Coline (5) Cède À La Tentation

Cela fait maintenant plus de 7 moi qu’Alice et moi sommes en couple. Nos familles et nos amis nous acceptent totalement. Nous passons énormément de temps ensemble à faire toute sorte d’activité. Evidement nous faisons très souvent l’amour, je prends chaque fois énormément de plaisir. Nous utilisons l’intégralité de nos corps mais aussi des godes (essentiellement avec une ceinture) mais aussi toutes sortes d’autres jouets.

Depuis quelques temps nous passons nos semaines chacune de notre côté et nous nous retrouvons uniquement le week-end. Evidement elle me manque, j’espère que c’est réciproque, mais nous devons nous concentrer sur nos études et nos examens qui approchent à grands pas. Il faut absolument que je valide mon année pour pouvoir déménager sur Paris l’année prochaine.

Quand je suis au fond de mon lit, chez ma mère, et que je l’entends gémir sous les coups de bite qu’elle reçoit, je ressens un manque. Ma chatte me réclame de plus en plus une queue qui n’est pas en plastique, qui viendrait vibrer en moi et qui fera partir de mon ventre une forte explosion qui irradiera tout mon corps.

Je me suis mis à fantasmer, de plus en plus, sur les amants de ma mère et leurs sexes. Des hommes viennent pour une nuit ou juste quelques heures et disparaissent mais d’autres tiennent quelques jours voir quelques semaines. Du coup je profite des absences ou des siestes de ma mère pour sympathiser avec eux et encore mieux fantasmer sur eux, la nuit.

Comme j’en ai plus que marre des garçons de mon âge, je décide de m’attaquer aux hommes que ma mère ramène à la maison. Aucun risque qu’elle est des craintes car elle sait que je suis en couple avec Alice. Elle arrête pas répéter que les hommes ne m’intéressent plus alors je n’hésite pas déambuler en petites tenues devant ses amants de passage pour les faire bander et distinguer leurs bites en érection. Plus je joue plus j’ai envie d’en sentir une en moi.



Entre nos discussions, leur humour et leur physique il y en a pas beaucoup qui me plaisent. J’ai vraiment l’impression que ma mère n’a aucun critère de sélection pour les hommes avec lesquels elle couche. On dit « con comme une bite », j’espère pour ma mère qu’ils ont un plus beau sexe qu’ils sont intelligents. D’autres sont même plus répugnant qu’attirant, il y en a qui sont des gros tas, d’autres qui n’ont pas du voir de l’eau et du savon depuis des jours…

Un matin, alors que la veille je me suis endormie bercé par les gémissements de ma mère et son nouvel amant, en allant vers la salle de bain je tombe nez à nez avec un homme plutôt bien bâti et en caleçon. Après lui avoir dit bonjour, je jette un petit coup d’oeil sur son entrejambe. Je ne sais pas si c’est son érection matinale ou s’il est très bien monté mais pour l’instant il y a que du positif.

Une fois lavée et maquillée, je ressors de la salle de bain en tanga et petit t-shirt mais rien d’autres. Mes tétons pointent à travers le tissu, mon 95D peut pas laisser un hétérosexuel indifférent. Je vais à la cuisine et je retrouve cet inconnu en train de boire un café toujours dans la même tenue que tout à l’heure, je sens son regard sur moi. Pendant que je prépare mon thé et de quoi manger, je fais exprès de prendre des positions très suggestives. Il reste pas indifférent.

Non seulement, il est plus que séduisant mais en plus, en discutant avec lui, je me rends compte qu’il est loin d’être con. J’ai l’impression de ne pas lui déplaire, du moins mes formes vu comme il me matte très peu discrètement. Mais ça me dérange pas, au contraire j’en suis flattée. J’espère que celui la ne va disparaitre trop rapidement car je compte bien sur lui pour combler le vide que je ressens.

Le soir même alors que je rentre de la bibliothèque, affamée je vais directement dans la cuisine. Je tombe sur Christophe, l’amant de ma mère, qui est uniquement en caleçon mais un différent de celui du matin (en plus il est propre ça change de ses précédents amants).
Il est debout devant le frigo ouvert en train de boire une bière à la bouteille. Son corps d’apollon est recouvert de goûtes de transpiration qui, éclaire par la lumière du frigo, le met encore plus en valeur.

Je me dis immédiatement qu’il vient de baiser ma mère et qu’assoiffé il a couru dans la cuisine. Ma faim de nourriture se transforme immédiatement en faim de son corps. Il se tourne vers moi et quand il retire le goulot d’entre ses lèvres, il me fait un sourire. J’ai très envie de me rapprochés de lui, de caresser son corps velu et de goûter à sa bouche.

