Une Panne Vite Oubliée

Cette histoire s’est passé il y a quelques années. J’étais sorti en boite de nuit,, Avec un copain, espérant en sortant, aller faire des photos de lever du soleil sur la Méditerranée. Malheureusement, la soirée ne s’était pas passé comme prévu, et vers 4 :00 du matin, fatigués, nous avions décidé de rentrer. Le sort s’acharne sur nous puisque À la sortie d’Argelès, ma voiture s’arrête subitement. J’essaie de redémarrer, je me rends compte rapidement que je suis en panne d’essence. Tandis que mon passager maudit mon imprévoyance, je pars à pied vers une station service que j’ai aperçue un peu plus haut. La station est évidemment fermée et il est donc impossible de se ravitailler. Je décide donc de retourner à ma voiture. Alors que je marche le long de la route, la porte d’une maison s’ouvre, et, après quelques effusions joyeuses, une silhouette féminine se dirige vers une Renault cinq garée À quelques mètres. Je tâte le pas et rejoint la jeune femme avant qu’elle s’engouffre dans sa voiture.
-«excusez-moi mademoiselle, Je suis en panne d’essence un peu plus haut. Est-ce que vous n’auriez pas un bidon d’essence, ou peut-être vos amis que vous venez de quitter ?»
-«non je suis désolée, mais nous allons demander à mes amis si il pourraient vous dépanner.» Après avoir frappé À la porte de la maison et consulté ses amis, je ne suis pas plus avancé. Je m’apprête À regagner ma voiture ou mon ami Lucas m’attend quand la jeune femme m’interpelle. -«si vous allez vers le Boulou, je peux peut-être vous déposer.»
-«c’est gentil mais ma voiture resterait là.» -«de toute façon Elle va rester là. Vous pourrez toujours revenir la chercher avec un bidon d’essence demain.» J’embarque donc À ses côtés, et après une halte pour récupérer Lucas, nous voilà partis. J’explique À la jeune femme que nous allons un peu plus loin que le Boulou. Elle n’aura qu’à nous laisser à la sortie du village et nous finirons en stop. Avec un bref rire, Elle nous signale que, vu l’heure, nous auront du mal à trouver une voiture.

Le silence retombe dans l’habitacle. J’observe ma voisine, juste éclairée par la lueur du tableau de bord. En fait, c’est loin d’être une jeune fille. L’obscurité peut être trompeuse mais quelques fines rides au coin des yeux, et les traits affirmés de son visage Me font penser qu’elle doit avoir dans les 35 ans. Sur qu’elle doit nous prendre pour de jeunes écervelés, Avec nos 22 ans. Elle a des cheveux blonds bouclés mi-longs, qui cascadent sur ses épaules dénudées par une robe moulante qui s’arrête juste au-dessus des seins. Elle a remonté légèrement le tissu, pour donner de l’aisance À ses jambes, dévoilant des cuisses fermes, au-dessus de mollets galbés et de chevilles affinées si besoin était, par des escarpins À très hauts talons. Alors que nous arrivons à sa destination, Elle traverse le village de sans s’arrêter. -«allez ! Je vais vous amener jusqu’à CERET. Vous avez de la chance, c’est mon jour de bonté.» Soulagés de se éviter la corvée du stop, Nous la remercions joyeusement. Un quart d’heure après Elle nous dépose sur la place du village, et, tandis que je la remercie encore, Elle me dit : «si vous voulez, demain matin, Je visite des patients ici, puis, je repars en visite sur Argelès. A condition que vous soyez prêts en début d’après-midi, je pourrais vous amener récupérer votre véhicule.» Je souscris à l’idée est rendez-vous est pris pour le lendemain. Le lendemain, je refais le trajet inverse, De jour, et nous papotons assez longuement. J’apprends qu’elle est kiné, il se déplace beaucoup pour aider les patients âgés. J’insiste pour la remercier en l’invitant prochainement À dîner. Elle refuse mais Me dit qu’elle me trouve sympathique, et m’invite À passer boire un thé ou un café un prochain jour, en me donnant sa carte de visite :
Marie-Josée Vermer, Kinésithéute
Quelques jours plus tard, je l’appelle, mais j’apprends qu’elle se trouve à Argelès pour des visites. Comme j’y serais en fin d’après-midi, je lui propose de nous retrouver.

Je suis installé à la terrasse d’un café, depuis une demi-heure, quand elle arrive enfin. Dans le soleil de fin d’après-midi, je la détaille tandis qu’elle s’approche. La lumière dans dans ses cheveux blonds qui encadrent son visage légèrement hâlé. Son chemisier bariolé tranche avec le jean blanc, et des nu-pieds assortis. Ses cuisses sont pleines et ses hanches larges de femme épanouie n’empèchent pas la silhouette élancée car elle est assez grande. Elle s’assoit face à moi en s’excusant pour son retard, mais je l’assure que je viens d’arriver. Quand elle s’incline pour lire la carte , son décolleté me laisse entrevoir des seins voluptueux, bien gardés dans un soutien gorge rouge en dentelle. Elle me raconte sa journée, ses patients. Elle aime l’été et le soleil, mais pas la circulation compliquée par l’afflux de touristes. Je l’écoute distraitement, captivé par ses yeux verts. On m’aurait dit, il y a peu que je craquerais pour une femme de 15 ans mon ainée (elle m’a avoué en avoir 37) je n’y aurais pas cru ; et pourtant face à moi, cette jolie femme, plantureuse, m’attire, alors qu’elle doit me prendre pour un gamin. Tant pis, je tends la main et att la sienne. Elle a un léger mouvement de recul, mais finit par m’abandonner sa menotte que je serre tendrement.
-« Mais qu’est-ce que vous faites ? » murmure t’elle.
-« Je vous prends la main, pour vous faire sentir que vous me plaisez » réponds je en caressant sa main et en remontant sur son bras.
-« Enfin Steve, c’est génant, on peut nous voir. »
-« Quelle importance ? Les gens penseront que je vous aime. »
-« Comment pouvez vous dire ça ? Et qui vous dit que je ne suis pas mariée. »
-« Rien, sauf vos derniers mots. »
-« Je suis avec quelqu’un. » dit elle
-« ce n’est pas grave, je m’en accommoderais. » reponds-je
Ma main a quitté la sienne pour se poser sur son genou, sans, cette fois la faire sursauter.
-« Que voulez vous, enfin ? » ose t’elle
-« Vous, rien que vous.
»
-« Vous savez quel age j’ai ? » questionne t’elle, cherchant visiblement des arguments.
-« Oui, vous me l’avez dit. Où est le problème ? »
-« Mais enfin, je pourrais presque être votre mère ! »
-« Pas tout à fait, j’ai quand même 22 ans. »
-« Vous pensez à la différence d’âge ? » rajoute t’elle
-« Est-ce que ça veut dire que si j’étais plus vieux, j’aurais mes chances ? »
Prise au dépourvu, elle hésite.
