Franck 02

Moi c'est Bob, en fait je m'appelle pas Bob mais j'ai un double prénom ridicule alors ... Moi c'est Bob ! En plus Bob, c'est le premier mot que j'ai prononcé quand j'était tout petit, alors depuis tout le monde m'appelle Bob. J'ai 43 ans 1M70 , 72 kilo...
Franck est un enfoiré, je le hais ... Bon, en fait c'est pas vrai, c'est un garçon adorable, et tout va très bien entre nous... Mais il y a des jours... Les grandes vacances approchent, il veut que nous allions à la mer. Bon, jusque là pas de problème, j'aime beaucoup la mer, la plage, le soleil, ne rien faire sinon bronzer, roupiller sous le parasol... le retour à la maison fatigué, épuisé d'une journée à ne rien faire (à moins que ce ne soit de la soirée précédente), le corps transpirant de chaleur et de coups de soleil, la douche qui vous laisse cette sensation de propreté et de fraîcheur prêt à repartir pour toute une nuit de fête, ces nuits qui ne servent pas à dormir (surtout pas , manquerait plus que ça !) les apéritif qui durent jusqu'à ... tard ... très tard dans la soirée, ces soirée qui n'en finissent pas, les barbecue toujours bien arrosés, que l'on termine la nuit tombée, (vue qu'on les a commencés la nuit tombante !), le temps de la digestion sous les étoiles, aidée par quelques verre d'alcool régional, l'inévitable bain de minuit, et pour finir après tout ça, (en général à ce moment là, on est en forme), et pour finir donc ... La descente en boite de nuit ... Les nuits sont courtes en cette saison, le retour se fait bruyamment en chantant, en zig zag sur le chemin, on est alors beaucoup moins en forme et incapable de suivre une ligne droite mais Heu-Reux et en plus il fait jour... On arrive à la maison, épuisé, fourbu, c'est l'heure de se faire un gros câlin... Je suis jamais parti en vacances avec Franck mais pour ce qui est du gros câlin je sais que je ne serais pas déçu ... Après tout çà on avale un café, et direction la plage, on prendra le petit déjeuner sur place.

..
Enfin bref des VA-CAN-CES . Un mois de repos et de détente complet, on en revient ... C'est simple la dernière fois il m'a fallu presque un mois pour m'en remettre...

C'est dire à quel point les vacances à la mer , JE SUIS POUR !

Mais là, Franck, il , il veut faire du naturisme... Je ne suis pas contre d'habitude, c'est vrai quoi, jouer les exhibitionnistes devant une bande de voyeurs tout en jouant les voyeurs devant une tripotée d'exhibitionnistes, c'est cool ! Mais la dernière fois je n'avais pas de ceinture de chasteté... !

Nous étions allongés sur le lit.

Moi : Il n'est pas question que je m'exhibe devant tout le monde avec ma ceinture de chasteté !
Franck : Tu sais que tu ne peut pas la retirer!
M : C'est malin, comme si je ne le savais pas ! Et de la faute à qui ? Non, je garderai un maillot de bain !
F : tu vas être ridicule. Tout seul a rester tout habille sur la plage.
M : Habille, tu crois pas que tu exagères, je ne serai pas TOUT habillé ! Mais je ne me mettrai pas à poil ...
F : Tu sais sur ces plages, ce sont ceux qui restent habillé qui sont le plus remarqués, le plus regardés.

Je me relavais et commençais à caresser son sexe ...

M : Avec un camarade comme toi, aussi bien équipé ! C'est pas moi qu'on va regarder le plus.

Je commençai à le pomper, il commençait à bander.

F : Je peux te demander ce que tu fais ?
M : Je vérifie si ce que je dis est exact, (il bandait ferme maintenant) franchement à coté de ça, c'est pas moi qu'on va regarder ... ( je continuais à le sucer).
F : T'es pas drôle, et moi alors tu as pensé à moi, j'aurai l'air de quoi avec un mec tout habillé.
M : Vue comment tu es gaulé tu auras l'air d'un étalon.
F : Mais je suis un étalon ! C'est bien ce que tu fais là ! Vas y, continue.