Malheureusement, ou peut être heureusement, je suis interrompue dans mon élan par ma mère qui hurle:
« Chriiiiiiistophe! Reviens, j’ai encore envie! »
Il lève les yeux au ciel, nous rigolons discrètement et il disparait. Je me rabats sur une part de quiche que j’emmène dans ma chambre.

Avant de commencer à manger, je me déshabille et m’allonge sur mon lit pour caresser ma chatte trempée bercé par leurs gémissements. Je suis tellement excitée que j’arrive à me faire jouir deux fois avant de ne plus les entendre. Je suis vidée, je mange même pas et m’endors immédiatement.

Les deux jours suivants, je ne vois pas Christophe à la maison pourtant, on entame le week end. Le samedi matin, je pars retrouver Alice avec qui je vais passer les 24 prochaines heures. Nous passons tout notre temps à s’aider à étudier mais aussi à faire de très bonnes galipettes. Le dimanche en fin de matinée après avoir tendrement fait l’amour uniquement avec nos corps, nous nous quittons à regret.

Je rentre chez ma mère en début d’après midi, la maison est totalement silencieuse. Je me mets en t-shirt et petites culottes accroupie sur un fauteuil devant la télé. Alors que je mange un bol de céréale sans quitter l’écran des yeux, Christophe surgit dans le salon encore une fois seulement en caleçon. Pas du temps étonné par ma tenue, c’est peut être normale vu que sur 3 rencontre il m’a vu 2 fois très légèrement vêtue, il me demande où est ma mère.
Surprise je lui réponds que je pensais qu’ils étaient ensemble.

Je lui propose de l’attendre avec moi. Il revient de la cuisine avec deux bouteilles de bière, après m’en avoir donné une, il s’assoit dans le canapé à côté de moi. Nous nous mettons à discuter jusqu’à en oublié la télévision. Je l’écoute attentivement mais je salive aussi en admirant son magnifique corps bien qu’il est plus du double de mon âge.

Même si je me suis déjà beaucoup amusée avec Alice, j’ai très envie de lui sauter dessus, de gouter à sa peau, de me sentir prisonnière entre ses bras, d’écraser mes gros seins contre son torse… et évidement de le sentir en moi. Mais j’ai envie que ça soit lui qui vienne vers moi, qu’il me désire vraiment. Alors je me contente de bien lui exposer mes jolies courbes et le laisse faire pour le reste.

Rapidement la discussion devient plus intime. Il me dit que ma mère lui a dit que j’étais en couple avec une fille. Il s’intéresse à la situation et me demande s’il y a une grosse différence. Si j’ai déjà fait l’amour avec un homme. Si je préfère avec un garçon ou une fille.
Je lui explique qu’une femme sait vraiment bien comment donner du plaisir à une autre femme. Je lui avoue que j’aime Alice et que j’adore passer du temps avec elle. Mais je lui dis aussi que je peux pas comparer car, dans les deux cas, le sexe de l’un apporte des choses que l’autre ne peut pas apporter.

Du coup, il me demande ce qui me manque le plus lorsque je fais l’amour avec Alice. Sans même réfléchir, je pense ni à Alice ni à ma mère mais uniquement à moi et lui réponds:
« C’est simple : La Pénétration. Ok, on s’amuse avec Alice grâce à nos langues et nos jouets mais la pénétration avec une vraie bite me manque. Ca m’arrive de mouiller juste en y pensant. »

Je joins le geste à la parole et j’att sa main pour la poser sur le triangle du tissu mouillé de ma culotte. Christophe me regarde avec un air interrogateur, je lui réponds avec un magnifique sourire et je soulève mes sourcils avec un air coquin.
Christophe a très bien compris le message car il glisse ses doigts sous le tissu. Il commence par me caresser le pubis, tout lisse, puis mes grandes lèvres qui s’ouvrent rapidement.

Je ferme les yeux pour profiter au maximum de sa main. Il introduit 2 doigts dans ma grotte inondée et les fais aller et venir en moi. Sans ressortir de ma chatte, il s’installe entre mes jambes et retire ma petit culotte. Alors que ses doigts tournoient dans mon con, il pose ses lèvres sur mon clito. Je me fais bouffer la chatte en plein milieu du salon de ma mère, par son amant!

Mes lèvres dégoulinent sur les siennes, ses doigts me baisent vigoureusement. Il décolle sa bouge de moi pour me demander:
« Alice te fait autant mouiller? »
Pour toute réponse, j’appuies sur sa tête pour qu’il retourne sur mon entrejambe. Christophe fait tourner sa langue partout sur ma vulve alors que maintenant il a trois doigts en moi.

