Francfort
Ce qui suit est un chapitre dune histoire beaucoup plus longue. Je suis prêt à partager dautres parties de cette histoire si on me contacte, mais je précise quune bonne connaissance de lAnglais séxige.
Penny est Américaine, de famille Latine, ce qui explique ses longs cheveux dun noir bleuté, sa peau bronzée et ses yeux noirs. Sportive, elle a représenté son université au plongeon du tremplin, et a fait partie de léquipe de tennis aussi. Elle est plus grande que la moyenne, à un mètre soixante-dix. Elle est mariée depuis quelques années avec Pete, avec qui elle habite en Allemagne. La leur est une relation qui a commencé quand ils étaient étudiants, mais qui sest interrompue pendant quatre ans avant leurs retrouvailles et mariage. Lui, Américain de souche allemande, brun aux yeux gris, un mètre quatre-vingts, est davantage amateur du sport que pratiquant surdoué. Voyeur de nature, la belle tête et le corps désirable de son épouse lont déjà poussé à lui suggérer des exhibitions plutôt discrètes à plusieurs reprises. Ces moments excitent Penny, excitation qui se manifeste dans les ébats effrénés qui les suivent. Cest Pete qui raconte leur histoire
.
Quand le PDG de la boîte donne un discours, il est préférable dêtre présent, surtout que deux tickets de train sont offerts. On va donc faire un tour à Francfort, qui se trouve à deux heures de chez nous. Compte tenu de loccasion, je suis obligé de me fringuer en costard. Quand Penny me voit, elle décide de se mettre, elle aussi, sur son trente-et-un. Quand elle sort de la chambre, la vue me coupe le souffle ce qui, javoue marrive assez souvent. On dirait une secrétaire qui a tout fait pour se donner un air professionnel et très sage
et qui a totalement échoué! Sa jupe noire aux plis parfaits sarrête à dix centimètres des genoux. Son chemisier, dun blanc brillant, me laisse deviner quelle a mis un de ses soutifs balconnet, sans pour autant que ce soit visiblement le cas.
On débarque à Francfort, et on se sépare, moi direction salle de conférence, elle vers les boutiques. On se retrouve à midi, pour un déjeuner à deux, au cours duquel je lui révèle que celui qui devait nous faire une conférence laprès-midi vient dannuler.
On va voir sil y a un train plus tôt pour rentrer?
- OK.
Pas de chance. À la gare on apprend que le train que nous devions prendre est le premier qui fait notre affaire. Penny na pas envie de retourner faire les magasins, ce qui me soulage. On sort dans la rue..
- Hé, Penny! Comme on est loin de chez nous, ça te dirait de visiter le sex-shop là-bas?
- Vas-y si tu veux. Jattendrai dehors.
- Ah non! On va croire que tu cherches un client!
- Jai lair dune putain?
Oups! Les pieds dans le plat, Pete! Je me ratt vite.
- Absolument pas! Mais
éventuellement une poule de luxe de très haute gamme. Tu es magnifiquement sexy!
- Ah.
Ouf! Bombe à retardement désamorcée
- Alors? Tu viens?
Penny hausse les sourcils et me suit dans la boutique. Comme souvent en Allemagne, lintérieur fait penser plutot à un supermarché. Latmosphère provocant et louche qui règne dans ce genre détablissement dans dautres pays manque ici. Un groupe de trois adolescents chuchotent entre eux devant létalage des vidéos, sinon, nous sommes les seuls clients.
- Regarde, Penny. Tu ne crois pas que ce haut tirait à merveille?
Le haut en question est bleu électrique, en résille. Il ne cachera rien de la femme qui le porte. Jai envie que ce soit Penny, même si ce nest que pour une soirée intime à deux chez nous.
- Je ne sais pas. Jaime la couleur, mais la taille
je ne suis pas sûre.
Le caissier a dû remarquer mon intérêt et est venu se placer près de nous.
- Il va falloir que tu lessaies, non?
- Quoi? Ici?
Elle est choquée, ça sentend dans sa voix, mais il y a aussi un petit tremblement qui mencourage à tenter ma chance. Je laide à enlever son petit boléro noir. Elle ne résiste pas.
