Le Dressage De Michel

Découverte de nos attentes réciproques

Ce ne fut pas immédiat ! Nous étions mariés depuis quelques années et c’est au fil de nos échanges amoureux que nous nous sommes aperçus l’un et l’autre de nos penchants. Il est vrai que déjà, nous n’avions pas de tabou au point que dans nos jeux amoureux nous échangions volontiers les rôles dominé/dominant. Mais l’élément déterminant est le fait que mon chéri est très exhibitionniste et moi pas du tout ! Nous sommes ni l’un, ni l’autre attiré par quelque forme de sadomasochiste hard, c'est-à-dire que nous ne faisons pas de place aux jeux violents sous quelques formes que ce soit. Le plus hard est l’utilisation du fouet, mais c’est sans violence.
Ma domination ne s’exprime qu’à travers l’humiliation. Cela veut dire qu’il y à ment un voyeur (moi) et un exhibé (Michel) avec la notion « publique ».
Pas très excitant comme début non ? Patience, ça vient et c’est plutôt chaud…

Premières situations

J’ai commencé par exiger que Michel soit le plus souvent possible nu et qu’il ne porte le moindre vêtement sans l’autorisation de sa Maitresse. Être nu cela implique l’épilation depuis le ventre jusqu’aux reins, ou complète éventuellement. De cette manière, rien ne viendrait cacher le moindre détail de son intimité qui d’ailleurs doit toujours être bien en vu. J’adore les hommes épilés, car c’est un début de féminisation. Il est vrai aussi qu’en cas de visite chez un médecin Il y à l’éventualité qu’il puisse se mettre nu pour une raison ou une autre. Cela n’est encore jamais arrivé, mais nous avons choisi une femme médecin, au cas ou…

Aujourd’hui

Michel montre une lubricité très poussée. Il ne débande pratiquement pas pendant les séances d’humiliations qui peuvent durer plusieurs heures voir des jours complets. Je l’ai habitué à se présenter régulièrement devant moi pour un examen de son anatomie.
Il doit d’abord me présenter sa croupe, dans une position exagérément cambrée
-Vérification de la cambrure de sa croupe et de son épilation, doigtage et fouille minutieuse de son trou, vérification de l’élasticité de ses couilles et de leur faculté à pendre et s’allonger.

Puis son cul est claqué.
Ensuite face à moi, il doit se tenir genoux légèrement fléchis et cuisses écartées.
-Les couilles sont encore travaillées. Après une évaluation commentée de son érection, sa queue est branlée. Il s’agit de faire monter le jus et d’arrêter avant l’éjaculation histoire de bien remplir ses couilles en vue de la traite.
Si je suis satisfaite de mon étalon, il a droit à une bonne série de claques sur le cul pour le faire rosir avec des mots d’encouragement. Je le complimente en lui disant que c’est un bon mâle monté comme un cheval et bien obéissant, que sa sucette est bien juteuse (je récupère sa mouille du bout du doigt lui fait ouvrir la bouche et l’étale sur sa langue) et que vais peut être utilisé sa longue tige comme godemiché. Je le prends fermement par les couilles et lui dit qu’il est bientôt prêt à être trait.
Si je ne suis pas contente, le tarif est de trente coups de fouet et il est traité de petite bite , vilain chien, etc.
Je dois dire que ce jeux et très excitant pour tous les deux, d’autant que mon humeur à ce moment est capricieuse…

