Le Dressage De Lucie

Apres la séance avec Thierry, Pierre avait fini de me faire découvrir ses amis, partageant avec lui cet amour du vice et de la soumission. Nos relations étaient toujours aussi chaotiques lorsque la femme de Pierre était là alors je ne le voyais plus, plus de coup de fils, plus de petits mots. Lorsqu'elle était absente alors il était là présent et viril.

On ne parlait plus de dressage, il me le faisait vivre. Variant les positions les ordres. Il me dominait et je sais cela parait très bizarre d'aimer cela, mais tant pis, j'avoue j'aime.

Ma soumission était forte de plus en plus complète soumission à Pierre à ses amis proche Gérard, François en effet ne participaient plus a nos orgies. Je n'étais pas exclusivement réservé à Pierre. Certes il dirigeait mais tous en profitaient.

En contre partie, Pierre me demandait de n e pas sortir en dehors de nos rencontres. Je n'ai pu suivre cet ordre que très peu de temps, rapidement lorsqu'il n'était pas la, je sortais avec mes amis en boite ou au restaurant sans lui dire.

Cela dura au moins six mois, Pierre m'annonça qu'il voulait que j'aille plus loin dans ma soumission. D'abord hésitante, longtemps hésitante je dois dire qu'il mis longtemps pour me convaincre de franchir ce cap.

Il me parlait de le livrer complètement de ne plus rien maîtriser. Il parlait d'effort, de douleur même. En tout cas, plus fort que ce que j'avais vécu jusque là. Un jour, j'ai accepté. C'est ce jour la où ma nouvelle vie a vraiment commencé.

Pierre m'a demandé de prendre quelques jours de congé et puis nous sommes partis un vendredi soir. C'était assez loin de là où l'on vivait, Pierre conduisais. On est arrivé en fin d'après midi. Dans ce qui ressemblait à une jolie maison bourgeoise entourée d'un petit parc. Dans la cour, un homme est venu nous chercher.

Pierre m'avait juste demandé de prendre quelques affaires rien de particulièrement excitant, c'est donc en jean et pull que je sortais de la voiture.



Il s'appelait yannick, bel homme la quarantaine. Il nous fit faire un rapide tour du propriétaire, c'est vrai qu'elle est jolie cette maison. C'est dans le salon que nous avons commencé à discuter. Pierre parla un peu de son divorce en cours et de notre relation de couple illégitime, de ma soumission, je rougissais. Yannick était de plus en plus pressant sur les questions.

-"Et comment est-elle"

-"Elle est très sympa, elle réagit bien à mes demandes"

-"C'est un bon point, Tu l'as déjà punie"

-"Pas vraiment, mais elle a déjà rencontré Gérard, plusieurs fois"

-"Bien, bien, elle a subit le supplice de la chaise?"

-"Luce, tu peux répondre, tu dois t'en souvenir?", me demanda Pierre

-"Euh! Oui, oui on l'a fait"

Au fur et a mesure que la conversation avançait P pierre était de plus en plus cru comme a son habitude lorsque l'excitation montait en lui. Et s'il me regardait attentivement, il ne me laissait que peu parler. Apres plus d'une heure de discussions scabreuses. Pierre m'a demandé de me lever et de les accompagner au sous-sol. Un escalier, une porte, une salle taillée dans la pierre, au mur quelques rideaux et deux très jolis fauteuils. Pierre referme la porte,

-"Si nous commencions?"

-" Bien volontiers" lui répondis Yannick en s'affalant sur un des fauteuils

Pierre me guide vers ce fauteuil, puis glissant ses mains sur mon jean il dégrafe ma ceinture, repousse mes mains et commence à déboutonner mon jean

-"Allez laisse la faire, viens t'asseoir."

-"Lucie, c'est ça? Si tu retirais ce jean... Non en fait retire tout"

-"Allez, dépêches toi tu ne voudrais pas faire attendra Yannick. Allez, Tu m'as bien compris"

Je m'exécutais sans précipitation. Pendant ce temps Pierre chuchotait à l'oreille de Yannick des mots qui m'étaient incompréhensible, mais le regard qu'il me lançait était lubrique.


Une fois nue, je couvrais de mes mains mon sexe et mes seins, Pierre écarta les habits maintenant au sol et m'invita à écarter les jambes

Yannick se leva et après un "Pas mal, pas mal du tout" il fis glisser sa main sur mes fesses. Il me glisse à l'oreille : "Mets tes mains sur la tête". Ce que je fis.

La voila, c'est la soumise dont tu m'avais montré quelques photos. C'est en effet un beau petit lot.

-"Tu sais, elle n'a pas l'habitude d'être exhibée",

Oui en effet, répondis Yannick.

Il faudra qu'elle le prenne si elle veut progresser.

Pierre tu me donne un coup de mains, Ils disparurent derrière un rideau pour revenir portant une table basse sur laquelle était posé un sac de sport.

-"Allez grimpe la dessus"

La table était basse et massive

"Allez; a quatre pattes, penche-toi bien voila cambre"

"-"Oh magnifique sexe! siffla Yannick Elle est très bandante ta soumise"

-"Merci, je l'ai bien choisie et j'espère bien dressée"

-"On verra plus tard."

-"Tu as vu ses seins."

-"Oui ils sont pas mal. Deux jolies poires."

-"Aie"

-"Sensible des tétons, Humm j'aime cela"

- "Qu'allez-vous faire, me demandai-je?"

-"Nous allons te traiter comme tu le mérites, tu es une soumise et tu seras traitée ainsi!"

Leurs mains étaient partout et même si la température était bonne, j'avais par intermittence la chair de poule.

-"Elle est entrain de frissonner?"

