Veillée Funèbre. 2
Ma première nuit de deuil. 2
Il prend son temps me caressant lintérieur des cuisses jusquà ma fourche, jai les jambes qui flageolent. Il marque un temps dhésitation qui me rend folle, il tourne sa main droite, la paume en lair et prend à pleine main ma chatte par dessus ma culotte.
Je suis si surprise que je réagis enfin :
-Mais ! Anselme
que faites-vous ?
Suite :
Anselme redescend lui aussi de son petit nuage comprenant sa témérité folle, la vulgarité de son geste de simple employé de maison sur sa patronne.
Penaud, il veut retirer sa main mais je plaque la mienne sur la sienne, lobligeant à rester agrippée à ma chatte dans un mouvement instinctif. Ce nest pas mon cerveau mais mon corps qui a pris le pouvoir. Dailleurs, pour prouver à Anselme ma pleine approbation, ma chatte sèche comme de lamadou, délaissée depuis si longtemps se met à ruisseler sous la caresse un peu brutale, inondant ma culotte de mouille et coulant sur mes cuisses. Je ferme les yeux en le priant :
-Non ! Ca me fait trop de bien
..Continuez Anselme ! Je vous en conjure !
Jécarte légèrement mes jambes pour bien lui faire comprendre que je mabandonne à lui. Mon désir lencourage à prendre à pleine main ma vulve quil caresse entre mes cuisses, mais se sent-il assez courageux malgré ma réceptivité à pousser plus loin ? Oh que oui car je sens Anselme senhardir en repoussant ma culotte du bout de ses doigts lun deux cherche ma vulve, la trouve en la dégageant de ma toison de brune en friche depuis belle lurette.
De la dernière phalange, il commence à caresser ma fente puis il linsinue à peine jusquà mes petites lèvres qui cachent mon temple fendu du vagin à mon clitoris.
Je suis surprise de la délicatesse du doigt qui me fouille mattendant à plus de rudesse de cet homme des bois, et de ma soumission car javance mon pubis au devant de son doigt.
Je moffre à lui, joffre mon sexe de plus en plus humide de mon miel pour lui faire connaître le plaisir quil me donne.
Il prend de lassurance face à ma réaction positive et je métonne de son savoir, ne soupçonnant pas quil ait beaucoup dexpérience dans ces choses là. Son doigt ne se contente plus de lentrée de ma grotte et disparait en moi, réveillant une chatte si longtemps endormie.
Son doigt est gros, dur, calleux, je pousse un petit cri comme une vierge qui vient de perdre son hymen mais malgré sa rugosité, mon conduit sajuste à cet intrus qui se met à me branler.
Anselme sapplique comme si son emploi en dépendait. Mon vagin inondé apprécie maintenant ce doigt qui coulisse, entrant et sortant comme si un petit pénis me baisait. Il se déplace et memprisonne une cuisse entre ses jambes. Il presse son bas-ventre sur ma cuisse pour me faire sentir son sexe.
Je ne sais pas sil bande mais ce qui est sûr, cest quil y a de la matière.
Il reste muet et à chaque fois que son doigt me pénètre, je serre tout ce que je peux pour retenir en moi ce « membre » quand il se retire pour que la peau si douce de ma cramouille profite de la rugosité de ce doigt qui enflamme mes entrailles.
Je rajeunis de quelques années, je vais jouir ! Le doigt dAnselme se plie et excite une zone hyper-sensible de mon vagin que mon défunt mari na jamais recherché, ne sintéressant quà son propre plaisir. Ma mouille devient de plus en plus abondante. Je ne savais pas quune femme pouvait autant mouiller. Mais quand deux autres doigts viennent prêter « main forte » au premier, japprécie dêtre si bien « huilée ». De temps en temps, sa main frotte sur mon clitoris qui est sorti de son capuchon, tout raidi.
Je sens monter un orgasme puissant et dévastateur, je vais jouir debout
. le corps raidi par le plaisir qui minonde dun coup pendant que jinonde la main dAnselme. Jhurle
quand la vague déferle.