Humiliations

J’avoue déborder d’imagination sur ce sujet !
Le point culminant est que je le considère non pas comme un homme asservi, mais véritablement comme un animal. Une espèce hybride, moitié vache, moitié cheval et ça lui plait !
Michel est comblé en sachant que sa seule utilité est de produire un bon et copieux jus de couilles. Tous les deux jours à lieux la traitent. Après de nombreuses montées de jus, au moins une cinquantaine, mon chéri est préparé :
Harnais de traite qui maintient enfoncé dans son cul un gode de bonne taille et couilles baguées et lestées. Je le branle et le fais gicler dans un récipient.
Selon la quantité de sperme recueilli, je lui fais déguster à la petite cuillère. Je dépose le jus sur sa langue. Il ne doit pas avaler tout de suite, mais profiter de chaque cuillère en le gardant bien en bouche.
Je le félicite en lui disant que je suis contente et qu’avec toutes ces vitamines sa queue va encore s’allonger…
Il m’arrive parfois de garder son sperme au frigo et d’ajouter jour après jour la nouvelle récolte. Il peut avoir ainsi un demi verre de jus de couilles que je lui sers en apéritif, ou étalé sur un pain demi, ou encore cela peut faire une bonne sauce pour accompagner le plat de mon esclave!
Plus rarement, je m’en sers comme crème de beauté en l’étalant sur son ventre et sur sa croupe ou sur tout le corps. Bien sûr il doit laisser sécher le jus et ne pas se laver. Moi je suis un peu privée, car j’aime sa liqueur.
Ce mâle aime être souillé, je vous l’ai dit, Michel n’est pas un homme. Bien sûr, il s’occupe de ma toilette intime et il s’applique bien entre mes fesses. J’ai même pris l’habitude de garder plusieurs jours mes slips pour les lui faire nettoyer.
Mais je crois que le plus humiliant est la façon de pisser que je lui impose. Évidemment, je me suis amusée à me vider sur lui, mais ce qui est le plus drôle, c’est de contrôler la vidange de sa vessie. Il lui est interdit de pisser sans m’en avertir. À ce moment, je le fais allonger par terre, tient sa bite dans ma main et lui dit qu’il peut y aller. Elle ne reste d’ailleurs pas longtemps molle. Il bande presque immédiatement et se soulage la queue dressée. Moi je me contente de diriger le jet pour qu’il retombe sur sa poitrine. Je rigole en visant sa bouche que je lui demande d’ouvrir. L’été, mon mari dégoulinant de sa pisse se promène ainsi dans le verger de notre maison de campagne, attendant que ça sèche pour recommencer quand il aura suffisamment bu.
À vrai dire, il y eut un tournant dans nos jeux, le jour où je me suis dit que ce serait terriblement plus excitant d’exhiber et d’humilier Michel devant quelques dames !
Finalement, cela s’est fait assez facilement et le plus naturellement du monde.
De puis deux ans nous avons eu plusieurs expériences. Vous les avez peux être suivie sur quelques blogs, entre autres avec mon amie Aline et son esclave Sophie.

Je vais vous raconter comment cela s’est passé la toute première fois, à l’insu de Michel.