- Tu ne vas tout de meme pas garder ton chemisier? Ça gâchera tout leffet.
Pendant cinq secondes je nose pas respirer. Penny ne bouge pas. Elle ne me regarde pas non plus. Puis elle commence à défaire les boutons de son chemisier, dun air résigné. Les ados ont abandonné les vidéos pour ce show en live. Je leur fais signe de ne pas trop sapprocher et ils sarrêtent à deux mètres de nous. Leurs yeux sont fixés sur mon épouse, qui enlève le chemisier ouvert et me le tend, en échange du haut bleu. Comme javais deviné chez nous, Penny porte un soutien-gorge balconnet en dentelle, qui soulève et sépare les 85B de ses seins. La blancheur de son soutif met en valeur sa peau de Latine, et jentends des murmures dappréciation de derrière moi.
Penny met le haut. Le tissu un peu brillant tombe superbement bien sur son torse presque nu. Quest-ce quelle est belle
mais
. La tentation est trop forte pour moi.
- Leffet est joli, vous ne trouvez pas, messieurs? Vous croyez quelle serait encore plus belle sans soutien-gorge ou pas?
Lopinion est unanime. Ils ont envie de voir les seins nus de Penny. Moi, aussi. Je me retourne vers elle.
- Quen penses-tu ?
Elle ne dit rien. Elle enlève le haut bleu et me le tend de nouveau. Osera-t-elle ? Elle passe ses mains derrière son dos et défait son soutif. Dune main elle le garde en place alors quavec lautre, elle me reprend le haut, met sa tête dedans et le laisse descendre sur son corps. Elle lache le soutif et nous avons droit à une Penny torse nu sous le haut qui ne cache rien de ses jolis seins, avec leurs tétons qui pointent à vouloir crever, dirait-on, le tissu. Elle reste dix secondes comme ça, immobile et avec le regard fixé vers le plafond.
- Il me plaît. Je le prends. Un souvenir de Francfort, me dit-elle.
On va à la caisse et je paie. Penny fourre le haut dans son sac à main.
- Hallo. Bitte ?
Cest un des adolescents qui me parle. Il a entendu que je parlais allemand et cela lui a peut-être donné du courage.
- Jai une question.
- Ah oui ?
- La dame
porte-t-elle un slip sous sa jupe ?
Je traduis la question pour Penny. Ses yeux souvrent en grand. Je me retourne vers le garçon.
- Question intéressante. Pourquoi tu la poses ?
Sa voix tremble un peu.
- Cest que
je me demandais, et puis mon copain ma défié de poser la question.
- Quest-ce qui te fait penser quelle pourrait ne pas en porter un ?
- Eh bien
elle est dans un sex shop et tout et tout. Une femme ordinaire ne viendrait pas ici
non ?, balbutie-t-il en jetant un coup dil presque désespéré vers les autres.
- Logique, mais faux. Penny ? Il veut que tu lui montres ta culotte. Quest -ce que tu dis ?
Jentends son aspiration subite.
- Jai un slip tout ce quil y a de quotidien. Rien de spécial. Du coton noir.
Elle a fini de se rhabiller. Je ne lis rien sur son visage, cest comme si elle ne venait pas dêtre topless devant des inconnus.
- Ce nest pas ma décision. Il va falloir que tu poses la question à la dame, dis-je au garçon.
- Oh, merde ! Quest-ce que je dois dire ?
- Il est tout aussi embarrassé que Penny, il y a quelques minutes. Il fait deux tentatives pour sortir des paroles, se racle la gorge. Puis :
- Entschuldigen Sie, gnädige Dame
voulez-vous nous montrer ce quil y a sous votre jupe ?
Tout le monde sauf Penny séclate de rire. La formule ultra-polie du début, Honorable Dame, suivi dune question tellement intime, brise la tension montante. Penny relève le devant de sa jupe et révèle un slip bikini simple noir qui moule son sexe.
- Voilà. Maintenant tu sais.
Je regarde Penny.