-« Je ne sais pas ; c’est ridicule à la fin, nous nous connaissons à peine. »
-« c’est pourtant suffisant pour que je vous désire. »
« Vous me… ? Oh c’est trop. »dit elle tout bas en jetant des regards alentour pour vérifier que personne n’écoute. Elle se lève, et fait mine de chercher dans son sac, de quoi rêgler, mais je l’ai devancée.
« Je dois y aller, maintenant » me dit elle, mais je me lève à mon tour
« Je vous raccompagne. »
Elle fait demi-tour et s’éloigne, mais je l’ai vite rejointe
« Marie-Josée, attendez. »
Elle fait mine de ne pas m’entendre, et continue à avancer. Je la suis jusqu’à une petite place, où elle a garé sa voiture, à l’ombre des platanes. Elle sort ses clefs. Je l’att par le bras et la fais pivoter, pour la coincer contre la voiture, et je lui claque un bisou sur les lèvres.
-« il fallait, quand même , que je vous dise adieu. » dis-je avant de l’embrasser de nouveau et de rester collé à ses lèvres qui finissent par s’entrouvrir, donnant libre court à mon baiser. Après de longues secondes, elle se recule, et me dit :
-« pas ici. » avant de s’engouffrer dans sa voiture. Je fais rapidement le tour, et je monte, côté passager.
-« Vous pouvez me déposer à ma voiture ? »
-« Je suppose que oui » me dit elle « mais ne te fais pas d’idées.
Je la guide vers le parking ou je suis garé. Elle se range à quelques mêtres de mon auto.
Je me tourne vers elle.
« Merci Marie-José. » et je l’embrasse à nouveau. Cette fois, sa langue répond à la mienne, et quand je l’enlace, elle passe ses bras autour de mon cou.
Mes mains vont caresser sa poitrine, par dessus le chemisier. Je fais sauter deux boutons et glisse à l’intérieur, où je vais malmener ses tétons qui s’érigent tandis qu’elle gémit. Mes caresses ont l’air de lui faire de l’effet. Alors que je glisse une main entre ses jambes et commence à masser par dessus son jean, elle me repousse. Puis elle m’attire pour un nouveau baiser, ses mains sous mon T-shirt sont douces, et fermes à la fois. Elle finit par s’arracher à notre étreinte, essoufflée.
-« Je suis désolée, ça n’est pas possible » dit elle « trouve une fille de ton âge. »
-« Je comprends » mens-je . « Au moins laisse moi t’inviter à diner, pour te remercier de ton aide. »
Elle semble réfléchir, et murmure
-« d’accord, vendredi soir, je passerais te chercher. »
-« Je vais réserver un super restau. » dis-je en quittant sa voiture.

Le vendredi soir, je termine le service pour les clients du restaurant quand un de mes collègues vient me dire : « au bar, il y a quelqu’un pour toi. » Je finis de débarrasser une table et je me dirige vers le bar . Marie José, n’est pas venue seule, hélas, et je vois déjà mes projets de conquète s’envoler en fumée. Je fais néanmoins bonne figure, et vais saluer les arrivantes.
« Tu as vu, je suis venue, bien qu’il soit assez tard » me lance Marie-José en me faisant la bise. « Laisse moi te présenter, Gwénaelle, ma nièce, qui est en vacances chez moi pour un temps, et qu’on appelle Gwen. Gwen, je te présente Steve, à qui je suis venue porter secours, et qui nous invite pour me remercier. »
La demoiselle est plus grande d’une demi-tête que sa tante. Elle est aussi plus charpentée, même si les proportions sont harmonieuses. Elle porte un jean et un tee-shirt blanc que ses seins , visiblement libres, semblent vouloir percer. Son visage est harmonieux et discrètement hâlé, ce qui fait ressortir deux yeux turquoise, sous un amas de boucles blondes, presque blanches. Comme entrée en matière, elle a un sourire narquois et lâche :
« c’est sur qu’on sent bien qu’il a besoin d’aide, et de protection. »
« pas aujourd’hui » me hatai-je de préciser. » Laissez moi quelques minutes pour me préparer, et nous partons. »
J’avais réservé un restaurant assez réputé qui servait tard dans la nuit. Nous y passames un bon moment, dégustant les mets fins sous la voute étoilée de la terrasse. Marie José nous racontait des anecdotes de son métier de Kiné, et j’essayais, de mon côté de me montrer aussi amusant que possible. Gwen, parlait peu mais participait quand même à la conversation par son écoute et ses rires. Sa tenue décontractée était à l’opposé de sa tante qui avait, pour l’occasion, choisi une courte robe colorée avec un profond décolleté creusant un sillon vertigineux entre ses seins opulents. Profitant de ma position (je suis assis à côté d’elle), je pose ma main sur sa jambe, qui se dérobe. Mais c’est mal me connaître, et quelques instants plus tard je recommence. A plusieurs reprise, elle repousse discrètement ma main, mais finit par capituler devant mon insistance. Ecoutant d’une oreille distraite la conversation, je fais glisser ma main vers le haut, accrochant, au passage, le bas de sa robe. Mes doigts s’étendent vers la chair tendre de l’intérieur des cuisses. Son visage ne laisse rien paraître, mais elle a stoppé ma progression en resserrant violemment les cuisses. Je ne peux, ni avancer, ni reculer, et elle finit par le comprendre. Elle relache un peu la tension sur ma main, et mes doigts libérés, qui s’envolent pour venir frapper doucement sur une culotte qui je trouve plutôt humide. Petit à petit, ses jambes s’écartent, et je n’ai qu’à repousser l’élastique pour me faufiler sous le tissu et atteindre sa moiteur. Elle a un léger hoquet quand j’introduis un doigt en elle,mais elle me laisse le champ libre. J’en profite pour raconter la dernière histoire drole tout en imprimant un mouvement de rotation autour de son clitoris. Elle rit nerveusement, le rose aux joues sous le regard intrigué de sa nièce. Il est temps de reprendre une attitude un peu plus convenue.
Au retour, galanterie oblige, je laisse les deux femmes devant, et m’installe à l’arrière.
Arrivés chez Marie-José, celle-ci me propose de dormir sur place, dans le clic-clac du salon.