En public

Pour le fonctionnement de mon entreprise, j’ais deux assistantes avec qui je m’entends particulièrement bien : Élodie et Alexie. Nous sommes par la force des choses souvent les unes avec les autres. Cela aurait pu être problématique, mais bien au contraire nous avons lié une véritable complicité. Il n’est pas rare qu’elle vienne à la maison, soit dans le cadre de leur fonction, soit pour une visite amicale. Michel les connait bien sûr, mais sans plus, car au départ je voulais tenir séparé mon job et ma vie privée. Ce n’a pas été le cas longtemps…
C’était au mois de juillet. L’idée était d’inviter Élodie et Alexie un weekend entier. À plusieurs reprises je leur avais parlé de ma relation « particulière » avec Michel, mais sans trop rentrer dans les détails, et en restant évasif, car je ne voulais pas les choquer en quoi que ce soit. Sur deux jours, il était possible de trouver une forme d’intimité entre nous quatre, et si cela ne se faisait pas tant pis ! En gros, je contais sur le samedi pour « tâter » le terrain avec quelques signes de provoque bien net qui laisserait présager de ce qui était possible le lendemain. Soit cela les excitait, soit elles partaient en courant !
Elles répondirent toute les deux avec un vif enthousiasme à mon invitation, et eurent un sourire malicieux quand je répondis positivement à leur question : Est-ce que Michel sera là ?
C’était sans doute simplement la curiosité de rencontrer mon mari dont elles connaissaient le gout pour la domination, mais j’y voyais un signe plutôt positif, car si cela leur avait fait peur, elles auraient gentiment dit « non ».
Le samedi se passa comme prévu : Nous profitâmes de la piscine, alternant maillot de bain et petite tenue légère de rigueur avec l’été.
J’ai oublié de préciser que Michel n’était absolument pas au courant de mon plan et imaginait sans doute être de repos dans sa condition d’esclave ! Il eut peut-être un doute (et me l’avoua par la suite) quand il exécuta mon premier ordre.
Oh, il n’y avait rien de particulièrement choquant, j’exigeais tout simplement qu’à la place du maillot de bain il porte un slip blanc avec interdiction absolue d’enfiler d’autres vêtements. Voyez-vous, des hommes en maillot de bain, il y en à tellement qu’on ne les regarde même plus. Remplacez-le par un slip, un vrai avec la poche histoire qu’il n’y ait pas de confusion et cela change tout… et puis mouillé, il laisse bien mieux apercevoir ce qu’il contient.
Pour le premier bain de la journée, c’est ainsi que Michel apparut. Son épilation avait été volontairement particulièrement soignée et remontait jusqu’au nombril. Le reste de son torse laissait apparaître quelques poils, mais rien de bien important, juste ce qu’il faut pour comprendre que le bas était épilé. Bref, son apparition fut remarquée. Des petits sourires en coin assortis de réflexion du genre :
-Avec cette chaleur on a du mal à supporter le moindre vêtement n’est-ce pas ?
Élodie et Alexie n’étaient habituellement pas familières avec Michel qu’elles vouvoyaient. Ils se connaissaient peu, n’ayant fait que de se croiser. Le comportement de mes deux jeunes amies tendait à me montrer que mon plan fonctionnait.
Sorties de la piscine, nous nous étalâmes au soleil. Cela devient compliqué pour Michel qui était visiblement gêné de voir que son slip mouillé sans être transparent était devenu complètement détendu. Il ne resta pas longtemps allongé sur le dos et se retourna pour cacher autre chose qu’une simple transparence. J’étais persuadée que mon étalon commençait à bander sans retenue.
Alexie et Élodie m’adressèrent un joli sourire en découvrant la croupe bien ronde de Michel. Nous ne pûmes résister à l’envie de rire joyeusement.
C’est ce moment que je choisis pour ordonner gentiment à mon mari de nous préparer un café. Il se leva et fut donc obligé de passer devant nous.
À ce moment, j’attrapais son poignet le stoppant net dans son élan. Il se retrouva face à nous le slip tendu par sa queue bandée comme un arc. Le coton mouillé était devenu lache. J’avais pris soin de détendre les élastiques pour qu’il ne serrent pas le haut des cuisses de mon mari. Résultat, l’entrejambe bâillait laissant deviner ce qui pourtant aurait dû être caché.

-C’est gentil de nous servir, lui adressai-je
Puis :
-Va vite nous préparer ce café !
Et je le laissais partir après lui avoir donné une petite tape sur la croupe.

