Collection Histoire Courte. Ma Fiancée, Ma Belle-Mère (1/1)

Il y a trois mois que je drague une magnifique jeune fille, Clémence 20 ans, étudiante en histoire et géographie dans le même amphithéâtre qu’elle.
Je veux être prof dans ces spécialités.

Je suis venu à Montpellier après mon bac.
Jusqu’à ce jour après mon bac que j’ai loupé une fois, lamentablement, plus enclin à sauter les filles que de potasser mes bouquins.
L’année suivante connaissant un peu le programme, je l’ai eue.
Première année en fac de droit jusqu’à ce que je croise l’amour de ma vie.
Clémence, jolie blonde, type Betty Boop en blonde.
Ce sont ses boucles qui m’ont fait craquer.

Je l’ai croisé alors que j’allais à la bibliothèque, j’ai fait demi-tour et je l’ai suivi.
Amphi et cours d’histoire, ma voie était tracée, jusqu’à la fin de l’année je suis venu ou elle était sans jamais réussir à l’aborder.
J’ai changé d’orientation, l’année suivante ce qui fait que j’ai presque 23 ans quand enfin elle me remarque et accepte de venir prendre un verre.
J’ai beaucoup aimé ses yeux qui regardaient mes yeux très directement.

Il y a quelques semaines, j’ai réussi pour la première fois à lui prendre la main.
Je l’ai reconduite chez elle, contrairement à moi, sa mère est commerçante dans le centre de Montpellier et à ce titre habite toujours chez elle.
Avant qu’elle me quitte, je réussis à l’embrasser.
Ses lèvres sont suaves.
De toutes les filles que j’ai embrassées ce sont les plus douces.

- Théo, je te ferais bien monter, mais maman est là et elle est un peu vieille France.
- Tu es vierge.
- J’ai eu un fiancé, mais il nous est parti.

Nous, j’aurais dû retenir ce « nous », mais comme je suis amoureux je laisse courir.
Je retiens simplement ce « j’ai eu », donc elle lui a offert.
Les jours passent, elle finit par me faire une proposition.

- Samedi, maman sera absente veux-tu venir manger à la maison, je nous préparerais à manger.



Encore ce « nous », mais je vois simplement que le moment de la tenir dans mes bras et de m’occuper de la partie de son corps qu’elle me refuse encore.

Je suis à l’heure, mais fébrile, va-t-elle avoir un revirement.

- Je m’appelle Agnès, je suis la maman de Clémence.
Rien à craindre, j’allais partir, je vous laisse la maison passer une bonne soirée.

Elle prend un manteau, la quarantaine, très belle femme, un air de famille entre la mère et la fille et quitte la maison.
J’ai apporté une bouteille de champagne avec un petit paquet dans ma poche.
Quand elle ouvre, sa mini, son chemisier attaché sous ses seins me montrant qu’elle a oublié de les soutenir, je bande.

- J’espère que tu aimes ce que je nous ai préparé, si tu aies sage.

Sa phrase s’arrête là, synonyme de jeux interdits, j’espère, une nouvelle fois sans faire attention au nous.
Repas charmant, conversation sur rien et tout à la fois.
À moins que ce soit moi qui sois sourd, attendant le moment où elle va se donner à moi.
J’allais aller dans le frigo où elle a rangé le champagne voyant sur le meuble de la salle des coupes, quand elle se lève, vient se glisser entre moi et la table et s’assoit sur mes genoux.
Il lui est difficile d’ignorer que je bande tellement j’ai envie d’elle.
Elle m’embrasse.

- Théo, tu viens dans ma chambre avant le dessert, j’ai envie de toi.

Avant que j’aie dit oui, bien sûr, elle ajoute.

- Tu sais, je suis un peu compliqué comme fille, acceptes-tu de suivre toutes mes envies.

Ça phosphore dans ma tête, fait-elle partie de ces filles qui aime que la sodomie ou autre partie de plaisir déjà pratiqué avec d’autres au fil de mes aventures d’un soir.
Ça a été le cas avec Nouzha une jolie beurette d’origine marocaine qui voulait se présenter vierge à un homme pour leur mariage après son éducation ?

- Sûr que j’accepte, je t’aime tellement.