Tandis que je l’aide à préparer le lit, Gwen, qui était montée se coucher, redescend, et traverse la pièce vers le jardin :
« Il fait une chaleur de ouf, là haut ! je vais prendre l’air dans le jardin. » dit elle avant de disparaître. Marie-josé me souhaite une bonne nuit et monte à l’étage. Je me deshabille et me glisse dans le lit, couvert juste par un drap. J’éteins, mais , sans doute à cause du café, j’ai du mal à trouver le sommeil. Vétu d’un caleçon, je me lève et sors dans le jardin pour m’en griller une. Sous la lumière diffuse de la lune, allongée sur un transat, Gwen s’est débarrassée de son jean, et son tee-shirt est remonté assez haut pour dévoiler la sienne, de lune, qu’elle a fort jolie d’ailleurs
« Ah, toi aussi tu crèves de chaud ! dit elle en tournant la tête vers moi. Le spectacle te plait ? »
« Je ne suis pas venu pour ça, mais tu as un joli postérieur. »
« C’était une connerie, le jean. La prochaine fois je mets une mini. Tu ne peux pas savoir comme ça fait du bien, après avoir fondu dans un jean, de sentir l’air frais caresser mon cul. »
« Bon, moi je vais te laisser. Il fait bon ici, mais le paysage ne va pas m’aider à m’endormir »
« Tu es à l’étroit dans ton calbut ? »
« ça commence » concédai-je
« Je croyais que tu en pinçais pour ma tante. »
« Je n’en suis pas moins homme. »
« hmmm, c’est ça les mecs, en fait dès qu’un jupon passe à proximité, vous ne vous contrôlez plus. »
« c’est un peu vrai « admis-je « mais le jupon est un peu court » dis-je en reprenant le chemin du salon tandis qu’elle me poursuivait de son rire.
Je me mis rapidement au lit, mais, tandis que je tentais de m’endormir, j’entendis des pas légers dans la pièce, et la lumière s’alluma dans la cuisine. Pensant que c’était Gwen, je me levais, en caleçon pour aller dans la cuisine où je tombais sur Marie-José. Elle s’était changée et portait un peignoir de soie noire sagement croisé sur ses formes généreuses.
« Gwen a raison, il fait une chaleur de fou en haut. Je suis venue chercher de l’eau » dit elle en me montrant la bouteille qu’elle tenait à la main. »
« Si tu veux, je sais quoi faire contre la chaleur » déclarai-je
« Ah oui, ça m’intéresse, mais je n’ai pas de clim, ici »
« Pas besoin, laisse moi faire » dis-je en ouvrant le frigo. Je trouvai rapidement ce que je cherchais et sortis le bac à glacons. J’en saisis un gros et le fais légèrement fondre dans ma main. Puis, je commence à le promener sur le cou de Marie-José, qui, après un léger sursaut, me laissa faire en soupirant d’aise. Je remonte et la fais pivoter, dos à moi, relevant ses cheveux pour passer la glace sur sa nuque que je sens bouillante.
« Hmmm, ça fait du bien… » me lâche t’elle.
Je descends le long de sa nuque, de plus en plus bas, de plus en plus large, écartant le tissu pour dévoiler ses épaules. Je change le glaçon qui est maintenant fondu et continue avec un suivant. Je la fais retourner face à moi et ma caresse descend sur sa poitrine. La glace qui fond laisse échapper un filet d’eau qui s’écoule dans la vallée entre ses seins, lui arrachant un frisson. Je suis le trajet et écarte les pans du vêtement autant que je peux, pour élargir mon massage. Je sens le tissu s’écarter plus largement. La belle vient de dénouer la ceinture. Je suis maintenant sur ses seins dont les tétons, sous le froid, se dressent raides et durs. D’une main je les cajole, et de l’autre je les glace. Marie josé, maintenant appuyée sur la table de la cuisine, s’offre à mes mains sans retenue, entièrement dénudée face à moi. Un autre glaçon vient refroidir son ventre, en cercles concentriques autour de son nombril, jusqu’à frôler la toison fine soigneusement taillée qui orne sa fente. Je givre un peu les aines, avant de venir encercler son sexe brûlant, qui se tend vers moi. Je la laisse un peu attendre, puis mes doigts viennent longer sa fente, écartant un sexe humide qui appelle ma main. J’entre directement deux doigts dans sa grotte, et son bassin décolle de la table. Une courte caresse, et je les retire avant d’enfourner un gros glaçon que je pousse dans son conduit. Elle a un sursaut et referme ses jambes, mais je suis déjà dans la place, et je maintiens le cube glacé en place, tout en titillant son clitoris. Elle s’agite, remue, en murmurant :
« Ah non, c’est quoi ça ! C’est froid ! ça brûle ! continue »
Elle se met à trembler et renverse la tête en arrière, écartant et refermant convulsivement les cuisses, dans un violent orgasme. Quand je retire mes doigts, elle expulse le glaçon fondu de moitié. Je le garde et vient longer son périnée avant de venir le coincer contre son petit trou tout chaud. Elle comprend instantanément et n’hésite pas à ouvrir grand les cuisses, me laissant introduire l’objet dans son anus qui l’avale aussitôt.
« Ahh, là aussi, ça fait du bien »
Je la retourne et la plaque sur la table de la cuisine. Je relève le peignoir, et baissant mon caleçon, vais planter mon chibre, tendu à l’extrême dans sa chatte encore ouverte. Je me ets à la besogner copieusement, et elle répond à mes assauts par des grognements d’approbation. Elle relève le buste et je peux crocher mes mais dans ses seins dont je malaxe et pince les pointes toujours érigées. Elle a rapidement un deuxième orgasme, et retombe sur la table qui grince dangereusement sous nos assauts. Je me dégage, et profite de la position pour venir appuyer mon gland un peu plus haut. Elle est très détendue, et son anneau s’ouvre sous ma poussée. Elle réagit soudain, à ce que je suis en train de faire/
« Non, pas là, pas ce côté »
Mais je suis déjà bien engagé et je passe la barrière du sphincter. Elle gémit un peu, mais donne des coups de reins, m’aidant à m’enfoncer jusqu’à la garde.
« Tu m’encules, petit salaud » dit elle en poussant son fessier vers moi. « c’est tout ce que tu as ? »
La provocation méritant une réponse, je me mets à la bourriner de plus en plus fort, lui arrachant des gémissements plaintifs, sans tenir compte de sa douleur, juqu’à ce que j’explose et lui remplisse le cul.
Lorsque je sors d’elle, elle se retourne, et me met une grande baffe, avant de refermer son peignoir et de disparaître. Me doutant qu’elle va occuper la salle de bains, je me résous à une toilette rapide dans l’évier de la cuisine, avant d’aller me coucher.
Je suis réveillé par des bruits de vaisselle. Le soleil est déjà haut, et une bonne odeur de café flotte dans la maison. Je me redresse sur mes coudes, pour voir Marie-José traverser le living en direction de la terrasse, un broc de café, à la main.
« Déjà réveillé ?, le petit dej, c’est dehors » m’annonce t’elle en passant.
J’enfile un caleçon et je la rejoins sur la petite terrasse, encore à l’ombre. Un petit air frais a remplacé la chaleur de la nuit. Marie-José est déjà habillée et maquillée, environnée d’un nuage de parfum. Gwen n’est plus sur la terrasse. A lors que je la cherche des yeux, Marie-José me dit qu’elle est remontée au petit matin, car elle avait froid. Il est encore tôt mais la température remonte déjà. Il va faire encore très chaud.
