Veillée Funèbre. 4
Ma première nuit de deuil. 4
Il se retire de mon sexe et je mattends à lestocade. Je suis prête au pire mais au lieu de sa verge, cest sa langue qui joue une danse subtile autour de mon anus. Une caresse humide, presque un chatouillis à nul autre pareil, tourne dans les replis fripés de mon petit trou comme une démangeaison presque insupportable.
Suite :
Je me retiens de ne pas hurler mais la sensation sestompe au profit dune pression de ses doigts, je sens ma rosette qui les accueille avec plaisir. Je reprends un peu de courage et de volonté devant linéluctable tellement cest agréable. Au moins lui, il prend quelques précautions avant linstant fatidique !
-Tu sens mes doigts qui bougent dans ton cul?
- Oui je les sens bien, tu le trouves beau mon petit trou?
- Oui, mais je vais laléser pour voir lintérieur quand je vais te fourrer !
Il rajoute un doigt.
- Que ressens-tu ? Tu as mal ?
-Cest plus serrée et ça brûle un peu.
- Serre les dents.
Chaque doigt a amené sa dose de plaisir, je jouis à chaque nouvelle brûlure, écartelée par ses gros doigts qui vont et viennent en moi ponctués de mes :
- oui
oui. Ooouuuiii ! Encore !
Après une brève accalmie après cette tempête de sensations, la chose que je sens presser ma corolle est beaucoup plus grosse. Ça ne peut être que le gland de son énorme queue luisante de ma cyprine.
Son défonce-cul senfonce de la longueur de son gland me faisant serrer les dents, le reste suit, cest plus dur, plus gros, ça brûle encore mais le plaisir renait, je suis pourtant complètement défoncée. Mon anus complètement dilaté, Anselme pousse son museau de quelques centimètres avant de me demander, inquiet ou bien juste pour me narguer :
-Ça va, Madame? Je continue ou
-Oui, oui ça va ! Mais putain que tes gros mais cest si bon ! Je lui rétorque dans un gémissement de plaisir.
Anselme entreprend un lent mouvement de va-et-vient, enfonçant maintenant sa poutre aisément et profondément dans mon cul dilaté. Je gémis de plaisir et de douleur.
Il ne me demande plus mon avis maintenant, il est penché derrière moi, ses mains agrippées sur mes hanches et il menfourche, me chevauche, je sens quil presse mes fesses, ce nest que du plaisir tant je suis ouverte. Il me sodomise bien à fond et je sens son ventre taper sur mes fesses, ses grosses couilles frapper ma chatte.
Ses va-et-vient de faibles amplitudes vont en augmentant quand je bouge mes fesses à la rencontre de son pal. Il devient comme fou, me défonce lanus, ses couilles fouettent ma chatte il cadence ses pénétrations à un rythme quil ne pourra pas tenir bien longtemps.
Ma litanie de mes oui
oui
de plus en plus fort se transforme en cris maintenant, les cris dune femme qui jouit :
-Ahhhhh
..ahhhhh
.ahhouiiii
..ahhhouiiiil que cest booonnn
.. Plus vite
plus fort ouiiiiiiiii !
Nous sommes en sueur qui perle sur notre peau et dans le cercueil. Je ne sais plus depuis combien de temps dure la cavalcade dAnselme mais cest un cavalier endurant qui dure, qui dure, je sens cette queue sortir de mon anus avant de me refourrer encore et encore
Sans se désengager, les mains Anselme quittent mes hanches et prennent mes cuisses, les relèvent et les appuient sur ses hanches. Je ne sais pas si vous voyez la position, imaginez mes mains sur les bords du cercueil, ma tête à quarante centimètre de celle de mon mari et Anselme qui sagite entre mes cuisses sa bite dans mon cul, mais je vous prie de croire que cette sodomie irréelle et profonde atteint des sommets.
Mes cris lentrainent vers son plaisir, je jouis par le cul, je serre mon cul sur son pieu, pour jouir plus encore. Je lui hurle ma jouissance.
-Oui
.oui
.ouiiiiii
Il monte dans les tours, je le sens, il vient, il est là et explose dans mon rectum, il se répand dans tout mon corps, dans ma tête, dans mes tripes bourrées de cellules sensitives qui captent et envoient à mon cerveau déboussolé ces informations qui explosent dans chacun de mes neurones.
Il jouit, il jouit dans mon anus et plus rien ne compte désormais que ce gros sexe qui se vide en moi, il minonde de son foutre au plus profond de moi.
Il se retire enfin et des contractions incontrôlées de mon rectum expulsent son foutre qui finit sur les habits de
mon époux.
Dans un effort surhumain, il me jette sur le lit proche, sécroule de tout son long sur moi, et me baise à nouveau dans cette position, je sens son souffle dans mon cou, ses grosses mains qui pétrissent mes seins, il mencule et sagite comme un fou pour me prendre bien à fond en écartelant mes fesses, je nen peux plus tant mon orgasme est fabuleux, me plonge dans le néant qui mengloutit sous la puissance de mon orgasme.
Je ne pourrais plus dire quand Anselme sest écroulé enfin sur le côté en se retirant de moi. La torpeur ma envahi dun coup, me terrassant. Je suis complètement anéantie, ivre de plaisir.
Je maperçois que je suis seule, toute dépoitraillée, jai mal de partout.
Mon merveilleux amant est parti en douce pour éviter sans doute les mots, les explications de linexplicable qui sest déroulé dans cette pièce, pour rester chacun sur ce moment irréel qui nous a fait jouir tous les deux ?
Comment allons-nous nous retrouver demain quand nos pulsions se seront éteintes ? Pourrais-je continuer de le garder à mon service en essayant de gommer ce qui naurait jamais du se passer
Où bien
Dès que je le verrai, je penserai à son sexe hors norme et sa faculté de me faire jouir.
Mais qui peut mempêcher désormais de baiser avec qui je veux ?
Je me relève, réajuste ma tenue. Ma culotte est trop déchirée et je la jette dans le cercueil sur le visage figé du défunt comme pour conjurer le sort.
Qui aurait pu prévoir ce que je viens de vivre ? Je suis horrifiée de mes pensés car jai encore envie de baiser
mon corps encore souillé sest réveillé et je ne veux plus quil se rendorme.
En sortant de la chambre, je croise Anselme qui revient avec ses outils pour fermer le cercueil de mon défunt mari.
.Je crois
non ! Je suis sûre que je vais garder Anselme à mon service, et je dis bien (A MON SERVICE) pour baiser encore et encore, il a su réveiller la femme aimante et amante en moi et il est hors de question que je ne ratt pas le temps perdu
.
Dire que je vivais à coté dun tel étalon monté comme un âne et que je lignorais!
Je le sais maintenant et il est hors de question de ne pas en profiter, tout mon corps endolori me le rappelle.
Il ne faudra pas trop en r quand même
il nest plus tout jeune.
Fin
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