- Toi, tu as un souvenir de Francfort. Est-ce que tu crois que lui aussi en mérite un ? Je suis sûr et certain quil adorerait que tu lui donnes ton slip. Ça te tente ?
- Oui. Sa voix tombe dans le silence comme un rocher dans un lac. Elle glisse ses mains sous sa jupe, fait tomber son slip autour des chevilles, le ramasse et le tend au garçon étonné.
- Il ne faut pas rater notre train, me dit-elle.
- Nous avons une bonne vingtaine de minutes et la gare est tout près, je lui rappelle. Puisque nous sommes ici, et que tu as ton public dans le creux de la main, y a-t-il autre chose que tu as envie de faire ?
- Par exemple ?
- Tu voudrais de nouveau relever ta jupe et leur montrer ?
Penny avale, deux fois.
- Tu aimerais que je le fasse ? Ça me ferait un peu peur.
- À toi de décider.
- Pas certaine. Peut-être.
- Peut-être oui, ou peut-être non ? Jai insisté.
Il y a une petite pause, puis :
- Oui.
- Vas-y alors.
- Elle fait un pas en arrière, pour se donner un peu plus de place. Elle ferme les yeux. Elle prend lourlet de sa jupe à deux mains et se découvre jusquà la taille. Laspiration des autres quand la toison épaisse noire de Penny est révélé me donne des frissons tout le long de la colonne vertébrale. La vague de tremblement qui traverse le corps de Penny me dit quelle partage cette sensation troublante mais ô combien excitante. Je sens quelle sattend à ce que je dise quelque chose, mais je nai aucune idée de quoi. De dire que ça suffit, peut-être ?
Ladolescent qui a posé la question lève la main, tel un écolier en primaire.
- Est-ce quelle permettrait que je la touche ?
Penny ouvre de grands yeux effarouchés.
- Quest-ce quil a dit ?
- Tu sais très bien ce quil a dit. Je regarde le jeune.
- Tu as vraiment envie de la toucher ?
- Oh, Ja ! bitte, bitte !
- Il faut demander à la dame.
- Madame
Je
je peux toucher votre
Il narrive pas à finir sa phrase, mais gesticule vers le but de son désir.
- Tu veux regarder pendant que je me fais peloter le minou ? Penny me demande. Je narrive pas à lire ni son visage ni le ton de sa voix.
- Ce nest pas à moi de décider. Cest ton minou.
- Pas tous, alors. Seulement lui.
Pas tous ? Lidée navait même pas commencé à sesquisser dans mon cerveau. Le tremblement presque incontrôlé dans la voix de Penny trahit quelle a donné tout de même un peu de réflexion à lidée de permettre à plusieurs inconnus de la caresser, même si, finalement, elle sest dégonflée. Il va falloir que je réfléchisse à cela
.
Penny avance dun demi mètre vers le garçon, puis sarrête. Elle écarte ses pieds davantage en anticipation et acceptation claire et nette de son toucher. Elle relève à nouveau sa jupe et tend son bassin vers lavant.
Les pieds du garçon semblent être cloués au sol. Il manque de trébucher en avant quand il tend sa main, que je peux voir trembler, vers le sexe de Penny. Ses doigts tracent une raie dans sa toison épaisse, et glissent dans la fente de ma femme. Penny lâché un grognement presque bestial. Ses genoux fléchissent, ce qui me dit que le garçon a atteint le point le plus sensible. Il retire sa main et regarde, bouche bée, le jus qui dégouline de ses doigts. Penny fait un geste de négation de sa tête, lache lourlet de sa jupe et recule.
- Pete ? Le train, dit-elle et se dirige vers la sortie.
Je la suis jusquà la gare en on monte dans le train. Pendant tout le trajet pour rentrer chez nous, Penny reste assise bien droite, les genoux serrés lun contre lautre. Ça lui donne un air de sainte-ni-touche, mais ma cuisse contre la sienne me fait comprendre quelle contracte et relâche sans arrêt ses muscles, pour mieux comprimer son sexe.
Nous nen parlons pas cette nuit-là, mais la baise déchaînee qui nous laisse épuisés rend les paroles superflues. Cet incident au sexe shop trouvera vite sa place parmi nos fantasmes.
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