Je ne sais pas si c’est de tromper Alice, si c’est après presque un an d’abstinence sans sentir le corps d’un homme (et quel homme!) contre le mieux, si c’est de voler l’amant de ma mère… mais je jouis très rapidement. Une fois que je redescends un peu du pic de mon orgasme, je l’att par le bras et l’entraine dans ma chambre en lui lançant un coquin:
« Viens! »

Une fois dans un cadre un peu plus intimes, je me dépêche de lui enlever le caleçon et d’enfin découvrir l’objet de mes désirs. Je comprends mieux les hurlements de ma mère pendant qu’ils font l’amour. Mes deux premiers amants étaient déjà bien montés, les deux suivants moins, mais alors là je suis plus qu’impressionnée par la matraque qu’il a entre les jambes.

Alors que je cajole son costume 3 pièces à deux mains, j’ai l’impression de baver d’envies. Je continue d’activer mes mains pendant que je lèche tendrement son gland. Je le prend en bouche, l’aspire et je fais tournoyer ma langue. Je m’empale lentement sur son membre et me demande pourquoi je ne me suis pas intéressée plus tôt aux hommes mûrs. Mais surtout pourquoi j’ai attendu aussi longtemps pour profiter d’une vraie queue.

Je le suce vigoureusement en lui malaxant les couilles, Christophe râle de plus en plus fort. Je recrache sa queue, qui me déforme les lèvres pour le branler alors que je vais lui bouffer les couilles. Je remonte doucement sur sa tige pour le sucer encore un moment mais je veux déjà passer à l’étape suivante, je veux le sentir en moi. Ma chatte crie famine depuis maintenant trop de mois, il faut que ça change.

J’empoigne sa bite et continue de le branler en l’attirant sur mon lit. Avec ma main de libre j’ouvre le tiroir de ma table de nuit, je sais qu’il me reste des préservatifs. J’en prends un que je déroule sur son membre puis je relâche son sexe. Je m’installe, sur le dos, au milieu du lit les cuisses grandes ouvertes, le message ne peut pas être plus clair.

Christophe s’approche de moi et se glisse entre mes jambes, il empoigne son sexe et me masse les grandes lèvres avec son gland plastifié. Il plaque sa tige le long de ma fente et commence à monter lentement jusqu’à ce que son gland cajole mon petit bouton. Il fait plusieurs allers retours contre moi en ne manquant jamais mon clito. Je dégouline mais je sais pas si par désir ou par plaisir.

Je le supplie de me prendre mais lui continue de me chauffer un long moment. Il place son gland à l’entrée de ma grotte et s’enfonce mais sans rentrer dans mon sexe. Il fait bouger sa bite de bas en haut entre mais petits lèvres. J’ai envie de m’avancer pour le faire rentrer en moi mais sa main contre mon ventre m’empêche de bouger.

Ensuite il fait de nouveau glisser sa tige contre ma fente avant de me donner des coups de queue directement sur mes lèvres intimes mais aussi mon clito. A chaque fois que son sexe tape le mien, je sens des gouttes de mouille qui éclaboussent mes cuisses et mon ventre. J’ai l’impression de bruler de l’intérieur surtout quand je sens ses veines gonfler contre moins.

Alors que je gémis comme une folle, il me pénètre d’un coup sec. Je profite de chaque centimètre qui s’enfonce en moi, une explosion démarre de mon ventre et se diffuse dans tout mon corps. Cela fait un long moment que je n’avais pas eu un tel orgasme. Je me sens totalement ailleurs et j’abandonne mon corps au bon soin de Christophe.

Il me ramone à différents rythmes mais me fait aussi changer de positions à plusieurs reprises. Ca me permet de constater qu’en plus d’avoir un corps à faire rêver toutes les femmes, un sexe à en rendre jaloux plus d’un, il est aussi très endurant. Pendant près d’une heure il me défonce comme une chienne et me fait enchainer les orgasmes.

Alors qu’il laboure ma grotte, à en faire vibrer tout mon corps, je suis sur le dos avec seulement la groupe relevée, il se retire d’un coup sec. Il me fait m’assoir sur le lit et se met debout devant moi. Il att ma tête entre ses mains et fait lentement coulisser sa queue entre mes lèvres.

C’est Christophe qui donne le rythme de ma pipe mais gourmande comme je suis, je ne reste pas inactive. Ma langue tournoie autour de sa tige alors qu’une main branle la partie de sa bite qui n’est pas dans ma bouche. L’autre main malaxe fermement ses couilles. Christophe râle de plus en plus fort.

