Le Dressage


Cela faisait maintenant plusieurs semaines que suite à la partie de poker, je partageais mes périodes de déjeuner avec Marielle à raison de plusieurs fois par semaine. Nous nous retrouvions dans son petit studio au centre-ville vers 12h30 et nous abandonnions l’une à l’autre. Elle avait hérité de ses parents, et l’utilisait régulièrement avec ses nombreux amants. Pour ma part et après des années de libertinage, j’avais finalement une relation adultère sérieuse en plus avec une femme. Richard, n’avait toujours pas digéré la partie de poker. Non pas de devoir regarder sa femme se faire baiser par un autre homme, ce qui habituellement l’excité, mais plutôt dans un élan d’orgueil masculin, d’avoir perdu dans un face-à-face viril avec un rival qui avait tout fait pour le provoquer. Nos relations étaient donc un peu tendues et donc j’en profitais pour m’abandonner entièrement dans les bras de Marielle, avec qui je faisais l’amour comme une folle. Elle me faisait découvrir un univers, d’érotisme et de fantasme et une sexualité que j’ignorais jusque l’a. Elle possédait mon corps, mais aussi mon âme, et m’avait rendue totalement addicte. J’acceptais tous ses jeux ou fantasmes les plus pervers. Elle ne scénarisait pas que nos rencontres, mais aussi la préparation, me demandant d’aller acheter un vibro dans tel ou tel magasin, ou des dessous dans un autre. De me prendre en photo dans des cabines d’essayage dans des positions douteuses…
Ce jour-là, nous nous retrouvions dans l’appartement, avant que je puisse exprimer quoi que ce soit, elle m’avait attrapé m’embrassant avec fougue…

- Tu es en retard ma petite boniche… Viens vite sur le lit…
- Oui, je n’arrivais pas à me garer, donc j’ai dû marcher un peu… D’ailleurs, il me semble que j’ai croisé Christophe qui passait devant l’immeuble…
- Tu es sûr que c’était lui, demanda Marielle, tout en continuant à m’embrasser et me caresser…
- Oui, absolument, je crois que celui-là, je ne suis pas près de l’oublier…
- Soyons discrète en repartant alors… Tout en me déshabillant, enlevant ma robe me gardant juste en dessous
- Tu n’as toujours pas récupéré ta culotte ?
- Chut, tais-toi ma belle, ne t’occupe pas de tout cela vient sur moi…
Nous étions toutes les deux sur e lit, elle en dessous et moi au-dessus, chacune la tête entre les cuisses de l’autre… Elle enfonçant sa langue en moi alors je faisais de même.

Nous nous prodiguions un cunnilingus simultané, nous amenant de multiples orgasmes. Nous ne prêtions pas attention à la porte qui s’ouvrait, et Christophe qui rentrait discrètement dans le studio. Il s’assit au bord du lit à côté du visage de Marielle, qui en le voyant cria…

- Non mais qu’est ce que tu fais ici, et comment es-tu rentré ???
- Salut les filles quelle belle surprise de voir toutes les deux ici, je dois t’avouer que j’avais fait un double des clés…
- Sorts de chez moi tout de suite, je ne t’ai pas invité…
J’essayais de me relever, mais d’une main-forte, il m’appuyait sur le dos me maintenant sur ma maîtresse… « Toi la pouliche, ne bouge pas d’ici et continue à gouiner ta copine… »

- Et bien se serait avec plaisir, mais comme tu ne réponds ni à mes SMS ni à mes appels, j’ai pensé qu’il serait plus simple de régler nos dettes en direct, qu’en penses-tu ? Ça fait maintenant deux mois que j’attends que tu viennes chercher ta culotte, pour payer les dettes de jeu de ton mec…
- J’allais le faire, Christophe, je n’ai juste pas trouvé le temps
- En tout cas, tu trouves du temps pour te faire lécher le minou par ta belle bourgeoise… Faut dire qu’elle a toujours un aussi beau gros cul… Dit-il, avec une vue imprenable sur mes fesses en mon entre cuisses, terrain de jeu de la langue de Marielle…

