustines ou une chambre à air. Trois km à pieds c’est long en plein soleil, mais je dois y aller. Une voiture c’est arrêté à ma hauteur, mon voisin en short et débardeur, m’interpelle en me demandant un renseignement sur une direction à prendre. Avec ma mini-jupe, blanche et mon tee-shirt largement décolleté et échancré sur les côtés, je pense qu’il s’est arrêté pour me voir de plus près. Je me penche sur la fenêtre en m’appuyant avec mes bras croisés, je lui fais mon plus beau sourire et lui redemande de me répéter sa demande. Il me sourit et me complimente sur ma plastique, mes belles jambes et mon petit cul. Il me demande mon âge et je lui réponds que ce n’étais pas ce qu’il m’avait demandé.

Il me regarde toujours en souriant et me demande si du haut de mes vingt ans j’ai déjà eu la chance de voir un homme nu de pré. Je rigole et lui indique que oui en hochant la tête, à ce moment là il baisse son short et me demande si j’ai déjà vue des belles queues comme la sienne ? Je suis surprise et fais un pas en retrait, il bande comme un âne, sa queue est courbée, son gland caché sous la peau, il commence une douce masturbation, je le regarde un peu hypnotisée par sa queue et sa main qui monte et qui descend, franchement ces queues me fascine toujours autant. Je m’approche de la vitre en lui faisant remarqué que ce n’est pas une attitude à avoir devant une jeune fille. Il me fixe dans les yeux et me dit « je vois bien que ça te plaît, tu as l’air d’aimer en voir, ça te dirait de la toucher on dirait ! » Je rougies car pris sur le fait à contempler son dard. Il me demande de remplacer sa main, je tends le bras, mais sa queue est trop loin et je ne peux pas la toucher. IL me demande de monter dans la voiture et qu’il m’emmène au village si je le caresse.
Ça proposition est tentante d’un côté, car il fait très chaud et trois km c’est long, d’un autre côté je m’expose à des risques avec ce pervers. Je lui dis et si j’en parle à votre femme de votre attitude, il me répond que ça l’étonnerait si j’arrivais à adressé la parole à sa pimbèche de femme. Sous le soleil, qui tape de plus en plus, je lui souris et j’ouvre la portière en lui disant de rester calme. Je ferme la porte, et en m’asseyant ma jupe est tellement courte que l’on peut apercevoir le tissus de mon string. Il démarre sur les chapeaux de roue, en me disant qu’on va se garer plus loin à l’abri des regards. Il me demande si je peu prendre sa queue dans la main, le temps du parcours, je la saisi et je commence un vas et viens rapide et énergique, il me demande d’aller doucement car a ce rythme il ne tiendra pas longtemps, encore un éjaculateur précoce !
Il se gare sous les arbres au bord de la route, Il allonge son fauteuil et me demande de ralentir l’allure qu’il puisse m’admirer pendant que je le branle.
Alors que je lui astique son membre, il passe sa main dans l’échancrure de mon tee-shirt et me caresse les seins, il me dit que j’ai de la chance de ne pas porter de soutien-gorge avec cette chaleur. Le coquin il s’est y faire, j’ai mes bouts qui pointent et sa main est très douce, il me dit que je dois avoir trop chaud, il enlève sa main et me tire sur le tee-shirt pour l’enlever. Je suis torse nue devant lui et il me complimente sur ma belle petite poitrine. Je continue à l’astiquer quand il commence à me complimenter sur mes jolies lèvres pulpeuses. Il me demande si j’ai déjà sucé un garçon ? Je lui réponds par l’affirmative. Il me demande de lui faire voir si je sais bien le faire. J’avoue que j’en ai une folle envie, je me penche et je le prends en bouche, il me dit de me mettre à genou sur le fauteuil que je serais plus à l’aise. Aussi tôt dit aussi tôt fait. Je lui gobe sa queue et je l’aspire je lui titille le gland avec la langue et je lèche de haut en bas sa colonne de chair, pendant que ma main lui caresse ses bourses velues.
Sa main vient de quitter ma poitrine et se dirige vers ma jupe et mon string, il tire ma jupe vers lui et vient me caresser les fesses en me complimentant sur mon string, et en me précisant que sa femme ne peut vraiment pas porter ce genre de culotte. Il me glisse un doigt dans la raie culière, ça me fait frissonner. Sa main repasse sous mon ventre et écarte mon string et il vient enfin titiller mon bouton, il est doux et précis on le sent très expérimenter. Je lui lâche la queue pour lui dire que je suis vierge et qu’il faut faire attention car je ne veux pas perdre ma virginité. Il acquiesce en bougonnant. C’est a ce moment là qu’il vient me mettre un doigt dans l’anus, pendant que son pouce me cajole le clito. Devant un tel empressement à me prendre le cul je lui rends sa caresse, et lorsque je le pénètre il gémit, ma main s’est emparée de sa teube, ma bouche l’aspire et après trois va et viens il jouit dans un râle profond.
J’enlève ma bouche de sa queue, il s’en met de partout, je continue à le masturber et il continue à cracher sa semence, ça devait faire longtemps qu’il n’avait pas joui, à mon avis. Il retire sa main de mon entrejambe, en me disant que je suis une meilleure suceuse que sa femme qui ne veut jamais lui faire.
Il remonte son short et me demande de me rhabiller pour qu’il me ramène au village.
Quel goujat, il m’a laissé là comme ça, en plan avec le minou en feu sans me soulager, encore un qui ne s’est pas s’occuper de sa compagne.
Nous nous sommes revu plusieurs fois au courant de l’été, et il ne m’a jamais fais jouir, c’était un piètre amant mais il avait une belle queue courbée.

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