Le Mâle Dominant Et Toute Sa Famille. 1/4
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le Mâle dominant et toute sa famille. 1/4
Si vous suivez les aventures de Claude, le nouveau mâle dominant de la meute, vous savez que cest moi sa demi-sur Léna qui ai été sa préceptrice.
Il ma bien vengée auprès dune bande de petits branleurs puis a pris son émancipation. (Lire ses différentes péripéties sur le site.)
Ma mère a épousé son père et j'ai ainsi hérité d'un "frère"
Le problème, cest quil est de moins en moins à la maison et que je dois faire ceinture. Donc, lorsquil est là et que je peux enfin le rejoindre dans sa chambre, je prends de plus en plus de risques dêtre surprise par mes parents qui ne se doutent de rien. Enfin jespère
Sans frapper, j'ouvre la porte et entre dans sa chambre. Claude devine illico ce que je suis venu chercher.
Il est assis sur le lit le dos appuyé contre le mur, il ne dit pas un mot. Je le rejoins, massieds à coté de lui et pose ma tête sur son épaule. Il est torse-nu, je me penche en silence vers lui et bécote son ventre.
Il sort de sa torpeur, lune de ses mains parcourt mon corps et sans hésitation se glisse sous ma robe et va fouiner à lintérieur de ma petite culotte.
Je reprends linitiative en déboutonnant son pantalon. Il reste de marbre maidant seulement à le lui retirer. Je respire les effluves mâles qui séchappent de son slip. Son pénis est au repos mais remplit déjà copieusement le sous-vêtement. Il faut dire que mon frère est un cas. Autant son physique le désavantage, autant son organe reproducteur fait remonter la moyenne très haut.
Pour celles et ceux qui nont pas encore fait sa connaissance dans les épisodes précédents, on dirait un ado boutonneux, pas très grand et assez maigre doté dun sexe de grand black comme on nen voit que dans les films pornos. Et je peux vous dire que ce contraste est si étonnant que le bouche à oreille fonctionne à fond et quun grand nombre de personnes est au courant du phénomène.
Je regarde Claude dans les yeux. Pour moi, il est le plus beau et le meilleur de mes amants.
Il ne ressemble pas du tout à son père, que ça soit coté sexe ou pour tout le reste, je commence à me poser certaines questions
Comme deux amants, nous nous embrassons langoureusement, nos lèvres seffleurent doucement laissant le temps à nos corps de sapprivoiser avant de passer à l'acte
Sous ma main, je sens son gland séchapper de son slip, il commence à se gorger qui pulse dans les corps caverneux. Sa queue commence à devenir appétissante, mais je sais que la bête nest pas encore suffisamment réveillée.
Je repousse son slip et nhésite pas à titiller ses parties génitales de ma langue pendant que ma main droite empoigne son manche que je bécote en le couvrant de doux baisers. Je remonte le long de cette hampe sans fin. Il sétend sur le lit, son sexe a enfin atteint la pleine érection.
Il est fier du spectacle quil donne à sa surette. Je suis toujours impressionnée de la taille de son organe, il faut dire quon le serait à moins, sa verge est droite comme un I, avec un gland bien gonflé prêt à l'action. Les dimensions colossales de sa poutre pour un garçon dun mètre 65 en rebuteraient plus dune. Sa longueur qui dépasse le quart de mètre et la circonférence de 18 centimètres vous font imaginer l'effet quune telle tête chercheuse a dans un vagin.
Je ne résiste plus à l'envie de la prendre en bouche et l'amener le plus loin possible au fond de ma gorge. Quand je dépose mes lèvres sur le bout de son pénis, il grogne de plaisir et lorsque son membre disparaît lentement dans ma bouche, je lentends murmurer :
- Aaaah Léna ! Cest toi la meilleure !
Je dois mettre une main sur son manche quand son gland essaie de franchir mon pharynx. Je mactive comme une professionnelle et il grogne de plus en plus fort, donnant de légers coups de reins. Jabdique avant de mourir étouffée sous des haut-le-cur.
Je suis si enivrée par sa queue que je ne me rends pas compte tout de suite dun changement dans lattitude de Claude. Jabandonne avec regret ma grosse carotte et me redresse quand jentends :
-Continue ma fille ! Laisse-nous admirer le spectacle !
Je méjecte du lit comme mordue par un serpent. Mon beau-père et ma mère sont dans la chambre en train de jouer les voyeurs. Il a un caméscope et filme la scène.
-Mais
Que
Maman
Ce nest pas ce que vous croyez !
Mais le spectacle que nous donnons, moi la petite culotte retroussée et mon demi-frère avec la barre dacier tranquillement posée sur son ventre ne laissent aucune illusion à mes parents.