- Elle t’a toujours bien plu ma copine, avoue-le ?
- Oui, j’avoue qu’elle me plaît bien à ta boniche… Je vais peut-être m’occuper d’elle en attendant… Dit-il en passant sa grosse main calleuse sur mes fesses… Continue de la sucer Patricia, mets du cœur à l’ouvrage…
- Je t‘interdis de la toucher, elle est à moi, si tu la veux, va falloir être plus aimable…
- Qu’est-ce que tu proposes, ma belle ?
- Sa culotte, contre la mienne, je te la donne pour 2 heures au club, et en bonus, c’est moi qui te la prépare…
- Marielle !!!! Comment tu peux, MMuuummmmmummu », Christophe m’avait replongé mon visage entre les cuisses de Marielle…
- - Silence, la pouliche, active-toi à la tâche… Hummmm, c’est tentant, c’est vraiment très tentant Marielle…
- Comme je connais bien tes goûts, je t’assure qu’elle sera parfaite pour jeudi, avec tout ce que tu aimes…
- OK, mais va falloir quand même que tu me payes les intérêts de retard, alors, j’accepte, mais tu vas me sucer pendant qu’elle te gouine et après, on sera quitte…
Sans une parole, il sortit son sexe, je pouvais sentir entre mes cuisses la bouche de Marielle, qu’il alterner une pipe pour Christophe et un cunni pour moi.
Elle me tenait mes fesses à pleines mains et commentait...

- Regarde comme elle aime cela ma catin, tu l’aimes son gros cul… Il va être tout à toi… Quant à toi Patricia, il faudra être bien sage, tu vas donner ton string à Christophe, et tu devras ramener mon tanga et ton string… T’as compris ma boniche…
- Huummmmmm, Hummmmmmmm,
je continuais à sucer la maîtresse, sentant sa langue en moi. De temps en temps, elle prenait le sexe de Christophe et frottait le gland contre mes fesses, à l’entrée de mon vagin et sur mon petit trou…

- Regarde son petit anus, comme il a l’air d’être affamé….
- Ohhhhh, t’es vraiment la reine des putes, ouvre la bouche, je tiens plus….
Il jouit dans la bouche de Marielle… Toute sa semence… Son liquide chaud… Elle me retourna, se dressa au-dessus de moi m’ouvrit la bouche et recracha le sperme de Christophe dans ma bouche…

- Pour que tu reconnaisses bien le goût… Maintenant Christophe, tu sors, je t’enverrai les instructions demain par mail, de préparation…
Il m’enleva mon string, le prit avec lui et sortit, « Maintenant, je vais m’occuper de toi ma belle… ». Marielle, me recoucha sur le ventre, s’allongea sur mon dos pour frotter son sexe sur moi. Elle continua pendant de longues minutes jusqu’à ce que j’atteigne un nouvel orgasme…

Le jour qui suivit, je me rendais chez Marielle, selon ses instructions pour une séance d’essayage. Grande cavalière, elle participait à beaucoup de concours et notamment de dressage dans lequel elle excellait. Elle avait donc un équipement complet, d’un plus grand goût, qu’elle m’avait préparé. Nos mensurations étant à peu près identiques, il ne devait pas y avoir de problème de taille. L’équipement de cavalière était composé d’un pantalon blanc, une chemise blanche avec cravate, une veste noire très cintré, une résille pour attacher les cheveux ainsi que des bottes en cuir noire et des gants noirs.

La chemise blanche cintrée et élastique avait une fermeture à l'avant avec 4 boutons, deux poches avant et une bande scintillante au niveau du col, le tout soutenu par une cravate de concours gaufré à nouer, classique en beau tissu piqué et gaufré.
La veste noire de concours manches longues avait une découpe cintrée au dos et une bordure de boutonnière et manchettes en tissu vichy assortie avec le chapeau de dressage en feutre noire rond qui était un accessoire des plus distingué pour sublimer la tenue. Le pantalon blanc était de qualité, avec des lignes épurées, sans aucune fioriture superflue. Cette culotte d'équitation très moulante était très extensible pour pouvoir accompagner les mouvements de mon corps sur la selle. Pour finir les bottes en cuir noir réalisées sur-mesure par des artisans italiens, étaient classiques et confortable. Le cuir de veau premier choix et la découpe ingénieuse permettait une totale flexion de l'articulation jusqu’aux genoux avec une longue fermeture arrière à zip mettant en valeur l'anatomie de mes jambes. La touche la finale de ce costume d’un grand chic était une résille pour les cheveux équipés d’un filet en résille et d’un double nœud en satin bleu décoré avec grande classe.