« Tu as bien dormi ? « me demande Marie-José.
« Super bien, et toi ? »
« J’ai eu un peu de mal à trouver le sommeil, à cause de toi. Ne t’imagine pas que ça va durer. Je vis seule et entends le rester. »
« Pourtant l’intermède d’hier soir n’a pas eu l’air de te déplaire. »
« Je mentirais en disant le contraire » dit elle en reposant sa tasse et s’approchant de moi.
« J’aime vivre seule mais je ne suis pas une nonne. Pourtant je n’aime pas subir ce que veulent les autres. »
« Tu sais bien que c’est un jeu » lui dis-je
« Je peux jouer aussi » dit elle, en glissant sa main dans mon caleçon. Elle commence à me branler doucement. Je l’embrasse alors, et soulève sa robe pour atteindre sa culotte de dentelle. Elle est déjà humide. Je la saisis par les côtés et la fait descendre le long de ses jambes. Elle soulève complaisamment un pied, puis, du bout de l’autre, envoie valser le petit bout de tissu. Puis elle me repousse et rabat sa robe.
« Je dois aller travailler » dit elle avec un sourire moqueur en contemplant mon érection. « je te laisse finir seul. »
Elle ramasse sa sacoche et s’en va.
Je réintègre, tant bien que mal mon slip, et me concentre sur le petit déjeuner, ma foi, fort copieux. Je suis en train de siroter mon jus d’orange quand Gwen fait son entrée, toujours vétue de son seul tee-shirt blanc ridiculement court.
« Salut, ça va ? « dit elle en se servant un grand verre de jus de fruit. « il fait meilleur maintenant, j’ai dû remonter, je me caillais trop sur le matin. » Elle s’asseoit et att un croissant dans lequel elle mord à pleine dents. Dans le mouvement, le tee-shirt est remonté sur ses hanches, exposant sa fente imberbe à mes regards. Elle capte mon regard et écarte les jambes encore plus.
« Quoi ? c’est ça qui te dérange ? L’autre côté ne te dérangeait pas hier soir » ce disant, elle écarte l’entrée de sa grotte et y introduis deux doigts.
« Ah, c’est bon ça de bon matin » commente t’elle en se masturbant doucement.
Mon sexe a immédiatement repris de la consistance, et elle ne manque pas de s’en apercevoir.
« Tu ferais mieux de quitter ton caleçon, tu dois être tout comprimé là dedans » rit elle.
Cependant, j’hésite encore. Certes, elle est jeune et belle, et surtout provocante, mais je viens juste de baiser sa tante. J’ai quelques scrupules qu’elle ne tarde pas à m’enlever. Elle se lève et fait passer son tee shirt par dessus sa tête, et entièrement nue vient se coller à moi. Sa peau dorée n’a aucune marque de maillot, preuve d’une pratique assidue du naturisme. Elle est plus grande que sa tante, ses seins plus petits son quand même de bonne taille et pointent, arrogants comme des obus, défiant les lois de la pesanteur, ses hanches son un peu moins large que sa tante, et sa peau de jeunette bien plus ferme. Elle me fait lever, et, d’autorité, descend mon caleçon.
« Ah, le voilà le copain !, Il avait besoin d’air. » dit elle en le caressant doucement. « voyons si il a bon gout » Elle se met à genoux, et embouche mon gland qu’elle suçote comme une glace. Elle lèche mon mat sur tout sa longueur et s’aidant de ses mains, gobe mes bourses l’une après l’autre, tout en m’agaçant le plancher pelvien de ses ongles manucurés. Je reste immobile, profitant de la sensation. Elle butine mon sexe qui se tend à me faire mal. Puis d’un coup se relève et vient planter sa bouche sur la mienne. Ses lèvres s’ouvrent et une langue pointue s’insinue dans ma bouche. Je sens ses seins pointus contre ma poitrine. Elle est un peu plus grande que moi. Notre baiser dure un bon moment, et je n’ai pas à me baisser beaucoup pour embrasser ses seins et mordiller ses tétons, semblables à des bouts de crayons. Elle gémit sous la caresse, mais se dégage et s’enfuit dans la maison. Déçu, je reste planté là, et vais m’écrouler sur un transat, mais elle revient déjà.
« J’ai cru comprendre que tu aimais jouer avec la glace »
« Mais, comment ? »
« Qu’est ce que tu crois ? que vous avez été discrets cette nuit. Eh non, j’étais là, aux premières loges, et je dois dire que ça m’a bien énervée. Allez, couché » elle me pousse sur le lit et replonge sur mon penis. Cette fois après deux léchouilles, elle l’embouche complètement et vient heurter mon pubis avec son nez, avant de remonter en aspirant, les lèvres collées à ma peau. Elle ressort et revient. Cette fois, c’est chaud dessus et dessous, et glacé sur les côtés. Elle a pris deux glaçons en bouche. Sa caresse buccale fait monter la température, mais la glace la refroidit aussitôt et le picotement du gel vient s’jouter à la brulure du désir. C’est inédit pour moi. Je bande bien dur, malgré le froid , mais le froid bloque toute éjaculation possible. Une de ses mains a saisi un autre glaçon et me caresse les couilles avec, s’aventurant jusqu’à mon anus. La glace fond cependant, et après quelques minutes, elle recrache deux petits glaçons, et se relève pour m’enjamber. Elle saisit ma queue et la guide vers son antre. Elle s’empale sur moi avec un soupir d’aise.
« Maintenant tu vas bien me baiser »
Mon sexe s’enfonce dans sa matrice lui arrachant quelques gémissements. Une fois que je suis abuté en elle, elle commence à me chevaucher en s’aidant de ses cuisses musclées. Un peu coincé, au dessous, je malaxe ses seins. Le rythme s’accélère. elle se relève à la verticale, avant de se pencher en arrière. Dans cette position j’ai accès à son clito que je masse, et titille, ce qui provoque une accélération de son mouvement.
« Oh oui, continue. Bien le bouton. Hmm, mets un doigt aussi. »
Mon doigt fureteur vient rejoindre ma queue. Elle se déchaine et remue en mouvements désordonnés en criant de plus en plus fort, avant de s’immobiliser d’un coup serrant les cuisses au maximum dans une ultime contraction.
« Ah ce que c’est bon ! » s’exclame t’elle en retombant sur moi.
Nous sommes tous deux en sueur. Elle m’embrasse brièvement.
« j’avais peur que tu sois un peu fatigué, après la séance de cette nuit, mais j’avais trop envie. »
« Et ta tante. Si elle l’apprend ? »
Elle s’est dégagée et a saisi ma queue toujours bandée qu’elle masturbe vigoureusement.