-Tu as bon goût ma fille, rétorque ma mère, il faut dire quil est rare de tomber sur un tel pal !
-Mais maman ! Quest-ce que tu racontes !
- Tranquillise-toi ma fille. Claude nous a déjà tout avoué ! (Lire le mâle et un couple très spécial), ce nest pas bien davoir dévergondé Claude mais ce qui est fait est fait. Tu ne le sais pas encore et même si ce que je vais te raconter te paraîtra affreux de notre part, ton beau-père et moi nous draguons sur internet et nous sommes tombés sur un garçon recommandé par des amis. Tu te doutes que nous ne savions pas quil sagissait de Claude mais quand nous nous en sommes aperçus, il était trop tard. Nous nous sommes dit quil fallait crever labcès et tout se dire sinon notre vie de famille aurait été compliquée. On se doutait de ce qui se déroulait dans cette chambre et on cest demandé ; Pourquoi-pas une partie à quatre ?
Jai beau ne pas être une sainte-nitouche, la pilule est dure à avaler. Si jai bien compris, ma mère et son Jules ont dragué mon demi-frère sur internet. Claude a du sen rendre compte mais a laissé faire les choses, je ne sais pas comment, et a baisé ma mère avant quelle ne s'en rende compte
Et ma fois, ça na pas lair de la gêner plus que ça
Je regarde Claude, il a un petit sourire sur les lèvres et toujours le sabre au clair.
-Je peux me joindre à toi ? Il y en a bien pour deux !
Je ne sais que répondre mais sa question nétait que rhétorique car elle sinstalle de lautre coté du lit pour saisir à pleines mains le chibre de Claude. Il se laisse faire un moment avant de suggérer :
-Vous ne seriez-as plus à laise sans vos habits ?
Nous nous regardons entre femmes un court instant et sur un signe invisible, cest celle qui sera le plus vite complètement nue pour sapproprier en premier lépée tendue.
A tout de rôle, nous nous occupons de la virilité de Claude. Pendant que lune en goûte le museau, lautre gobe les deux ufs prometteurs de laitance, nos mains se bousculent sur la hampe magnifiquement ferme.
Il est résistant le bougre, nous nous escrimons depuis de longues minutes.
Claude ne reste pas inactif et cest arrangé pour me lécher le clitoris pendant que son engin va et vient dans la bouche de maman à un rythme effréné. Il introduit sa langue entre mes grandes lèvres pour un léchage en règle, puis demande du renfort à un doigt agile pour explorer un peu plus loin.
Son doigt entre et ressort de ma grotte pendant qu'il suce mon clitoris. Nous devons faire un drôle de tableau, une mère qui tète la verge de son fils pendant que lui, tel un nourrisson fait de même sur le petit bouton de sa sur.
Toutes sortes d'idées tourbillonnent dans ma tête. Je me sens complètement dépassée. Les quelques chaînes de moralité qui me restaient viennent de se rompre à tout jamais. Je suis dorénavant prête à commettre les actes sexuels que la morale réprouve.
Soudain maman interrompt son ouvrage et demande à Claude :
-Claude, lautre jour, ça a été assez rapide. Mais ton père adore lui aussi sucer des queues. Lautoriserais-tu à soccuper de la tienne ?
Décidément, nous navions pas encore atteint le fond de la dépravation ! Claude ne se pose plus de questions et opine finalement du chef.
A sa vue, je me repose à nouveau la question, comment Claude peut avoir une queue deux fois plus grande que celle de Pierre ? Il y a anguille sous roche ou peut-être bien pire
Claude cest relevé, le dos appuyé contre le mur, les jambes écartées, son sexe monumental se dresse vers le plafond alors que ses couilles pendent bas.
Papa sapproche et se met à genoux devant lui, se saisit du bélier de Claude, même sa main dhomme ne peut contenir cet épi formidable, son pouce touche à peine le majeur autour de la queue de son fils. Il leffleure de ses doigts, de la langue. Il se recule un peu pour la regarder en détail :
- Tu as une belle queue, fière et trapue, avec un énorme gland, je ne sais pas de qui tu tiens ça. Jai envie de ton engin !
Il glisse une de ses mains en dessous du mandrin pour empaumer les couilles lourdes et prometteuses. Il les pétrit dans sa main.
Je nai encore jamais assisté à une fellation donnée à un homme par un autre homme, cest beau et encore plus quand le pénitent vénère comme une offrande le don qu'on lui donne. Pierre ouvre la bouche et prend entre ses lèvres le gland turgescent de Claude, le lèche, le titille avant de constater :
- Tes couilles sont bien trop pleines, Il va falloir que je te les vide !
À suivre
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