Après quelques minutes, je laissais seul Élodie et Alexie pour rejoindre Michel. Il me regarda d’un air interrogatif, mi-figue, mi-raisin. Je mi ma main dans son slip, trouvait sa bite bandée et commençait à le branler.
-Surtout obéi-moi à la lettre, quoi qu’il se passe petit cochon, et tache d’avoir un comportement digne de ton éducation d’esclave. Si tu cherches encore à cacher ton intimité de mâle en chaleur à mes amis, il va t’en cuire. Au contraire, je veux te voir évoluer sans retenue avec ta tige qui pointe dans ton slip de pute. Je t’interdis toute pudeur ! De plus, toutes les demi-heures tu t’absenteras pour aller t’astiquer la queue dans ton slip. Dans une heure, je veux le voir tacher de mouille, est-ce bien compris ? Et ne t’avise pas pour autant à décharger ! Si je suis contente de toi, je te déculotterai devant Alexie et Élodie et leur montrerais que tu es monté comme un vrai cheval.
Il me répondit un timide « oui ». Visiblement il était aussi excité que gêné.
De retour avec mes invitées nous nous installâmes sur la terrasse, devant une petite table, à deux pas de la piscine. Après quelques minutes, Michel nous rejoignit, portant un plateau. Il était encore plus indécent, on devinait sa bite tendue dont le bout poussait l’élastique du slip et ne demandait qu’à sortir. Il se tenait devant nous avec une cambrure bien marquée qui non seulement arrondissait sa croupe, mais tendait son ventre en avant. La position de l’esclave en attente d’ un ordre.
Le regard d’Alexie et d’Élodie voyageait du slip de Michel à ses yeux et aux miens. Ce fut Élodie qui prit la parole :
-voilà un beau service !
-Fait par un serviteur tout à fait charmant !
Ajouta Alexie
Je fini par donner une bonne claque sur les fesses de mon mari :
-N’ai pas peur, lui dis-je elles ne vont pas te manger !
Il posa le plateau sur la table.
-Tu as grossi mon chéri tes habits son trop petit, montre un peut…
Je le fis tourner pour qu’il nous présente sa croupe.
-Tu vois ça ne tient pas dedans
Je palpais son cul à travers le slip sous le regard attentif de mes amies qui riaient. Je le fis retourner.
-Et là, n’en parlons pas !
Ma main se posa entre ses cuisses et enveloppa ses couilles. Le slip tendu par la bite de mon chéri ne pouvait plus tout envelopper. Près de l’aine, l’élastique était détendu et on devinait la naissance d’une de ses couilles.
-qu’en pensez-vous ?
Élodie et Alexie n’en pouvaient plus de rire.
-En effet déclara Alexie, tu devrais lui faire confectionner des slips sur mesure.
-Un petit pour boire pour le serveur demandais-je aux filles.
Je donnais une dizaine de claques en flattant la croupe de Michel.
-Merci chéri tu es un bon serviteur !
Et je le poussais ver Alexie et Élodie.
-Va chercher ton pour boire !
À leur tour, elles flattèrent sa croupe l’une après l’autre alternant claque et caresses.
Nous rimes de bon cœur, mais je décidais d’en rester là pour le moment.
Nous arrivions au milieu de la journée. Le repas fut vite préparé : Salade et barbecue. Michel évoluait maintenant sans retenue et en toute impudeur. Nous nous étions à nouveau trempés dans la piscine. Alexie et Élodie s’amusaient ouvertement de la situation. Nous sortîmes les premières de l’eau et nous plantèrent devant l’échelle pour contempler mon mari.
-Attends avait dit Élodie à Michel
Nous allâmes chercher trois chaises longues et nous installâmes. Confortablement
-Tu peux sortir maintenant !
Mon mari sorti de l’eau sous nos regards amusés, tout penaud. Le coton de son slip était cette fois complètement détendu, mais la bosse avait disparu.
- Approche-toi, on dirait que l’eau te fait maigrir !
Michel se planta en face de moi et se mit en position d’attente d’ordre.
-C’est drôle Michel, dit Élodie, tu me fais penser à Élie, mon cocker, docile comme tu es ! Tu à l’air aussi doux qu’elle. Parce que la seule différence c’est que c’est une femelle et toi tu es un mâle n’est-ce pas ?
Michel souriait. Comme il était face à moi, je n’eus aucune difficulté pour attr l’élastique de son slip et le tirer pour regarder à l’intérieur.

-Tu vois Élodie, Je ne sais pas si tu as raison. Je ne vois là qu’une petite bite de chien ! Voyons chéri ne me fais pas honte tu n’es pas une femelle quand même ton vente est lisse comme celui d’une fille!
Nous nous amusâmes à le faire évoluer devant nous. En moins d’une minute, il fit à nouveau gonfler son slip
!À tour de rôle nous lui donnions nos ordres. Mes amies n’étaient pas en reste. Il eut droit à nos commentaires les plus salaces. Nous parlions de lui à la troisième personne et ne lui adressions la parole que pour lui donner un ordre, ce qui était encore plus humiliant.
-Tu vois Caroline, de nos jours il est difficile de trouver de la bonne qualité. Le tissu de son slip est trop fin.
-Tourne-toi chéri que nous puissions vois ce qui cloche…
Michel obéit
-Là, regarde sous sa croupe on voit ses boules
-je ne vois rien se plaignit Alexie !
-Mets-toi à quatre pattes Michel, fais preuve de bonne volonté !
Mon mari se mit à quatre pattes. Je me levais, m’agenouillai à côté de lui. Je tirais l’élastique de l’entrecuisse qui bâillait mettant à jour ses couilles pendantes.
-Comme ça tu vois mieux Élodie ?
-Oui oui, je comprends ! Elles sont grosses…
-Le problème vient surement d’une mauvaise coupe du tissu, rajouta Alexie, ce n’est pas fait pour des couilles pareilles !
-Il faut dire qu’aujourd’hui on économise sur tout, il