« Ma tante est une femme libre, et m’a appris à l’être. Elle n’a pas de relations fixe, mais elle craque parfois, comme sur toi. Son côté BCBG un peu coincé doit faire partie de son charme, mais elle ne se laisse pas souvent aller, ce qui n’est pas mon cas. »
elle se penche et sa bouche vient remplacer sa main tandis qu’un doigt vient se planter dans mon anus. Je grogne de plaisir et explose dans sa bouche. Elle se retire, et les jets suivants l’atteignent sur les seins.
« C’est quand même la première fois que je me fais un de ses mecs » précise Gwen.
Elle m’entraine à sa suite et nous sommes bientôt sous la douche, à nous savonner mutuellement. La fraicheur de l’eau, me fait du bien. Mes mains parcourent son corps parfait, détaillant chaque creux, chaque renflement, chaque muscle, m’attardant sur ses seins somptueux, sur son ventre plat, flattant le petit mont de vénus avant d’insinuer mes doigts dans sa fente. De son côté elle explore, elle aussi, testant mes réactions. Mon sexe reprend peu à peu de la vigueur, et elle l’a remarqué.
« Tu as l’air de reprendre des forces » me confie t’elle « Il y a une chose que tu as faite à ma tante, et que je n’ai jamais essayée. »
Elle se retourne et prenant appui sur le mur, pousse ses fesses vers moi. L’invitation est implicite. Comme elle est grande, je n’ai qu’à fléchir un peu les jambes, je guide mon paf et me detends en remontant, au chaud dans sa chatte déjà humide. Je coulisse lentement en elle, et appuie sur son dos pour la faire fléchir davantage. Tout en continuant ma levrette, je force son petit trou avec un doigt. Elle gémit. Un peu de savon m’aide à entrer un deuxième doigt. Je fais tourner mes doigts pour élargir le passage. Elle écarte ses fesses avec ses mains et me dit : « Maintenant, vas y , mets la moi. » Je me présente face à son anus et mon gland vient forcer le passage.
« Ahh, non, ça fait mal ! »
« tu veux que j’arrête ? »
« Non, continue, je veux savoir. » dit elle en poussant son cul vers moi.
J’att ses hanches et m’enfonce d’un coup dans ses boyaux.
« Oh, aie, aie, aie ! tu me défonces, ça brule ! »
je commence a coulisser doucement en elle, déclenchant des cris de douleur
« Ah, ça brûle, ça me déchire, vas y à fond ! » crie t’elle
j’accélère le mouvement et vient bientôt faire claquer mes couilles sur son postérieur, a chaque aller
« Ahh, vas y encore, ça fait mal, vas plus au fond ! »
Je pousse de plus en plus, la plaquant contre le mur, et je sens son cul qui vient au devant de ma bite . Le plaisir monte irrémédiablement. Je la pilonne jusqu’à ce que j’ejacule dans un spasme, mes grognements à l’unisson de ses cris. Nous restons un instant ainsi, puis je décule lentement. Le sperme s’échappe de son cul et dégouline sur ses cuisses. Pendant que nous nous rinçons, elle m’avoue.
« j’ai compris pourquoi beaucoup de filles refusent la sodo. Ça fait un mal de chien. «
« mais ça passe ensuite ? »
« Pas du tout. Ensuite arrive le plaisir, mais la douleur continue. C’est juste que le plaisir est plus fort que la douleur. On sent que l’un ne va pas sans l’autre. Si on veut le plaisir, il faut accepter la douleur. »
« Il faut être maso, donc ? »
« un peu, oui, mais pas seulement. Du coup j’apprends de nouvelles choses sur ma tante… »
« Qui serait maso ? »
« Non, ce serait trop long à t’expliquer… viens, on va boire un coup et hop ! bronzette ! » s’exclame t’elle gaiement en sortant de la douche.
Je me sêche et enfile mon caleçon pour la rejoindre sur la terrasse. Elle me suit bientôt avec un pichet de citronnade, toujours nue comme un ver. Le vêtement doit être pour elle une convention sociale qu’elle abandonne dès que possible. Elle se moque de mon caleçon tandis que nous buvons, puis elle va s’étaler sur un transat, et ferme les yeux.
Quelques heures plus tard, alors que nous somnolons sur les transats, Marie José revient.
« Eh bien, c’est relax ici ! « dit elle « Gwen tu pourrais t’habiller un peu, tu n’es pas seule. Si quelqu’un peut mettre la table, on va grignoter vite fait. J’ai des clients à partir de 14h. »
Gwen se lève et s’éclipse, pour revenir, vétue d’un shorty, presque plus indécent que si elle était nue, portant assiettes et couverts.
Nous sommes bientôt installés sous une tonnelle ombragée, pour partager melon et jambon, qui font l’essentiel de notre repas. Après un café bien serré, Marie-José monte à l’étage, pendant que Gwen et moi débarrassons et faisons la vaisselle. Aussitôt le dernier verre essuyé, cette dernière repart vers son occupation favorite : la sieste.
Je reste un peu dans la relative fraicheur de la maison. Marie-José descend bientôt, vétue d’une blouse blanche, très médicale, et très opaque.
« Bouh, avec cette chaleur on ne sait pas trop comment se vétir.Je n’ai même pas mis de robe sous ma blouse. »
Je m’approche d’elle et l’attrappe par la taille, pour l’embrasser. Mes mains fureteuses, dégraffent deux boutons pression et découvrent sa poitrine, dans un soutien gorge blanc.
« Effecivement, tu ne vas pas avoir trop chaud. »
« Oh, ne crois pas ça » répond elle. « Quand tu es entrain de masser, ou faire travailler des gens, ça fait transpirer, même en hiver. »
Je tire d’un coup sec et la blouse s’ouvre entièrement.
« Alors tu es encore trop habillée » lui dis-je « laisse moi rectifier ça. »
Je passe la main dans son dos et dégraffe le soutien. Elle comprend et dégage le vêtement .
« Tu as raison, je peux m’en passer » approuve t’elle.
Mais quand je descends la culotte assortie, elle proteste.
« Non ! il suffit que je me baisse pour qu’on voie tout ! Ma blouse est trop courte. »
Néanmoins, j’arrive à faire glisser le vêtement à ses pieds, puis je reboutonne la blouse, laissant juste un bouton en bas, et deux en haut dégraffés.
« Voilà, on ne voit plus rien !, et tu vas gagner en confort. »
Finalement elle lève les pieds et dégage le string que je ramasse.
« Bon, allez, j’ai du boulot » dit elle en franchissant le porte de communication avec son cabinet.
Je la laisse aller, mais la curiosité me poussant, quelques instants plus tard, j’ouvre la porte de son cabinet. Un rapide coup d’œil. Je suis dans une petite pièce qui sert d’entreposage pour toutes les crèmes, les straps et autre atèlles, dont elle doit se servir. Une seule autre porte. Je l’entrouvre doucement, pour découvrir une salle d’examen, avec un traditionnel lit, et quelques meubles de rangement. Personne dans cette salle. Je m’y aventure. Elle communique avec un bureau, vide pour l’instant, par un passage sans porte. A porte du bureau s’ouvre, et je me recule vivement. Je vois entrer Marie-josé, suivi d’une femme d’une soixantaine d’années. Elle la fait asseoir, et reste, face à elle me tournant le dos.