J’enfilais tout l’équipement et me regardais dans la glace de la chambre de Marielle. Le résultat, était époustouflant, et cela, malgré mes 50 ans passés et mes kilos en trop. Tout le costume était un appel au sexe, mettant en valeur de manière exagéré mes formes pulpeuses. Je pouvais voir mon amie me regardait avec gourmandise… Elle se positionna dans mon dos et me saisit par-derrière.

- Tu m’excites trop ma belle cavalière, j’ai trop envie de toi… Viens ici…
Elle me bascula sur son lit, baissa mon pantalon écarta mon string et plongea son visage entre mes jambes… J’eu droit à un cunnilingus appliqué de ma copine pendant de longues minutes, qui m’envoya vers un orgasme explosif… Une fois apaisé, je me rhabillais et rentrais chez moi avec mon équipement ainsi qu’une grande enveloppe que je devais remettre à Christophe le lendemain…
Je passais la soirée seule à la maison, Richard ayant un diner à l’extérieur, je me couchais un peu avant 23h me levant tôt le lendemain devant me préparer pour mon rendez-vous de 10H.


Le centre équestre propriété d’un aristocrate de la région et géré par Christophe, était situé à proximité de la ville, en bordure du canal et disposait de nombreuses installations : manèges couverts, deux carrières, des paddocks pour les chevaux et les poneys, une quarantaine de box intérieurs et extérieurs, un club house, une sellerie, des douches pour chevaux, et une forge. A l'extérieur, une grande maison abritait les bureaux, le club house ainsi que les logements de Christophe et des deux palefreniers. On trouvait également, une carrière de 2 500m² éclairée, une autre carrière plus petite, un cross en construction et plus de 10 hectares de prairies qui regroupaient les paddocks pour les chevaux et le pré des poneys. Un environnement idéal pour profiter de toutes les activités, par tous les temps. Les box se répartissaient pour une quinzaine dans une écurie intérieure et pour le reste à l’extérieur répartit de chaque côté d’une grande allée, appelait « La Rue »

Au bout de la Rue, se trouvait un immense tas de fumier de cheval destiné à enrichir les terres agricoles. Plusieurs tonnes de fumier venant de la litière usagée prélevée dans les écuries et composée de paille et de crottin étaient récupérées au club hippique et redistribué aux agriculteurs et les jardiniers amateurs, afin d’enrichir les sols.
Le centre équestre proposait un vaste choix de disciplines, aussi bien à cheval qu’à poney : saut, Cross, Randonnée et notamment le dressage.

À mon arrivée le matin, je garais ma voiture sur le parking vide, et me rendais complètement apprêté vers le bureau de Christophe qui devait m’attendre. Le club étant fermé tous les jeudis matin, les lieux étaient complètements déserts. Je rentrais dans la maison et dans le bureau où se trouvait Christophe entourait de ses deux palefreniers…

- Bonjour ma belle, je vois que tu es ponctuelle, et que Marielle t’a bien préparé… Tu es époustouflante en cavalière, je vois qu’elle a choisi le thème du dressage pour le costume…. Ça tombe très bien, ça va être très adaptée à notre matinée. Je ne te présente pas Alban que tu connais bien, son collègue est Lucien, mon palefrenier en chef, ancien jockey qui va s’occuper de toi ce matin…
J’étais debout au milieu du bureau entièrement en tenue avec mon feutre sur la tête. Les deux palefreniers tournaient autour de moi, chacun ayant une cravache dans la main, m’observant, me scrutant comme on scrute un animal ou une proie.

- Tu dois avoir une enveloppe pour moi, ouvre-la, et lis-nous le contenu.
Je m’exécutais et ouvris l’enveloppe de Marielle et lu à voix haute.
« Ma Chère Patricia, tout d’abord merci pour avoir pris ma place. Mon ami Christophe t’a organisé une séance spéciale. Comme ton costume l’indique il s’agit d’une séance de dressage. Il va falloir te plier aux consignes et être très obéissante. Tu es sa pouliche pour la matinée. Reviens-moi vite ma belle, et n’oublie pas mon Tanga. Ta Maîtresse. »

