Le Mâle Dominant Et Toute Sa Famille. 2/4
Le Mâle dominant et toute sa famille. 2/4
- Tu as une belle queue, fière et trapue, avec un énorme gland, je ne sais pas de qui tu tiens ça. Jai envie de ton engin !
Il glisse une de ses mains en dessous du mandrin pour empaumer les couilles lourdes et prometteuses. Il les pétrit dans sa main.
Je nai encore jamais assisté à une fellation donnée à un homme par un autre homme, cest beau et encore plus quand le pénitent vénère comme une offrande le don que lui donne son neveu. Pierre ouvre la bouche et prend entre ses lèvres le gland turgescent de mon cousin, le lèche, le titille avant de constater :
- Tes couilles sont bien trop pleines, Il va falloir que je te les vide !
Suite :
Il commence à prendre lengin dans sa bouche, à aller et venir autour de ce gland et de cette hampe que maman et moi connaissons si bien. Sa langue virevolte autour de la queue. Pierre tente de lengloutir entièrement, ne laissant que quelques centimètres libres comme surpris de ne pas pouvoir y arriver mais en même temps flatté de ne pas pouvoir.
Il entreprend alors, comme fasciné par la bite chaude une fellation digne dune prostituée jusquà ce que la lance de Claude durcisse et grossisse plus si cétait humainement possible tout en triturant inlassablement les couilles dures sans que sa bouche ne cesse son travail.
Claude abdique enfin et lance dans un râle :
- Arrête Pierre ! Je ny tiens plus ! Je vais partir
.
¬- Laisse-toi faire! Vide-toi dans ma bouche ! Lui rétorque Pierre, abandonnant quelques secondes la teub. Je veux connaître le goût de ton suc, que tu te vides sur ma langue !
Claude, comme dans un état second, met ses mains sur la nuque de Pierre et lattire à lui, le visage collé sur son bas-ventre.
Mon beau-père ne peut qu'avaler précipitamment les geysers impétueux de son neveu, le sperme épais et gluant, jaillissant par saccades très rapprochées du méat entrouvert, lui frappant violemment la glotte en un flot abondant avant de sécouler dans sa gorge à chaque déglutissement, respirant difficilement par le nez.
La source est tarie et le membre sapaise en perdant un peu de sa rigidité avant que Claude ne relâche la pression sur le crâne de Pierre qui s'empresse de recracher la verge à peine dégonflée pour finir d'avaler les derniers reliquats de sperme qui lui obstruent encore les bronches :
-Putain! Cétait encore plus copieux que lautre jour ! S'exclame-t-il
Faut être costaud pour tout avaler mais il était hors de question que je perde une seule goutte de ta liqueur !
Mon cousin tourne la tête vers maman et lui ordonne :
- A ton tour Audrey ! Viens sucer ton neveu préféré !
Elle sagenouille face à lui, prenant la place de son mari et frotte la bite contre sa bouche quelle ouvre le plus grand possible et gobe le gland légèrement fripé. Elle tète le cèpe flétrit, en lèche le pourtour, sattardant sur le frein. Le miracle recommence et tel un champignon poussant à vue dil, le monstre de chair prend ses aises et savance lentement dans la cavité buccale qui se déforme devant lintrus. Maman suce difficilement le colossal engin de son neveu qui lui remplit entièrement la bouche, en déformant les joues.
Claude, stoïque, geint de bonheur, maman accélère son pompage, continuant à le téter encore un bon moment mais narrive pas à le faire jouir. Elle se redresse et lembrasse à pleine bouche, mélangeant leurs salives.
-Oh Audrey ! Je taime! Comme tu es belle !
Il lenlace, les langues se cherchent, se nouent, elle fond entre les bras de Claude.
Il la repousse et embrasse ses seins, en lèche les bouts qui commencent à durcir puis les gobe à tour de rôle. Les mamelons de maman se dressent au maximum.
Il sagenouille entre ses cuisses, pose sa bouche sur la chatte offerte et pénètre de la langue lantre assombri. Ses doigts décalottent le bouton damour pour que ses lèvres laspirent, maman se cabre en grognant sous lassaut. La langue râpeuse est terriblement efficace, le clito double de volume, elle halète, encourageant Claude qui multiplie les succions.
-Ooouuuiii ! Je viens mon chéri ! Oh putain! Oh putain!
Elle jouit comme jamais. Maman pousse un petit cri, noyant presque aussitôt de sa cyprine la bouche de Claude qui lape avec application les humeurs liquides, avalant la cyprine. Il retire enfin sa tête dentre les cuisses rebondies et avoue :
-Tes bonne Audrey, aussi bonne que ta fille !
Mais elle ne lécoute pas ne pensant quà elle.
-Prends-moi mon amour ! Je veux ta grosse queue !
La bite de Claude lui fait mal tellement elle est tendue et gonflée mais il va pouvoir de nouveau la noyer dans la chatte de ma mère. Cette chatte qui ne lui est plus interdite, la plus belle des chattes pour lui. Une grotte profonde et luxuriante mais encore trop étroite pour son nud surdimensionné.
Maman prend le pal entre ses mains pour le guider vers son vagin. La caresse de ses muqueuses est encore meilleure pour Claude que les doigts les plus habiles. Cette bouche avide aspire et malaxe la teub qui manuvre en cadence dans son intimité, elle pousse même le vice à passer une jambe contre ses reins, poussant son pubis pour quil la prenne le plus loin possible.
- Claude! Putain que t'es gros!
Maman remue dans tous les sens et Claude a du mérite pour garder sa queue dans la chatte. Pierre est dans tous ses états et ne trouve rien de mieux que de me présenter son sexe. Jhésite un peu mais vu ce qui se passe sous mes yeux, je serais bien bête de faire la pimbêche.
Je remarque encore mieux la différence de taille entre Pierre et Claude et le contraste est saisissant. Pierre est assez grand et sa verge nest pas en proportion, un peu molle, plus près de la merguez comparée à la véritable saucisse de Morteau du « cousin ». Mais je mactive avec le sens du devoir et avec mon expérience arrive à le faire râler de plaisir.
Claude na rien manqué de notre aparté, il délaisse maman qui le traite de tous les noms et vient prêter main-forte à Pierre, enfin
Vous voyez ce que je veux dire.
Jai maintenant pour moi toute seule deux hampes qui se présentent à ma bouche essayant toutes les deux de rentrer en même temps. Je fais ce que je peux mais les deux glands me déforment les lèvres. Pierre ny tient plus, il repousse Claude et envoie une bonne dose de sperme au fond de mon gosier.
Je le repousse, sa semence sécoule dans ma gorge, je déglutis, le goût de sa liqueur est assez âcre mais je men délecte.
Claude est immobile, à coté de nous, sa bite est toujours dressée. Soudain un ordre fuse :
- À quatre pattes les filles !
À suivre
..
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!