Le Match

Cette histoire s’est passée il y a quelques années. J’étais VRP, et je prospectais les hotels, restaurants, collectivités, pour placer des produits alimentaires. Basé dans le sud-ouest, une de mes tournées me faisait visiter l’Aude et L’héraut, deux fois par semaine. J’avais noué des liens avec certains de mes clients, chez qui je déjeunais à l’occasion. Suite à une discussion sur le sport, nous avions décidé avec Gérard, et sa compagne Frédérique, d’aller faire un tennis. J’avais organisé ma tournée pour terminer par leur Hôtel, en milieu d’après-midi, car ensuite, j’avais de la route pour rentrer sur Montpellier.
J’arrive donc, vers 15h. La salle de restaurant est vide, et Gérard est attablé , a faire ses comptes.
-Ah, te voilà, me lance t’il en me voyant. Viens, installe toi, j’ai préparé ma commande.
Je m’approche, et après l’avoir salué, m’installe sur la chaise qu’il m’a désignée, face à lui.

_ « Tu as de l’onglet ? Il m’en faudrait plusieurs pièces , et aussi de l’entrecôte. »
Un quart d’heure plus tard, sa commande est validée.
-« Tu as pris ton matériel ? » demande Gérard
-« J’ai mon sac dans la voiture, Il faut juste que je me change. »
-« Pas de soucis, il y a des vestiaires. J’appelle Fred et on arrive. »
Il hèle sa copine depuis le bas de l’escalier. Elle desccend rapidement et vient me claquer la bise. Frédérique est une fille longiligne, rousse, avec des cheveux qui cascadent sur ses épaules, encadrant un minois triangulaire, avec un petit nez retroussé, des lèvres fines, et une paire d’yeux d’un vert lumineux. Elle s’est habillée pour la circonstance, enfin presque.
Tennis en toile blanche, short en jean ultra court, qui moule son cul en dévoilant le bas des fesses, et un débardeur ocre, bien ajusté, qui laisse deviner les pointes dressées de ses seins, visiblement libres sous le tissu.
Nous échangeons quelques mots, pendant qu’elle discipline sa chevelure en queue de cheval, dégageant son front et ses attaches délicates.

Gérard est bientôt de retour, vétu d’un short et T-shirt, tennis en cuir et bandana. C’est un grand type de 1,90m, blond, aux yeux bleus, qui a l’air assez sportif, mais plus rugbyman.
Tous deux montent dans leur voiture, après avoir fermé leur établissement, et je les suis dans mon véhicule, strict deux places. Après quelques kilomêtres nous arrivons au stade, et
Nous échangeons des balles pendant deux bonnes heures, nous dépensant sans compter. Mes deux partenaires ont des bases, mais ne peuvent pas grand-chose contre moi, qui joue toute l’année dans des tournois. Je m’efforce de les faire jouer le plus possible, en me mettant, tantôt avec l’un, tantôt avec l’autre. Le temps passe vite, mais il fait chaud et nous sommes en sueur quand nous cessons de jouer. Fourbus, mais heureux de ce bon moment , nous échangeons quelques plaisanteries, en rejoignant les vestiaires. Gerad et Fred s’asseoient pour récupérer et s’hydrater. J’en profite pour me deshabiller dans le vestiaire des hommes et je me précipite dans les douches communes. Je profite longuement du jet d’eau tiède pour me délasser, avant de me savonner vigoureusement. Je viens de rincer mon shampoing quand je sens une présence.
A quelques mêtres de moi, dans l’encadrement de la porte, Frédérique me dévisage, encore transpirante, le débardeur collé à ses petits seins qui pointent.
-« Je suis venue pour te dire qu’on se doucherait à l’Hôtel. Tu nous rejoins là bas ? »
Je hoche la tête en signe d’acquièscement, mais elle reste là, sans bouger, et fixe une partie de mon individu, qui est entrain de se développer au bas de mon ventre. Inutile de se cacher. Elle sourit, et s’en va.
Un peu plus tard, nous sommes attablés sur la terrasse de l’hôtel, dégustant une boisson fraiche et commentant nos qualités et défauts respectifs sur le court, dans la bonne humeur.
Rapidement Gérard qui a remis sa tenue de cuisinier, nous abandonne pour aller faire sa mise en place du soir. Après quelques minutes je décide de lever le camp.