« Alors Mme Lefranc, comment se passent vos séances ? »
« Bien, j’ai déjà perdu 1 kg et je me sens plus tonique. »
« Comme vous le supportez bien, on va passer, dorénavant, de 20 à 30 minutes. Je vous laisse vous préparer et je vous voir pour le début. Comme d’habitude, quand vous avez fini, vous partez directement. Inutile de m’attendre. »
Sur ce , elle invite la patiente à la suivre, et elles quittent le bureau.
Elle revient accompagnée d’une jeune femme d’une trentaine d’année, assez élancée.
« qu’est ce qui vous amène ? » demande t’elle, assise face à la patiente.
« J’ai eu une douleur à la cuisse, en jouant au tennis. Comme ça persiste, mon médecin m’a conseillé de venir vous voir. »
« Voyons ça. Vous pouvez passer à côté, s’il vous plait. Et vous deshabiller. Juste la jupe et les chaussures, et vous vous allongez sur la table. »
Replié dans le cagibi, je ne peux rien rater. La patiente, entre dans la pièce, et défait ses nu-pieds, avant d’enlever sa jupe qu’elle pose soigneusement sur le dossier d’une chaise. Elle est vétue d’un petit haut à bretelles blanc, et d’un string noir. Elle s’allonge sur le lit, les jambes face à moi . Marie-José arrive , et lui demande :
« Quelle jambe vous fait souffrir »
« La droite »
Elle commence à palper la jambe, du haut en bas, massant les muscles, testant les articulations. Elle est sur le cheville qu’elle manipule avec dextérité, sans créer de douleur, puis elle remonte le long du mollet jusqu’au genou qui ne semble pas davantage poser de soucis. Elle passe ensuite sur la cuisse, provoquant une crispation de la patiente. Elle insiste sur l’extérieur, sans résultat, mais quand elle masse l’intérieur de la cuisse, la douleur semble être bien présente.
« On va tester autre chose. Ecartez les cuisses. »
La femme s’exécute et écarte largement les cuisses.
« Je vais appuyer sur vos genoux, et vous allez essayer de refermer les jambes. Allez y ! »
La jambe gauche n’a aucun mal à repousser le bras et à contrer la poussée, mais la droite s’arrète avec un cri de douleur de la patiente. »
« Vous avez une contracture de l’aducteur droit » explique Marie-José « Il n’y a pas grand chose a faire, sinon du repos, et des massages avec une pommade apaisante. Je peux vous en faire un maintenant, et vous reviendrez tous les trois jours, pendant trois semaines. »
La patiente ayant accepté, Marie-José, entre dans la remise ou je suis caché, et me découvre.
Les yeux écarquillés, elle articule en silence : » que fais tu là ? » ce à quoi, je ne réponds pas.
Elle récupère la pommade et me jette un regard courroucé avant de sortir, me faisant signe de faire silence.
« Voilà, il faudra que vous récupériez cette pommade, en pharmacie. Vous allez voir, le massage va chauffer vos muscles et les rendre moins douloureux. Pour éviter de tacher vos sous-vêtements, il faudrait les écarter sur le côté, ou les enlever. »
La jeune femme soulève ses hanches et fait glisser son string qu’elle envoie rejoindre sa jupe. Marie-José la positionne, sur le dos, la jambe droite légèrement écartée. Dans l’entrebaillement de la porte, j’ai la vision de son minou bien épilé sous un ticket de métro parfaitement taillé. Le massage commence et les mains de Marie José, malaxent l’intérieur de la cuisse, jusqu’à l’attache des muscles. Je vois les tendons se tendre et la fente qui s’ouvre légèrement quand les mains redescendent. Le massage se prolonge de longues minutes, et la douleur qui faisait se raidir la patiente semble s’estomper. Elle apprécie le traitement et sa vulve s’est ouverte, laissant voir les chairs roses, tendres et humides de son sexe.Marie-José, continue sans s’en apercevoir, mais la jeune femme, ouvre de plus en plus largement les cuisses, et pousse de petits soupirs d’aise.
Marie-José termine son massage, en cercles sur l’intérieur, puis l’ectérieur de la cuisse qu’elle referme au passage.
« C’est terminé, je vous laisse vous rhabiller » dit elle en rejoignant son bureau. La jeune femme se lève et récupère son string qu’elle enfile sur son sexe encore ouvert, qui se tâche aussitôt d’humidité. Puis elle remet sa jupe rejoint Marie-José qui lui remet une ordonnance, avant de la raccompagner. Elle revient seule et arrive directement dans le réduit :
« tu peux me dire ce que tu fais là ? »
« Rien, je voulais juste comprendre ce que tu faisais. »
« Et te rincer l’œil au passage ? »
« Ce n’était pas le but, mais je dois reconnaître que ta dernière patiente avait l’air passablement excitée. Je ne sais pas comment tu peux ne pas le voir. »
« Tu te fais des idées, ce ne sont que des réactions physiologiques. Rien a voir avec la libido. »
« n’empèche, si tu lui avais caressé le minou, elle n’aurait demandé que ça. »
« Ou elle m’aurait retourné une paire de baffes. »
« Il n’y a qu’un moyen de le savoir, sois plus sexy »
« plus sexy ? mais je travaille ! »
« La plupart des hommes, et surement des femmes, fantasment sur les infirmières, ou autres médecins vétus d’une blouse blanche. Il serait étonnant que ce soit différent pour toi. »
« Et ? »
« Le seul moyen de le savoir, est de te rendre plus sexy » dis-je, en dégraffant deux boutons en bas de sa blouse et un en haut. Celle-ci s’ouvrait sur un décolleté avantageux, et dévoilait ses cuisses presque jusqu’en haut, au moindre mouvement.
« Je reste à côté » dis-je « et je regarde ce qui se passe »
« Tu ne vas pas voir grand chose », maintenant j’ai un papy de 76 ans. »
Le papy, comme elle dit, une fois assis dans le bureau, ne lâche pas des yeux son décolleté.
« Monsieur Mahut, comment va votre hanche ? »
« Ma foi, c’est douloureux à froid, mais une fois que j’ai marché un peu, ça s’estompe »
« bien » dit elle « nous allons passer à côté pour voir ça. »
« il faut que je me déshabille ? »
« non, ça ne devrait pas être utile. »
Une fois le patient sur la table d’examen, Marie José lui fait plier un genou, puis elle prend sa jambe et la replie vers le haut à plusieurs reprises.
« Je ne vous fais pas mal ? »
« ça tire un peu » répond le bonhomme, « mais c’est supportable »
« C’est normal, après votre opération, il va falloir un peu de temps pour retrouver de la souplesse. On va faire l’exercice une dizaine de fois, et on recommencera trois fois, d’accord ? »
La question est purement réthorique et n’entraine pas de réponse.