En même temps que je le caressais et le suçais goulûment,il me prenait la tète des deux mains la dirigeait, tout en relevant le bassin il appuyait sur ma tète, je sentais sa grosse bite rentrer de plus plus profond dans ma gorge.
J'accompagnais ses mouvements en synchronisant ma respiration et ma déglutition, je finissais par avaler totalement sa queue, mes lèvres arrivaient à la base de son pénis. Je me retirais respirais bien a fond et recommençais plusieurs fois de suite ce mouvement, Franck m'encourageait en appuyant sur ma nuque. J'entendais ses râles de plaisir, sa respiration s'accélérait les mouvements de son bassin aussi, il enfonçait de plus en plus vite et de plus en plus fort sa queue dans ma bouche, j'avais du mal à suivre mais je ne voulais rien lâcher. C'est lui lâchait la purée en premier, il éjaculait généreusement dans ma bouche, j'avalais et continuais à le biberonner. Je le sentais se détendre, sa respiration ralentissait, il me caressait doucement les cheveux.

F : Tu verras, on sera très bien a poil sur la plage.
M : Non, pas moi!
F : Tu sais, je serais fier de toi
M : Non!
F : Pour me faire plaisir...
M : Pas question.
F : Dommage tu es beau à poil, surtout avec ta ...
M : Je m'en moque.

Suivait un long moment de silence...

F : Et si ...
M : Non !
F : On pourrait ...
M : Non !

Un autre long silence suivait.

Il me sautait dessus, me plaquait sur le dos , me relevais les cuisses mes chevilles sur ses épaules, se lubrifiant la queue et, me pénétrait d'un coup jusqu'à la garde. Je râlait de plaisir et un peu de douleur, je me cramponnais à lui, il ne bougeait pas, il poussait à fond me remplissant le cul avec sa bite magnifique, le l'attrapais par le coup et le tirais à moi, il se penchait vers moi m'écrasant de tout son poids et m'embrassait. Il commençait alors des mouvements de va et vient, ressortait presque complètement puis revenait brutalement bien à fond,violemment à fond. là, les 22 cm je les sentaient bien passer ! Ouais c'était bon !

F : Alors t'es toujours pas d'accord ? Tu vas voir ! Je vais te faire couiner comme jamais, tu vas voir ce que tu vas voir .
..
M : (entre deux râles) "Ouais des promesses toujours des promesses !"

Il éclatait de rire et continuant à me limer le cul de plus en plus violemment "T'es un marrant , prends ça et ça !''

Je râlait de plaisir, toujours cramponné je voulais pas le lâcher, je n'essayais pas de résister, j'encaissais c'est tout !

F : Alors on ira à la plage? (Il a décidément de la suite dans les idées ce garçon), tu iras te faire bronzer à poil avec moi?
M : Je gueulais OUI , OUI TOUT CE QUE TU VOUDRAS, OUI VA Y C'EST BON !
F : Oui , je savais bien que j'aurais le dernier mot. Tu vas voir c'est pas fini!

Il me lâchait, j'avais les jambes repliées sur le ventre,se retirait, me tirait par les jambes, me retournait m'allongeait sur le ventre cuisses jointes, je me laissais faire les bras en croix, il me chevauchait plaçant ses genoux à l'extérieur de mes cuisses, il me lubrifiait abondamment et me pénétrait sans ménagement. les cuisses jointes, j'était particulièrement serré, étroit. Je gueulais.

M : Arrête tu fais mal, oui va y c'est bon, non ,non doucement, vas y a fond, défonce moi le cul, arrête j'en peux plus, oui vas y continues...

Je contrôlais plus rien, je jouissais et il le savait, il savait y faire depuis plus d'un an il avait tout appris de mes réactions, et là, il me faisait jouir, mon souffle était intense et irrégulier, je tremblais mais je n'avais pas froid, il m'écrasait sous son poids, c'était bon!
Je ne sais pas à quel moment lui il a joui, simplement à un moment, il ne bougeait plus, il était là, allongé de tout son poids sur moi, son pénis était toujours en moi .
Il se retirait finalement et se retournait sur le dos à coté de moi. J'étais comme mort, je ne pouvais plus réagir, je me sentais bien, très bien, le con il m'avait fait jouir par le cul, c'était bon, très bon et intense, très intense...

F : Alors c'est bon, j'ai gagné, tu viendras avec moi à la plage, a poil !
M : Non !
F : Comment ça non ? Tu viens de dire oui !
M : Ah oui,oui et bien non! Quand je disais oui, c'était pas pour ça, c'est pas de ça que parlais, non c'était .
.. Oui défonce moi , oui vas y ... Pour la plage c'est non ... !
F : Je suis mort, vidé, je bande même plus, sinon j'aurais remis ça, mais je suis vraiment KO !
M : Ça m'arrange !

Je parlais mais je ne faisait pas le moindre mouvement, j'ouvrais même pas les yeux, moi aussi j'était complètement KO, complètement défoncé, c'était cool! Il se levait, je l'entendais ouvrir un tiroir ...

M ; Qu'est ce que tu cherches ? Qu'est ce que tu fabrique ?