-"Oui, elle est mure, je crois que c'est le moment."

-"Yannick me demanda de me relever"

-"Tu vois, je te l'avais bien dis, elle te plairait. Vas y tu peux y aller"

Ils m'ont demandé de me lever, fois sur le sol Yannick ma lié les mains avec deux anneaux en cuir, et Pierre d'un geste ferme tends la corde. J'ai crié de surprise et là presque en suspension.
Pierre est venu face à moi avec les mains pleines de photos.

-"Lucie, tu te reconnais dessus"

En effet, pas de doute c'était moi dans un bar, il y a deux mois de cela.

-"Et la encore, et sur celle là aussi?"

-"Euh.... Oui je ne pouvais qu'admettre Pierre était au courant et avait pris et fait prendre des photos de moi lors de mes sorties.

-"Luce, la désobéissance cela se paie, chèrement."

Un cri s'échappe de ma bouche, Yannick vient de cingler mes reins avec un fouet.

Il se présente devant moi, tourne autour de moi, il a dans les mains un fouet à chien en cuir, d'un mètre de longueur environ.

-"Lucie, tu voulais du mâle, c'est pour cela que tu allais en boîte, Pierre ne te suffisait pas. On va se charger de te satisfaire."

Après cette pause, le fouet entre à nouveau en action, maintenant les coups se succèdent sans discontinuer.

Au bout de quelques minutes mon visage est couvert de sueur. A chaque coup, mon cri se transforme en râle où il est difficile de discerner la douleur et le plaisir.

D'un coup, Pierre lâche un peu de corde. Je tombe presque

-"A genou.!" Ordonne-t-il

A peine, suis-je à genou que la corde se tend à nouveau, encore à genou mes bras son tendu vers le plafond. Là je vois un sexe, de très belle taille, tendu, je comprends ce qu'ils attendent de moi.

Tirant la langue, je commence par lécher le gland, tous juste décalotter, puis arrondissant la bouche délicatement je gobe tout le sexe, il n'aurait pas fallu qu'il soit plus long car, il tape à chaque fois au fond de sa gorge l'obligeant à une apnée, pour reprendre son souffle je lèche la verge gonflée, sur toute la longueur, avant de l'absorber de nouveau, ses mains sur ma nuque décident du rythme.

-"Elle suce comme une reine, tu dois bien en profiter"

-"Je ne me plains pas. Tu vas au bout?"

-"Non, je crois qu'elle a compris, au moins pour maintenant.
"

La corde de nouveau se détend. Yannick la retire de mes menottes de cuirs qui elles restent à mes poignets. Ils m'entraînent dans un coin de la pièce, face à un rideau, qui une fois ouvert, révèle une petite cellule avec des barreaux.

-"Allez rentre la dedans"

La porte se referme. On va revenir...Lancent-ils.

En, effet, plusieurs après la porte de la salle s'ouvre et la lumière se rallume dans la pièce. Yannick et Pierre sont suivis de deux autres males. Je n'ai aucun doute sur leur but, ils sont en shorts, torses nus

Yannick me délivre et me fait avancer vers eux, leurs mains sont sur moi, leurs bouches.

-- "T'as les fesses bien rouges? T'as pris du cuir, ma chérie? C'était bon?" Maintenant, c'est autre chose que t'es venue prendre, non? Alors, écarte les jambes maintenant, davantage"

-"Oui, elle a été punie."

-"Elle le méritait de toute façon." Confirme Pierre. 'Tu vas nous montrer tes compétences, en espérant que tu seras à la hauteur!"

-"Ouvres tes cuisses Lucie."

Je desserre un peu les jambes, si peu..., que Yannick de ses deux mains me prend derrière la jointure des genoux qu'il écarte sans ménagement.

Je ferme les yeux, ils sont sur moi. Mon corps est parcouru de sensations, une bouche aspire ma langue et s'insinue dans la mienne. Ce jeu de lèvres et de langues ne fait que débuter. Des mains écartent, soupèsent, caressent... Un doigt pénètre. Je ne suis plus rien à leurs yeux, je le sais, qu'une vulgaire poupée pour leurs jeux de plaisir. Cela affole mes sens.

- je lui mettrais bien ma bitte dans son joli p'tit cul

-Attends, elle commence tout juste à mouiller. Tiens d'ailleurs lèches le, lèches.

Ce doigt fouineur est introduis dans ma bouche et accompagner d'un "Suce allez..." masculin repris en cœur.

Il fut vite remplacer par un deuxième et ainsi de suite.

Soudain un à-coup sur la corde. Mes bras sont libérés de quelques centimètres. Je m'affaisse. C'est le signal. Les mains sont plus présentes, les regards lubriques. Un gland se présente, je recule, je suis repoussée en avant et je m'empale sur ce membre.

C'est animal, je subis. Les queues changent. Mes pieds glissent sur le sol, je ne fais que suivre leurs mouvements. À chacun de ses coups de reins, puissant mon corps n'est qu'un spasme. Je hurle et me cris se mêlent à leurs râles, ensemble notre plaisir est roi.

Un premier gicle sa semence. Je sais que cela ne s'arrêtera que lorsqu'ils auront tous eux ce plaisir. Lorsque j'ouvre les yeux, c'est des rictus de jouissance que j'aperçois. L'image est brouillée par la sueur sur mes yeux, et les mouvements du à leurs coups de boutoir.

Je ne rappelle plus de tout, c'est une overdose de plaisir. Je reprends mes esprits sous la douche pierre attentif me savonne. Lorsque plusieurs heures après je me réveille c'est sur un lit autour de moi trois murs et la lourde porte à barreaux de la cellule. Ils n'avaient pas fini...

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