-« Tu ne restes pas un peu ? » demande Frédérique
« J’ai encore de la route. »
« Tu ne sais pas ce que tu perds » murmure t’elle en faisant remonter sa robe à fleurs.
Petit à petit, elle découvre ses cuisses galbées. Le tissu remonte encore, et me dévoile une courte toison, qui peine à recouvrir son sexe entrouvert. Les deux mains écartent, le tissu. Elle est maintenant nue jusqu’à la taille.
- « Il est juste que je me dévoile autant que toi. » dit elle avec un sourire, et elle défait, un par un les boutons de sa robe, puis en repousse les pans pour m’apparaître totalement nue.
- « Tu es très belle » dis-je « mais tu te doutes que tu ne peux t’offrir ainsi sans créer de réaction. »
Elle jette un œil sur la bosse qui déforme mon pantalon
-« Si ce que j’ai vu tient ses promesses, je tiendrais les miennes » et elle ponctue d’un clin d’œil coquin. « la semaine prochaine, viens plutôt le matin, vers 10h. »
Une semaine plus tard, j’arrive au restaurant à 10h. J’ai dû modifier ma tournée, et ça n’a pas été si simple. Quand j’entre dans la salle, je tombe sur Frédérique qui achève de dresser les tables. Je vais pour lui faire la bise, mais nous dérapons malencontreusement et je me retrouve sur ses lêvres. Sa bouche s’entrouvre et une langue pointue s’insinue dans ma bouche, tandis que son corps vient se plaquer contre moi. Ses mains parcourent mon dos, et les miennes viennent caresser sa peau, entre la chemise nouée sur son nombril et l’inévitable short en jean. Nous nous séparons un instant et je défais le nœud qui maintient sa chemise qui s’ouvre sur deux petits seins, bronzés, aux tétons dressés que je saisis aussitôt. Elle gémit et se tortille. Je baisse la tête pour capter un de ces petits bourgeons entre mes lèvres gourmandes. Elle appuie sur ma nuque pour m’empêcher de partir, et je cajole les deux globes menus mais fermes. Ses mains ne sont pas inactives et elle en a glissé une dans mon pantalon, s’emparant de ma virilité, déjà flamboyante.