Pour seule réponse, il m'enfonçait un gros gode, que je n'utilisais que rarement, sans prévenir en me disant : " Tiens prends ça espèce d'enculé , tu fais chier !"
Je gueulais sous l'effet de la surprise, il faut dire que c'était un Gros Gode, 25 cm sur 7! Mais je restais là sans bouger, avec ce gode énorme dans le cul ...

Durant la semaine qui suivait une idée germait dans ma tète ... Je décidais de fabriquer un dispositif de chasteté pour Franck, comme celui que je portais quand je l'avais rencontrer, à sa taille et en PVC ... Je lui proposerais alors de le porter en même temps que moi sur la plage, après tout Franck aime bien faire des expériences amusantes et même quelquefois très douloureuses ... Nous devions passer le week-end ensemble, Franck avait beaucoup de travail aussi nous ne pourrions pas nous voir pendant la semaine, j'en profitais pour me mettre au travail. L'objet était terminé pour la fin de la semaine.
Franck m'attendait devant chez moi quand je rentrais du boulot le vendredi soir. Aussitôt dans mon appartement on se sautait dessus l'un comme l'autre, on s'embrassait, on se déshabillait l'un l'autre, on se caressait, il me fourrait sa queue dans la bouche commençait des mouvements de va et vient tout en me maintenant la tète, il était en manque et moi aussi alors j'avalais sa queue dans toute sa longueur, il adore ça, et il ne tardait pas à gicler dans ma gorge dans un râle de plaisir. On n'avait presque pas parlé, on était resté dans l'entrée. On restait enlacés, debout au milieu du couloir, à s'embrasser et à se caresser.

F : Alors ... la plage ... tu y as pensé ?
M : J'ai pensé qu'à ça !
F : Alors ?
M : C'est négociable !

Il me répondais par un grand sourire, puis me retournait, me plaquait contre le mur, et sans plus de formalité, me pénétrait fermement, et sans attendre, continuait en me limant le cul vigoureusement puis violemment. Je gueulais de plaisir.

M : Tu m'as manqué !
F : Toi aussi !

Il me défonçait violemment, ses mouvements étaient désormais très rapides, il faisait une pause, se retirait complètement puis revenait d'un coup bien à fond , m'arrachant à chaque fois des cris de plaisir, il reprenait aussitôt ses mouvements très rapide, toujours à fond, toujours violent !
Je passais mes bras derrière moi pour essayer de le retenir, il passait ses bras devant moi et m'enlaçait avec force. J'entendais son souffle contre mon oreille, puis ... '' Oui, c'est bon , je vais jouir ...'' ... je sentais tous ses muscles se contracter m'empêchant presque de respirer, des mouvements très violents de son bassin, j'en prenais plein le cul et plein les oreilles quand il poussait un cris de jouissance, je sentais alors ses muscles se détendre, les miens aussi, je restais là contre le mur, je restais debout uniquement parce qu'il était appuyé contre moi, j'étais en sueur, lui aussi, le pied !
Il me regardait, sa tète par dessus mon épaule, m'embrassait. Je ne savais même plus s'il s'était retiré ou pas ... il se retirait ... là, je savais !

F : (en reprenant son souffle) Tu prends pas de douche en rentrant du travail toi ?

J'éclatais de rire, lui aussi! Quelques instants plus tard on se retrouvait sous la douche à se savonner l'un l'autre.

F : Je t'invite à manger une pizza, ça te tente ?
M : Une pizza , j'adore une ultra complète , ouais, ça me tente !
F : C'est quoi une ultra complète ?
M : C'est simple, tu prends tout ce qu'il y a comme ingrédients dans toutes les pizzas de la carte et tu les déposes sur une seule pizza, en double dose ! C'est moi qui l'ai inventé !
F : T'as pas grossi toi, ces derniers temps ?
M : Moi grossi !

Je regardais mon profil dans le miroir tout en lui savonnant les fesses, j'en profitais pour lui entrer,vite fait, un doigt dans le cul. Il réagissait en écartant ma main.

F : Arrête, tu sais que j'aime pas ça !
M : Un jour je te ferai jouir par le cul, si tu voulais bien me laisser faire!
F : Non ça fait mal ! J'ai essayé tu te souviens pas ! La dernière fois que tu as tiré ton coup !
M : Un doigt, c'est plus petit, ça te ferait pas mal, bien au contraire, je te jure on en redemande.
F : La dernière fois ta bite, ça m'a fait mal !
M : Je te dirais pas que je t'avais prévenu, mais je t'avais pré ...
F : Et là tu me dis que ça ne me fera pas mal !
M : Oui.
F : Je te crois pas !
M : Je t'avais pas menti la dernière fois, non !
F : Bon d'accord , je te crois, mais on verra un autre jour ...