Marie José accompagne les mouvements du patient, en forçant un peu en bout de course pour le faire plier un peu plus. Malgré la climatisation, elle est en nage, a la fin de la première série. Le vieux s’en est rendu compte.
« Je vous donne chaud » constate t’il
« eh oui, Mr Mahut, allez on s’y remet. »
A la fin de la deuxième série, elle s’essuie le visa ge avec une serviette.
« Vous devriez vous mettre à l’aise. »dit il en lorgnant sur son décolleté, qui, dans les mouvements, s’est encore ouvert d’un bouton.
« Ce ne serait pas très correct, Mr Mahut, vous savez, avec cette chaleur je n’ai mis que ma blouse. »
« L’exercice n’en serait que plus agréable chère madame, et ça ne sortirait pas d’ici. »
« Vous êtes un coquin, vous ! » dit elle en riant
« Allez ! qu’est-ce que vous risquez avec un vieux bonze comme moi, à part me faire un petit plaisir. »
Il passe maintenant la main sur sa blouse, caressant sa hanche proche.
« je ne peux pas. Je n’ai vraiment rien en dessous. »
« Laissez moi faire »ditil avec aplomb. Il saisit le bas de la blouse et tire. Lautrec ôté est coincé contre la table et les boutons pression cèdent un a un, dévoilant le haut de ses cuisses et ouvrant la blouse jusqu’à la taille. Le papy a les yeux exhorbités devant la chatte de Marie-José à hauteur de ses yeux. Elle recule génée, mais la blouse serrée dans la main du vieux, finit de s’ouvrir, et elle apparaît entièrement nue.
« Ne soyez pas génée. Vous êtes une belle femme. Une comme je n’en ai pas vu depuis bien longtemps » lui déclare t’il.
Marie-José se ressaisit et rabat les pans de sa blouse sur ses seins. Elle se rapproche du bonhomme.
« Allez, dernière série » dit elle en empoignant sa jambe. Elle s’emploie a pratiquer les mouvements le plus naturellement possible, mais ne peut ignorer la main du vieux qui s’égare sous la blouse sur sa fesse et rampe vers son intimité. Heureusement la série s’achève et elle se recule, échappant à la main balladeuse. Le vieillard repose sa jambe, mais, maintenant, allongé sur le dos, son pantalon de toile est distendu d’une manière peu équivoque.
« Oh ! monsieur Mahut ! »
« Eh, que voulez vous, ça fait si longtemps que ça ne m’est pas arrivé que j’en suis presque étonné, mais c’est un hommage à votre beauté. »
Il lui prend la main et la pose sur son pantalon
« malheureusement, je me vois mal traverser votre salle d’attente dans cet état. »
Sans mot dire, elle déboucle la ceinture du pantalon, et baisse la fermeture éclair. Elle baisse le slip et libère un sexe qui jaillit devant elle.
« Oh, qu’elle est grosse ! » dit elle en l’empoignant
« La nature m’a bien servi, c’est vrai, et j’en ai profité, mais je pensais ce temps révolu » dit il tandis qu’elle commence à masturber son chibre, pas spécialement long, mais particulièrement épais.
Le membre déjà bien raide prend encore de la consistance.
« Ah docteur, ça me fait vraiment du bien. »
Marie-José ne dit mot, mais elle accélère le rythme, une main astiquant le membre érigé, et l’autre titillant les bourses velues de son patient. Celui-ci grogne, et eructe, ses mains malaxant les fesses de la kiné qui s’est rapprochée de lui dans son mouvement. Sa main est encore leste et il la glisse dans le sillon fessier, atteignant l’entrée du vagin déjà dégagé, et y enfonce aussitôt deux doigts, faisant sursauter la jeune femme. La première surprise passée, elle s’ouvre un peu plus et un troisième doigt s’introduit en elle, tandis qu’un pouce téméraire flirte avec sa rondelle. Elle sent le sexe palpiter sous ses doigts. La libération est proche. Elle crache sur le gland turgescent en continuant son va et vient. Le pouce accentue sa pression et franchit d’un coup le sphincter, s’enfonçant profondément dans son anus, lui arrachant un soupir de douleur, alors que dans un spasme le papy arrose Marie-José de sa semence. Elle continue à le caresser jusqu’à extirper la dernière goutte de son jus. Le vieux a retiré sa main. Elle s’essuie, et lui fait une toilette sommaire avec une serviette éponge. Puis elle rajuste sa blouse et le laisse se rhabiller.
« C’est tout pour aujourd’hui Mr Mahut »
« merci beaucoup, madame. »
« Ceci doit rester entre nous, monsieur. Si on vient m’en parler je nierais. Et n’espérez pas que cette faveur devienne une habitude. »
« Oh non, dit le vieux. Vous avez enchanté mon âme et mon corps, pour une longue période. Je vous en serais reconnaissant, à jamais. »
Elle raccompagne le papy et revient seule. Je l’attends dans la salle d’examen.
« Il s’en passe de belles dans ton cabinet. »
« C’est ta faute, de me laisser nue sous ma blouse. » répond elle
« J’avoue, c’est un peu vrai, mais tu as laissé faire… »
« pas du tout » rétorque t’elle « si je l’avais laissé faire il m’aurait culbutée sur place, au risque de mourir d’une crise cardiaque. La situation était sous contrôle. »
« Et tu es restée insensible ? » dis-je en la serrant de près et en caressant ses seins qui pointent déjà.
« Il m’a bien chauffée un peu, je l’avoue. Dommage que j’ai un autre patient, sinon je t’aurais bien demandé de m’aider. » dit elle avant de repartir.
Les deux patients suivants ne remarquent quasiment pas la tenue de Marie-José, et je commence à m’ennuyer ferme. Puis arrive une femme qui vient pour une tendinite. Marie-josé l’accompagne dans une des pièces adjacentes et l’installe sur une machine qui doit lui prodiguer des soins par ondes de choc. Puis elle revient s’installer à son bureau. J’en profite pour venir derrière elle.
« Elle en a pour longtemps ? » dis-je innocemment
« 30 minutes » me répond elle.
« On a donc un peu de temps » et je glisse mes mains dans son décolleté, saisissant ses seins.