manque du tissu, c’est évident !
- Marche ! Ordonnais-je à Michel
A quatre pattes, mon étalon fit des cercles devant nous. Selon sa position nous pouvions contempler ses couilles se balancer tenus qu’à moitié par le slip de coton qui n’avait plus de formes. La naissance de sa queue était bien visible également. Le reste était plus ou moins enveloppé par le coton tendu jusqu’à son nombril.
-Et pour le devant, demandais-je, que faudrait-il faire ?
-Il faut voir ça de plus prêt, déclara Alexie en se levant.
Elle prit Michel par la main.
-Venez !
Nous retournâmes sur la terrasse et nous assîmes les unes en face des autres. Alexie plaça Michel au milieu. Ainsi, chacune pouvait contempler la partie qui nous intéressait sous un angle différent. J’étais aux anges de voir Alexie et Élodie s’amuser autant et prendre des initiatives. Elles étaient terriblement moqueuses, et la situation devenait particulièrement humiliante pour Michel. Parfait ! J’étais décidée à ce stade du jeu de laisser faire mes amies en les guidant simplement là où je voulais.
-Voyez-vous Alexie et Élodie, je me demande ce qui ne va pas de ce côté.
Tout en parlant, à travers le tissu je caressais du bout des doigts la longue tige de mon esclave, depuis le bas jusqu’à son bout.
-Le tissu est tellement fin
C’était une invitation suffisamment claire pour que mes amies en profitent. Leurs doigts s’ajoutèrent aux miens.
-Quelle honte tout de même, un étalon pareil mérite mieux, déclara Alexie.
-Regardez sur le bout de son truc, il tache son slip !

Effectivement, une tache large comme une pièce commençait à apparaître sur le tissu tendu vers le nombril.
-Ce doit être gênant pour lui d’exposer ainsi ses attributs, et de montrer sa production de petit jus!
Élodie caressait le bout de la tige de Michel à travers son slip. Elle faisait des petits ronds du bout de son doigt juste là où il y avait la salissure. Mon mari mouillait tellement que le jus avait traversé le tissu fin et coulait.
-Regardez, il sort son petit jus, s’exclama Élodie en jouant avec.
-Il ne sait pas se retenir, ce n’est pas un homme, mais mâle ! Je trouve amusant de le culotter, mais il est beaucoup plus à l’aise nu métreriez-vous un slip sur le cul d’un porc ? Tu as encore taché ton slip petit cochon !
Nous éclatâmes de rire !
Tout en riant, je glissais ma main dans le slip de mon mari pour jouer avec ses

couilles.
-Mais Caroline, quelle différence y-a-t’il ente un homme et un mâle comme Michel, demanda Alexie ?
Le jeu devenait intéressant !
-Je ne suis pas bien sûr de savoir ce qu’est vraiment un homme ni à quoi il peut servir en dehors d’être ton amoureux ce qui est mignon je te l’accorde. Mais les hommes sont d’humeur changeante et surtout ils ne sont guère fidèles. Un mâle est utile et parfaitement obéissant il se doit de répondre à toutes tes exigences, car tu es sa maîtresse. Et puis c’est décoratif non ?
Alexis et Élodie répondirent « oui » en cœur
-en dehors du plaisir de pouvoir l’utiliser comme il me plait, j’ai dressé Michel pour être un étalon producteur.
-Producteur ? demande Élodie.
Franchement, j’ai maudit les saucisses qui étaient en train de bruler! Mes amies étaient prêtes pour une présentation en détail de mon esclave. Au lieu de ça, nous nous sommes précipités sur le barbecue pour sauver ce qui était possible. Comme dans le mouvement Michel était en train de débander, je lui ai discrètement ordonné de se caresser la queue et de se tripoter les couilles sans mettre sa main dans le slip et surtout sans faire quoi que ce soit pour se cacher. Je lui ai également interdit de remonter le slip. L’élastique de la ceinture totalement détendu était incapable de le maintenir en place et il ne tenait que par la grâce du Saint-Esprit. Mon chéri était d’une délicieuse indécence. La naissance de ses fesses étaient découverte et franchement je n’avais qu’une envie, c’était de le mettre complètement à poil !
Mais l’heure était à déguster d’autres genres de saucisses…

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