Le Mâle Dominant Et Toute Sa Famille. 3/4
Le Mâle dominant et toute sa famille. 3/4
Claude est immobile, à coté de nous, sa bite est toujours dressée. Soudain un ordre fuse :
-A quatre pattes les filles !
Suite :
Maman et moi obtempérons à sa demande, ça fait une impression bizarre quand même dêtre à coté de sa mère en attendant toutes les deux avec impatience de se faire sauter lune par son neveu, lautre par son cousin. Il se présente devant nous le sabre au clair et nous ordonne :
-Espèces de salopes ! Il ny en a pas une pour rattr lautre
Faites moi jouir uniquement avec vos bouches !
Nous nous battons presque pour saisir entre nos lèvres cet énorme sucre dorge. Maman est plus gourmande que moi pour sucer la friandise que lui offre Claude. Le tableau quils moffrent nest pas donné à tout le monde de le voir. Le contraste est saisissant entre ma mère, une grande femme bien en chair avec des formes à damner un saint et Claude, assez chétif entre les bras de ma tante.
Jessaie de passer entre ses jambes pour moccuper de ses boules bien pendantes pendant que maman sescrime sur sa dague de chair. Nous échangeons régulièrement de place et je retrouve toujours avec plaisir la sensation extraordinaire des premiers instants où jai découverts lincroyable fermeté de ce pal hors normes.
Il ricane et nous lance :
Vous aimez ma grosse queue, hein salopes !
Je ne lécoute même pas tellement je me donne à fond pour essayer de lamener à la jouissance, les joues déformées par son soc, mon gosier meurtri quand son gland glisse trop loin et mamène aux portes de lécurement.
Pierre ne manque rien, filmant en gros plan.
Claude met ses mains derrière ma nuque et commence un va et vient denfer dans ma bouche, bien au delà de ce quelle peut absorber, jai les yeux révulsés et ma gorge va éclater sous les coups de reins qui redoublent.
Il se retire de mon piège buccal pour reprendre un peu le contrôle mais maman ne peut pas résister et s'empresse d'aspirer l'extrémité cramoisie de la verge frémissante attendant l'instant fatidique de la déferlante spermatique qui ne va pas tarder.
Avec une avidité gourmande, elle suce l'énorme pal de chair dont lextrémité vient frapper sa glotte, la forçant à déglutir. Elle referme ses doigts sur les couilles velues et gonflées de Claude et les presse délicatement pour lamener à lextase finale.
Malgré les efforts désespérés qu'il a fourni pour reculer linstant de l'éjaculation sur le point de jaillir, Claude ne peut plus résister à la science de ma mère. Il agrippe sa chevelure pour retirer cette bouche trop experte de sa lance et simmobilise.
-Attention les filles, je vais juter !
Il se saisit de sa teub et se masturbe violement, nous sommes toutes les deux comme deux jeunes s émerveillées devant le Père Noël à attendre nos cadeaux, la bouche ouverte.
Le souffle de Claude saccélère, deux gros jets de semence jaillissent de sa verge, senvolent et arrosent les cheveux et le dos de maman dans un grognement digne dun fauve. Il se tourne vers moi et deux autres jets tout aussi puissants mais moins bien fournis inondent mon visage.
Je me précipite pour gober son sexe et avaler ce quil offre encore généreusement en serrant létreinte de mes lèvres sur sa verge. Je nettoie ensuite soigneusement avec ma langue son monstre qui ne dégonfle pas. Je le caresse encore un peu et me relève avec le sourire aux lèvres, assez fière de moi.
- Alors maman, Il est top hein ?
- Oui, il ma fait un bien de malade, tu es doué mon neveu mais javoue que tu mimpressionnes de plus en plus, jai jamais connu à part toi un engin comme ça, ça ne doit pas être facile à encaisser par toutes ses conquêtes !
Humble, Claude lui rétorque :
-Jai essuyé quelques refus mais toutes celles qui ont persévéré ne sen sont pas plaintes !
-Jespère quon a réussi à calmer tes ardeurs, ironise maman en se relevant elle aussi en palpant doucement le membre qui a repris des dimensions moins pharaoniques.
Claude sempresse de lui répondre sentant des fourmillements dans sa verge que maman ne veut pas lâcher et triture inconsciemment :
-Tu rêves Audrey, il ne faudra quun instant et tu pourras encore lutiliser pour tes désirs les plus fous !
Avec un plaisir pervers et fier de montrer sa virilité de jeune coq, Claude empoigne la main de maman sur son membre et entreprend de se branler lentement sous son regard admiratif.
Elle fixe avec émotion le bas-ventre de Claude qui fait aller et venir sa main emprisonnée le long du membre, décalottant largement son gland qui gonfle à nouveau comme une baudruche.
- Tu as bien failli m avec ton manche de pioche et je nen reviens pas de la quantité incroyable de sperme que tu craches. Pire que Peter NORTH. Ce nest pas un sexe que tu as, cest une véritable lance à incendie que ta as entre les jambes !
Stimulé par les encouragements verbaux et manuels de maman, Claude avec un regard rempli de tendresse retrouve en un rien de temps toute sa force virile.
-Tu es magnifique mon étalon!
Son regard ne peut plus se détacher de la colonne fièrement dressé au bas du ventre de Claude, stupéfaite de la rapidité avec laquelle il a rebandé après ses éjaculations récentes.
-Tu bandes comme un bouc ! On ne dirait pas que toute la famille ta déjà vidé les couilles deux fois. Tu as encore des réserves ?
-Ne tinquiètes pas Audrey, je fournirai les prochaines commandes ! Allez les filles, à quatre pattes et au trop !
Nous nous empressons de lui obéir, il commence par moi et place son engin contre les lèvres humides de mon temple et tire sur mes hanches. Son mandrin entre en terre connue et avance lentement dans mon vagin. Malgré cela, jai toujours limpression que son monstre pénètre irrémédiablement dans ma gaine de chair pour la déchirer. Son braquemard dilate mon conduit et narrête sa progression que quand il bute contre le col de mon utérus, il donne plusieurs coups de boutoir pour me faire crier.
-Vas-y doucement cousin, putain ! Tu veux méclater le conduit ou quoi? Je lui hurle en grimaçant.
Mais il veut prouver quil est le mâle dominant et me défonce à mort en violents coups de reins qui me font hurler de douleur avant quil ne réalise et devienne un peu plus civilisé.
Peu à peu la douleur sestompe et devient enfin du plaisir et japprécie à sa juste valeur le pieu qui me fait gémir.
Sa poutre entre et ressort de ma chatte à vive allure comme un métronome, je couine et râle comme une truie quon égorge à chaque enfoncement de son gourdin
-Arrrggghhh
Aaaahhh
Ooouuuiii ! Je la sens bien là, oui !!!
Je ronronne comme une chatte, suffoquant de bonheur et je sens la pression monter en moi, je me raidis et râle sous ses assauts et hurle ma jouissance quand je sens mes muscles se contracter autour de sa bite et que je me vide comme une fontaine.
-Oui oui oooouuuuiiii ! Aaaaaahhhh ! Surtout ne t'arrête pas! Continue de me baiser! Je me viiiiide ! Saleté de gosse, ta cousine jouit sur ta grosse bite ! Ohhh
Je suis si sensible que je ne peux plus supporter ton pieu!
A suivre
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