- Les règles sont simples, Patricia. Les culottes sont quelques parts dans le manège, tu as une heure pour me les rapporter. Pour pimenter ta recherche, tu seras poursuivie par mes deux acolytes. Si, ils t’attnt, tu subiras une séance e dressage de 10 minutes et sera ensuite relâchée. Si tu es de retour avec les deux culottes dans l’heure alors tu seras libérée de ta dette. Dans le cas contraire, ces messieurs auront le droit d’utiliser ton corps de pouliche avec les mains uniquement. Tu as droit à 2 minutes d’avance, donc je te conseille de courir très vite…
Je sortais rapidement du bureau, et courais vers le manège. Ne connaissant pas bien les lieux, je décidais de me cacher. Je traversais la rue avec les box de chaque côté et décidais de me cacher dans un le dernier box qui était ouvert. Je fermais discrètement la porte afin de ne pas attirer l’attention et me cachais dans le coin du box attendant qu’ils passent. Ils passèrent après quelques minutes, j’attendais qu’ils s’éloignent avant de sortir pour me faufiler et rechercher les 2 culottes. Discrètement, j’ouvrais la porte, et me sortais, marchant le long des box pour me diriger vers le manège quand un violent coup de cravache s’abattit sur mes fesses !!! Lucien s’était caché derrière les box… Il m’attrapa par le bras, et m’attira vers lui…

- Vient ici ma pouliche, pour ta première séance de dressage…
Il me passa autour du cou des brides de dressage en cuir avec caoutchouc à l'intérieur et bouclerie en laiton qu’il fixa solidement. Une fois attaché, il m’entraîna vers la sellerie me poussa vers l’intérieur et referma la porte. Tout autour de la pièce, on trouvait une multitude de selles et en son milieu des tréteaux en bois. Il s’agissait de Porte-Selles pour Tréteau procurant un maintien parfait pour selles amazones ou western. Il me poussa vers l’un deux avec une selle western et me demanda de grimper dessus. Une fois, dessus, il enroula la bride autour de la corne afin de me maintenir pencher en avant et d’absorber ma résistance. Il me plaça les pieds dans les étriers et me demanda de prendre la position, assise sur l'arrière de la selle, le buste reculé, et les jambes en avant. Il riait regardant le spectacle de cette bourgeoise en tenue de dressage super chic avec son feutre sur la tête, ridiculement assise sur une selle et un tréteau. Ne trouvant pas ma position correcte, il m’appliquait des coups sur ma croupe surélevée avec une cravache d'équitation noire d’une longueur de 80cm qui était recouverte de nylon tressé.