Elle se lève, me prend la main, nous allons dans le couloir avant d’entrer dans sa chambre.
Je m’attendais à une chambre rose avec un petit lit, rien de tout cela.
Grand lit, tête et pied avec des barreaux.
Tête avec une paire de menottes attachée d’un côté attendant une main de la supplicier de l’autre.
Je m’attends à ce qu’elle me demande de l’attacher et de la baiser sans qu’elle puisse se sauver.
Dans mes copines, j’en ai eu deux qui aimaient que je les prenne en levrette et que je leur claque les fesses.

- Déshabille-toi et allonge-toi sur le dos.

Merde, c’est moi qu’elle veut attacher, un instant de panique vite refréné.
Le jeu commence à m’intéresser.
Une fois nu, elle me passe la menotte main gauche.
Je m’attends à ce qu’elle enlève ses vêtements et qu’elle vienne s’empaler sur ma bite tendue par ce jeu nouveau pour moi.

- Quelle cruche, j’avais oublié un rendez-vous.
Tu m’excuses, je reviens.

Ça doit faire partie du jeu, elle va me revenir en guêpière ou femme fatale.
Au lieu de cela, dix minutes après que j’ai entendu le bruit de la porte palière claquer, la porte de la chambre s’ouvre.

- Théo, je vois que cette petite chipie t’a abandonné, heureusement, j’ai apporté le champagne et deux coupes.

Agnès est devant moi, ma future belle-mère est devant moi aussi nue qu’on peut l’être ou que je le suis.
Elle dépose le tout sur la table de nuit.

- Regardé ce petit garçon qui me présente sa bite toute flasque, voyons ce que je peux en faire pour lui redonner vie.

Je pourrais ruer dans les brancards, ayant une seule main d’attaché.
Je comprends enfin le « nous » et pourquoi l’ancien fiancé a fui.
Ce jeu a dû être contraire à ses principes, moi il m’amuse, je sens que je vais y trouver mon plaisir.
Agnès me prend la verge d’une main, approche sa bouche et me fait une fellation.

De ma main libre je lui palpe les seins.
Ils sont assez fermes pour une cougar, le mamelon réagit à mon toucher et bande.
Ma verge dans sa bouche, a repris de la vigueur, elle doit sentir que je vais décharger.
À mon grand regret elle me quitte pour mieux monter sur mon lit et s’empaler sur ma verge.
À partir de là, elle fait ce qu’il faut seule, montant et descendant au gré de son plaisir qui est grand.
Elle hurle littéralement de plaisir jusqu’à ce que nous ayons un plaisir simultané atteint pour la première fois.
Nous reprenons notre souffle, elle se lève mon sexe dégoulinant de mon sperme tellement j’ai éjaculé.

- C’est bien, tu as mérité une coupe de champagne avant que je file.

Elle fait sauter le bouchon et me donne ma coupe après que je me suis redressé.
Elle trinque sans un mot.
Nous buvons et aussi fière qu’elle est entrée se faire baiser elle ressort emmenant les deux verres laissant la bouteille.

Dix à quinze minutes, la porte palière claque de nouveau.
La porte de la chambre s’ouvre, Clémence est là.

- Excuse d’avoir été un peu longue, mon rendez-vous me tenait la jambe.
Regardé moi ce gentil garçon très patient qui débande alors qu’il devrait avoir le bras tendue.
Mais qu’a-t-il fait pendant mon absence, sa queue est toute dégueulasse.
Il s’est masturbé en pensant à moi, j’ai vraiment été trop longue.

Sans plus de fioriture, elle se dénude me montrant que comme sa mère elle est intégralement épilée.

- Il va rebander mon petit chéri, j’ai envie de prendre mon pied, depuis le temps que j’attends.

Comme sa mère, elle me suce, comme sa mère, non.
Non car elle me détache et viens m’embrasser.

- Aime-moi, j’ai tellement envie.

Je l’aime, je la fais jouir avec un orgasme simultané.
Je l’aime et je lui offre ma bague qu’elle s’empresse d’accepter.

Je l’aime comme j’aime baiser ma belle-mère tous les samedis soir quand elle me montre la menotte qu’elle a attachée aux barreaux du lit et qu’elle quitte l’appartement.
Je l’aime depuis que j’ai eu mon diplôme et elle aussi et que nous venons de remplacer la boutique de ma belle-mère qui avait du mal à être rentable.
Je l’aime depuis qu’elle m’a dit que je vais être papa.
C’est drôle ce mois si ma belle-maman est venue les quatre semaines s’emmancher sur ma verge.

Aurais-je fait coup double ?

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