En à peine quelques minutes, je sens son sexe, toujours dans ma bouche, être pris de spasmes. Je sens ses veines se contracter contre mes lèvres alors je presse encore plus ses couilles. Un premier jet vient taper contre mon palet, lui comme les 3 suivants me remplissent la bouche.

Moi qui ai toujours refusé l’éjaculation buccale et n’ai jamais voulu goûter au sperme, je me retrouve la bouche remplie de la semence de Christophe. J’ai l’impression d’être une vraie salope, en tout cas sa chienne. Alors qu’il est toujours entre mes lèvres, j’avale son jus comme si c’était le plus divin des nectars. Une fois qu’il ne reste plus une goutte, j’ouvre en grand la bouche pour lui prouver que j’ai tout avaler.

Christophe rigole et descend du lit. Il quitte ma chambre, son caleçon à la main et se dirige vers la salle de bain en laissant ma porte ouverte. Je m’écroule sur le lit pour reprendre mes esprits. Cela fait un an que je n’avais pas senti une vraie bite dans ma chatte et grâce à lui je me sens vraiment repue.

Alors que je suis recouvert de sueur et prêt à m’endormir, je préfère me relève et fermer la porte à clé. Je retourne dans mon lit et ne tarde pas à m’ecrouler. Je me réveille en entendant ma mère gémir. Je repense à Christophe et nos ébats de tout à l’heure. Même si j’ai la chatte en feu, je me caresse en imaginant que c’est moi qu’il fait couiner ainsi. Je jouis presque en même temps que ma mère.

Après ce beau moment, je reste chez ma mère, contrairement à mon frère je ne déménage pas la semaine suivante chez mon père. Heureusement qu’Alice n’est pas là de la semaine car j’essaye de me retrouver seule avec Christophe mais aucune occasion se présente. Ma mère est à chaque fois présente avec nous, je me sens encore plus frustrée qu’avant de goûter à sa queue.

Un soir alors que je révise dans ma chambre, j’entends que ma mère regarde la télé dans sa chambre. Alors que je suis plongée dans mon bouquin, on frappe sur mon épaule, j’en sursaute de peur. J’entends ma mère crier:
« Tout va bien. »
Je la rassure et me retourne vers Christophe qui a déjà sorti sa queue. J’allais lui gueuler dessus mais, me retrouvant nez à nez avec sa bite à demi molle… j’en suis bouche bée. Il en profite pour faire rentrer son sexe entre mes lèvres.

Alors que je le suce et branle avec gourmandise, je malaxe aussi ses couilles. J’aime sentir sa queue grandir et grossir dans ma bouche. J’adore avoir se pouvoir sur cet homme qui après avoir baiser qu’une fois ensemble, a une énorme emprise sur mon désir sexuel. Même s’il est déjà bien dur, je continue de le lécher, le sucer, l’aspirer et faire glisser mes lèvres.

Il recule et se retire de ma bouche, je vois enfin le moment où il va me pénétrer. Je me lève pour aller chercher une capote dans ma table de nuit mais il me rassoit et me dit:
« Merci, maintenant je peut aller baiser ta mère! »
Je le vois disparaitre de ma chambre, tout aussi discrètement qu’il est rentré.

A peine une minute plus tard, j’entends ma mère qui commence à gémir. Je suis folle de jalousie mais aussi folle de désir. Je reste assise à mon bureau et glisse ma main dans ma culotte pour me masturber en entendant ma mère prendre son pied. J’ai du mal à mes râles alors je vais sur mon lit et pose un oreiller sur mon visage pour quand même mes cris.

Le lendemain quand je rentre de l’école ni ma mère ni Christophe ne sont là. Le jour suivant ma mère est déjà avec un nouvel amant. Au lieu de me dire que je vais pouvoir oublier cet homme pour qui j’éprouve une énorme attirance sexuel et me consacrer à la femme que j’aime, je me réjouis que Christophe soit enfin libre des griffes de sa maitresse. Maintenant il ne me reste plus qu’à trouver son numéro dans le téléphone de ma mère.

Nous nous revoyons souvent chez lui, je passe plus de temps avec Christophe qu’avec Alice. A chaque fois que nous nous voyons, non seulement il me fait un petit cadeau mais en plus il me fait l’amour comme un dieu. Quand je passe la nuit chez lui le lendemain, il m’amène en cours en voiture et je frime devant mes copines.

Je suis amoureuse d’Alice mais je pense aussi tomber amoureuse de Christophe en tout cas de sa bite. Même si je passe beaucoup de temps avec ma copine, je peux plus me passer de Christophe. J’aimerai pouvoir continuer avec mes deux amours comme ça et pour vous dire la vérité j’aimerai bien les avoir tous les deux dans mon lit mais ça c’est une autre histoire…

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