« Arrête, ma patiente est à côté » proteste Marie-José
« Mais elle est occupée pour un moment. » répond-je
« Elle pourrait nous entendre » murmure t’elle, mais les pointes de ses seins durcissent déjà sous mes doigt. Je l’embrasse doucement dans le cou et fais sauter les boutons pression de sa blouse, au fur et à mesure de mon exploration sur son corps plein et hâlé. Le vêtement est bientôt largement ouvert, sa peau nue frémissant sous mes doigts. Elle tourne son fauteuil vers moi, et palpe ma bite au dessus du caleçon, avant de tirer le shorty vers le bas, et de saisir mon manche à pleine mains. Je me cambre vers elle, et elle n’a qu’à se pencher un peu pour mettre quelques coups de langue sur mon gland, avant de le gober entièrement. Elle fait tournoyer sa langue sur mon gland, tandis que je me tends vers elle. Cédant à mon mouvement, sa bouche coulisse sur ma queue de plus en plus loin. Elle s’agrippe à mes fesses, pour tenter d’aller de plus en plus loin. Je passe ma main derrière sa nuque pour donner de l’ampleur à son geste et m’enfoncer de plus en plus loin dans sa bouche. Malgré quelques haut-le-cœur, elle parvient à venir caler son nez contre mon pubis tout en me massant les couilles. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps, et je me dégage, pour la faire lever. Je l’appuie contre le bureau et vient mordiller ses tétons tous raides, ce qui provoque des soupirs d’approbation. Je faufile ma main entre ses jambes et ouvre sa fente, avant d’y insérer deux doigts. Elle s’ouvre sous la caresse, et son bassin s’avance au devant de mes doigts fouisseurs. Prenant appui sur les bras elle se hisse sur le bureau, et assise remonte ses genoux en écartant bien les cuisses pour que j’aie un accès facile.
J’ai autre chose en tête. Profitant de sa position je la pousse légèrement et la renverse sur le bureau, avant de venir planter ma bite dans son puits ouvert. Elle se tord le cou pour surveiller la porte, sans cesser ses à-coups du bassin, s’empalant à fond sur ma queue.
« Ah, vas y ! dépêche toi, il ne reste que 10 minutes » souffle t’elle en accélérant le mouvement. Le bureau tremble sous nos assauts, mais c’est du solide. Elle gémit doucement, et danse frénétiquement sous moi, avant de se figer dans un orgasme, et de s’écrouler pantelante sur le bureau. Elle va pour se dégager mais je la maintiens en place et lui relève les jambes, les passant sur mes épaules.
« Mais, que ?... » dit elle avant de comprendre.
« Il reste 5 minutes, et je n’ai pas joui » dis-je en appuyant mon sexe sur son petit trou »
« On a pas le temps. » dit elle affolée.
« Si tu résiste, non » répond-je
Alors je la sens se détendre et pousser son cul sur ma queue qui entre d’un trait dans son anus. Je m’enfonce jusqu’à venir buter sur ses fesses, et commence à la limer vigoureusement.
« Je vois qu’on ne s’embète pas ! » dit soudain une voix.
Nous nous figeons et tournons la tête vers l’origine de la phrase, tétanisés comme des lapins pris dans la lumière des phares d’une voiture.
Gwen est appuyée sur la table d’examen, et nous observe, une main coincée dans son slip de maillot de bain.
« Ne reste pas là Gwen »ordonne Marie-José en tentant de se dégager. Malheureusement l’intrusion de sa nièce, qui nous mate depuis on ne sait quand, ne fait que renforcer mon erection. Gwen s’approche et nous observe, en passant la main dans les cheveux de sa tante. Je recommence à limer doucement.
« Ma chère tante, ce n’est pas la première fois que je te vois t’envoyer en l’air. Malgré ton air de bourgeoise BCBG, tu n’es pas si coincée. »
« Comment çà » hoquete la tante en continuant de subir mes assauts
« Tu es heureuse de recueillir mes confidences, et tu sais bien que je ne suis pas une oie blanche, mais j’ai de qui tenir. Figure toi que celui qui s’agite en ce moment dans ton popotin, défonçait le mien, il y a quelques heures, à peine. »
« Quoi ! » s’écrie Marie-José en se débattant, mais je la cramponne bien et je ramone consciencieusement son fondement.
« Oh rassure toi, c’est la première fois que j’ai envie d’un de tes mecs. Pourtant généralement, tu as bon goût. Laisse toi aller, et profites, il ne te reste que quelques minutes. »
A ces mots, la panique semble s’emparer de Marie-José. Elle se cambre et me dit
« ça suffit maintenant, finissons en. »
« Je suis d’accord » lui dis-je en accélérant mes coups de piston
Notre cavalcade, un instant interrompue reprend. Gwen vient m’offrir ses lèvres, et sa langue pointue vient taper sur mes dents avant de s’enrouler sur la mienne. Sa main glisse entre les jambes de sa tante et s’empare de sa chatte, titillant le clito, tandis que je ahanne à grands coups de rein, venant claquer bruyamment sur le fessier offert.
La tante, d’abord surprise, gémit de plus en plus fort, et se lâche finalement avec un bref cri, pendant que je me vide dans ses intestins.
Aussitôt, elle reprend ses esprits, et me repousse pour se relever. Jetant un coup d’œil à sa montre, elle reboutonne hativement sa blouse et nous repousse Gwen et moi, dans la salle d’examen.
Juste à temps, car on frappe et la porte s’ouvre sur une femme d’une quarantaine d’années
« J’ai fini, docteur » dit elle
« C’est bien, vous pouvez y aller, on se revoit jeudi » dit Marie-José debout à côté de son bureau. La femme un peu étonnée, sans doute, par la coiffure ébouriffée, et le désordre sur le bureau, salue, et referme la porte en partant. A t’elle noté, les dégoulinures qui strient les jambes de sa kiné. On ne le saura jamais.
Je prends congé de la kiné qui s’enfuit faire un brin de toilette avant d’autres patients. Une fois habillé, je traverse la maison, pour partir. Dehors un soleil de plomb écrase la rue déserte. J’ouvre ma voiture en grand, pour rendre l’intérieur plus supportable.
« Tu partais sans me dire au revoir ? »
Gwen est sur le pas de la porte, toujours en maillot mini, avec un petit top à bretelles qui peine à contenir ses seins haut perchés. Elle traverse la rue, insensible au bitume brûlant et vient se coller à moi. Elle m’embrasse furieusement.
« J’espère que tout se passera bien avec ta tante. »
« Pas de soucis, on se chamaille parfois, mais ça ne peut pas durer longtemps. »
« tant mieux »
« tu as une piscine, là où tu es ? »
« oui, bien sur. »
« alors, je viendrais te voir, j’adore baiser dans l’eau. »
je ne suis pas sur que la clientèle de l’hôtel voie ça d’un très bon œil, mais je m’abstiens de tout commentaire.
Elle m’embrasse à nouveau puis s’écarte, et tire sur les ficelles de son maillot, défaisant les nœuds. Elle enlève le bout de tissu, et me le met dans la main.
« Tiens, comme ça tu auras un maillot pour moi » dit elle avec un sourire.
Puis elle fait demi-tour et retraverse la rue, dandinant son cul nu, avant de disparaître dans la pénombre de la maison.
Je l’ai revue plusieurs fois ensuite, mais me suis gardé de lui dire que je voyais encore sa tante.




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