- Attends-je vais t’aider à trouver la bonne position la jument…
Il écarta ma veste, ouvrit mon chemisier laissant apparaitre mes gros seins juste protégés par mon soutien-gorge en dentelle blanche à balconnet, et entre lesquelles se balançait ma cravate. Il me palpa mes seins sous prétexte de me faire prendre la bonne position… avec sa main droite tout en continuant à m’appliquer un grand nombre de coup de cravache sur les fesses. Au bout de 10 minutes il me laissa enfin repartir.
Je sortais en courant refermant au passage ma chemise et ma veste, sentant les stigmates de la cravache sur mes fesses qui devaient être bien rouge. Je passais devant le tas de fumier quand j’aperçus tout en haut du tas une fourche plantée avec en son somment la culotte de Marielle. Le tas faisait 2 mètres de haut, et sentait trop fort le crottin de cheval mélangé à la paille putrifié depuis des jours. Sans perdre de temps je grimpais, essayant de ne pas me salir et d’attr la fourche. Une fois la fourche en main, je fis glisser le tanga, ayant enfin récupéré un trophée… Je redescendais prudemment du tas de fumier quand un bruit cinglant resonna derrière moi, et je sentis quelque chose sur ma botte. C’était Alban qui à l’aider d’un fouet s’était saisi de ma jambe droite. Il utilisait une chambrière de dressage dont la flotte en cuir de vachette dépassait les 2 mètres. Il tira dessus, me faisant tomber de tout mon long sur le tas de fumier et m’entrainant vers le sol. J’étais recouverte de fumier sur mes gants, ma veste et mon pantalon.
- Alors Madame Patricia, on est toute sale, venait avec moi on va nettoyer tout cela…
Il me remit mon feutre sur la tête comme pour accen encore plus mon humiliation, et m’entraina vers le hangar à écurie où se trouvait les douches. Je restais docile et silencieuse, fidèle aux instructions de Marielle. Une fois dans le hangar il m’attacha les mains avec sa chambrière fixant le tout à un anneau d’attache. Me reprenant le tanga le Marielle, il me le plaça dans la bouche afin de ma bâillonner... et pris une brosse dure…
- Voici la séance de toilettage Madame Patricia, une belle jument comme vous doit rester propre et lustrée
Il utilisait le bouchon avec des mouvements courts et droits sur ma veste pour que les poils du bouchon pénètrent totalement la veste et le pantalon et fouettent la saleté. Une fois nettoyait, il m’écarta les cuisses et passa sa main entre mes jambes.
- Après la croupe il faut toujours nettoyer le fourreau madame Patricia…Vous savez ce qu’est le fourreau bien sur…
À la vue de la position de sa main, je pensais avoir compris. Il commença par le ventre et évolua doucement vers mon vagin. Il me malaxa l’entre jambe s’orientant vers quelque chose qui n’avait pas grand-chose à voir avec du toilettage mais plutôt à une masturbation en règle. Il m’ouvrit le pantalon passa la paume de sa main en dessous et explora mon vagin. Ses doigts tripotaient mes grandes lèvres. Je me tortillais debout devant lui, m’abandonnant à cette partie de dressage inhabituelle. Les mouvements concentriques de ses doigts m’amenèrent rapidement à une réaction orgasmique inattendue. Il me libéra enfin, me laissant toute chancelante, nettoyée mais avec pantalon et veste tachée. Il sorti le tanga de ma bouche le mis dans la poche de ma veste et me laissa partir.
Je sortais des écuries et me dirigeais vers le manège central. L’endroit était couvert et fermé pour permettre de travailler quel que soit le temps et possédait son propre système d'éclairage pour le travail de nuit. Les murs étaient garnis à leur base d'un « pare botte » et le sol était recouvert d'une substance meuble mélange de sable, de sciure de bois et de copeaux. Au milieu du manège un poney immobile avec une selle western, sur lequel je pouvais apercevoir ma culotte. Je me précipitais pour m’en emparer n’ayant plus beaucoup de temps devant moi. Une fois au centre du manège avec ma culotte en main j’allais repartir quand j’aperçus Lucien et Alban, chacun positionné à une extrémité du manège bloquant ainsi toutes sorties. J’étais coincée. Aucune issue… Je ne savais pas comment faire. Je décidais d’essayais d’escalader le mur, mais impossible. Les deux hommes s’étaient rapprochés. Alban le plus proche s’empara de moi. Il tenait dans la main une longe à tourner utilisée pour le débourrage ou pour le dressage Équipée d'une dragonne, il l’entoura autour de ma taille et la fixa à l’aide du mousqueton…
- Allez Madame Patricia, dernier exercice de dressage, le passage d’obstacle et la serpentine. 2 tours de passage d’obstacle.