- Ouiiiiiiiii ! Ahhhhhh
oui
Anselme, je jouis
.oui
ouiiii
ouiiiii
ouiiii
.oui
ouiiiiii
.oui !!!! Continuez !!!
Je jouis comme je ne pouvais limaginer il y a encore quelques jours.
Comment est-il possible de faire une telle caresse qui va de mon clito à mon cul ?
Son majeur est maintenant seul et continue son uvre dans mon vagin. Je nai jamais ressenti dans ma vie de femme une telle chose, je halète, je marmonne entre mes lèvres en bavant de plaisir, mes jambes ne me portent plus, heureusement que les jambes dAnselme me soutiennent.
Jamais je naurais cru que cet homme si effacé me ferait jouir à ce point avec sa seule grosse paluche.
Mes yeux presque révulsés se fixent un instant sur le cercueil, le fait de voir mon mari allongé entre « quatre planches » décuple mon excitation. Jespère quil entend là où il est mes gémissements.
Je me venge du mépris quil avait de moi, de ma condition dépouse quil ne contentait jamais, de lui faire regretter les plaisirs que jaurais pu lui donner sil avait voulu.
Anselme mentraîne sur le lit quil a libéré du corps de mon mari. Aujourdhui, cest lui le Maître et moi sa servante, je le laisse faire. Il me renverse, retrousse ma robe, écarte mes cuisses.
Je suis complètement ouverte, offerte à Anselme qui déchire ma culotte. Il se penche sur moi, met mes cuisses sur ses épaules et son visage entre mes jambes, et il me suce la chatte. Le contraste avec ses doigts est fantastique, sa langue douce senlise en moi, déflore ma fente, ce que na jamais voulu faire mon mari.
Cest sa langue maintenant qui me fait jouir en baisant ma fente poilue, en me pénétrant, en sinsérant entre mes grandes lèvres, folâtrant dans tous les coins de ma grotte qui na jamais connu telle fête. La pointe de cette langue navigue du pli profond et secret de laine à celui de mes grandes lèvres en titillant mon clitoris au passage, le lapant pendant que ses doigts sont toujours là pour lui préparer le terrain, dégager mes poils pubiens, écarteler mes grandes lèvres, titiller mon clito.
Heureusement que la maison est isolée car mes hurlements me feraient passer pour une veuve folle de douleurs.
Je ne sais plus ou jen suis tant cette caresse est délicate, je jouis en continu, je mouvre, moffre davantage pour mieux en profiter mais je sens un doigt entre mes fesses qui explore la rosette de mon anus avant de remonter vers mon périnée pour se joindre à sa langue dans mon vagin et une fois bien lubrifié de mon plaisir revient à son but premier. Il glisse de nouveau sur mon anus, en fait le tour avant de se figer en plein centre. Mon esprit remonte à la surface un instant quand il le presse sur ma rosette fripée, la peur prend le pas sur ma jouissance.
- Non Anselme ! Non
nooonnn !
-Pourquoi ? Baragouine Anselme la tête entre mes cuisses. Vous ne savez pas encore comme cest bon !
Je nai pas le temps de lui répondre car son doigt force le passage, écartèle mon anneau, entre doucement de toute sa longueur et sagite dans mon fondement. Je nai pas ressentis la douleur que je redoutais, son majeur coulisse librement me sodomisant tandis que sa langue me baise toujours la chatte.
Tout mon ventre est irradié, mes seins sont hyper sensibles, mes pointes sont dures, dans un spasme, lorgasme qui minonde me fait oublier que je me donne à un manant car pour la première fois de ma vie je ressens d un plaisir sans limite non simulé, jamais atteint avant lui.
Anselme me laisse redescendre doucement de mon nuage. Il sest relevé et pour la première fois de sa vie me donne un ordre.
-Madame Amélie
Je veux que vous
que tu sortes mon sexe
A suivre
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