Veillée Funèbre. 3
Ma première nuit de deuil. 3
Tout mon ventre est irradié, mes seins sont hyper sensibles, mes pointes sont dures, dans un spasme lorgasme qui minonde me fait oublier que je me donne à un manant car pour la première fois de ma vie je ressens d un plaisir sans limite non simulé, jamais atteint avant lui.
Anselme me laisse redescendre doucement de mon nuage. Il sest relevé et pour la première fois de sa vie me donne un ordre.
-Madame Amélie
Je veux que vous
que tu sortes mon sexe
Suite :
Il est devenu le maître et moi son esclave sexuelle. Il sait que je vais lui obéir mais comme jhésite, il prend ma main et la guide sur lui, je baisse son pantalon puis fais glisser avec fébrilité son caleçon molletonné que portent les hommes de notre époque.
Les pans de sa chemise me cachent sa verge, je les écarte et mapparait une verge épaisse au gland masqué par la peau de son prépuce.
Son pénis bande à peine malgré ce quil ma fait subir mais je nen crois pas mes yeux en découvrant cette verge courtaude entourée des poils abondants poivre et sel. Ce qui me frappe et meffraie aussi, cest lépaisseur de son sexe déjà plus gros que celui de mon défunt en pleine érection.
Il va me défoncer la chatte avec un tel organe ! Les couilles toutes fripées sont du même acabit dans leur gangue de poils.
-Prends-moi en bouche !
Lordre ne peut pas être plus clair et direct. Mon excitation de cette découverte reprend le dessus, je rapproche ma tête et ouvre grande ma bouche, ne prenant pour linstant que son gland entre mes lèvres. Lhygiène laisse un peu à désirer, lendroit sent le fauve, la campagne, le foin mais semble être propre! Ça devrait me rebuter mais mon envie est trop grande. Cela fait si longtemps que jespère que je ne vais pas le décevoir. Je nai que lexpérience acquise avec Henri, mon « ex » mari
- Ne fais pas tant de manières ! Prends en plus et suce-moi bien, tète ma queue et caresse-moi les couilles !
Je prends ses ufs, les caresse, les fais rouler entre mes doigts.
- Lèche- moi sur toute la longueur, pas que le bout!
Contrairement davec mon mari jai plaisir à le faire, je prends sa verge à deux mains pour mieux lécher de la pointe de ma langue la peau hyper-sensible située sous le gland faisant gémir Anselme qui mencourage à continuer. Jarrive sur le frein, ce minuscule bout de peau qui donne cette forme si spéciale au museau dune belle queue par la traction quil exerce dessus.
Quand je le lèche, jexcite des terminaisons nerveuses qui déclenchent un grognement de bête-fauve de ce rustaud si bien monté, reprenant la main sur mon employé.
Mais je ne reste pas maîtresse de la situation bien longtemps, il cale une main derrière ma tête et lautre sous mon menton et enfonce dun coup sa monstrueuse verge au plus profond de ma gorge.
Je crois quand il fait aller et venir sa queue dans ma bouche arrondie dans un bruit de borborygmes et des trainées de bave.
Cest très avilissant pour moi, jai des larmes aux yeux mais cest tellement nouveau, jouissif même de nêtre là que pour donner du plaisir à un homme. Pour réguler ses ruades et lui rappeler que cest encore moi la maîtresse de maison, je prends ses couilles sans ménagement dune main pendant que de lautre je lui rends la monnaie de sa pièce en cherchant son anus et sans aucune précaution enfourne à sec mon majeur dans le puits contracté.
Ça ne lui fait ni chaud ni froid bien que je maltraite ses couilles et son cul, le rendant peut-être encore plus entreprenant.
- Salope ! hurle-t-il, aussi salope que ton connard de mari !
Il me force à mappuyer des deux mains sur le bord du cercueil, une jambe de chaque coté.
Je suis choquée de ma position mais la fièvre du désir de cet amant insoupçonné mexcite tant que je me sens vraiment salope.
Anselme, comme fou de létat dans lequel je lai mis, me claque les fesses violement avant de présenter le mufle de son sexe qui cherche ma fente, la trouve et dun coup la pourfend.
Jamais je noublierai cet instant, il me défonce, écartèle mon sexe qui na jamais été à telle fête.
La douleur est vive mais fait place au plaisir, ma chatte ruissèle et ma cyprine goutte sur le costume de mon défunt mari. Anselme me baise, menfile comme un molosse sur une petite chienne en chaleur.
Un feulement de bête en rut me donne des sueurs froides. Il va sûrement jouir et je ne tiens pas à ce quil mengrosse.
Alors comme par défi et ne voyant pas dautre possibilité et pour retrouver des sensations plus fortes que mavait fait connaître une seule fois mon mari, je lui ordonne :
- Anselme, encule- moi et vide tes couilles dans mon cul !
Un peu incrédule sans doute, il me demande dune voix forte :
- Tu veux vraiment ma grosse queue dans ton cul ? Tu la veux dis ? Mais tu vas la sentir passer !
On dirait quil a perdu toute raison, toute mesure, mais pour linstant je ne pense quà sa poutre, à ce sexe hors-normes qui va me défoncer lanus.
Son sexe glisse encore dans mon vagin, jamais je ne me suis sentie si pleine, je sens en moi ce pénis noueux à la forme tourmentée qui me ramone sans faillir. Il est comme fou, cul nu, chemise au vent, il me fourrage toujours la chatte avec une sorte de rage, je suis comme une poupée désarticulée par les embardées quil mimpose, perdue dans ma jouissance.
Je le sens derrière moi, haletant, il écarte mes fesses, profitant du spectacle de ma chatte et mon cul offerts à sa lubricité. Je me prépare à la douleur de leffraction de mon anus qui na jamais connu un tel organe.
Il se retire de mon sexe et je mattends à lestocade. Je suis prête au pire mais au lieu de sa verge, cest sa langue qui joue une danse subtile autour de mon anus.
A suivre
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