Une grande sur mon cul, et il me poussa vers le mur pour commencer mes tours. Récalcitrante, je refusais de courir quand un grand coup de cravache s’abattit sur ma croupe. Lucine juste derrière moi avait trouvé le moyen de me motiver. Je me mis à trottiner autour du manège. La scène était surréaliste. Moi en costume de cavalière, feutre sur la tête et botte, tachée de crottin, et tenue en longe par un jeune palefrenier alors que l’autre me motivait derrière en me donnant des coups de cravache sur ma croupe. Sur le parcours était disposait des barres d’obstacles par terre que je devais sauter au rythme des commentaires d’Alban…
- Allez !!!!! Allez !!!! On saute !!!! Plus vite !!!! On accélère !!!! Hummm quelle bonne pouliche….
À la fin du second tour, j’étais épuisée. Ils me libérèrent enfin de la longe.
- Faut qu’on te ramène ma pouliche, maintenant, un dernier exercice, le retour à l’écurie de la pouliche et de son poney. Grimpe sur « Cacahouète » maintenant…
Je grimpais sur le poney, obéissant aux deux palefreniers, espérant être de retour juste à temps… Une fois en selle, Lucien écarta ma veste et tira sur ma chemise jusqu’à la déchirer en deux, laissant apparaître mon opulente poitrine protégée par mon SG blanc lise charme «Art et Volupté ».
- Faut te tenir bien droite la jument, si tes mamelles ballottent tu prends un coup de trique ; t’as compris.
Hochant la tête, j’acquiesçais, et nous prenions le chemin des box. A chaque fois que ma position changeait, je prenais un coup de cravache sur la croupe de la part de Lucien. Une fois arrivée au box,, je descendais du poney, et sans pouvoir rien faire mes mains se retrouvèrent ligotée par la longe qu’il fixèrent au plafond afin de me tenir bras vers le haut.
Une fois « Cacahouète » attachée les 2 palefreniers se frottèrent à moi. Me caressant la poitrine, m’embrasant dans le cou, pelotant mes gros seins. La main d’Alban replongea sous ma culotte, et reprit son travail de stimulation. Il jouait avec mon clito, alors que Lucien me tétait mes gros seins. Afin d’éviter toute protestation, il m’avait remis mon string dans la bouche. J’étais totalement défaite, feutre sur la tête, chemisier déchiré, seins à l’air, pantalon ouvert et baissé à l’entre-jambe, et le tout salement décoré de fumier de cheval. Christophe nous regardait, laissant ses palefreniers jouer et r de mon corps. Alban se masturbait en même temps avec sa main, alors que Lucien frottait sa queue contre mes fesses. Je sentais que Christophe s’impatientait, mais le spectacle de cette bourgeoise défaite à sa merci, abusée par ses employés l’excitait au plus haut point. Je le voyais me regardais avec délectation, gourmandise. Il allait pouvoir me prendre, dans cette situation totalement humiliante. Mon état, complètement défaite après cette heure de dressage était tellement paradoxal avec la qualité de ma tenue et ma position sociale.
- Détacha là et amené là sur la paille, on va finir sa séance de dressage maintenant…
Alban me détacha, me poussa vers les bottes de paille, et me força à m’agenouiller devant Christophe qui me demanda de le sucer.
- Prends-moi en bouche ma pouliche, sois une bonne soumise et suce moi…
J’étais agenouillée devant lui, dans ma tenue complètement défaite, seins à l’air, avec ces trois hommes autour de moi, et un air complètement ridicule avec mon chapeau sur la tête, et la grosse bite de Christophe qui venait de pénétrer ma bouche. Il ne me laissa même pas le sucer, de sa main, il saisit mon chignon et ma résille et commença à me baiser la bouche. Des mouvements de va-et-vient rapide qui m’étouffait, alors que Alban me tenait les brais dans le dos, et que Lucien continuait à me palper mes grosses miches.
- Voilà, tu as trouvé ta vraie place pouliche, à genoux avec mon sexe dans la bouche.
- Qu’est-ce qu’elle est bonne patron, on pourra aussi se faire sucer…
- Non, j’ai promis à son amie, mais tu me donnes une nouvelle idée…
Christophe m’enleva mon feutre et mon string de la bouche pris la culotte de Marielle dans la poche de ma veste, et me recouvrit la tête avec, me recouvrant comme une capuche. Il replaça mon feutre. Il me retourna pour me placer à 4 pattes sur une botte de paille, et se positionna derrière moi…
- Voilà, vous pouvez utiliser sa bouche maintenant, avec cette capote en dentelle, je tiens ma promesse.
Alban fut le premier à forcer l’entrée de ma bouche au travers du Tanga de Marielle. Protégée par la culotte, il ne pouvait me pénétrer la bouche complètement, mais suffisamment pour y trouver un plaisir extrême. Christophe lui m’avait pénétrée par-derrière. Baissant mon pantalon et mon string à mi-cuisse, j’étais les cuisses serrées défoncée par sa bitte monstrueuse alors, que Lucien continuait à jouer de mes mamelles. Christophe me saccager les fesses tenant fermement ma veste d’une main, et jouant d’une cravache avec l’autre pour e claquer le cul…
- Allez la jument, bouge-moi ton gros cul !!!! Hue, Allez, fouette cochet…