- « Hmmm, tu vas bien me baiser, mais pas ici, il peut revenir, et j’ai encore deux chambres à faire. »
Elle m’entraine derrière elle et nous montons un étage. Nous nous engouffrons dans une chambre ouverte. Le lit est défait et la porte fenêtre, ouverte sur un jardin. Frédérique se jette sur moi et m’enlève rapidement chemise, chaussures chaussettes, pantalon, et caleçon. Une fois nu, elle s’agenouille et me prend en bouche pour une furieuse fellation. Elle se cramponne à mes fesses pour faire entrer ma bite au plus profond de sa gorge, et se sert de sa langue pour agacer mes terminaisons nerveuses. Son va et vient s’interromp et elle vient lécher ma hampe, et descend pour gober mes couilles l’une après l’autre, des doigts chatouillent mon plancher pelvien et un index indiscret titille mon anus, tandis qu’elle me pompe de plus belle. Je ne peux me retenir plus longtemps et j’envoie plusieurs jets de foutre qu’elle avale difficilement. Ça lui déborde aux commissures. Elle ne s’arrète pas pour autant, et maintient mon érection qui a tendance à flancher. Elle me serre entre ses lèvres et suçote mon gland, crache dessus et revient le pomper. Je sens monchibre qui reprend consistance. Elle le sent aussi, et sans cesser son action elle me fait un clin d’œil.
Je la relève et lui enlève son short, qui lui colle comme une deuxième peau, Découvrant sa chatte libre de tout dessous. J’y plante mes doigts et la trouve dégoulinante de plaisir. Elle se retourne et vas se mettre à quatre pattes sur le lit. Je n’ai qu’à m’approcher pour être pile à la bonne hauteur. Mon sexe bandé rentre sans effort dans sa grotte parfaitement lubrifiée. C’est à la fois doux, humide, et incroyablement actif. Je sens ses muscles internes se contracter autour de mon membre. A chaque balancement de mon bassin, elle se contracte, arrivant presque à m’expulser, et s’ouvre ensuite pour mieux m’accueillir. Pour être sur de ne pas la perdre, je me cramponne à ses hanches étroites et je viens la bourriner de plus en plus fort, Elle se met très vite à gémir
-Ah, oui ! plus fort ! oui, continue, hmmm ! encore,
Ses hanches viennent au devant de mon vit, à chaque élan .
Je profite de ma position pour venir poser un doigt et caresser son anus, déjà légèrement ouvert, avant de l’y enfoncer.
Nous avons trouvé notre rythme et comme j’ai déjà joui, je suis plus endurant.
l’incursion de mon deuxième doigt provoque son orgasme. La tête levée vers le ciel elle geint comme une louve, figeant ses mouvements pour un instant. Puis sentant que je suis toujours bien dur en elle, ses hanches amplifient leur geste et en accélèrent le tempo. Je suis obligé de sortir mes doigts de son cul , car maintenant ses fesses dures veinnent taper de plus en plus vite sur mon bas ventre. Elle glisse une main entre ses cuisses et saisit mes couilles qu’elle presse, tout en clamant ses encouragements.
- Allez, plus vite, ah oui, c’est bon, encore, encore , encore ! ah baise encore ah ouiiiii !
Dans une clameur bestiale nous jouissons tous les deux , et je m’affale sur son dos, avant de rouler sur le côté.
Tous deux nus sur le lit, nous contemplons le plafond.
« j’en ai eu envie la première fois que tu es venu nous voir » confie t’elle
« mais ça fait bientôt deux ans que je viens. »
« Ben oui, j’ai longtemps hésité. Tu sais Gérard, je suis bien avec lui. Je ne l’ai jamais trompé. »
« Pourquoi moi ? »
« Je ne peux l’expliquer. Désolé de te le dire, mais tu n’es pas plus beau que Gérard, pas plus costaud, pas moins bien non plus, mais pas mieux. C’était juste une évidence. D’ailleurs , ça se vérifie. »
« Ah ? »
« Quelle baise quand même ! il y a longtemps que je n’ai pas vécu ça. »
« Pareil pour moi. »
« Tu es marié ? »
« Oui, depuis sept ans. »
« Alors tu peux comprendre. Gérard, c’est l’amour de ma vie, mais le temps fait qu’on se connaît trop, ou qu’on se lasse. Ce n’est plus pareil. »
« Je connais ça aussi. »
A ce moment, une voix résonne dans la cage d’escalier
-« Fred, tu es là-haut, ma puce ! »
Nous sursautons tous les deux.
-« Je suis là, minou, je termine les chambres ! » s’écrie t’elle en se contorsionnant pour enfiler son short en jean.
-« Tu as bientôt fini ? , je dois bosser en cuisine et il faut quelqu’un en salle ! »
- « J’arrive tout de suite » crie-t’elle, en enfilant sa chemise
Elle se penche sur moi et m’embrasse, me laissant, à peine effleurer ses tétons pointus, avant de nouer la chemise sur son nombril.
- « Dans le jardin, il y a une porte qui donne sur la ruelle derrière. Tu peux sortir par là » me murmure t’elle, alors que j’essaie de me vétir sans paniquer.
- « N’oublies pas de venir prendre la commande » me lance t’elle avant de disparaître dans le couloir.

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