On se séchait l'un l'autre, puis on passait au salon boire une petite bière.

F : Alors c'est négociable tu disais .
M : Oui, c'est négociable, en fait j'ai rien contre l'idée de faire du naturisme, au contraire j'aime bien, mais c'est ma ceinture de chasteté, tout le monde va ma regarder et tout et tout. Pour conclure je suis d'accord si je suis pas tout seul à porter ce genre de truc ! ...
F : Tu as des copains qui portent aussi ce ''genre de truc'' ?
M : Non .
F : Sa complique le problème. Que faire ? On passe une petite annonce ?
M : Arrête de te moquer.
F : Mais si je vois ça très bien : Couple d'homos, un encagé et un étalon recherche troisième larron acceptant de porter également une ceinture de chasteté pour que le petit se sente moins seul sur une plage de nudiste ... nourri , logé , défoncé !
M : Matin, midi, et soir... Non! C'est à toi que je pensais !

Il me regardait bien en face, droit dans les yeux sans rien dire.

M : Tu aimes les expériences bizarres.

Il tournait légèrement la tète mais continuait à me regarder dans les yeux. Je continuais un peu moins convaincu.

M : Tu sais ça fait pas mal !

Il continuait à tourner légèrement la tète et à relever le menton tout en gardant le regard fixé sur moi.

M : C'est pour juste quand on sera à la plage ...

Il tournait encore un peu plus le tète, là il me regardait carrément de travers du coin de l'oeuil.

M : C'est juste pour que je sois pas tout seul à la plage.

Silence.

M : Pour pas que tout le monde me regarde.

Silence.

M : Tu le porteras que sur la plage.

Silence.

M : Je garderais les clées.

Silence.

M : Comme ça t'es sur que je te libérerais tous les soirs.

Silence.

M : Bon arrêtes de me regarder comme ça, et dis quelque chose.

F : (en montrant son sexe avec son index) Tu veux que je mettes un dispositif de chasteté là !
M : (d'une toute petite voix timide) Oui !
F : T'es un grand malade, il faut être malade, pour porter un truc pareil !
M : Merci ça fait plaisir !
F : Non c'est pas ce que voulais dire !
M :(l'air faussement vexé) Merci quand même, je m'en souviendrai !
F : Mais non, bon d'accord, toi t'es un grand malade ! mais ...

Je tournais la tète légèrement tout en continuant à le regarder dans les yeux .

F : Non ne fais pas ça !

Je continuais à tourner légèrement la tète et à relever le menton tout en continuant à le regarder dans les yeux .

F : Il n'est pas question !

Je tournais encore un peu plus le tète , là je le regardais complètement de travers à mon tour.

F : T'es grave toi !
M : Je sais on me l'a déjà dit !
F : Bon c'est d'accord, mais comme on n'a pas un tel dispositif à ma taille, l'affaire est réglée, j'en porterai pas.
M : Mais si on a !

Et en disant cela je posait devant lui une jolie petite boite décorée d'un joli papier cadeau et d'un joli ruban rouge ...
Franck se redressait, penchait sa tète en avant tout en relevant les yeux pour observer ma réaction, je me marrais, il avait du mal à dissimuler un fou rire. Puis respirant bien à fond ...

F : J'ai l'impression d'avoir déjà vu cet épisode ... J'y crois pas. Ho la jolie boite avec un joli papier cadeau et un joli ruban rouge ... Mais c'est le ruban que je t'avais donné ! Tu as recyclé mon cadeau. J'y crois pas c'est une blague.

Il regardait dans ma direction, j'étais plié de rire. Il éclatait de rire à son tour.

F : Ça va, j'ai compris, c'est une blague. ( il riait joyeusement, il ouvrait la boite, regardait a l'intérieure et arrêtait de rire !.). C'est pas une blague il a osé !

Il sortait l'objet de sa boite pour pouvoir l'examiner de plus près...

F : Tu veux vraiment que je porte ce truc?
M : Pas en permanence ! J'aime trop ta bite ! Juste quand on sera sur la plage, déconne pas je t'en supplie, non, ne le porte pas d'une manière définitive, non pas ça, j'ai crée un monstre, je pourrai plus jamais tripoter ta bite, je pourrai plus jamais sucer cette magnifique queue, plus jamais je me la prendrai dans le cul, plus jamais...

Franck me coupait la parole tout en levant les yeux au ciel.