Des bêtes, des animaux en rut, déchaînés sur leur proie captive et soumise. Il me faisait jouir comme une folle. Alban jouit rapidement dans la culotte et m’aspergeant au passage les cheveux, laissant ensuite la place à Lucien. Ce dernier plus vicieux profita de la situation, pour écarter légèrement le tanga et glisser sa bitte au fond de ma bouche, me bâillonnant en même temps. Christophe ne s’était aperçu de rien, et Lucien à son tour me basait la bouche… Forte heureusement et beaucoup moins résistant qu'Alban, il me gicla au dans la bouche instantanément… Christophe changea de position me prenant sur ses genoux en amazone…
- Allez, pouliche, une bonne cavalière doit savoir aussi monter en amazone, vient t’asseoir sur ma bitte.
Assise sur lui il continua à me saccager dans cette position, tout en me malaxant mes gros seins. Je pouvais apercevoir les deux palefreniers jouer avec leur téléphone pour filmer la scène au prendre des photos, encouragé par Christophe « Oui, c’est bien, ca nous fera de jolie souvenir de la bourgeoise, dressée… ».
Il me retourna encore, me poussant couché sur le dos sur la paille, et ramenant mes deux jambes en l’air, en me tenant les chevilles. Il me re pénétra et recommença ses va-et-vient. Il pouvait me voir jouir sous ses coups de reins et se penchait sur moi afin d’augmenter les sensations au niveau de mon vagin, amplifié par le mouvement de son bassin. Mes bras, tendus au-dessus de ma tête, étaient maintenus par Alban qui se délectait de la situation. Christophe d’une main me tenait par les chevilles placées sur son épaule gauche et de l’autre main me donnait de grandes claques sur ma fesse gauche comme à une jument qu’on veut motiver. Sous cette violence de sexe, je gémissais de plus en plus fort en rajoutant un peu pour l’exciter encore plus !!!
- Ohhhhh mon dieu, Ohhhhh mon dieu, non, tu es trop gros …. Ohhhhh mon dieu au secours….
- Allez bouge la bourgeoise, vas y ma belle pouliche.
Criant de plus en plus fort, Alban me mis mon string dans la bouche en dessous du tanga de Marielle qui me servait toujours de cagoule. J’étais prise comme un objet, subordonnée au moindre caprice des flots. Emportée par un vertige délicieux, je subissais une pénétration profonde et très jouissive bien qu’humiliante. Il profitait d'une large vision de moi dépoitraillée et était maître de la situation. Il ralentit ou accélérait le va-et-vient changeait l'inclinaison de mon bassin ou l'angle de mes cuisses. Il se maintenait jusqu'au bout, jusqu'à l'atteinte du plaisir suprême. Il se déversa enfin sur moi, de grands et longs jets sur mon corps et mes habits ainsi que sur mon visage toujours cagoulé avec le tanga de mon amie.
Il me laissa quelques minutes allongée à moitié nue et recouverte de sperme pendant qu’il se rhabillait, et s’adressa à Alban et Lucien.
- Rhabillait la, nettoyait là et ramenait là à sa voiture le dressage est terminé. Quant à toi ma belle, j’espère te revoir bientôt, mes jeudis matin te sont réservés…
Il sortit, me laissant seule avec les deux palefreniers, qui me relevèrent, me rhabillèrent, et me raccompagnèrent à ma voiture. Une fois au parking, ils ouvrirent ma voiture. J’allais m’installer au volant, quand Christophe qui nous avait suivi exclama…
- Hoooo attendez vous avez oublié de la nettoyer !!!!
- Oui patron, on s’en occupe, on va déjà lui nettoyer les bottes…
Lucien rentra dans la voiture baissa la vitre conductrice, pendant qu'Alban me poussait dans l’ouverture. Il remonta le carreau me coinçant la tête dedans et ne pouvant plus bouger. Alors que je voyais en même temps Alban sortir son pénis, et le diriger vers moi un grand 4x4 range rover se gara à nos côtés… Il me pissa sur les bottes, alors que je pouvais voir un homme sortir de sa voiture et nous regarder… Son urine me recouvrait les bottes et aussi mon pantalon. Une fois soulagée Lucien procéda de même et se soulagea sur moi, tout en tenant la porte afin que je ne puisse me soustraire.
- Voilà maintenant, tu es toute propre ma pouliche, tu peux rentrer chez toi avec tes trophées…
- Bonjour messieurs, je vois que vous avez une nouvelle adhérente pour le jeudi matin, mais qui est cette belle jument ? Mais je vous connais, Madame Dupont !!!! La belle Patricia en personne, je constate avec plaisir, que vous vous mettez enfin à l’équitation… Il va falloir venir me voir au château afin que je vous donne quelques conseils… Christophe à qui appartient cette belle pouliche ?
- À Marielle, Monsieur le Marquis, je l’ai gagné dans une partie de poker…
- Bien, très bien, j’appellerai Marielle alors, nous sommes en affaires avec son mari, elle ne peut rien me refuser…
L’aristocrate de la vente aux enchères était devant moi !!! Constatant mon humiliation… J’allais donc devoir gérer également un nouvel acteur qui avait déjà sans le savoir profité de moi lors de la vente….

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