F : Bon ça va pas mieux toi ! On se calme! Ce que tu t'es pris dans le cul il y a pas heure ça t'a pas suffi... Tu n'imagines pas que je vais porter ça sur une longue période, t'es pas un peu fou dans ta tète, pardon, je ne voulais pas te vexé je sais que tu es complètement fou dans tête . Mais bon, juste pour essayer, juste pour voir ...

Franck continuait à regarder l'objet dans sa main, le retournait pour l'observer sous tous les angles. Il connaissait parfaitement cet objet, il ne faut pas oublier que c'est lui avait fabriqué le mien. Il se relevait soudainement .

F : C'est bon j'essaye.

Sans la moindre hésitation il l'enfilait, comme il m'avait vu faire...

F : Ça fait drôle, c'est bizarre comme sensations.

Il se regardais dans un miroir, se retournait de face de côte.

M : Mais oui tu es beau comme ça !
F : Ça m'excite ! Je bande ! Ouah , c'est vraiment bizarre, c'est vrai ça ne fait pas mal, c'est juste une douce et forte pression sur la base du sexe et sur toute la bite. Ouah, c'est délire je bande et ça ne se voit pas.

Il continuait à se regarder dans miroir. Je lui tendais le cadenas, il le prenais et se verrouillait sans aucune hésitation en disant.

F : Je prends pas de risque, ton truc est en plastique, alors si tu garde la clef, ton truc résistera pas longtemps... Tu as vu l'heure qu'il est, allez Pizza !

On s'habillait, puis on sortait. J'en revenait pas, c'est vrai que Franck aime bien faire des expériences amusantes, ce qui est sûr c'est qu'il le portera pas longtemps ce truc ... Ah ça non, je ne le laisserai pas faire,il faudra qu'il me passe sur le corps et il en est capable !
La soirée se passait normalement, Franck ne laissait rien paraître, d'abord le resto ou je me contentais d'une pizza complète puis un bar ou on avait l'habitude d'aller. On y rencontrait Sophie et sa copine Isabelle, Franck leur parlait des vacances, mais pas des détail, d'ailleurs elles ne savaient rien sur ma ceinture de chasteté. Finalement elles nous invitaient à souper pour le lendemain. On rentrait vers une heure matin, une soirée très agréable.
De retour à la maison, je prenais Franck dans mes bras et l'embrassais.

F : Dis donc, ton truc, on le sent toujours, pas un instant je l'ai oublié !
M : C'est normal, on ne l'oublie jamais totalement, mais au début on y pense même en permanence.
F : Je vais le garder toute la nuit, tu as des conseils?
M : C'est en fin de nuit que c'est le plus dur, essaye de te détendre, vas pisser, pense à autre chose et si tu craques retire le. Fais le moi savoir, défonce moi le cul !

On allait se coucher, la semaine avait été dure, on était fatigué, Franck surtout, il s'endormait facilement.

Le lendemain, je me réveillais vers neuf heures, Franck n'était pas coté de moi. Je me levais et retrouvais mon camarade dans la cuisine en train de préparer le petite déjeuner. Il n'avait pas craque.

M : Alors, pas trop dur?
F : C'est délire ton truc, mais vers six heures, j'ai bien failli craquer.
M : Tu aurais du me réveiller !
F : Pour te dire quoi, je craque !
M : Pour rien dire, juste pour m'enculer !
F : Je vois le genre, et bien non, t'auras pas droit a ma quequette aujourd'hui !
M : Tu n'as pas envie de partager aujourd'hui !
F : Non, mais tu l'as un peu chercher!

Le reste de la journée se passait calmement, un peu de sport en forêt, un film à la télé, un peu d'Internet, enfin bref ... On s'est occupé ! Franck revenait vers moi a plusieurs reprises dans la journée pour me dire des truc du genre...

F : C'est vraiment un truc de dingue, il se passe pas une seconde sans que j'y pense. Ouah , délire!
M : Et tu penses le garder encore longtemps ce 'truc' ?
F : Peut être pour toujours ...
M : C'est toi le grand malade, mon dieu , j'ai crée un monstre !

Il repartait en rigolant.

F : Mais au moment ou je vais le retirer ... J'en connais un qui va couiner

Il me regardait en rigolant,et rajoutait...

F : Oui je sais, ''des promesses toujours des promesses ... ''

Je le regardais comme un con. Finalement ça avait été facile de faire porter une ceinture de chasteté à Franck, pourvu qu'il ne fasses pas comme moi, pourvu qu'il ne la porte que de temps en temps, par jeu... Ben oui quoi, j'aime bien me prendre sa bite dans le cul moi ! ...

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